Projet Etude Sur Les Boissons
Projet Etude Sur Les Boissons
Projet Etude Sur Les Boissons
Réalisé par :
EL IMRANI EL IDRISSI YASSIR
BELHADEF OUIJDANE
EL HARRAK YASSIR
AYAD TAOUFIK
BACHRI ANASS
Introduction
1. Evolution et historique
2. Définition et types des boissons
3. Marche des boissons au Maroc
4. Habitude de consommation au Maroc
5. Acteurs de l’industrie des boissons au Maroc
6. Sources de boissons importées au Maroc
7. Les bienfaits des boissons
8. Méfaits
9. Variables :
o Prix
o Qualité
o Emballage
o Publicité
o Occasions/préférences
1. Variables motivantes
2. Variables freins
Conclusion
INTRODUCTION :
Bien évidemment que l’analyse de comportement d’un consommateur prend plus
beaucoup de temps que l’en imagine afin de pouvoir identifier leurs attentes, besoins et
motivations que leurs freins. L’analyse de comportement de consommateur aide l’entreprise à
identifier les attentes, les besoins, les motivations, et aussi les critères de choix.
Durant cette recherche nous allons essayer de concrétiser notre connaissance théorique
en terme d’étude de comportement de consommateur et d’étude de marché, ainsi que
comprendre le comportement de consommation des boissons à travers la compréhension du
marché des boissons ainsi que les différents variables et les facteurs qui peuvent influencer,
impacter et même orienter le comportement de consommation de ces biens.
Alors qu’elles sont les variables qui impactent le comportement de consommation des
boissons? Qu’elles sont les variables motivantes et freins de la consommation de ce bien ?
Chapitre 1 : étude documentaire
1. Evolution et historique :
Brasseries du Maroc est une entreprise marocaine spécialisée dans la production et la
distribution de boissons gazeuses et de bières créée en 1919 par le Groupe BGI. L’entreprise
était une filiale du groupe SNI jusqu'en 2003, date de sa reprise par le Groupe Castel.
Marrakech est une ligne de boissons aux fruits, produite par la société marocaine
Citruma. Propose également les boissons au jus Cool.
Miami
Née au Maroc en 1987, Miami est depuis toujours la marque de jus d’orange préférée
des Marocains. Miami est une gamme de jus de fruits produite au Maroc par Coca Cola.
Valencia
Lancée en plein été 2011, la marque Valencia a redistribué les cartes dans le marché
des jus de fruit au Maroc.
La Société Juice et Nectar Partner est la société leader au Maroc dans la production et
la commercialisation des jus et concentrés d’agrumes. A ce jour JNP est le seul producteur de
jus biologique au Maroc à être certifié par Ecocert depuis 2008.
Hawai
Hawai est une boisson gazeuse au goût tropical dans le cœur des marocains depuis
toujours. Hawai est produit au Maroc par Coca Cola.
Ce marché pèse près de 5 milliards de DH, mais reste dominé de bout en bout par The
Coca-Cola Company qui en contrôle 80% de parts de marché, très loin devant son rival de
toujours, l’autre marque américaine Pepsi (qui a beaucoup reculé depuis que son
embouteilleur marocain a été repris en 2011 par l’indien Varun Beverages), et quelques
marques locales à leur tête ICE, qui appartient au groupe agro-alimentaire Unimer (famille
Alj).
En fait, La raison de la faible consommation de boissons gazeuses dans notre pays est
simple, s’expliquant par deux aspects. Le premier concerne le fait que nos concitoyens sont de
grands amateurs de thé vert, puisqu’il s’agit de la boisson la plus prisée au Maroc, avec une
part de 50% du volume global des liquides consommées sur le marché national. Par ailleurs,
et au vu de la disponibilité d’une variété importante de fruits frais, les Marocains préfèrent les
jus naturels de fruits, qui assurent également un meilleur rapport qualité-prix.
