CALCULS NUMÉRIQUES CALCUL LITTÉRAL

Fractions Distributivité
! $ !+$ ! $ !−$ ! ) !×) ! ) ! *
+ = − = × = : = ×
" " " " " " $ * $×* $ * $ )
1(! + $) = 1! + 1$ 1(! − $) = 1! − 1$
Puissances (! + $)1 = !1 + $1 (! − $)1 = !1 − $1
!
!! = ! × ! × ! × … × ! On dit que !$" = est l’inverse de a. Double distributivité
avec - facteurs ! "
!
De façon générale : !$! = !
!" = ! !# = 1 0! = 0 1! = 1 "


Les puissances de 10
10! = 10 × 10 × 10 × … × 10 = 1000… 0 10$! = 0,00 … 01
avec - facteurs 10 avec - zéros avec - zéros

Identité remarquable
La notation scientifique : 7,328 x 105
(! + $)(! − $) = !% − $ %
Nombre compris entre
1 et 10 (10 exclu) x une puissance de 10
Équations Résoudre l’équation :

Exemples : (45 + 6)(3 − 75) = 0

ARITHMÉTIQUE Résoudre l’équation : Si un produit de facteur est
nul, alors l’un au moins des
facteurs est nul.
Divisibilité
3(5 + 4) = −(5 + 5) + 2
4x + 6 = 0 ou 3 – 7x = 0
Un nombre entier est divisible : - par 2, si son chiffre des unités est pair, 35 + 12 = −5 − 5 + 2 4x = – 6 –7x = –3
- par 5, si son chiffre des unités est 0 ou 5, & #'
5=– 5=
- par 10, si son chiffre des unités est 0, 35 + 5 = −12 − 5 + 2 % #(
- par 3, si la somme de ses chiffres est divisible par 3, ' '
45 = −15 5=– 5=
- par 9, si la somme de ses chiffres est divisible par 9. ) (
#!$
Nombres premiers, nombres premiers entre eux 5= 3 3
% < = =– 2 ; 7?
Un nombre est premier s’il possède exactement deux diviseurs qui sont 1 et lui-même.

On dit que deux nombres sont premiers entre eux lorsque leur seul diviseur commun est 1.
FONCTIONS
Décomposition en facteurs premiers :
20 = 2 x 2 x 5 est une décomposition du nombre 20 en produits de facteurs premiers. Notations
En effet, chaque facteur de la décomposition est un nombre premier.
9 est appelée une fonction. C’est une « machine » mathématique qui, à un nombre donné, fait
Propriété : Tout nombre non premier peut se décomposer en produits de facteurs premiers. Cette correspondre un autre nombre.
décomposition est unique à l’ordre des facteurs près.
f
Définition : On dit qu’une fraction est irréductible, lorsque son numérateur et son dénominateur x ! 5x – x 2
sont premiers entre eux.

Nombre de départ Nombre correspondant

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On note : f : x ! 5x – x2 ou f (x) = 5x – x2
PROBABILITÉS
Images et antécédents
La probabilité d’un évènement est un nombre compris entre 0 et 1 qui exprime « la chance qu’a un
Si f (1) = 4, on dit que : - l’image de 1 par la fonction f est 4. évènement de se produire ».
- un antécédent de 4 par f est 1.
En cas d’équiprobabilité (chaque issue a autant de chance de se produire) :
Fonctions affines -12/345 7 " 855945 :";13"/<45 à >
Propriété : La probabilité d’un évènement B est C(B) =
-12/34 7 " 855945 ?1?"<
a et b étant deux nombres fixés
x ⟼ a x + b est appelée fonction affine L'événement contraire de B, noté B̅ , est l'ensemble de toutes les issues n'appartenant pas à B.
x ⟼ a x est appelée fonction linéaire On a : C(B̅ ) = 1 − C(B)
x ⟼ b est appelée fonction constante

Une fonction linéaire est une fonction affine où b = 0. STATISTIQUES

Propriétés :
Moyenne pondérée
1) Toute fonction affine est représentée par une droite.
2) Une fonction linéaire est représentée par une droite passant par l’origine.
3) Une fonction constante est représentée par une droite parallèle à l’axe des abscisses.

La droite (d) représentant la fonction f définie par f(x) = ax + b a pour coefficient directeur a 1× 4 + 1× 6 + 4 × 18 + 2 × 7 + 4 × 17 + 2 × 12 + 4 × 12 + 2 × 18 272
m= = = 13,6
et pour ordonnée à l’origine b. 1+ 1+ 4 + 2 + 4 + 2 + 4 + 2 20

Médiane
Pour déterminer une médiane, il faut ordonner la série. La médiane partage la série en deux
groupes de même effectif.

Exemple 1 : 3 10 12 12 12 13 13 14 14 15

PROPORTIONNALITÉ 5 données 5 données méd = (12 + 13) : 2 = 12,5

Exemple 2 : 9 10 10 11 12 13 13 14 15
Pourcentages
4 données 4 données méd = 12
Propriétés :
-
- Augmenter un nombre de A % revient à le multiplier par 1 + . Étendue
!..
- L’étendue est la différence entre la plus grande valeur de la série et la plus petite.
- Diminuer un nombre de A % revient à le multiplier par 1 − .
!.. Exemple : (données de l’exemple 1 ci-dessus) : Étendue = 15 − 3 = 12
Ratio

Propriétés : ANGLES ET TRIANGLES SEMBLABLES

" /
- On dit que deux nombres a et b sont dans le ratio 2 : 3, si = .
) ' Angles alternes-internes
" / 0
- On dit que trois nombres a, b et c sont dans le ratio 2 : 3 : 7, si = = .
) ' ( Si deux droites sont parallèles
" ) alors les angles alternes-internes reposant sur ces
Dans la pratique, on a : « a et b sont dans le ratio 2 : 3 » signifie que « = ».
/ ' droites sont égaux.

