Rapport Des Travaux Pratiques 1
Rapport Des Travaux Pratiques 1
Rapport Des Travaux Pratiques 1
Essai de Traction
Réalisé par :
(Groupe 35 ) Année universitaire : 2021/2022
Table des matières
I. Essai de traction :
Partie théorique :
Définition
But de TP
Description de l'essai
Courbe conventionnelle
Partie pratique :
Initialisation et Mettre en action de l’essai
Résultats
II. Conclusion
I. Essai de traction :
Partie théorique :
Définition :
Cet essai ou expérience consiste à placer une petite barre du matériau à
étudier entre les mâchoires d'une machine de traction qui tire sur la barre
jusqu'à sa rupture. On enregistre l'allongement et la force appliquée, que l'on
convertit ensuite en déformation et contrainte.
But de TP :
Un essai de traction est une expérience de physique qui permet d'obtenir
des informations sur le comportement élastique, le comportement plastique et
le degré de résistance à la rupture d'un matériau, lorsqu'il est soumis à une
sollicitation uni axiale. Cet essai ou expérience consiste à placer une petite
barre du matériau à étudier entre les mâchoires d'une machine de traction qui
tire sur la barre jusqu'à sa rupture. On enregistre l'allongement et la force
appliquée, que l'on convertit ensuite en déformation et contrainte. Une
variante moderne des essais de traction consiste à utiliser la force centrifuge
sur un assemblage pour générer une contrainte de traction. Lorsque la valeur
limite de résistance à la traction d'un assemblage ou d'un collage est égale à la
force centrifuge appliquée, on génère la rupture de ceux-ci et enregistre la
limite de rupture.
Description de l'essai :
L'essai est pratiqué sur machine de traction. Une fois l'éprouvette en place,
on applique un léger pré charge afin d'être sûr que l'on n'a pas de jeu. Puis, on
effectue un déplacement de la travée à vitesse constante, qui a pour effet
d'étirer l'éprouvette, et on mesure l'effort généré par ce déplacement ; le
mouvement peut se faire par un système de vis sans fin ou un piston
hydraulique, l'effort se mesure par la déformation élastique de la travée ou,
plus communément, par un capteur de force inséré dans la ligne de charge.
L'essai s'arrête à la rupture de l'éprouvette. La vitesse peut être exprimée en
mm/min. La vitesse est un paramètre d'essai important : les grandeurs
classiquement recherchées (Re, Rm, etc.) nécessitent une vitesse lente pour
limiter l'effet de l'échauffement local d'une part, et assurer une cinétique de
changement de structure du matériau suffisamment lente pour être
représentative et reproductible.
Courbe conventionnelle :
Dans un premier temps, la déformation est élastique. La courbe de traction
est donc une droite, la pente de cette droite donne le module de Young E. À
partir d'un certain allongement, la courbe s'infléchit : c'est le début de la
déformation Plastique. La transition peut être franche (rupture de pente), ce
qui permet de déterminer facilement la limite d'élasticité Re. On a dans ce cas-
là en général un plateau avec une contrainte inférieure à la contrainte
maximale dans le domaine élastique, correspondant au fait que les dislocations
se sont libérées des atomes étrangers qui les épinglaient.
Partie théorique :
Initialisation et Mettre en action de l’essai
Etape 1 : à l’aide d’un pied à coulisse en mesure la longueur et le
diamètre de nous éprouvette
Résultats
On obtient la courbe de traction suivante après la rupture de
l’éprouvette :
On F = 20500 N et R=4mm , ∆ =25mm , = 260mm
∆ ∆ ∆ =25mm
∆ = 0.002 x 260 = 5.2 mm
Donc ∆ = 19.8 mm
= =11714.28 N
= = = 233.07Mpa
= = = 0.07
II. Conclusion :
L'essai de traction permet de caractériser les matériaux
indépendamment de la forme de l'objet sollicité, ou la performance d'un
assemblage mécanique. Comme tout essai mécanique, l'essai de traction
reproduit une sollicitation simple, donc éloignée des sollicitations réelles,
mais facilement maîtrisables et reproductibles.