Gherdaine Moustefa El Amine Examen de Ec901
Gherdaine Moustefa El Amine Examen de Ec901
Gherdaine Moustefa El Amine Examen de Ec901
MEMOIRE
En : Electrotechnique
Spécialité : Commandes électriques
Le thème :
1
Remerciement
Avant tout, Je remercie notre Dieu le tout puissant de
m’avoir donné le courage, la volonté, la patience et la santé durant toutes ces
années d’étude.
2
Dédicace
Je dédie mon travail à mes chers parents, pour tous leurs sacrifices,
leur amour, leur tendresse, leur soutien et prières tout au long de mes
études,
A mes frères pour leurs encouragements permanents, et leur soutien
moral,
A toute ma famille et mes amies pour leur soutien tout au long de mon
parcours universitaire,
3
Table de matière
Introduction générale
CHAPITRE I: .......................................................................................................................10
CHAPITRE II : ....................................................................................................................14
A. Le stator : ...................................................................................................................17
B. Le rotor : ....................................................................................................................18
D. Pourquoi les amortisseurs ne sont-ils utilisés que dans les machines à rotor bobiné à
pôles saillants :..................................................................................................................21
Modélisation des moteurs synchrones avec amortisseurs & Ses applications .......................23
I. La Modélisation : ...........................................................................................................24
Conclusion générale
4
Table des figures
amortisseurs. .................................................................................................... 25
5
Table des symboles
Vs : Tension du stator
𝑉𝑟 : Tension du rotor
Is : Le courant statorique
6
𝑅𝑠 : Résistance du stator
𝑀𝑓 : Induction Mutuelle
𝐿𝑓 : Inductance propre
ωm : La pulsation mécanique
𝐽 : Moment d’inertie
Ω : La pulsation propre
7
Introduction générale
8
Introduction générale
Pendant plusieurs années, l’industrie a utilisé le moteur à courant continu (MCC) offrant le
principal avantage d’être facilement commandable grâce au découplage naturel du flux et du
couple. Cependant la présence du système balais collecteur a toujours été un grand
inconvénient du moteur parmi d’autres qui limitant de plus en plus son utilisation [5].
L'énergie électrique est utilisée depuis longtemps pour produire de l'énergie mécanique grâce
à des convertisseurs électromécaniques réversibles, qui sont les machines électriques. Au fil
du temps, cette tendance est accentuée à la fois dans le domaine industriel, tertiaire et
domestique. Actuellement, elle constitue la majeure partie de l'énergie consommée dans
l'industrie pour fournir la force motrice. Grâce aux progrès de l’électronique de puissance, les
moteurs synchrone qui sont essentiellement utilisés dans l'industrie lourde avec des
puissances comprises entre 150 kW et 15 MW et des vitesses synchrones comprises entre 180
tr/min et 450 tr/mi, tout comme nous citerons aussi les générateurs synchrones des centrales
électriques, les aérogénérateurs des éoliennes, …
Par ailleurs, la commande vectorielle permet d'avoir une dynamique proche de celle de la
machine à courant continu, autrement dit, une dynamique asymptotiquement linéaire et
découplée. Cependant, cette structure de commande nécessite que les paramètres de la
machine soient précis. Ceci exige une bonne identification des paramètres. En conséquence, le
recours à des algorithmes de commande robuste, pour maintenir un niveau de découplage et
de performance acceptable, est nécessaire [15].
Dans ce mémoire, notre travail s'articule principalement autour de trois chapitres. Le premier
chapitre concernera état de l’art sur les machines électriques synchrone en mettant l’accent
sur la machine synchrone à circuit amortisseur et l’histoire de la machine synchrone. Dans le
deuxième chapitre Description et principe de fonctionnement. Dans le troisième chapitre en
premier lieu nous allons étudier la Modélisation de moteur choisis et ses Applications.
Finalement, une conclusion générale de ce mémoire.
9
CHAPITRE I:
10
CHAPITRE I
Le terme de machine synchrone regroupe toutes les machines dont la vitesse de rotation de
l’arbre de sortie est égale à la vitesse de rotation du champ tournant. Pour obtenir un tel
fonctionnement, le champ magnétique rotorique est généré soit par des aimants, soit par un
circuit d’excitation. La position du champ magnétique rotorique est alors fixe par rapport au
rotor, ce qui impose en fonctionnement normal une vitesse de rotation identique entre le rotor
et le champ tournant statorique. Cette famille de machine regroupe en fait plusieurs sous
familles, qui vont de l’alternateur de plusieurs centaines de mégawatts au moteur de quelques
watts, en passant par les moteurs pas à pas. Néanmoins, la structure de toutes ces machines est
relativement proche. Le stator est généralement constitué de trois enroulements triphasés
répartis, tel que les forces électromotrices générées par la rotation du champ rotorique soient
sinusoïdales où trapézoïdales [8].
