Grangeas 4075 Comptabilite Nationale 0

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 7

Université PANTHEON – ASSAS (PARIS II)

Droit – Economie – Sciences sociales


Assas
Session : Janvier 2018
Année d’étude : Deuxième année de Licence économie-gestion mention sciences
économiques
Discipline : Comptabilité nationale
(Unité d’Enseignements Complémentaires 1)
Titulaire du cours : Mme Geneviève Grangeas
Calculatrices permises : modèles de base (non programmables et sans mémoire alphanumérique)

REMARQUES
A lire avant de commencer
L’exercice fourni consiste à lire les propositions suivantes, à retenir celles qui sont justes et à cocher la case
correspondante dans la grille de réponses. Seule la grille de réponses sera examinée par le correcteur et
utilisée pour le calcul de la note. De plus, les réponses difficilement compréhensibles du fait de ratures
ne seront pas prises en compte.
L’étudiant remarquera que l’énoncé des questions n’obéit à aucun ordre particulier. Il lui est conseillé de
répondre le plus rapidement possible à celles qui lui paraissent simples. On notera que les propositions faites
dans le cadre d’une question donnée peuvent comporter plusieurs réponses justes.
On signale par ailleurs que le barème peut comporter des points négatifs.

QUESTIONS

1 - Ont travaillé sur la conception des premiers systèmes de comptabilité nationale

a François Quesnay c Richard Stone e Jan Tinbergen


b John Maynard Keynes d James Meade f François Perroux

2 - L'auteur de l'ouvrage intitulé La Dîme royale est

a William Petty d Sébastien Le Prestre de e Pierre Le Pesant de


b Gregory King Vauban Boisguillebert
c Charles Davenant f François Quesnay

3 - On peut légitimement associer la comptabilité nationale au nom de Keynes car

a il a participé à la conception du premier système de comptabilité nationale


b il a publié le Tableau économique
c il a publié la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie
d il a été le professeur de Stone et Meade et donc leur enseignant en matière de CN
e la CN est l'outil qui permet de définir et de vérifier les effets des politiques de régulation
conjoncturelle à caractère micro-économique
f la CN est l'outil qui permet de définir et de vérifier les effets des politiques de régulation
conjoncturelle à caractère macro-économique

1/7
4 - Les services non marchands ne sont pas pris en compte dans un système de comptabilité
nationale dont l'agrégat

a serait fondé sur l'analyse de Quesnay d est le produit matériel


b serait fondé sur l'analyse de Smith e est la production intérieure brute
c serait fondé sur l'analyse néo-classique f est le produit intérieur brut

5 - L'opération Revenus de la propriété (D4), opération de répartition, comporte plusieurs


subdivisions, dont

a intérêts c titres e revenus des terrains


b revenus des sociétés d numéraire f actions

6 - Dans les comptes des secteurs institutionnels et le TEE, on peut classer comme faisant partie
des comptes d'accumulation

a le compte de production d le compte d'utilisation du f le compte financier


b le compte d'exploitation revenu
c les comptes de revenu e le compte de capital

7 - La production pour emploi final propre se définit comme étant la production

a marchande des ménages d de biens et/ou services produit et conserve pour sa


b non marchande des qu'une unité institutionnelle consommation finale ou sa
ménages produit et conserve pour sa formation brute de capital
c de biens et/ou services formation brute de capital fixe
qu'une unité institutionnelle fixe f souterraine
produit et conserve pour sa e de biens et/ou services
consommation finale qu'une unité institutionnelle

8 - L'opération 'Dépense de consommation finale' n'a pas lieu d'être prise en compte dans les
comptes du/des secteur(s) institutionnel(s) suivant(s)

a sociétés non financières d administrations publiques f reste du monde


b sociétés financières e institutions sans but lucratif
c ménages au service des ménages

9 - La valeur du patrimoine national est une donnée

a de type flux c en volume e à prix courants


b de type stock d en valeur f à prix constants

10 - Le produit intérieur brut est une donnée

a de type flux c en volume e à prix courants


b de type stock d en valeur f à prix constants

11 - Les comptes du secteur institutionnel Administrations publiques S13 dont on peut disposer sur
le site de l'Insee permettent de lire le montant

a de la dette publique au sens de Maastricht e du déficit public et de son évolution


b de la dette publique et de son évolution f de la consommation finale financée par les
c du déficit de l'État prélèvements obligatoires et transferts
d du déficit public au sens de Maastricht sociaux