Aïn Atlas
Aïn Atlas, dernière née dans le paysage des Eaux Minérales d’Oulmès, aspire à la
même notoriété que ses autres consœurs. Elle puise toute sa force à partir de la source
Hammou Guemguem, non loin d’Oulmès.
Aïn Ifrane
L’eau minérale naturelle Aïn Ifrane, naît dans les montagnes de la région d’Ifran, dans
le Moyen Atlas, à 1713 mètres d’altitude.
Aïn Soltane
Aïn Soltane est une eau minérale marocaine produite par la société des eaux Al
Karama.
Bahia
Bahia est une eau de table marocaine produite par les Eaux Minérales d’Oulmès.
Bahia occupe le premier rang sur le segment des eaux de table.
Oulmes
L’eau minérale Oulmès est une eau minérale naturellement gazeuse à la source, un cas
unique au Maroc.
Sidi Ali
L’eau de la source Sidi Ali est née dans les profondeurs des montagnes du Moyen
Atlas au Maroc.
Quatre marques se disputent le marché marocain red bull, distribué par foods and
goods, Burn, Power Horse et XL Energy. L’un de ces quatre noms vous a peut-être déjà aidé à
vous maintenir éveillé. Ce ne sont autres que des boissons énergisantes vendues sur le marché
local.
Finissant par les boissons alcooliques. La consommation de ces boissons peut donner
lieu a une augmentation des risques psychosociaux, une auto-agressivité, hetero-agressivite et
violence conjugale. Leur consommation peut résulter aussi des troubles cardiovasculaires, la
cirrhose, des effets sur le cerveau, des cancers…
10. Variables :
o Prix
Il représente une variable très importante, non pas juste pour les boissons mais pour
tous les produits. Le consommateur réagi selon le prix et majoritairement il préfère les prix
bas. Les prix des boissons se différent d’une marque à autre dans le marché.
o Qualité
C’est une variable majeure de tous les produits. Le consommateur a tendance
d’acheter les produits de bonne qualité et bas prix. Normalement cette combinaison est
introuvable.
o EAU :
Les eaux en bouteille : minérales ou de source, plates ou gazeuses sont préférés à l’eau
du robinet, ce dernier peut être pollué ou bien de mauvaise qualité … Plusieurs marques au
niveau national qui ont une qualité presque la même notamment SIDI ALI, AIN IFRANE,
BAHIA …
La grande majorité des restaurants marocains (notamment les petits restaurants) n'ont
pas de licence de débit de boissons alcoolisées. Si le restaurant local sert de l'alcool, cela peut
être mauvais. En fait, la partie restaurant était avant tout une couverture pour rencontrer les
buveurs du village. La nourriture n'est qu'un prétexte. Les marques étrangères avant d’entrer
au marché national se contrôlent ce qui leur donne avantage au niveau qualité.
o BIERES ET VINS :
La bière la plus répandue, la Flag SPECIAL, est assez légère et brassée sous licence à
Casablanca. Plus forte (plus chère aussi), la Casablanca a plus de goût. La STORK est une
autre bonne bière, brassée à Marrakech, Casa et Fès. Enfin, il y a aussi la HEINEKEN,
élaborée aussi à Casablanca.
Les vins locaux sont produits dans la région de Meknès (région de Volubilis) depuis
l'époque romaine et dans l'arrière-pays casablancais. Ils présentent certaines qualités, les
conditions de vinification s'étant bien améliorées.
o CAFÉ ET THÉ:
Les 2 boissons les plus consommées au Maroc ; le café avec une diversité de marques
(Best Café, Carrion, Dubois, Asta…) et de types (café au lait, café cassé, Espresso,
Cappucino…) avec un niveau de qualité très acceptable. Le thé de son part au Maroc, on
consomme généralement du thé vert de Chine avec beaucoup de menthe avec une bonne
qualité dans la majorité des marques (Sultan, Siti, Somathes, Raji Frères …)
o Emballage
L'emballage est, en général, considéré comme accessoire. Pourtant, s’il protège nos
produits, il est également une part importante des déchets que nous jetons tous les ans. En
marketing, l’emballage fait parfois toute la différence. C’est l’emballage qui donne souvent
aux gens le goût de se procurer le produit. Les spécialistes de l’emballage savent depuis
longtemps que certains éléments peuvent faire la différence entre un succès ou un échec.