Les stators, notamment en forte puissance, sont identiques à ceux d’une machine asynchrone.
Il existe trois grandes familles de rotor ; ayant pour rôle de générer le champ d’induction
rotorique : les rotors bobinés à pôles lisses ;les rotors bobinés à pôles saillants ;les rotors à
aimants. Dans ce mémoire, nous allons simplement parler sur les machines synchrones à
circuit d’amortisseurs (les machines synchrones à rotors bobinés à pôles saillants).
11
CHAPITRE I
relativement abondantes, en effet la tradition des moulins à eau était bien ancrée, et les
machines à vapeur à bois, puis au charbon. Vers 1870, la machine de Gramme (Figure I.2)
était la machine à courant continu par excellence [4], surtout après la découverte de sa
réversibilité, elle pouvait ainsi fonctionner en moteur ou en générateur en passant d’un mode à
l’autre de façon absolument continue[3].
12
CHAPITRE I
13
CHAPITRE II :
14
CHAPITRE II
15
CHAPITRE II
16
CHAPITRE II
A. Le stator :
C’est la partie fixe de la machine, identique à celui d’une machine asynchrone triphasée , il
supporte les enroulements statorique, appelés enroulements induit dans le cas du
fonctionnement en générateur, car ils sont siège de courants alternatifs. Les conducteurs sont
placés dans des encoches autour de la carcasse de la machine et sont groupés en bobine. Dans
une machine triphasée, le stator comporte trois enroulements monophasés identiques décalés
d’un angle de 120˚et il possédant p paires de pôles magnétique par phase. Il peut être bipolaire
p = 1 ou multipolaire p > 1 [16].
17
CHAPITRE II
𝟑 𝒎𝒂𝒙
𝑩𝒓 (𝒕) = 𝑩 . 𝒄𝒐𝒔(𝑷. 𝜽 − 𝑷. 𝜽)
𝟐 𝒓
𝑑𝜃
Il s’agit d’un champ tournant, sa vitesse de rotation est Ω = 𝑑𝑡 . Il peut être produit par des
aimants permanents, alors l’amplitude du champ est constante. Il peut également être produit
18
CHAPITRE II
par un bobinage alimenté en courant continu J et dans ce cas l’amplitude du champ est
réglable à travers J. Dans le cas linéaire on pourra écrire 𝐵𝑟𝑚𝑎𝑥 = 𝑘 𝑟 . 𝐽
Ainsi, en considérant les conducteurs de l’induit, devant lequel se déplacent les pôles Nord et
les pôles Sud du rotor, chaque fois qu’une paire de pôle se déplace devant un conducteur la
tension évolue de manière alternative et sinusoïdale.
La fréquence des courants est donc liée à la vitesse de rotation par la relation [4] :
𝑓 = 𝑝. 𝑛𝑠
f (Hz) étant la fréquence des tensions induites, p le nombre de paire de pôle du système
inducteur et ns (tr=s) la vitesse du champ tournant, encore appelée vitesse de synchronisme.
De même, lorsque les conducteurs du stator sont parcourus par des courants triphasés :
Ils produisent, selon le théorème de Ferraris, un champ magnétique tournant de même nature
que celui produit par l’enroulement rotorique. Sa vitesse de rotation (!=p) est également liée à
la pulsation des courants [6] [11] :
3
𝐵𝑠 (𝑡) = . 𝜆. 𝐼. √2 cos(𝑝. 𝜃. 𝜉 − 𝜔𝑡 + 𝛼 )
2
𝜔
Ω=
𝑝
19
CHAPITRE II
Afin de s'en parer des contacts glissants (bague balais) comme pour les machines à
courant continu, les machines synchrones à rotor bobiné font appel, le plus souvent, à une
excitatrice (ou alternateur d'excitation) associée à un redresseur tournant, pour éliminer tout
contact glissant. Cet alternateur auxiliaire dont l'induit est accouplé à l'arbre de la machine
débite dans l'inducteur, par l'intermédiaire du pont redresseur à diodes tournant aussi avec,
L’arbre de la machine [13].
20
CHAPITRE II
sa simplicité de réalisation, par contre, pour des raisons mécaniques, elle ne prête
généralement qu’à des applications où la vitesse ne dépasse pas 1000 tr/min [17].
La principale difficulté pour l’étude de ces machines est liée à l’anisotropie géométrique
(entrefer variable), et donc magnétique du rotor, qui entraîne une dépendance à la position de
la plupart des inductances et des différentes inductances mutuelles du rotor par rapport au
stator. La réaction d’induit varie alors en fonction de l’état de charge de la machine.
