Livre APC 1ere CD
Livre APC 1ere CD
Livre APC 1ere CD
Ce livre est sous licence libre dont vous êtes libres de le modifier et de le diffuser !
Avant-propos
La collection des livres du groupe WhatsApp « Les grandprofs Info » a été conçue
pour vous permettre d’entrer de manière efficiente et efficace dans les APC dans les
classes de secondes et de premières ESG et EST, adaptés aux nouveaux programmes
informatiques, ces ouvrages vous offrent entre autres :
Des cours détaillés (chaque module contient des unités d’apprentissage, et
dans chaque unité d’apprentissage, des unités d’enseignement)
Des situations problèmes contextualisées qui permettront à l’apprenant
d’exécuter des tâches déterminées à travers des consignes explicites dont A
l’issue est la construction de ses propres compétences V
Des activités d’intégration : qui permettront à l’apprenant de réinvestir ses A
acquis dans un module donné N
Des exercices d’application : à la fin de chaque unité d’enseignement il est
T
question de vérifier la compétence à travers des petits exercices
Ce travail a été fait par un groupe d’enseignants. Le déroulement
-
(l’organisation) des travaux a eu lieu dans un groupe WhatsApp (‘’ Les grandprofs P
Info’’), et dans ce grand groupe sont nés d’autres petits groupes ou ateliers de R
travail, ainsi dans chaque atelier, les membres formaient des duos pour produire des O
résultats des objectifs fixés au préalable. À noter qu’il n’y a pas eu de rencontres P
physiques entre les membres.
Les contenus de ces livres répondent donc aux objectifs tant du côté O
enseignant que du côté apprenant, c’est une véritable référence exploitable à toutes S
fins utiles
Nous sommes ouverts à toutes les suggestions, remarques et même critiques
constructives afin d’améliorer nos œuvres. Ne dit-on pas souvent que « la perfection
n’est pas de ce monde ? »
SOMMAIRE
Avant-propos ……………………………………………………….……..3
MODULE 1 : ENVIRONNEMENT NUMÉRIQUE, SÉCURITÉ, MULTIMÉDIA
ET GESTION DES DONNÉES
U.A 1 : INSTALLATION D’UN SYSTÈME D’EXPLOITATION
U.E 1 : Installation d’un SE ……………………………………………...7-16
U.E 2 : Les opérations post-installation d’un SE …………………………17-30
U.A 2 : UTILISER L’INVITE DE COMMANDES
U.E 1 : Introduction à l’invite de commandes ……………………...……..32-34
U.E 2 : Utilisation de l’invite de commandes ………………………....…..35-39
S U.A 3 : APPLIQUER LES CONCEPTS FONDAMENTAUX DE LA SÉCURITÉ
INFORMATIQUE
O U.E 1 Introduction à la sécurité informatique …………………...……….41-47
U.A 4 : UTILISER LES FICHIERS MULTIMÉDIAS
M U.E 1 : Utiliser les fichiers multimédias ……………………………….....49-54
U.A 5 : DÉCRIRE LES CONCEPTS DE BASE DES SYSTÈMES D’INFORMATION
M U.E 1 : Introduction aux systèmes d’information ………………………...56-62
U.E 2 : Méthodes d’analyse et de conception des systèmes d’information
A ……………………………………………………………………………..….63-65
U.A 6 : DÉCRIRE LES CONCEPTS DES BASES DE DONNÉES
I U.E 1 : Généralités sur les bases de données …………………………...…67-69
U.E 2 : Les caractéristiques d’une table …………………………………..70-72
R U.E 3 : Les fonctions d’une base de données ……………………………..73-76
U
Situation problème :
N
L’ordinateur de votre papa utilise comme système d’exploitation Windows XP. Il
S voudrait désormais travailler sous Windows 7. Il fait appel à vous pour changer son
E système d’exploitation mais voudrait qu’à la fin tout puisse fonctionner correctement
comme sous Windows XP. Comment allez vous procéder ? Quelles sont les
opérations que vous allez effectuer ?