1. Le nom du produit
Pour la plupart des produits, l’un des éléments les plus importants dans la réussite
commerciale tient au nom donné au produit. Pour que les gens se souviennent de nom, le nom
doit être court, facile à prononcer, facile à écrire et doit comporter les lettres b, c, d, g, k, p ou
t. Les linguistes appellent ces lettres des «explosives» parce qu’elles provoquent une
occlusion de l’air lorsqu’elles sont prononcées.
2. Le logo
3. La couleur
Le troisième élément important de la réussite d’un emballage est relié aux couleurs de
votre emballage. Si vous décidez d’avoir un emballage couleurs, vous devez savoir que la
couleur n’est pas seulement un truc pour attirer l’attention des gens. C’est aussi une façon
d’évoquer des ambiances et de jouer sur nos émotions
Le quatrième élément est relié aux formes de l’emballage. À l’instar des couleurs, les
formes jouent un rôle clé en packaging. Tout comme les couleurs, les formes contribuent à la
signification de l’emballage ou du produit
5. Les images
Le cinquième élément est relié aux images que l’on retrouve sur l’emballage, entre
autres, les logos, les mascottes et les personnages fictives. Dans le secteur agro-alimentaire et
des boissons (vin, bière, jus, etc.), on sait maintenant que les emballages attirent davantage
l’attention s’ils contiennent une image.
Que nous le voulions ou non, nous vivons désormais dans un monde où dominent les
apparences. Que ce soit dans le domaine de la politique, de l’économie, du sport ou de
l’emballage, l’image joue un rôle central.
o Publicité
Les études et les sondages se multiplient pour décoder et comprendre le comportement
des consommateurs et l’influence de la publicité dans l’acte d’achat. Il est évident qu’elle joue
un rôle crucial car la publicité ne cesse d’être omniprésente sur tous les médias et utiliser les
réseaux sociaux pour mieux conquérir le client et que l’on voit selon les messages les
consommateurs se précipiter pour acheter les produits mis en exergue. Certes le message
devra être pertinent.
La publicité représente une forme de communication qui a pour but attirer l’intention
des consommateurs cibles au produit. C’est un facteur important pour susciter l’envie de
consommer et tester ce dernier.
o Occasions/préférences
La consommation des boissons se caractérise par lapériodicité. Cette dernière est due à
le fait que chaque boisson est consommée dans une occasion précise. Donc les occasions
constituent un facteur déterminant dans le choix de la consommation des boissons.
1. Variables motivantes
La consommation du n’importe qu’un produit alimentaire dans n’importe où dans le
monde est motivée par des facteurs et des besoins qui font naitre le sentiment du besoin et la
nécessité de la consommation chez le consommateur et qui déterminent même son choix. Les
boissons sont soumises à la même influence. Le consommateur avant tout, procède a
consommer une boisson pour satisfaire son désir lie a la consommation du produit. Mais en
faisant son choix, les préférences entrent sur la ligne des variables qui impactent sa
consommation, il peut préférer de satisfaire son soif par boire une bouteille de l’eau, une
boisson gazeuse, ou bien une boisson énergisante... Les préférences peuvent comporter aussi
le nom de la marque, si le le consommateur trouve un produit de sa marque préférée parmi les
produits offerts dans le point de vente, son désir de consommation augmente plus. Le prix
s’avère aussi un facteur déterminant dans la consommation, et la majorité des producteurs
cherchent a agir sur cet élément pour encourager plus la consommation. Les consommateurs
cherchent toujours à satisfaire le double objectif, satisfaire le besoin avec un produit de qualité
mais en toute rationalité et sans gaspillage. La qualité entre donc dans la case des variables
qui impactent la consommation des boissons.