2/7
12 - Le calcul de la production des entreprises d'assurances a été modifié dans le SEC 2010 à
plusieurs niveaux mais plus particulièrement sur un point essentiel.

a On l'effectue à présent de la manière plus forte que la sinistralité de l'année était


suivante : primes collectées + revenus tirés forte
du placement des provisions techniques - d Le calcul antérieur présentait l'effet pervers
indemnités versées de faire apparaître une production d'autant
b On l'effectue à présent de la manière plus faible que la sinistralité de l'année était
suivante : primes collectées + revenus tirés forte
du placement des provisions techniques - e Il a été modifié à la faveur de l'intégration
indemnités attendues des entreprises d'assurance dans le secteur
c Le calcul antérieur présentait l'effet pervers institutionnel des sociétés financières
de faire apparaître une production d'autant f Il a été modifié à la faveur de l'intégration
des mutuelles dans le secteur institutionnel

13 - Le TEE est construit sur la base du principe du compte-écran, ce qui signifie que

a sa lecture permet de disposer de l'ensemble d il est construit à partir de la colonne et de la


de l'information concernant les flux bilatéraux ligne "total" des tableaux à double entrée
émanant des secteurs institutionnels que l'on peut (pourrait) construire pour
b sa lecture permet de disposer de de chacune des opérations de la nomenclature
l'information globale concernant les e il suppose une perte d'information par
opérations des secteurs institutionnels rapport aux tableaux à double entrée que
sachant qu'on ne dispose plus du détail des l'on peut (pourrait) construire pour chacune
flux bilatéraux des opérations de la nomenclature
c il compile et restitue la totalité de f il offre un surcroît d'information par rapport
l'information disponible sur les tableaux à aux tableaux à double entrée que l'on peut
double entrée que l'on peut (pourrait) (pourrait) construire pour chacune des
construire pour chacune des opérations de la opérations de la nomenclature
nomenclature

14 - La construction du TES prévoit de prendre en compte les marges et les impôts sur la production
nets des subventions dans le tableau des ressources en produits pour assurer

a l'équilibre emplois-ressources au niveau d l'équilibre emplois-ressources aux prix


global d'acquisition
b l'équilibre emplois-ressources au niveau de e les transferts de produits entre branches
chaque produit f l'excédent brut d'exploitation de chaque
c l'équilibre emplois-ressources aux prix de branche
base

15 - La construction du TES prévoit de passer de la production effective des branches à la


production distribuée des produits pour mettre en évidence

a l'équilibre emplois-ressources au niveau d l'équilibre emplois-ressources aux prix


global d'acquisition
b l'équilibre emplois-ressources au niveau de e les transferts de produits entre branches
chaque produit f l'excédent brut d'exploitation de chaque
c l'équilibre emplois-ressources aux prix de branche
base

16 - Dans le SEC 2010, sont considérés comme des investissements les opérations suivantes ou les
opérations portant sur les actifs suivants

3/7
a les machines e la consommation de capital fixe
b les logements f les acquisitions de biens durables des
c les consommations intermédiaires armées
d les ouvrages de génie civil

17 - Dans le SEC 2010, la notion d'investissement a été élargie à des actifs incorporels dont

a l'acquisition de logiciels d l'acquisition d’œuvres récréatives, littéraires


b les dépense des prospection minière et ou artistiques
pétrolière e les dépenses de R&D
c les dépenses de formation du personnel f les dépenses publicitaires

18 - Le revenu national brut donne lieu à deux calculs et deux publications par suite d'un désaccord

a idéologique entre les économistes et les d entre l'Insee et Pôle Emploi


statisticiens e entre l'Insee et Eurostat
b entre la France et l'Union européenne f entre Eurostat et l'Onu
c entre l'Insee et le gouvernement

19 - L'expression 'Revenu mixte brut' concerne les revenus

a des entreprises qui pratiquent la d familiaux quand ils comportent des éléments
diversification de type salaires et allocations
b du capital quand celui-ci est placé sous des e des entrepreneurs individuels quand ils
formes diverses bénéficient d'une aide à la création
c du travail dans le cas des salariés ayant d'entreprise
plusieurs employeurs f des entrepreneurs individuels parce que leur
revenu est issu du travail et du capital

