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Chapitre1 

Section2 : Le développement durable

“Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par la gorge”
WINSTON CHURCHILL

2.1 : mise en contexte du concept et définitions

Après la Seconde Guerre mondiale, le monde a connu une croissance économique


extrêmement rapide. Cette recherche de bien-être n’a pas été sans conséquence sur les
sociétés et l’environnement. Cette croissance a ainsi un impact sur les ressources naturelles,
la santé, la qualité de la vie avec les différentes formes de pollution.

Mais en 19721, un nouveau concept a vu le jour : le développement durable (DD).


Certaines dirigeants politiques et personnalité scientifiques à observer des
dysfonctionnements (diminution des ressources en énergies fossiles, changements
climatiques, diminution de la biodiversité, inégalités sociales, l’explosion de la
consommation, accroissement géographique…) avaient attiré l'attention sur la nécessité de la
prise de conscience générale du fait qu’il faut changer de système de production et de
consommation, préserver les ressources naturelles menacées partout dans le monde, la
croissance doit se faire dans le respect de la nature et des normes et d'intégrer l’équité sociale
et prudence écologique dans les modèles de développement économique. Le concept de
développement durable à fait l’objet d’une élaboration progressive, au travers de la
production de textes internationaux, depuis la conférence de Stockholm qui expose
notamment l'éco développement, les interactions entre écologie et économie, le
développement des pays du Sud et du Nord. Elle est qualifiée comme le premier sommet de
la terre. Il est admis que l’expression « SUSTAINABLE DEVELOPMENT », dans le sens
qui lui est donné aujourd’hui, a été utilisé pour la première fois en 19802, par les Nations
Unies, dans un rapport de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)
intitulé Stratégie mondiale de la conservation. Mais ce n’est qu’en 1987 que ce concept était
défini de manière officielle dans le rapport « notre avenir à tous » et connu sous le nom

1
La première conférence des Nations Unies sur l’Homme et son milieu (5 au 16 juin), encore appelée
conférence des nations Unies pour l’Environnement Humain a lieu en 1972 à Stockholm
2
Fruit d’une collaboration entre l’UICN et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), ce rapport
montre que le développement doit améliorer la qualité de vie des humains tout en conservant la vitalité des ressources
naturelles.
de Rapport Brundtland du premier ministre Norvégienne Gro Harlem Brundtland, il se définit
comme « un développement qui répond aux besoins des générations présentes sans
compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».
En juin 19923, sommet de la planète terre à Rio de Janeiro, au Brésil, 179 pays reconnaissent
officiellement la nécessité des changements en approuvant les 27 principes annonces dans la
déclaration de Rio 4sur l’environnement, ainsi que l’agenda 215,ou action 21. Cette agenda 21
est un ensemble de propositions non contraignante ça veut dire comment va mettre à l’agenda
au 21ème siècle cette question de développement durable, et qui fixe les lignes de progrès que
l’humanité devrait adopter pour maintenir son développement social, économique et
environnemental.

En 19976, un accord international qui a fixés des objectifs de réduction des émissions de gaz à
effet de serre (le dioxyde de carbone, l’oxyde nitreux, le méthane…) d’au moins 5% à
échéance 2008-2012, pour les pays industrialisés.

Des grands politiques ont été lancé, un sort d’enthousiasme au moment de Rio,10 ans plus
tard en 2002, le sommet mondial sur le développement durable de Johannesburg, ou bien
Rio+10 en Afrique du sud, Ce sommet constituait une occasion pour le monde de faire le
bilan et le point sur la progression d’action 21, ou bien agenda 21 ainsi que mettre en place
un partenariat plus appuyé entre le Nord et le Sud.

4ème grand conférence7, Rio+20 (en 2012), c’est 20 ans après Rio 1992 ou bien
Stokholm+40, est la continuité du Sommet de Rio 1992, sommet un peu particulier, très court
finalement il été duré quelques jours avec assez peu des débats. Rio +20 aborde deux thèmes,
l’économie verte et le cadre institutionnel du développement durable, mais c'est
principalement la question de l'économie verte.

