Aide Memoire Qgis 0814
Aide Memoire Qgis 0814
Aide Memoire Qgis 0814
Quantum GIS (ou QGIS) est un système d'information géographique (SIG) libre. Il permet de
visualiser, éditer et analyser des données géographiques. Il gère les formats d'images matricielles
(raster) et vectorielles.
Ce document est un aide-mémoire pour les manipulations les plus fréquentes dans le cadre d'une
cartographie thématique. Il est très loin de couvrir toutes les fonctionnalités de QGIS. Pour un
aperçu complet, reportez-vous à la (très bonne) documentation officielle disponible en ligne
(« manuel d'utilisation de QGIS » sur le site qgis.org).
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Installer QGIS
QGIS est gratuit, vous pouvez l'installer très facilement sur votre ordinateur personnel.
Rendez-vous sur le site qgis.org pour les informations concernant le téléchargement et
l'installation sur différentes plateformes. Des installateurs sont disponibles pour les systèmes
d’exploitation MS Windows et Mac OS X. Pour une installation sous Mint ou Ubuntu GNU/Linux,
suivez les instructions d'installation via ubuntugis.
A l'ULB, notez que les ordinateurs des salles DC6.205 (laboratoire de géographie humaine) et
des salles informatiques du département des sciences appliquées (UB4.130, UB4.126 et
UB4.329a) sont équipés avec QGIS.
La fenêtre qui apparaît contient la vue (1) qui vous permet de visualiser votre projet, la
légende de votre carte (2) qui vous permet de gérer l'affichage des différentes couches
(« layers » en anglais), les menus (3) et les barres d'outils (4).
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Importer et gérer des couches
Une couche vectorielle est composée d'un certain nombre d'objets qui sont des points, des
lignes ou des polygones. Pour ajouter une couche vectorielle (« shapefile » ou « vector
layer ») à votre projet, faites « Couche/Ajouter une couche vecteur... » ou cliquez sur l'icône
Pour des informations plus complètes, reportez-vous au chapitre « les données vectorielles »
du manuel d'utilisation de QGIS sur qgis.org.
Pour importer une image raster, faites « Couche/Ajouter une nouvelle couche raster... » ou
utilisez l'icône . Là aussi, le nombre de formats supportés est très grand (sélectionner un
type de fichier ou l'autre dans le bas de la fenêtre d'importation).
Pour des informations plus complètes, reportez-vous au chapitre « les données raster » du
manuel d'utilisation de QGIS sur qgis.org.
Dans la zone de légende, vous pouvez afficher les couches que vous voulez voir apparaître en
cochant la petite case à côté de leur nom; vous pouvez en changer l'ordre de superposition
en les déplaçant à l'aide de la souris. Une couche est sélectionnée lorsque vous cliquez
dessus dans le panel de gauche; elle est alors en surbrillance et certaines fonctions ne
s'appliquent qu'à cette couche.
Note: pour les étudiants en géographie, une « boîte à outils » a été créée sur l'université
virtuelle (mnémonique GEOG-F-999), qui rassemble une série d'outils utiles pour la
cartographie: shapefiles les plus utilisés, trames, etc., ainsi que la dernière version du présent
manuel.
Pour naviguer dans la vue utilisez par exemple les fonctions suivantes:
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Dézoomer et centrer sur point cliqué
Avec l’outil vous pouvez interroger la couche : en cliquant sur un point, une ligne ou un
polygone, vous verrez s’afficher ses attributs.
Pour afficher les données (« attributs ») associées à une couche, faites clic-droit sur cette
Dans le menu Projet/Propriétés du projet (section « Général »), vous pouvez définir l’unité de
la carte, qui sera l’unité dans laquelle seront données l’échelle et les éventuelles mesures (le
mètre, par exemple).
Via le même menu, dans la section « SCR », vous pouvez définir le système de coordonnées
utilisé pour votre projet. Ce système de coordonnées est soit « géographique » (« Système de
coordonnées géographiques »), soit « projeté » c'est-à-dire en XY plutôt qu'en
latitude/longitude (« Système de coordonnées projeté »), ce qui implique le choix d'une
projection particulière.
Par ailleurs, les différentes couches d'un projet ont chacune leur système de coordonnées,
éventuellement différents les uns des autres. Pour connaître le système de coordonnées d'une
couche donnée, afficher les propriétés de la couche (clic-droit sur cette couche,
« propriétés »), section « Général ». Certaines couches sont accompagnées d'un fichier .prj
qui décrit la projection. Lorsque, pour une couche, ce fichier est absent, QGIS applique la
projection globale du projet à cette couche.
Lorsque la fonction « Activer la projection 'à la volée' » est activée (menu Projet/Propriétés du
Projet), la projection des différentes couches peut être modifiée (« propriétés » de la couche,
section « Général », « Système de coordonnées de référence (SCR) », bouton « spécifier »).