20 - Les calculs permettant de retracer l'évolution du taux de marge des sociétés non financières,
celle du taux d'autofinancement et celle du taux d'investissement de ce même secteur
institutionnel des années cinquante à nos jours, conduisent à

a se dire qu'à un fort taux de marge ne d se dire qu'un fort taux d'autofinancement
correspond pas nécessairement un fort taux n'est pas obligatoirement un signe de
d'investissement dynamisme des entreprises
b se dire qu'à un faible taux de marge ne e n'établir aucun lien entre les trois variables
correspond pas nécessairement un fort taux f penser qu'il existe des liens entre ces
d'investissement variables mais que leur étude nécessite un
c distinguer deux sous-périodes distinctes sur outil plus complexe que la corrélation simple
les trois courbes

21 - Les calculs de propension moyenne et marginale à consommer que l'on peut effectuer à partir
des comptes annuels publiés par l'Insee des années cinquante à nos jours permettent
d'observer que

a la propension moyenne est assez stable d la propension marginale est totalement


b la propension marginale est assez stable instable
c la propension moyenne est totalement e les deux valeurs sont en général identiques
instable f les deux valeurs sont très différentes

22 - En 2015, pour obtenir 1 euro de produit, la branche 'Agriculture, sylviculture et pêche' a besoin
d'un montant de produits issus de la branche 'Industrie' valant, en centimes d'euro

a 5 b 7 c 9 d 30 e 33 f 46
4/7
23 - En 2015, pour obtenir 1 euro de produit, la branche 'Industrie' a besoin d'un montant de produits
issus de la branche 'Agriculture, sylviculture et pêche' valant, en centimes d'euro

a 5 b 7 c 9 d 30 e 33 f 46

24 - En 2015, pour obtenir 1 euro de produit, la branche 'Agriculture, sylviculture et pêche' a besoin
d'un montant de produits issus de la branche 'Services marchands' valant, en centimes d'euro

a 5 b 7 c 9 d 30 e 33 f 46

25 - En 2015, pour obtenir 1 euro de produit, la branche 'Services marchands' a besoin d'un montant
de produits valant, en centimes d'euro

a 5 b 7 c 9 d 30 e 33 f 46

26 - En 2015, la valeur nette du patrimoine des sociétés non financières s'élève à 2122 ; les fonds
propres de ce SI à 7464 ; sa valeur ajoutée brute cette même année à 1118,2 ; son excédent
brut d'exploitation à 357 ; sa formation brute de capital fixe à 256 ; son épargne brute à 216 ; le
tout en milliards d'euros. On peut déduire de ces données le taux d'autofinancement qui est

a 4,8% b 15,0% c 84,6% d 1,9 e 5,9 f 6,7

27 - En 2015, la valeur nette du patrimoine des sociétés non financières s'élève à 2122 ; les fonds
propres de ce SI à 7464 ; sa valeur ajoutée brute cette même année à 1118,2 ; son excédent
brut d'exploitation à 357 ; sa formation brute de capital fixe à 256 ; son épargne brute à 216 ; le
tout en milliards d'euros. On peut déduire de ces données une approximation du taux de profit
qui est

a 4,8% b 15,0% c 84,6% d 1,9 e 5,9 f 6,7

28 - En 2015, la valeur nette du patrimoine des sociétés non financières s'élève à 2122 ; les fonds
propres de ce SI à 7464 ; sa valeur ajoutée brute cette même année à 1118,2 ; son excédent
brut d'exploitation à 357 ; sa formation brute de capital fixe à 256 ; son épargne brute à 216 ; le
tout en milliards d'euros. On peut à partir de ces données estimer le coefficient de capital à

a 4,8% b 15,0% c 84,6% d 1,9 e 5,9 f 6,7

29 - En 2016,

a la formation nette de capital fixe a été de d l'investissement de remplacement représente


87,8 milliards d'euros la plus grande partie de l'investissement total
b la formation nette de capital fixe a été de e l'investissement net représente moins de
111,1 milliards d'euros 20% de l'investissement total
c le taux d'investissement net n'est même pas f l'investissement net représente plus de 20%
de 4% de l'investissement total