Installation d’un SE
Compétences :
Configurer l’ordre de bootage des supports
Partitionner le disque dur lors de l’installation d’un SE
Choisir la partition d’installation d’un SE
Configurer les comptes utilisateurs au cours de l’installation d’un SE I
N
I. CONFIGURER L’ORDRE DE BOOT (DÉMARRAGE) DES SUPPORTS S
A. Changer l’ordre de démarrage dans les paramètres du BIOS T
Pour entrer dans le BIOS, allumez votre ordinateur. Dès le démarrage de A
votre système d'exploitation, maintenez enfoncée la touche « F2 ». Si vous possédez L
L
un PC de bureau et que cette manipulation ne vous a pas permis d'accéder au BIOS,
E
nous vous invitons à éteindre votre ordinateur et à l'allumer en tapotant sur la touche
R
« Suppr ».
2. Appuyez la touche directionnelle FLÈ CHE DROITE pour sélectionner Boot U
(Démarrage). N
3. Appuyez la touche directionnelle FLÈ CHE BAS pour sélectionner Boot Order
(Ordre de démarrage). S
4. Utilisez la touche F5 ou F6 pour changer l’ordre. E
5. Appuyer sur la touche F10 pour enregistrer les changements et redémarrer
l’ordinateur.
U
N
S
E
I
N
S
T 6. Où installer Windows 7 sur un disque déjà partitionné?
A Si vous avez un disque dur neuf ou formaté complètement sans
L partition, passez directement à l’étape suivante. Si votre disque dur est déjà
L partitionné, il vous faudra sélectionner l’espace disque où Windows 7 sera installé.
E
Cliquez sur Options de lecteurs (avancées). (Voir l’image ci-dessous).
R
U
N
S
E
Pour ne pas réinstaller Windows 7 sur un système déjà installé, formatez la partition
Disque 0 Partition 1 (Voir l’image ci-dessous). Cela évite de se retrouver avec un
I
N
S
T
A
L
L
E
Toutes les données sur cette partition seront effacées.
R
Cliquez sur “OK”
U
N
S
E
U
N
S
E
I
N
S
T
A
Tapez la taille de la partition sur laquelle Windows 7 sera installée et cliquez L
L
sur l’ onglet “ Appliquer”. (Voir l’image ci-dessous). Pour une installation
E
standard, 60Go (60000 Mo) sera suffisant. Si vous installez des Jeux, il faudra
R
prévoir environ 20 Go (20000 Mo) par jeu en plus.
U
N
S
E
I
N
S
T
A
L
L
E Contrairement à Vista, Windows 7 va créer automatiquement une partition
R supplémentaire de 100 Mo. Cette partition “System Reserved” peut être utilisée
dans le cas d’un problème de démarrage Windows afin de réparer le système.
U Remarque: Vous pouvez annuler cette option, si vous possédez déjà 3 partitions
N principales. Vous pourrez toujours réparer le système à partir du DVD d’Install.
Sélectionnez “Espace non alloué sur le disque 0”, cliquez sur “Nouveau” tapez
S une taille inferieure pour créer une autre partition ou appliquez la taille
E d’origine pour terminer .(Voir l’ image ci-dessous).
9. Sélectionnez Disque 0 Partition 2 pour installer Windows 7, cliquez sur
“Suivant”
I
N
S
Windows 7 va copier les fichiers nécessaires à l’installation et va redémarrer le T
A
PC.
L
N’appuyez plus sur une touche du clavier pour démarrer à partir du DVD.
L
Le programme de mises à jour paramètre les registres, après un 2ème redémarrage, E
l’ installation est en cours.. Patientez 15 à 20 mns. Windows 7 démarre, entrez R
un nom d’ utilisateur et un nom pour votre ordinateur et cliquez sur “suivant”.