Vous pouvez également créer une projection via le menu Éditer/Projection personnalisée
(entrer les paramètres, enregistrer, puis « ok »); vous le retrouvez alors dans les « Système
de coordonnées défini par l'utilisateur ».
Pour des informations plus complètes, reportez-vous au chapitre « utiliser les projections » du
manuel d'utilisation de QGIS sur qgis.org.
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Les fichiers associés à votre projet cartographique
Sauvez rapidement votre projet une première fois après l'avoir créé. Votre projet est un fichier
.qgs, qui contient toutes les caractéristiques de votre projet ainsi que les chemins vers les
différents fichiers auxquels il fait appel, par exemple des fichiers .shp, .prj, .dbf, .shx, des
fichiers image, etc... Lorsque vous déplacez votre projet vous devez donc aussi déplacer
l'ensemble de ces fichiers.
Les couches importées sont affichées avec des types de légende et des couleurs par défaut
qui conviennent rarement. Pour modifier la légende, faites clic-droit sur la couche et
choisissez « Propriétés », ou double-cliquez sur la couche. La fenêtre qui s'ouvre contient
plusieurs onglets.
Couche vectorielle
Dans la section « Général », vous pouvez (entre autres) modifier le nom de la couche et
prendre connaissance ou définir sa projection.
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inter-classes et minimise la variance intra-classes), « Écart-type » qui fournit des
limites de classes se répartissant de façon symétrique autour de la moyenne (en
fonction de l'écart-type), et enfin « Jolies ruptures » qui est une classification
« intervalles égaux » avec des limites arrondies.
Sélectionnez l’attribut à cartographier avec le menu déroulant « Colonne », le type de
classification et le nombre de classes souhaité. Appuyez ensuite sur « classer ». Vous
pouvez aussi ajouter le nombre de classes que vous voulez et en spécifier les limites
hautes et basses vous-mêmes (double-cliquez sur ces valeurs pour pouvoir les
modifier). En double-cliquant sur le symbole d'une classe, vous pouvez en changer le
style individuellement.
- « Ensemble de règles » est à utiliser si vous souhaiter faire varier plusieurs
caractéristiques des objets à la fois (par exemple, la taille, la forme et la couleur de
symboles ponctuels) selon différents critères.
Pour le choix des couleurs avec les styles « catégorisé » et « gradué », essayez la « nouvelle
palette de couleur » qui vous propose un tas de palettes. L'option « mélangeur de couleurs »
propose les palettes très efficaces du site www.colorbrewer.org.
Les couleurs que vous pensez utiliser souvent peuvent être glissées-déposées dans la partie
« couleurs personnalisées » (voir ci-dessous), elles seront alors disponibles pour vos autres
projets.
Dans la section « Etiquettes » vous pouvez choisir d'afficher le contenu d'une des colonnes
(par exemple le nom des localités) sur la carte.
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entre autres le chemin vers le fichier correspondant à la couche.
Enregistrer un style
Lorsque les propriétés de la couche vous satisfont, vous pouvez sauver l'ensemble des
options des différents onglets en utilisant le bouton « Sauvegarder le style... » qui sauve les
paramètres dans un fichier .qml. Si on veut appliquer ces paramètres à la carte d'un autre
projet (par exemple si vous souhaitez réaliser plusieurs cartes avec une légende unique), on
peut alors charger ce fichier .qml avec « Charger le style... ».
Dans une couche vectorielle, chaque objet est composé d'une série de nœuds (ou vertex).
QGIS permet de modifier une couche en ajoutant/supprimant/déplaçant ces nœuds. Pour
commencer l'édition d'une couche, sélectionnez-la et faites Couche/ « Basculer en mode
Selon que vous éditez une couche de points, de lignes ou de polygones, vous pouvez ajouter
des points (menu Editer/Ajouter une entité ou ), des lignes ( ) ou des polygones ( ).
Créez des nœuds avec le clic-gauche de la souris, terminez avec un clic-droit. Vous pouvez
ensuite entrer les attributs pour l'objet que vous venez de créer. Avec l'outil (menu
Editer/Déplacer l'entité) vous déplacez un objet entier; avec (Editer/Outil de nœud) vous
déplacez des nœuds un par un, et pouvez donc modifier la forme d'une ligne ou d'un
polygone. D'autres outils permettent de découper, copier/coller des éléments, etc.
Utile si vous voulez n’afficher qu’une seule commune, par exemple, mais que votre fond de
carte en reprend plusieurs. Sélectionnez la couche concernée, puis sélectionnez les espaces
que vous voulez garder :
- soit en utilisant les outils de sélection de données dans la vue, ce qui ne vous
permet que de sélectionner des espaces contigus.