30 - En 2016, le produit intérieur brut a été de (en milliards d'euros)

a 489,4 b 512,7 c 1 827,3 d 1 862,8 e 2 228,9 f 2 264,3

31 - En 2016, le produit intérieur net a été de (en milliards d'euros)

a 489,4 b 512,7 c 1 827,3 d 1 862,8 e 2 228,9 f 2 264,3

5/7
32 - En 2016, le revenu national brut a été de (en milliards d'euros)

a 489,4 b 512,7 c 1 827,3 d 1 862,8 e 2 228,9 f 2 264,3

33 - En 2016, le produit national brut a été de (en milliards d'euros)

a 489,4 b 512,7 c 1 827,3 d 1 862,8 e 2 228,9 f 2 264,3

34 - En 2016, la formation brute de capital a été de (en milliards d'euros)

a 489,4 b 512,7 c 1 827,3 d 1 862,8 e 2 228,9 f 2 264,3

35 - En 2016, la propension moyenne à consommer des ménages a été de

a -3,4% b 22,1% c 33,3% d 84,7% e 86,1% f 93,8%

36 - En 2016, le taux d'autofinancement des sociétés non financières a été de

a -3,4% b 22,1% c 33,3% d 84,7% e 86,1% f 93,8%

37 - En 2016, le taux d'investissement des sociétés non financières a été de

a -3,4% b 22,1% c 33,3% d 84,7% e 86,1% f 93,8%

38 - En 2016, le taux de marge des sociétés non financières a été de

a -3,4% b 22,1% c 33,3% d 84,7% e 86,1% f 93,8%

39 - En 2016, le taux de couverture des échanges internationaux a été de

a -3,4% b 22,1% c 33,3% d 84,7% e 86,1% f 93,8%

40 - En 2016, le déficit budgétaire rapporté au PIB s'élève à

a -3,4% b 22,1% c 33,3% d 84,7% e 86,1% f 93,8%

-:-:-:-:-

Les coefficients techniques


TOTAL
GM
DC

R
A

A Agriculture, sylviculture et pêche 20% 5% 0% 0% 0% 0% 2%


DC Industrie 33% 50% 28% 9% 9% 13% 20%
F Construction 0% 0% 17% 1% 1% 1% 2%
GM Services marchands 7% 13% 15% 36% 12% 20% 24%
O Services non marchands 0% 0% 0% 0% 1% 0% 1%
R Autres activités de services 0% 0% 0% 0% 0% 5% 1%
TOTAL 61% 69% 60% 46% 23% 40% 49%
Calcul effectué à partir du TES 2015 simplifié (6 branches)

6/7
Tableau Economique d'Ensemble : comptes courants de l'année 2016 En milliards d'Euros