D’autres conférences et sommets internationaux8 marquent les grandes étapes de la


construction du concept de développement durable.

3
Conférence des Nations Unies pour l’environnement et le Développement (CNUED)
4
http://stockage.univ-valenciennes.fr/MenetACVBAT20120704/acvbat/chap01/co/ch01_090_1-4-5-1.html
5
http://stockage.univ-valenciennes.fr/MenetACVBAT20120704/acvbat/chap01/co/ch01_100_1-4-5-2.html
6
Le Protocole de Kyoto
7
La Conférence Des Nations Unies sur le Développement Durable
8
Quatrième Conférence mondiale sur les femmes, Beijing, 1995 ; Deuxième Conférence sur les établissements
humains (Habitat II ou Sommet des villes), Istanbul, 1996 ; Sommet mondial de l’alimentation, Rome, 1996 ;
Sommet du millénaire, New York, 2000 ; Conférence sur le financement du développement, Monterrey, 2002.
Figure : les grandes dates du développement durable.

Source : brodhag.org

Le développement durable est un moteur pour les actions d’investissement sur les plans
social économique, et environnemental. Et si des progrès considérables ont été atteints en
matière de développement humain, d’immenses défis se posent encore. Beaucoup de
personnes souffrent de la pauvreté, privées de leur dignité. Les inégalités persistent en termes
de richesse et de capacité d’action. Les crises sanitaires, épuisement des ressources naturelles,
diminution d’eau et de la biodiversité, changements climatiques, recrudescence des conflits
armés sont autant de menaces, qui se déclinent en défis à relever par le monde contemporain.
Le développement durable est une démarche à long terme. Il conserve toute son actualité
malgré les efforts déployé au niveau international et national.  Lors de la réunion de Rio+20
en 2012, elle a également été réaffirmée comme une nécessité, et a bénéficié en 2015 d'un
cadre stratégique universel, le Programme de développement durable à l’horizon 2030, a fixé
une série d’objectifs de développement durable (ODD) intitulé Agenda 319, porte une vision

9
https://www.agenda-2030.fr/agenda-2030/presentation/article/presentation-origines-et-principes
de transformation de notre monde. Mais la mise en œuvre du développement durable
implique une mobilisation de tous les acteurs et des actions pérennes à large spectre.

Le développement durable est « un type de développement qui prévoit des améliorations


réelles de la qualité de la vie des hommes et en même temps conserve la vitalité et la diversité
de la Terre. Le but est un développement qui soit durable. À ce jour, cette notion paraît
utopique, et pourtant elle est réalisable. De plus en plus nombreux sont ceux qui sont
convaincus que c’est notre seule option rationnelle » (UICN et PNUE 1980). « Une démarche
visant l’amélioration continue de la qualité de vie des citoyens par la prise en compte du
caractère indissociable des dimensions environnementale, sociale, économique et culturelle
du développement durable dans une perspective d’équité intra- et intergénérationnelle » (OIF,
2002).10

Comme toute construction sociale, la réflexion du développement durable a émergé dans ce


contexte historique particulier. Si ce concept continue d'accroitre son influence, c'est parce
qu'il met en évidence l'énorme interdépendance entre la nature et les organisations humaines
qui en dépendent. Il est question ici d’écologie et d’économie, mais aussi de bien-être social,
de commerce équitable et de finance solidaire (sylvain allemand 2010)