U
N
S
E
I
N
S
T
A
L L’installation est terminée, vous êtes enfin sur le bureau Windows 7. Retirez
L votre DVD d’installation Windows 7
E
R
U
N
EXERCICES
S Exercice 1
E
Exercice 2
Compétences :
Choisir le mode d’installation du SE
Activer un système d’exploitation
Créer un point de restauration
Restaurer un SE
I
Gérer les pilotes N
S
I. CRÉER UN POINT DE RESTAURATION ; T
Avec l'installation d'un logiciel ou une modification importante de A
votre système, nous vous conseillons de créer manuellement un point de L
restauration. Ainsi, en cas de problème, vous pourrez revenir à l'état précédent L
fonctionnel. E
R
1. Cliquez sur le bouton Démarrer.
U
N
S
E
I
N
S
T
A
4. Dans la boite de dialogue qui s'affiche, cliquez sur le bouton Créer.
L
L
E
R
U
N
S
E
I
II. RESTAURER UN SE ; N
La restauration du système est utile en cas de dysfonctionnement de S
T
l’ordinateur. Elle permet de "restaurer" l'ordinateur à une configuration précédente
A
au problème rencontré.
L
La restauration du système consiste à : L
créer automatiquement des points de restauration à chaque mise à jour du système E
(cela se fait par Windows, sans intervention de l'utilisateur) R
en cas de problème, "restaurer le système", c’est-à-dire revenir à une configuration
précédente. U
Les points de restauration sont des "clichés" du système. Cela consiste à sauvegarder N
les fichiers les plus importants du système
En cas de problème, la Restauration du système remplace les fichiers modifiés par S
les anciens, pour revenir à une configuration de l'ordinateur antérieure au problème E
et retrouver un fonctionnement normal de l’ordinateur.
On peut faire la restauration en passant :
I
N
S
T
A
L
L 2 – par le mode sans échec : L’ordinateur ne démarre pas. I mpossible de lancer
E Windows.
R Lorsque Windows ne peut démarrer, on peut tenter d'utiliser la Restauration du
système au démarrage de l’ordinateur.
U Au démarrage de l’ordinateur, après le premier écran du Bios :
N
"tapoter" sur la touche F8 jusqu'à apparition du menu de démarrage
S
Dans le menu de démarrage :
E sélectionner "Dernière bonne configuration connue" avec les touches fléchées (le
nom peut être : "Dernière configuration valide connue")
appuyer sur la touche Entrée pour valider le choix.
I
N
S
T
A
L
Utilisation de la Restauration du système : L
Lorsqu'on accède à la Restauration du système par le menu Démarrer ou par le mode E
sans échec. R
U
N
S
E
I
N
S
T
A
L
L Normalement, on pourra essayer successivement plusieurs points de restauration.
E Même si la Restauration du système n'affecte que les fichiers sy stème :
R Au préalable, effectuer une sauvegarde de ses données importantes.
La Restauration du système permet de supprimer proprement tout
U programme malencontreusement installé.
N
Si on veut connaître l'incidence de la Restauration du système sur les
programmes (facultatif)
S
- cliquer sur "Rechercher les programmes concernés"
E
I
N
S
T
A
L
L
E
R
U
N
S
E
S
E
I
N
S
T
A
L
L
E
R
U
N IV.CHOISIR LE MODE D’INSTALLATION DU SE (MISE À NIVEAU,
NOUVELLE INSTALLATION, RÉPARATION)
S Parfois, lors de l'installation d'un logiciel ou suite à un problème de disque
E dur, une partie d'un fichier système peut être endommagée. Le système ou un logiciel
particulier peuvent s'en plaindre et refuser de démarrer.
Windows possède un utilitaire fort utile et pourtant bien peu connu : le
vérificateur de fichiers système (SFC - System File Checker).
Pour l'utiliser :
Cliquez sur Démarrer / Exécuter.
Saisissez et validez la commande suivante en respectant l'espace entre la
commande et son argument : sfc /scannow
La boîte de dialogue Protection de fichiers Windows s'ouvre alors et l'analyse des
fichiers système commence.