2. Variables freins
Chaque comportement de consommation a ses freins que ses motivations, la qualité
bien évidement, des boissons de bon qualité auront toujours ses fans, sous contrainte de prix
et de disponibilité bien sûr, contrairement à la non qualité, néanmoins la qualité reste
subjective, il y en a ceux qui juge des boissons de bonne qualité en faisons référence à la
valeur nutritionnelle, prix et même la marque, donc la qualité juger de mauvaise impacte
vivement le comportement de consommation de ces boissons. En effet, le prix trop élevé peut
empêcher les clients de la consommation des boissons, souvent que les consommateurs font
référence à un prix qui psychologiquement acceptable avant d’effectuer un acte d’achat,
parlons de la qualité, elle existe la valeur nutritionnelle des boissons qui peut être un frein de
consommation des boissons quand elle est jugée de moins riche, comme les calories peut le
faire quand ils sont trop élevés, il y en des femmes qui n’acceptera jamais de satisfaire leurs
besoins envers les boissons en tombant sur un gain de poids.
La non attractivité de l’emballage, ou un emballage choquant peut aussi empêcher la
consommation des boissons qu’elles couvrent, c’est pour cette raison que les entreprises
doivent soigner les emballages de leurs produits pour qu’il ne soit pas la raison de perte des
clients.
Sans oublier de parler des préférences, les consommateurs ont des différentes
préférences en termes de gout des boissons, de type (chaudes, froides, gazeuses et alcoolisées
etc.).Donc les préférences de consommateurs doivent être vivement prise en considérations
afin de pouvoir interpréter le comportement de consommation de chocolat, comme la non
disponibilité des préférences d’un consommateur peut retarder sa consommation voir
l’empêcher.
Chapitre 3 : recherche quantitative /qualitative
Sélection analysée, après avoir sélection les documents, des informations et des
données qui peuvent être textuelle, visuelles ou sonores, une sélection qui est effectuée sur la
base du thème traité et en cohérence avec la question de recherche déterminée préalablement,
nous essayons à faire une analyse profonde de ces documents. En deuxième étape la lecture,
nous lisons profondément les documents, ensuite la sélection prend lieu, après la lecture et la
relecture des documents, nous cherchons à les classifier selon l’ordre et l’enchaînement des
différentes étapes et partie de la recherche et selon le contenu de ces documents, en les
attribuant des codes pour les différenciés entre eux, à la fin du chemin vienne l’interprétation
qui commence pratiquement durant les étapes de lecture et de classification.
L’enquête quantitative par sondage est réalisée principalement dans deux buts :
Premièrement, valider par des chiffres des éléments mis à jour dans une étude
qualitative effectuée préalablement. Dans ce cas, l’étude quantitative est postérieure à l’étude
qualitative. C’est le cas le plus fréquent.
Dans les deux cas, les objectifs de l'étude doivent être définis avec précision car ils
vont déterminer le sens de l'enquête et avoir une influence directe sur le sondage. L'enquête
est mise en œuvre grâce à un questionnaire, qui sert d'outil de recueil des données. Il est
administré auprès d'un échantillon représentatif d'une population.
Mode d’échantillonnage
Taille d’échantillon :
n = (z) ² p (1 – p) / d²
Avec un niveau de confiance selon la loi normale centrée réduite (pour un niveau de
confiance de 95%, on obtient z = 1.96.
Dans cette étude nous avons utilisés le recours par internet en utilisant Google Forms
et cela pour de multiples raisons :
L’élaboration du questionnaire :
Le questionnaire est le support par lequel on traduit les objectifs de l’enquête en
interrogations pour obtenir des interviewés susceptibles de répondre à la question initiale,
source de l’étude de marché. Différents types de questions permettent d’obtenir différents
types de réponses.