2.2 : les piliers et Les enjeux du développement durable

Le développement durable est une conception d’intérêt public vise à prendre en compte les
aspects économiques, environnementaux et sociaux qui seraient liés à une globalisation des
10
Organisation Internationale de la Francophonie, crée en 1970, regroupe 88 Etats ou Gouvernements
intérêts à long terme. La question des représentations du développement durable joue un rôle
important si on comprendre la chronologie et comment le concept a évolué au cours du
temps. le rapport Brundtland qui va jouer un rôle très important avec cette fameuse définition
« un développement qui répond aux besoins des générations présentes sans compromettre la
capacité des générations futures à répondre aux leurs » (1987). L’objectif est donc de
répondre de façon responsable aux besoins des générations présentes. Cela passe par
la protection de l’environnement, qui est la première des objectif espérées par les fondateurs
du développement durable, il est donc indispensable de créer les conditions sociales et
économiques favorables à sa préservation. C’est la raison pour laquelle le développement
durable ne s’articule pas exclusivement sur des enjeux écologiques, mais prends aussi en
compte les trois piliers fondamentaux, le social et l’économique qui compléter l’écologique.

Les trois piliers du développement durable sont l’économique, le social et


l’environnemental. Ils sont souvent représentés par trois cercles qui s’entrecroisent
(ERNULT et ASHTA, 2007). Pour comprendre comment propager l'idée du développement
durable et n'oubliez pas qu’on pense le social pensée l'économique pensée l'environnement,
est relativement nouveau on connaît l'environnement, on connaît les catastrophes naturelles,
on connaît les conséquences de la croissance sur l'environnement, mais penser un modèle ou
un concept qui intègre une vision un peu différente ça paraît difficile. John Elkington 11va
jouer un rôle très important puisqu'il va réfléchir effectivement sur la manière la plus
pédagogique, le médiatiser ce concept et à travers le rapport effectivement Brundtland va être
conçu ces trois sphères idéal bien sphérique pour appeler vers quoi on se dirige avec
l'économique, le social et l'environnement, il faut mettre au centre le développement durable
sachant que l'idéal est bien sûr d'atteindre, mais qu'on peut passer par des phase transitoire et
que l'économique et le social peuvent correspondre à un modèle de transition, l'exemple
typique ça peut être du commerce équitable économiquement, on va chercher à être
responsables, et quand achètent un produit on va regarder l'origine du produit et si le premier
devrait bien rémunérés donc le commerce équitable peut renvoyer une dimension socio-
économique et puis on peut avoir également dans la transition une relation entre
l'environnement et l'économie, là on cherche le vivable quelle peut être la charge que la
supporter une planète si on estime que cette charge sont nos besoins qu'on cherche
effectivement assouvir, ces trois sphères vont jouer un rôle très important et on peut

11
Cofondateur du premier cabinet de conseil en stratégie de développement durable « britannique
SustainAbility » en 1994.
considérer que ce sont ces trois sphères qui vont populariser, idéalisée cette notion de
développement durable.

Le développement durable est un concept qui prend en compte les conséquences de la


détérioration de l’environnement notamment des problèmes liés au réchauffement
climatiques et à la pollution, la durabilité est l’interaction du trois piliers, que l’on peut tous
contribuer à préserver nos ressources pour les générations futures. La protection de
l’environnement est l’un des objectifs finaux espérées par les partisans du développement
durable. Les ressources utilisées pour alimenter les activités de production (associations,
collectivités publiques, entreprises…) et favorise la croissance est la question principale qui
se pose. Les objectifs à atteindre dans cette optique sont multiple, réduction des émissions de
gaz à effet de serre, Le recyclage des déchet, réduction du gaspillage des matières non
réutilisables et L’adaptation du modèle agricole c’est-à-dire mettre en priorité la manière de
nourrir l’humanité ainsi que la question de la surconsommation en eau. Le développement
durable implique de créer un processus économique qui incite la protection de
l’environnement tout en limitant les externalités négatives et les conséquences négatives de la
production sur l’environnement par l’utilisation des matières premières recyclées et
renouvelables (économie circulaire) et notamment une répartition plus égalitaire des
richesses,  sans exclus la dimension de bien-être qui doit être prise en considération avant la
recherche de la performance économique et la création de richesses à tout prix, cela passe
aussi par la lutte contre l’exclusions sociale. L’entreprise en tant qu’acteur fondamental de
création de richesse et en tant qu’entité sociale en interaction avec son environnement, n’est
plus en marge de l’importance du développement durable. Pour assurer sa durabilité, elle est
tenue, d’une part, de prendre en charge les intérêts et exigences de ses parties prenantes
(Freeman, 1984) et d’autre part, contrecarrer leurs pressions (la pression dépend du niveau de
développement du pays, du secteur d’activité et de la taille de l’entreprise) afin de laisser aux
générations futures, la possibilité de créer elles aussi de la richesse (grâce à la sauvegarde des
ressources naturelles et humaines). Ce qui constitue certainement une rupture avec la
conception classique de l’entreprise comme outil de maximisation de profit pour ses
actionnaires uniquement (Friedman, 1970).
L'objectif du développement durable est de définir des schémas viables qui concilient les
trois aspects écologique, social et économique des activités humaines (trois piliers) à prendre
en compte par les collectivités comme par les entreprises et les individus. La finalité du
développement durable est de trouver un équilibre cohérent et viable à long terme entre ces
trois volets.