- soit en sélectionnant les lignes qui vous intéressent dans la table d’attributs de la
couche : manuellement, en sélectionnant les lignes voulues (appuyez sur shift pour en
sélectionner plusieurs ; appuyez sur ctrl pour sélectionner plusieurs lignes non-
contiguës) ; soit en utilisant les filtres proposés au bas de la table d'attributs :
Grâce au « filtre de colonne », vous pouvez construire des requêtes complètes (par
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exemple, « garder les communes dont la population est comprise entre 100 et 1000
personnes ») pour sélectionner des lignes.
Une fois la sélection faite, les lignes qui vous intéressent sont en vert dans la table, les
espaces qui y correspondent sont en jaune dans la vue :
faites clic-droit sur le nom de la couche (dans la vue) et « Sauvegarder la sélection comme
shapefile ». Vous créez alors un nouveau shapefile qui ne contient que les lignes voulues.
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Importer des données statistiques pour les cartographier
Typiquement, il s'agit de l'indicateur que vous désirez cartographier et que vous avez préparé
dans un tableur ou une base de données. Un identifiant unique (codes de pays, de commune,
etc) doit permettre de joindre ces données à un shapefile.
Il faut successivement:
Vos colonnes doivent avoir des intitulés courts (10 caractères maximum), sans caractères
spéciaux, ne commençant pas par un chiffre et – tant que faire se peut avec toutes ces
contraintes – explicites. Depuis le logiciel dans lequel vous avez préparé vos données,
enregistrez-les au format dBase (.dbf). Les tableurs les mieux adaptés sont Excel 2003 et
OpenOffice / LibreOffice - les versions plus récentes d'Excel ne gèrent pas le format dBase.
Le fond de carte est la couche à laquelle vous voulez joindre vos données (par exemple, le
shapefile des pays si vous voulez cartographier des données par pays).
– ajouter votre fichier de données au projet: menu « couche »/ « ajouter une couche
vecteur », faites « parcourir » pour aller chercher le fichier .dbf précédemment créé
(faites apparaître tous les types de fichiers – par défaut seuls les fichiers .shp
apparaissent) et appuyez sur « ouvrir ».
– dans les « propriétés de la couche » de votre fond de carte, sélectionnez la section
« jointure ».
– appuyer sur le + et complétez les champs pour joindre la couche que vous venez
d'ajouter; vous devez spécifier sur base de quel champ (commun aux deux tables) la
jointure va se faire.
– vérifiez que la jointure s'est faite correctement en ouvrant la table d'attributs de votre
couche-cible: vous devriez y voir apparaître de nouvelles colonnes contenant vos
données.
– ces nouvelles colonnes sont maintenant disponibles dans la section « Style » des
1 Dans OpenOffice/LibreOffice Calc, cela se règle dans le menu outils / options, section « paramètres linguistiques » /
« langues », choisir l'anglais comme « paramètre linguistique » et vérifier que la case « touche séparateur de décimales
identique au paramètre linguistique » soit cochée.
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propriétés de la couche; vos données sont donc prêtes à être cartographiées. Il ne vous
reste plus qu'à choisir le le type de légende désirée (voir le point « Changer les
propriétés d'une couche » ci-dessus).
Pour la Belgique, l'IGN a rendu public l'accès à ses cartes topographiques. Ajouter une couche
WMS (menu couche), créer une connexion au serveur de l'IGN en appuyant sur 'nouveau'
(dans l'onglet 'couches' de la fenêtre qui s'affiche), en insérant l'URL suivante :
http://www.ngi.be/cartoweb/1.0.0/WMTSCapabilities.xml puis en cliquant sur 'connexion'. Les
informations concernant les modalités d'affichage se trouvent sur la partie 'carto-web' du site
de l'IGN (http://www.ign.be/FR/FR1-19-1.shtm).
D'autres fonds de carte du même style sont disponibles, pour le monde entier, grâce
l'extension 'OpenLayers Plugin'. Lorsque l'extension est installée, une liste de couches
deviennent disponibles dans le menu extension/OpenLayers Plugin, entre autres issues de
Google Maps et OpenStreetMap.
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Créer une couche de points sur la base d'adresses postales
Il faut au préalable géocoder les adresses c'est-à-dire leur affecter à chacune des
coordonnées X et Y. Bien entendu, le système de coordonnées et l'unité de mesure de votre
projet QGIS (voir supra le point « Système de coordonnées, projections et unités de mesure
du projet ») doit être le même que celui des coordonnées (X, Y) de vos points.
Si vous avez peu d'adresses le géocodage peut se faire à la main ou en utilisant le plugin
« GeoCoding » intégré à QGIS (voir le point « explorer les fonctions supplémentaires » ci-
dessous).
