Histoire de Commerce
Histoire de Commerce
Histoire de Commerce
Une histoire du commerce de l’univers lie tous les éléments de la Civilisation. Il peut y avoir
plus d’une manière de la traiter. De ma part, je n’ai pas eu d’autre but de retracer, avec suite ordre et
clarté Depuis les temps reculés jusqu'à nos jours à partir informations que je viens de collecter.
Définition du Commerce :
On peut définir le commerce de plusieurs manières par exemple Échange, entre les hommes,
des divers produits de la nature ou de l'industrie Où c’est l’échange.
Le commerce est l'activité principale d'échange des biens et des services. Il couvre l'ensemble des
transactions entre individus, entre organisations ou entre individus et organisations, que sont les
associations ou les entreprises. Il complète l'activité de production en permettant de rémunérer la
fourniture d'un bien ou d'un service, principalement par le recours à la monnaie.
L’histoire Du Commerce:
L’antiquité :
Les romains
Les commerçants semblent avoir occupé une place importante dans la société gallo-romaine. Il
existait toutes sortes de corporations tant pour l’alimentation que les vêtements ou la poterie. Les stèles
présentent assez souvent les deux symboles du commerce : la balance et la monnaie.. L’usage de la
monnaie est général à l’époque gallo-romaine, mais il devait subsister un large usage du troc. Le
transport des marchandises se faisait par chariots ou à dos de mulets. Mais le transport fluvial était
aussi très développé. L’importance de Caracotinum, Iuliobona et Rotomagus en témoignent. On
pratiquait également le halage sur les petits cours d’eau. Les produits étaient transportés dans des
amphores qui étaient scellées et comportaient le cachet de l’expéditeur, ou dans des tonneaux, spécialité
gauloise. La boutique comporte le plus ordinairement un étal et un comptoir. Les stèles nous montrent
les objets rangés avec soin sur des rayonnages. Les petits commerçants étaient très souvent les artisans
eux-mêmes qui vendaient leurs productions.
Les phéniciens
Ce qui motivait les Phéniciens fut avant tout leur amour du contact et des échanges. Fins
commerçants, ils ont essayé de relier la mer et la terre. Ils ont cherché à créer un réseau commercial à
travers la Méditerranée. Ils ont fondé des comptoirs de commerce situés à faible distance les uns des
autres pour faciliter les escales et les approvisionnements. Le commerce phénicien pourrait être
qualifier de "commerce de redistribution". Au contraire des Grecs qui étaient motivés par
l'implantation, les Phéniciens ont toujours été à la recherche de marchés. Ils étaient les transporteurs et
les intermédiaires du monde Antique.
Les carthaginois
Le commerce des Carthaginois se faisait comme celui des Phéniciens uniquement par voie
d'échanges, le simple troc. Carthage ne commença à avoir des monnaies qu'au IVe siècle, pour
son commerce avec les Grecs de Sicile. Le commerce fut, plus que jamais, protégé par l’État.
Des conventions diplomatiques et une surveillance très rigoureuse écartèrent les marchands
étrangers de presque toutes les côtes où la République avait des possessions. Ces monopoles et
l’existence de nombreuses colonies maritimes, qui furent surtout des lieux de trafic, sont des
preuves non douteuses de l’activité du commerce carthaginois en Occident. Comme il se faisait
par échanges, les importations devaient compenser les exportations
Le Moyen-âge:
Les Européens commencèrent doucement à s'émanciper vers les territoires
extérieurs. Grâce aux Croisades, ils se déplaçaient maintenant avec assurance sur terre comme
sur mer. La carte des routes commerciales du Moyen Âge montre que le grand commerce
touchait toute l'Europe :
Au nord, une puissante association de villes germaniques et scandinaves, la Hanse, exerçait
un véritable monopole en mer du Nord et dans la Baltique.
Au sud, les villes portuaires de Gênes, Amalfi et Venise, en Italie, dominaient le commerce
méditerranéen. Ces villes bénéficiaient des conséquences des croisades qui contribuèrent
puissamment à réactiver les échanges avec les ports du Levant.
De plus, des pistes caravanières et des routes maritimes rejoignaient l'Inde, le Sud-Est asiatique
et la Chine. Les produits provenant de ces contrées étaient achetés par les Européens dans les
villes du Levant ou à Byzance. En échange, ils y vendaient du bois, du fer, du blé, du vin, de
l'huile, etc.
La route de la soi
Dès l’Antiquité, des échanges commerciaux avaient été établis entre l’Europe et l’Asie. A
partir du deuxième siècle avant Jésus Christ, des marchandises précieuses, soie, porcelaine,
épices étaient acheminées par le commerce caravanier sur un réseau de routes longues de 7 000
km reliant la Chine au bassin méditerranéen. Elles furent baptisées « Route de la soie ».
Villes Hanséatiques, all. Hansestädte, villes d'Allemagne, autrefois unies entre elles par
une alliance commerciale dont l'origine remonte à un traité que conclurent, en 1241, les villes
de Hambourg et de Lubeck, dans un but de protection et de garantie réciproques de leur
commerce contre les pirates des mers du Nord, et contre les princes voisins de leurs
territoires. Cette confédération prit le nom de Hansa (Hanse en français), qui signifie, en vieil
allemand, alliance conclue pour une assistance réciproque.
Evolution du commerce :
Conclusion :
L’histoire du commerce est intéressante par les enseignements qu’on peut en tirer .Elle
fournit une réfutation péremptoire de ce faux spiritualisme qui dédaigne ou qui réprouve le
commerce, et, en général, ces travaux matériels sans lesquels le commerce n’existerait pas, et
qui n’existerait non plus sans lui.
Webographie:
www.linternaute.com/histoire/categorie/evenement
WWW. wikipedia.org/wiki/Commerce
www.dico-definitions.com
http://www.cosmovisions.com/monuVillesHanseatiques.htm