Figure : les trois piliers du développement durable


Chapitre 2

Section1 : le tourisme durable

1.1 : Mise en contexte et définition du tourisme durable

Dès l’origine, le tourisme a constitué un secteur d’activité tourné vers l’international. Il


parait clair que le tourisme est aujourd’hui en pleine mutation. En effet, les dégâts que pose le
tourisme de masse sont de plus en plus décriés. Comme le dit Ban KIMOON, Ancien
Secrétaire général des Nations unies (ONU), nous devons changer nos modes de vie et
repenser notre façon de voyager. Autrement dit, Ban KI-MOON fait ici référence au tourisme
durable soucieux de préserver l’environnement.

Aujourd’hui, l’activité touristique figure parmi les activités de services les plus importantes
dans le monde. L’Organisation mondiale du tourisme 12(OMT) et le World Travel and
Tourism Council 13(WTTC) fournissent annuellement des chiffres impressionnants sur son
poids dans l’économie mondiale : pour l’année 2019, 1,5 milliard d’arrivées de touristes
internationaux à l’échelle mondiale, en hausse de 4 % par rapport à l’année précédente, c’est
aussi le taux attendu pour 2020, 1 700 milliards de dollars d’exportation générés en 2019, un
secteur qui représente 10% du PIB mondial et dont dépend 1 emploi sur 10. Cette croissance
confirme le rôle moteur du tourisme et sa résilience en tant que secteur économique. Le
tourisme mondial se porte bien. En avance de deux ans sur ses prédictions en matière de flux
touristiques, le secteur compte ne pas en rester là. « Les tendances sont croissantes, de 3 à 4%
par an jusqu’en 2030 » précise Eudes Girard, co-auteur du livre Du voyage rêvé au tourisme
de masse (Editions, 2018).

Le tourisme est une activité de service à multiples facettes qui utilise de nombreuses autres
branches de la chaîne de production (les transports, construction, eau et énergie, commerce
locale, agricole, traitement Déchets…). Par cette transversalité, il est donc sensible aux
évolutions des modes de production de ces activités, mais il peut aussi être prescripteur de

12
Institution des Nations Unies chargée de la promotion d’un tourisme responsable, durable et accessible à
tous
13
Forum pour l'industrie du voyage et du tourisme. Il est composé de membres de la communauté mondiale
des affaires et travaille avec les gouvernements pour sensibiliser à l'industrie du voyage et du tourisme
nouveaux processus de fabrication de biens et services. Le développement du tourisme porte
un aspect négatif et un aspect positif selon la politique suivie par les pays récepteurs.