Emplois Ressources
S1 S11 S12 S13 S14 S15 S2 S2 S15 S14 S13 S12 S11 S1
Administra- Institutions Impôts - Reste Reste Impôts - Institutions Administra-
Économie Sociétés non Sociétés Biens et Biens et Sociétés Sociétés non Économie
tions Ménages sans but subventions du Total Total du subventions sans but Ménages tions
nationale financières financières sur produits
Services Services sur produits
financières financières nationale
publiques lucratif Monde Monde lucratif publiques
Compte de prod. et compte ext. de biens et services
652,2 652,2 P6 Exportations de biens et de services 652,2 652,2
695,6 695,6 P7 Importations de biens et de services 695,6 695,6
3 874,1 3 874,1 P1 Production 3 874,1 52,5 439,6 477,5 228,3 2 676,2 3 874,1
1 881,7 1 533,3 136,8 111,5 82,6 17,6 1 881,7 P2 Consommation intermédiaire 1 881,7 1 881,7
236,5 236,5 D21N Impôts moins subventions sur les produits 236,5 236,5 236,5
2 228,9 1 142,9 91,4 366,1 357,0 34,9 236,5 2 228,9 B1g/PIB Valeur ajoutée brute/PIB 2 228,9 236,5 34,9 357,0 366,1 91,4 1 142,9 2 228,9
43,4 43,4 B11 Solde ext. des échanges de biens et de services 43,4 43,4
Compte d'exploitation
1 159,7 749,8 53,3 283,6 41,6 31,3 20,5 1 180,2 D1 Rémunération des salariés 1 180,2 1,2 1 179,0 1 179,0
357,7 59,8 8,8 10,7 20,4 1,2 256,7 357,7 D2 Impôts sur la production et les importations 357,7 2,0 355,6 355,6
-65,9 -31,7 -1,2 -4,4 -6,7 -1,7 -20,2 -65,9 D3 Subventions -65,9 -8,4 -57,5 -57,5
655,4 365,0 30,5 76,2 179,8 4,0 655,4 B2g Excédent brut d'exploitation 655,4 4,0 179,8 76,2 30,5 365,0 655,4
121,9 121,9 121,9 B3g Revenu mixte brut 121,9 121,9 121,9
Compte d'affectation des revenus primaires
533,5 264,7 210,3 42,6 15,7 0,2 117,4 650,8 D4 Revenus de la propriété 650,8 107,5 1,0 119,7 15,3 218,4 188,8 543,3
2 264,3 289,2 38,6 347,1 1 584,8 4,7 2 264,3 B5g/RNB Solde des revenus primaires bruts/RNB 2 264,3 4,7 1 584,8 347,1 38,6 289,2 2 264,3
Compte de distribution secondaire du revenu
274,4 39,8 15,9 0,1 218,7 3,2 277,6 D5 Impôts courants sur le revenu et le patrimoine 277,6 277,6 277,6
471,2 471,2 0,4 471,7 D61 Cotisations sociales nettes 471,7 7,5 0,0 418,3 33,0 12,9 464,2
488,9 12,7 33,0 442,8 0,0 0,4 3,8 492,7 D62 Prestations sociales autres que transferts sociaux en nature 492,7 8,1 484,6 484,6
722,2 36,7 91,6 520,3 72,1 1,5 16,3 738,5 D7 Autres transferts courants 127,2 58,1 45,6 69,6 463,8 88,3 13,1 680,4
2 214,4 225,9 19,4 543,7 1 377,0 48,5 2 214,4 B6g Revenu disponible brut 2 214,4 48,5 1 377,0 543,7 19,4 225,9 2 214,4
Compte d'utilisation du revenu
1 759,6 526,7 1 186,1 46,8 1 759,6 P3 Dépense de consommation finale 1 759,6 1 759,6
1 576,5 343,6 1 186,1 46,8 1 576,5 P31 Dépense de consommation individuelle 1 576,5 1 576,5
183,1 183,1 183,1 P32 Dépense de consommation collective 183,1 183,1
Ou : avec prise en compte des revenus en nature
390,4 343,6 46,8 390,4 D63 Transferts sociaux en nature 390,4 390,4 390,4
2 214,4 225,9 19,4 200,1 1 767,4 1,7 2 214,4 B7g Revenu disponible ajusté brut 2 214,4 1,7 1 767,4 200,1 19,4 225,9 2 214,4

1 759,6 183,1 1 576,5 1 759,6 P4 Consommation finale effective 1 759,6 1 759,6


454,8 225,9 19,4 17,0 190,9 1,7 454,8 B8g Epargne brute

57,8 57,8 B12 Solde des opérations courantes avec l'extérieur

Variations d'actifs Variations de passifs


S1 S11 S12 S13 S14 S15 S2 S2 S15 S14 S13 S12 S11 S1
Administra- Institutions Impôts - Reste Reste Impôts - Institutions Administra-
Économie Sociétés non Sociétés Biens et Biens et Sociétés Sociétés non Économie
tions Ménages sans but subventions du Total Total du subventions sans but Ménages tions
nationale financières financières sur produits
Services Services sur produits
financières financières nationale
publiques lucratif Monde Monde lucratif publiques
Compte de capital
B12 Solde des opérations courantes avec l'extérieur 57,8 57,8
B8g Epargne brute 454,8 1,7 190,9 17,0 19,4 225,9 454,8
D9 Transferts en capital à recevoir et à payer -1,7 2,2 -8,3 -14,7 2,8 19,8 1,7
489,4 266,8 20,2 76,1 121,6 4,7 489,4 P51g Formation brute de capital fixe 489,4 489,4
-401,6 -228,1 -15,5 -75,0 -79,1 -4,0 -401,6 P51c Consommation de capital fixe -401,6 -401,6
23,3 23,2 0,2 23,3 P52 Variation des stocks 23,3 23,3
0,0 0,0 0,0 P53 Acquisitions moins cessions d'objets de valeur 0,0 0,0
0,6 0,2 1,9 -2,7 NP Acquisitions moins cessions d'actifs non produits

-56,1 -44,9 1,8 -75,9 63,7 -0,9 56,1 0,0 B9NF Capacité (+) ou besoin (-) de financement
Source : Comptes nationaux - Base 2010, Insee
Date d'impression : 13/12/17

7/7

Vous aimerez peut-être aussi