Si vous avez un grand nombre d'adresses (mais moins de 2500), plusieurs sites proposent le
géocodage de données en série, par exemple http://www.batchgeocodeur.mapjmz.com/ ou
http://www.gpsvisualizer.com/geocoder/. La plupart de ces sites utilisent les services de
cartographie de Google ou Yahoo! et fournissent des coordonnées géographiques (latitude –
longitude)2. Lorsque votre fichier est prêt avec une ligne par point, un identifiant unique par
point et deux colonnes de coordonnées, sauvez-le au format texte et importez-le à l'aide du
plugin « Ajouter une couche de texte délimité ».
Si vous avez plus de 2500 adresses à géocoder, une solution est d'utiliser le programme de
traitement statistique R3. Dans R, les étapes sont les suivantes :
• Installation de la librairir ggmap :
library(ggmap)
• mise au format de la table de données
test<-as.array(test)
• création d'un objet qui va stocker les résultats du géocodage
• faire tourner la fonction « géocode » sur toutes les lignes. Par exemple pour une table
appelée test et le stockage des résultats dans l'objet appelé geoc :
geoc<-apply(test, 1, geocode)
• création d'un dataframe qui combine la table test et les résultats de geoc. L'objet geoc
étant une liste, il faut le séparer et le remettre en format matrix
dftest<-cbind(test, matrix(unlist(geoc), 50, 2, byrow=T))
2 Pour passer des coordonnées géographiques aux coordonnées Lambert belge, voyez par exemple le site
http://zoologie.umh.ac.be/tc/tcbel.asp. Pour des conversions nombreuses, appuyer sur « conversions multiples ».
3 Logiciel libre, installable via le site www.r-project.org.
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Mettre la carte en page
Généralités
légende, un logo, etc). Cliquez sur l'icône pour ajouter votre carte, sur
pour ajouter la légende, sur pour ajouter une zone de texte (un titre, par
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exemple), sur pour ajouter une barre d'échelle, sur pour ajouter une image
(le logo de votre petite entreprise, par exemple), sur pour ajouter des formes
simples, puis placez chacun des éléments sur la page en traçant un cadre avec la
souris.
- de modifier les différents éléments. Lorsqu’un objet est dessiné, on peut le déplacer
sur la page avec la souris. L’onglet « Composition », à droite permet de définir les
caractéristiques générales de la page (format, orientation, etc) ; l’onglet « Propriétés
de l'objet » permet de définir les caractéristiques d’un élément lorsqu’il est sélectionné
sur la page. On peut y modifier la taille des différents éléments. L’échelle de la carte
peut être fixée (« Echelle »). On peut centrer la carte sur la page et en modifier
dégrouper avec .
- d’exporter la carte en bitmap (formats .jpg, .png, etc) avec , en PDF avec , ou
de l’imprimer avec .
Notez qu'en sauvant votre projet, vous sauvez également sa mise en page.
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Ajouter une légende pour une carte avec variation de taille de symboles ponctuels
Actuellement QGIS ne crée pas automatiquement de légende pour la variation de taille des
symboles ponctuels (qui donne la correspondance entre la taille du symbole et la variable
cartographiée) :
1° Créer deux ou trois points fictifs dans la couche vectorielle. Éditer la couche (voir le point
« Éditer une couche vectorielle / digitalisation » ci-dessus) pour y ajouter, dans un coin, deux
ou trois points alignés verticalement (l'affichage d'une grille peut faciliter cette étape : menu
« vue » / « décorations » / « grille »). Attribuez à ces points des valeurs rondes. Ces points
supplémentaires apparaîtront dans le composeur à côté de votre carte. Dans le composeur,
indiquez les valeurs correspondantes dans des zones de texte.
2° Dessiner la légende directement dans le composeur d'impression. S'il s'agit d'une carte par
cercles proportionnels, par exemple, tracez deux ou trois cercles de la taille voulue dans le
composeur (avec l'outil ) puis ajouter les valeurs correspondantes dans des zones de
Attention, pour les versions de QGIS inférieures à la 2.2, il arrive que la taille des symboles
varie au moment de l'exportation en image. Si c'est le cas, il est possible que votre légende
ne soit plus correcte.
Les fonctions supplémentaires sont groupées dans des « extensions » (plugins en anglais).
Certaines extensions sont déjà installées. On en trouve la liste dans la section « Installées »
du gestionnaire d'extensions (menu « Extension »). Il suffit alors de l'activer en cochant la
case correspondante dans la liste.
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Trouver de l'aide sur QGIS
On trouve beaucoup d'aide en ligne. Consulter en premier lieu le manuel d'utilisation sur
qgis.org. Pour les questions qui restent sans réponse, voir le forum
http://gis.stackexchange.com où votre problème a peut-être déjà été abordé.
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