Les conséquences négatives du tourisme se traduit par l’utilisation démesurer des ressources,
la destruction de richesses et de patrimoine culturel ou paysages naturels, biodiversité en péril
(Selon le Programme des Nations Unies pour l’Environnement, sur les 109 pays qui
possèdent des récifs coralliens, 90 d’entre eux voient leurs coraux endommagés par les
déchets jetés par les touristes), pollutions et effet de serre (l’air, de l’eau, déchets, résidus
chimiques…). En effet, le secteur touristique est fortement émetteur de gaz à effet de serre
liés aux déplacements (60% du trafic aérien), et un bateau de croisière produit 7000 tonnes de
déchets par an. De plus, il génère une augmentation du cout de la vie dans les sites
touristiques et auprès des communautés rurales et indigènes. « Le tourisme est l’industrie qui
consiste à transporter des gens qui seraient mieux chez eux dans des endroits qui seraient
mieux sans eux. ». (Mistler, académicien, critique et homme politique français).

A l’inverse, le tourisme peut avoir des répercussions positives lorsque contribuer à la


protection des espaces naturels et des sites historiques, ainsi qu’à la valorisation des richesses
patrimoniales et culturelles locales, et également lorsqu’il favorise la rencontre et l'ouverture
d'esprit entre les pays émetteurs et récepteurs. Ainsi, le tourisme, par ses retombées
économiques, peut participer efficacement à la lutte contre la pauvreté et contribuer à la
création d’emplois pour les populations locales. De plus, le tourisme contribuer à
l’augmentation du niveau de vie des populations concernées et pousser à la réalisation
d’infrastructures pouvant bénéficier aux populations autochtones (stations d’épuration,
routes, aéroports, réseaux de distribution d’eau et d’énergie…).

Le secteur du tourisme, de par son importance dans l’économie mondiale est un facteur vital
dans le processus de préservation de notre planète et de ses habitants. De ce fait, une nouvelle
forme de tourisme émerge, le tourisme durable, qui vise à minimiser les impacts négatifs du
tourisme et maximiser les effets positifs. Ce tourisme durable, couramment et
malencontreusement appelé écotourisme aujourd’hui, le garant de la préservation de
l’environnement pris dans le sens large du terme. La notion de tourisme durable a vu le jour
en 1992 à la conférence internationale de Rio de Janeiro au Brésil (Van de Walle, 2011). Lors
de cette conférence il a été clairement demandé de trouver un équilibre entre les activités
touristiques, les écosystèmes et les hommes. L’objectif fixé à cette époque était la réduction
des impacts sur l’environnement, ainsi que le respect et le développement économique et
culturel des pays récepteurs. Ça veut dire appuie sur les trois piliers du développement
durable. Selon L’organisation mondiale du tourisme le tourisme durable : « Un tourisme qui
tient pleinement compte de ses impacts économiques, sociaux et environnementaux actuels et
futurs, en répondant aux besoins des visiteurs, des professionnels, de l'environnement et des
communautés d'accueil ».

Le critère « Durabilité » semble être de plus en plus un facteur déterminant dans le choix
des touristes. Aujourd’hui, consommer, voyager, se nourrir de façon durable est un véritable
engagement envers les générations futures, Les touristes sont également plus engagés (les
valeurs éthiques, humanitaires, environnementales sont plus présentes dans le processus
d'achat) (Maunier, 2007), Il n’y a rien donc d’étonnant à ce que l’offre touristique suive le
chemin tracé et que les aspects durables décuplent dans la demande. La durabilité a augmenté
pour devenir un important aspect du développement touristique en général (Herr et Larson,
2007).

Les principes directeurs du développement durable et les pratiques de gestion durable du


tourisme sont applicables à toutes les formes de tourisme dans tous les types de destination, y
compris au tourisme de masse et aux divers créneaux touristiques. Les principes de durabilité
concernent les aspects environnementaux, économiques et socioculturels du développement
du tourisme. Pour garantir sur le long terme la durabilité de ce dernier, il faut parvenir au bon
équilibre entre ces trois aspects (Comité de développement durable du tourisme de
l’OMT,2004).

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