Notre questionnaire a combiné entre des questions fermées à choix unique avec Oui ou
Non, et autres à choix multiples, une question ouverte et une de type d’échelle linéaire.
Le questionnaire a été proposé à 300 personnes contre 219 réponses retournées, soit un
taux de réponse d'environ 73%.
Analyse des résultats
Conclusion
L’étude du profil de consommation pour chacun des types de boissons sucrées montre
des divergences selon quelques caractéristiques sociodémographiques. Les hommes sont plus
enclins à consommer des boissons sucrées, occasionnellement ou régulièrement, peu importe
le type. En ce qui concerne les boissons gazeuses, elles sont consommées par la moitié de la
population québécoise. La consommation régulière de ce type de boissons fait surtout des
adeptes chez les Québécois de 45 à 64 ans. Si ces derniers sont plus fidèles aux boissons
gazeuses, 28% d’entre eux en consomment de manière régulière, les plus jeunes consomment
davantage les autres types de boissons. En effet, les boissons à saveur de fruits, consommées
par près du quart de la population, sont nettement plus populaires auprès des jeunes de 15 à 17
ans (39% en consomment de manière régulière). Les boissons pour sportifs sont pour leur part
plus consommées par les 15-24 ans, alors que les boissons énergisantes le sont davantage dans
le groupe des 18-24 ans.L’analyse de la consommation cumulée de boissons sucrées offre,
quant à elle, un portrait plus raffiné de la consommation. Elle montre notamment que 62% de
la population consomme des boissons sucrées et que cette consommation est régulière pour
41% des Québécois. Les résultats de la consommation cumulée régulière varient également
selon les caractéristiques sociodémographiques, les habitudes de vie et l’état de santé. Les
différences sont toutefois moins marquées quant à la consommation cumulée occasionnelle. À
la lumière des résultats concernant la consommation cumulée, on constate que l’habitude de
consommer des boissons sucrées de manière régulière est davantage adoptée par les hommes.
Cette consommation est également plus répandue chez les jeunes âgés de 15 à 17 ans, et la
proportion décroît avec l’âge, passant de 63% à 32% chez les 65 ans et plus. La
consommation régulière est plus répandue chez les personnes moins scolarisées, celles vivant
dans un ménage à faible revenu et celles plus défavorisées selon l’indice de défavorisation
matérielle et sociale. D’autres facteurs liés aux habitudes de vie s’avèrent associés. En effet,
les fumeurs réguliers et les personnes sédentaires consomment davantage de boissons sucrées.
Les analyses selon le profil de consommation cumulée ont permis de dégager des associations
entre la consommation régulière de boissons sucrées et certaines caractéristiques liées à l’état
de santé. Il appert que les personnes percevant comme passables ou mauvaises tant leur santé
générale que buccodentaire sont proportionnellement plus nombreuses à consommer
régulièrement ces boissons. Il est à noter que les personnes de poids normal sont
proportionnellement moins nombreuses à en consommer sur une base régulière. Soulignons
que la mesure utilisée ne traduit pas en tout point la consommation réelle, d’une part, car elle
ne distingue pas les versions diètes ou originales consommées et, d’autre part, n’estime pas
les quantités ingérées. Il est alors probable, puisque cela a été relevé dans d’autres enquêtes,
que les personnes dont l’état de santé est moins favorable consomment régulièrement des
boissons dans leur version diète24.Dans le contexte où plusieurs organisa-tions du secteur de
la santé réfléchissent à des options pour encadrer la consommation des boissons sucrées au
Canada, un portrait plus détaillé des consommateurs peut éclairer certains enjeux liés au débat
actuel. En ce sens, l’élaboration d’un indicateur de consommation cumulée selon la fréquence
permet une meilleure connaissance du profil de consommation des boissons sucrées.Somme
toute, cette publication rend compte de divers facteurs liés à la fréquence de consommation
des bois-sons sucrées. Les observations qui en découlent montrent que l’ampleur de ce
comportement au sein de la population mérite d’être suivie dans les enquêtes.