Conference Egdf 25 Janvier 2019
Conference Egdf 25 Janvier 2019
Conference Egdf 25 Janvier 2019
➢ La CNV est un concept créé dans les années 60 par Marshall Rosenberg,
malentendus
sur la CNV
Les
la Girafe
Chacal à
➢ Une croyance
➢ Deux questions
La méthode
OSBD
du Tu accusateur au Je responsable :
Les
la Girafe
Chacal à
Si la personne s’exclame
Les
la Girafe
Chacal à
s e m a i n e q u e m a f i l l e r e n t r e d e l ’ é c o l e , m e d i t qu’un garçon de sa
Les
classe l’embête dans la cour au point d’avoir baissé sa jupe et sa culotte à plusieurs
reprises et que la maîtresse, à qui elle s’en est plainte, lui a demandé de ne pas en
Passer du
la Girafe
Chacal à
parler devant les autres enfants et de rester dans la classe pendant la récréation » ;
2. Ressenti : « Je me sens inquiète pour m a fille et en colère de
penser que rien n’a été fait s i ce n’est la réduire au silence et
La méthode
OSBD
la Girafe
Chacal à
La méthode
OSBD
D’où vient la
CNV?
2) Expression
3) Ecoute
4) Correction
Passer du
la Girafe
Chacal à
la Girafe
Chacal à
o CNV éviter les jugements / CNV passer des jugements aux besoins
La méthode
OSBD
o CNV les autres d’abord / CNV être d’abord girafe avec soi
Leur patrimoine immobilier se compose d’une part d’un bien acheté pendant le mariage, grâce à
un apport propre de l’épouse, à savoir un chalet à la montagne, non loué, d’autre part d’un
appartement acheté en défiscalisation (loi SCELLIER) et impossible à mettre à la vente avant un
délai de 4 ans restant à courir, afin d’éviter la restitution d’un crédit d’impôt auprès des services
fiscaux : loyers payés par le locataire : 600 euros par mois ; frais restant à charge : 800 euros par
mois, actuellement avancés par l’épouse.
Il voudrait obtenir le droit de gérer ce patrimoine immobilier commun pour prendre la main
sur leur sort, car son épouse, au prétexte qu’elle paye tout actuellement, le tient à l’écart de
toutes décisions à ce titre.
Concernant les frais relatifs aux enfants : ayant été Salarié ingénieur depuis plusieurs
années, actuellement au chômage de longue date et arrivé en fin de droits, il estime être
dans une totale impécuniosité et donc ne devoir aucun soutien financier ni à son épouse, ni
à ses enfants.
Il considère même que son épouse lui doit un devoir de secours actuellement, comme retour
de ce qu’il a toujours payé pour elle lorsqu’il gagnait davantage qu’elle.
Il considère, en outre, qu’étant rejeté par ses enfants, et écarté de son autorité parentale
conjointe, il ne se sent pas poussé à revoir son positionnement.
Concernant la question d’une prestation compensatoire souhaitée par son épouse, il estime
que la disparité dans les ressources étant ce jour en sa défaveur, la question est hors sujet.
SITUATION DE MADAME
Madame B est mariée depuis 20 ans, sous le régime de la communauté.
Elle est mère de deux enfants communs : Mathys et Théo, âgés de 16 ans et 9 ans.
Elle a découvert l’infidélité de son mari récemment et brutalement, par lecture de messages sur
son smartphone.
Au cours d’une discussion houleuse avec son époux à ce sujet, celui-ci l’informe qu’il a décidé
de changer de sexe et que les démarches, tant médicales que juridiques, sont d’ores et déjà en
cours ; c’est la raison pour laquelle il fait une dépression depuis de nombreux mois.
Elle est effondrée, les enfants sont extrêmement choqués, et elle voudrait une réparation à ce
titre.
Elle veut régulariser, dans les plus brefs délais, une requête en divorce. Elle accepte
d’envisager une recherche de solutions amiables, du moins sur les mesures urgentes à prendre
dans un premier temps, et veut bien envisager d’aborder les autres sujets plus globaux, si
celles-ci sont réglées.
Compte-tenu du fait que son époux ne travaille plus et se trouve en fin de droit de chômage et
accessible au RSA et qu’il est défaillant dans le paiement des dettes communes (loyer, emprunts
immobilier relatif à deux bien communs, crédits auto et à la consommation), comme dans la
contribution aux besoins des enfants, elle a été contrainte, en sus de son métier habituel
d’infirmière libérale, de donner des cours de tir à l’arc de manière fréquente pour compléter ses
revenus.
Elle ne comprend pas que son époux, jeune et en pleine santé, ne recherche pas activement de
travail et trouve normal de la laisser tout assumer actuellement.
A son traumatisme moral vient s’ajouter une insécurité financière pour faire face au quotidien
actuel.
Concernant les années de mariage antérieures, elle estime avoir été pénalisée dans sa carrière
lorsqu’elle a, sur projet de couple, réduit ses heures de travail à hauteur d’un mi temps pour
pouvoir s’occuper convenablement des enfants en bas âge, pendant 8 ans, selon un projet de
couple, et ce d’autant que son mari qui gagnait un salaire très confortable d’ingénieur, de 6000
euros par mois, aura des droits à la retraite bien supérieurs aux siens et voudrait obtenir une
indemnisation pour cela.