D. Pourquoi les amortisseurs ne sont-ils utilisés que dans les machines à rotor
bobiné à pôles saillants :
Le rotor des moteurs à aimants ne comporte pas d’amortisseurs. Ceux-ci ne sont pas
nécessaires pour la stabilité du fonctionnement ou le démarrage en moteur asynchrone car la
machine est systématiquement associée à une alimentation électronique .de plus, leur
présence serait néfaste au comportement dynamique du système.
Le rotor bobiné à pôles lisses ne dispose pas en général d’une disposition spéciale
d’amortisseurs puisque la pièce de forge en acier crée des circuits à la surface pour les
courants de Foucault dont l’effet est équivalent à celui des courants amortisseurs. C’est donc
la partie massive du rotor qui joue le rôle d’un amortisseur .
21
CHAPITRE II
pas reliés de pôle à pôle (amortisseur à grille) (Figure I.11). Ces anneaux sont continus ou
peuvent ne pas être reliés de pôle à pôle [16].
L’amortisseur est un organe qui n’a pas d’utilité en régime normal d’une machine synchrone.
Il n’intervient qu’au cours de certains fonctionnements normaux, tels que les changements de
charge (ceux-ci provoquant des oscillations autour du synchronisme) et anormaux, tels que la
marche asynchrone temporaire après rupture de synchronisme, le fonctionnement permanent
sur charge non équilibrée sur les trois phases, les courts-circuits biphasés ou le ré-
enclenchement monophasé après défaut. Pendant ces fonctionnements, l’amortisseur permet
la circulation des courants induits au rotor par les champs magnétiques non synchrones,
permettant ainsi de mieux supporter ces régimes anormaux [8] [1].
22
CHAPITRE III :
23
CHAPITRE III
I. La Modélisation :
La modélisation est une étape importante dans l’analyse et la conception des systèmes. Elle
aboutit souvent à un modèle mathématique qui contient plusieurs paramètres inconnus. Des
essais expérimentaux sont nécessaires pour identifier ces paramètres.
24
CHAPITRE III
𝑑[𝜓𝑆 ]
[𝑉𝑆 ] = [𝑅𝑆 ][𝐼𝑆 ] + ; (III.1)
𝑑𝑡
𝑑[𝜓𝑟 ]
[𝑉𝑟 ] = [𝑅𝑟 ][𝐼𝑟 ] + ; (III.2)
𝑑𝑡
𝑅𝑆 0 0
[𝑅𝑆 ] = [ 0 𝑅𝑆 0] ; (III.3)
0 0 𝑅𝑆
𝑅𝑓 0 0
[𝑅𝑓 ] = [ 0 𝑅𝑘𝑑 0 ]; (III.4)
0 0 𝑅𝑘𝑞
25
CHAPITRE III
𝑣𝑎
[𝑉𝑆 ] = [𝑣𝑏 ] ; (III. 5)
𝑣𝑐
𝑣𝑓
[𝑉𝑟 ] = [ 0 ] ; (III.6)
0
𝑖𝑎
𝐼𝑆 = [𝑖𝑏 ] ; (III.7)
𝑖𝑐
𝑖𝑓
𝐼𝑟 = [𝑖𝑘𝑑 ] ; (III.8)
𝑖𝑘𝑞
𝜓𝑎
[𝜓𝑆 ] = [𝜓𝑏 ] ; (III.9)
𝜓𝑐
𝜓𝑓
[𝜓𝑟 ] = [𝜓𝑘𝑑 ] ; (III.10)
𝜓𝑘𝑞
Où :
𝐿𝑎 𝑀𝑎𝑏 𝑀𝑎𝑐
[𝐿𝑆 ] = [𝑀𝑏𝑎 𝐿𝑏 𝑀𝑏𝑐 ] (III.13)
𝑀𝑐𝑎 𝑀𝑐𝑏 𝐿𝑐
26
CHAPITRE III
𝐿𝑓 𝑀𝑓.𝑘𝑑 𝑀𝑓.𝑘𝑞
[𝐿𝑟 ] = [𝑀𝑘𝑑.𝑓 𝐿𝑘𝑑 𝑀𝑘𝑑.𝑘𝑞 ] (III.14)
𝑀𝑘𝑞.𝑓 𝑀𝑘𝑞.𝑘𝑑 𝐿𝑘𝑞
2𝜋 2𝜋
𝐿𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 . cos 2𝜃 𝑀𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 cos2( 𝜃 + 3
) 𝑀𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 cos2( 𝜃 − 3
)
2𝜋 2𝜋
[𝐿𝑆 ] = 𝑀𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 cos2( 𝜃 +