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 THÉORÈME DE THALÈS
Si deux angles alternes-internes sont égaux
alors les droites sur lesquelles ils reposent sont parallèles.

Théorème de Thalès
Dans un triangle ABC, où B’Î[AB] et C’Î[AC] Dans un triangle ABC, où B’Î(AB) et C’Î(AC)
si (B’C’)//(BC) si (B’C’)//(BC) B
Angles correspondants
>@" >A " @" A " >@" >A " @" A "
alors = = alors = =
Si deux droites sont parallèles >@ >A @A >@ >A @A
alors les angles correspondants reposant sur ces
droites sont égaux.

C’
Si deux angles correspondants sont égaux A C
alors les droites sur lesquelles ils reposent sont parallèles.

B’
Triangles semblables Comment retenir le théorème de Thalès ?

On appelle triangles semblables des triangles qui ont des angles deux à deux égaux. ABC et AB’C’ sont deux triangles en situation de Thalès ; ils ont un sommet commun A, et deux
côtés parallèles (B’C’) et (BC).
Un triangle est un « agrandissement » de l’autre. On dit que les deux triangles sont semblables. Ils
Propriété : Si deux triangles sont semblables alors les longueurs des côtés de l’un sont
ont donc des côtés deux à deux proportionnels.
proportionnelles aux longueurs des côtés de l’autre.
La propriété réciproque est également vraie. AB' AC ' B'C ' Le petit triangle AB’C’
= =
AB AC BC Le grand triangle ABC

THÉORÈME DE PYTHAGORE 1ers côtés 2èmes côtés 3èmes côtés

Réciproque du théorème de Thalès

L’égalité de Pythagore : Un triangle rectangle est un triangle dont le carré de l’hypoténuse est égal
à la somme des carrés des deux autres côtés. Si les points A, B et B’ sont alignés dans le même ordre que les points A, C et C’
>@" >A "
et = ,
>@ >A B
alors (B’C’)//(BC). B

B’

C’
A A C
Théorème de Pythagore Réciproque du théorème de Pythagore C’ C
Si un triangle ABC est rectangle en A, Si dans un triangle ABC, on a BC2 = AB2 + AC2,
alors BC2 = AB2 + AC2. alors ce triangle est rectangle en A.

B’

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 TRIGONOMÉTRIE Translation

M’ est l’image de M par la translation qui envoie A en B

Adjacent
cos ( Angle) = signifie que :
ABM’M est un parallélogramme.
Hypoténuse
Opposé
sin ( Angle) =
Une translation fait glisser une figure dans une direction,
un sens et une longueur donnés
Hypoténuse
Opposé
tan ( Angle) = Rotation
Adjacent
M’ est l’image de M par la rotation de centre O et d’angle
60° dans le sens inverse des aiguilles d’une montre
signifie que :
- EFE G & = 60° de M vers M’ dans le sens de la flèche,
CAH SOH TOA*
M. Trigo te dit : - MO = OM’

Une rotation fait tourner une figure autour d’un point selon
un angle.

Homothétie
* Casse-toi !
1) Homothétie de rapport positif

TRANSFORMATIONS
M’ est l’image de M par l’homothétie de centre O et
de rapport 2 signifie que :
- O, M et M’ sont alignés
- M et M’ sont du même côté par rapport à O.
Symétrie axiale - OM’ = 2 x OM

M et M’ sont symétriques par rapport à la droite (d) signifie

que :
- [MM’] est perpendiculaire à (d),
- M et M’ sont égale distance de (d). 2) Homothétie de rapport négatif
Dans ce cas, (d) est la médiatrice de [MM’]
M’ est l’image de M par l’homothétie de centre O et de
Deux figures symétriques par symétrie axiale se rapport -0,5 signifie que :
superposent par un pliage le long de l’axe de - O, M et M’ sont alignés
symétrie. - M et M’ ne sont pas du même côté par rapport à O.
- OM’ = 0,5 x OM
Symétrie centrale

M et M’ sont symétriques par rapport au point O signifie

que :
- M, O et M’ sont alignés, Deux figures homothétiques sont une réduction ou un agrandissement l’une de l’autre.
- MO = OM’.
Dans ce cas, O est le milieu de [MM’].

Deux figures symétriques par symétrie centrale se

superposent par un demi-tour autour du centre de
symétrie.
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 ESPACE
Volumes

Repère de l’espace

Un parallélépipède peut définir un repère de l’espace.

Il faut choisir une origine (ici le point A) et trois axes gradués définis à partir des dimensions du
parallélépipède : abscisse – ordonnée – altitude

Pour chaque point, on note dans l’ordre entre parenthèses

l’abscisse, l’ordonnée et l’altitude.
A(0 ; 0 ; 0) E(0 ; 0 ; 4) K(3,5 ; 5 ; 4)
B(0 ; 5 ; 0) F(0 ; 5 ; 4)
C(7 ; 5 ; 0) G(7 ; 5 ; 4)
D(7 ; 0 ; 0) H(7 ; 0 ; 4)

Sphère et boule
%
Aire de la sphère = 4p r2 Volume de boule = I r3
'
Agrandissement et réduction

Propriétés : Pour un agrandissement ou une réduction de rapport k,

- les longueurs sont multipliées par k,
- les aires sont multipliées par k2,
- les volumes sont multipliés par k3.

Rappels : formules d’aires

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