3
) 𝐿𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 cos2( 𝜃 −
3
) 𝑀𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 . cos 2𝜃 (III.16)
2𝜋 2𝜋
[𝑀𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 cos2( 𝜃 − 3
) 𝑀𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 . cos 2𝜃 𝐿𝑠0 + 𝐿𝑠𝑣 cos2( 𝜃 +
3
)]
𝐿𝑓 𝑀𝑓.𝑘𝑑 0
[𝐿𝑟 ] = [𝑀𝑘𝑑.𝑓 𝐿𝑘𝑑 0 ] (III.17)
0 0 𝐿𝑘𝑞
27
CHAPITRE III
𝑑
𝑉𝑠𝑑 = 𝑅𝑠 𝑖𝑠𝑑 + 𝑑𝑡 𝜓𝑠𝑑 + 𝜔𝑚 𝜓𝑠𝑞
𝑑
𝑉𝑠𝑞 = 𝑅𝑠 𝑖𝑠𝑞 + 𝑑𝑡 𝜓𝑠𝑞 + 𝜔𝑚 𝜓𝑠𝑑
𝑑
𝑉𝑓 = 𝑅𝑓 𝑖𝑓 + 𝑑𝑡 𝜓𝑓 (III.19)
𝑑
0 = 𝑅𝑘𝑑 𝑖𝑘𝑑 + 𝑑𝑡 𝜓𝑘𝑑
𝑑
{ 0 = 𝑅𝑘𝑞 𝑖𝑘𝑞 + 𝑑𝑡 𝜓𝑘𝑞
28
CHAPITRE III
𝑉𝑓 𝑅𝑓 0 0 𝑖𝑓 𝜓𝑓
𝑑
[ 𝑘𝑑 ] = [ 0
𝑉 𝑅𝑘𝑑 0 ] [𝑖𝑘𝑑 ] + [𝜓𝑘𝑑 ] (III.21)
𝑑𝑡
𝑉𝑘𝑞 0 0 𝑅𝑘𝑞 𝑖𝑘𝑞 𝜓𝑘𝑞
3
𝑀𝑘𝑑 = √2 𝑀𝑘𝑑.𝑠 L'inductance mutuelle cyclique entre l’enroulement amortisseur kd et le
stator;
29
CHAPITRE III
3
𝑀𝑘𝑞 = √2 𝑀𝑘𝑞.𝑠 L'inductance mutuelle cyclique entre l’enroulement amortisseur kq et le
stator.
𝐶𝑒𝑚 = 𝑃[𝑀𝑓 𝑖𝑓 𝑖𝑞𝑠 + (𝐿𝑑 − 𝐿𝑞 )𝑖𝑑𝑠 𝑖𝑞𝑠 − 𝑀𝑘𝑑 𝑖𝑘𝑑 𝑖𝑞𝑠 ] (III.25)
d) Equation mécanique
𝑑Ω𝑚 𝑝 𝐶𝑟 𝐾𝑓
= 𝐽 [𝑀𝑓 𝑖𝑓 + (𝐿𝑑 − 𝐿𝑞 )𝑖𝑠𝑑 𝑖𝑠𝑞 − 𝑀𝑘𝑞 𝑖𝑘𝑞 𝑖𝑠𝑑 + 𝑀𝑘𝑑 𝑖𝑘𝑑 𝑖𝑠𝑞 ] − − Ω𝑚 (III.26)
𝑑𝑡 𝐽 𝐽
La principale application des machines synchrones est, de loin, celle des alternateurs qui
équipent toutes les centrales électriques. Un exemple en est donné sur la figure ci-contre, o`u
l’on voit un alternateur de centrale électrique nucléaire, dont le rotor est visiblement
octupolaire, a pôles saillants [9].
30
CHAPITRE III
Pour les moteurs, et compte tenu de leurs avantages (rendement élevée, simplicité de
construction) et de leurs inconvénients (problème du démarrage, vitesse constante) les
moteurs synchrones sont généralement réserves aux installations industrielles de puissance (1
`a 10 MW), fonctionnant essentiellement en continu, comme des pompes, concasseurs,
convoyeurs, laminoirs, La deuxième génération de TGV (exemple chaîne de traction
des TGV en France)et rames du (( TGV atlantique )) a aussi utilisé pour ses motrices des
moteurs dits (( auto synchrones )), etc...
31
Conclusion générale
32
Conclusion générale
Le travail présenté dans ce mémoire est consacré sur les moteurs synchrones à circuits
amortisseur en vue du fonctionnement du moteur et la modélisation et leur application.Le
manuscrit du présent mémoire est subdivisé en 3 chapitres, dans ses chapitres nous avons
appris l'importance de l'amortisseur dans les moteurs synchrones et leur rôle réel dans les
circuits à rotor bobiné à pôles saillant.
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La bibliographie
34
La Bibliographie
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[11] :Kelthoum, C. k. (2017). Modélisation et commande des
machines synchrone à inducteur. Adrar: Mémoire de Université.
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