EXERCICES
Exercice 1
Exercice 2
Exercice 3
I Exercice 4
N
S Exercice 5
T
A
L
L
E
R
U
N
S
E
I
N
V
I
T
E
U.E 1 : Introduction à l’invite de commandes D
E
Compétences visées :
- Donner l’importance de l’utilisation de la ligne de commande
- Accéder à la ligne de commande.
Situation problème :
I
N
V
I
T
E
I. IMPORTANCE DE L’UTILISATION DES LIGNES DE COMMANDE
Les ordinateurs ont longtemps été cantonnés à des interfaces en mode texte
D
E uniquement. Puis, la popularisation par Apple des premiers systèmes d’exploitation
« graphiques », suivie par les débuts de Windows, ont amorcé la transition d’une ère
C du « tout clavier » à celle actuelle du « tout souris », où la plupart des opérations
O simples sont réalisables en quelques clics bien placés.
M
Indépendamment de ces avantages indéniables, la ligne de commande permet de
M
A réaliser simplement et rapidement des opérations qui serait autrement très
N fastidieuses et répétitives, voire impossibles, comme :
D créer une sauvegarde de tous vos fichiers modifiés cette semaine ;
E extraire la première page d’une série de fichiers PDF pour en faire des
S
images
En cas de gros problèmes elles permettent parfois de se dépanner en lançant l'outil
de restauration du système à partir d'un démarrage sans échec avec l'invite de
commande.
Ces commandes sont essentielles pour faire des fichiers de commandes “ .bat ”
ou “ .cmd ” bien utiles pour automatiser les tâches répétitives.
Renommer rapidement les fichiers d’un dossier selon une règle simple.
Par ailleurs, l’utilisation de la ligne de commande est indispensable dans
certains cas, en particulier lors de connexions distantes à un autre ordinateur.
S’il est possible d’utiliser des interfaces graphiques à distance grâce à des
32 Groupe WhatsApp « Les grandprofs Info »
2- Utiliser l’invite de commandes
protocoles spécialement étudiés, ces derniers sont par essence plus
gourmands en ressources réseau. Pour une connexion lente, le dialogue est
nécessairement plus fluide en ligne de commande.
b La ligne de commande C
Une ligne de commande est en quelque sorte une phrase ou un groupe de O
mot qui se tape juste devant l’invite. Elle a la structure suivante : commande [\- M
M
option] [argument]
A
La ligne de commande est analysée par interpréteur de commande N
(COMMANDE.COM ou CMD.EXE), bon bref dans une ligne de commande, les D
arguments et les commandes proprement dite sont séparés par les espaces. Donc vous E
devez prendre l’habitude de ne pas oublier ces espaces, puisque dans certaine version S
du DOS ils tolèrent alors dans d’autre pas.
Une ligne de commande commence toujours par un mot clé, ce dernier représente
une tache à exécuter par le système d’exploitation
Viennent ensuite les options, par fois appelé les paramètres ou commutateurs,
elles sont facultatives et toujours représenté par un « slash » suivi d’une lettre, la
fonction de l’option est de modifier la manière dont la commande va se réaliser
Les arguments viennent en complément ; dans la présentation de la syntaxe de la
commande les arguments sont représentés entre crochet pour dire que leur présence
n’est pas toujours indispensable.
D
E
C
O
M
M
A
N
D
E
S
EXERCICES
Exercice 1
1- Donner deux importances de la ligne de commande ;
2- Donner la syntaxe de l’invite de commande ;
3- Comment accéder à la ligne de commande ?
Compétences visées :
Utiliser quelques commandes de manipulation de répertoires et fichiers
(créer, modifier et supprimer, parcourir… un répertoire et fichiers)
I
Utilisation de la commande d’aide.
N
V
Situation problème : I
Entre amie, l’un ‘entre eux te demande de lui envoyer dans une clé USB T
E
quelques fichiers (audio, vidéo …), qui sont disposé a des endroits différents de ton
ordinateur qu’il avait vu dans ton ordinateur et qu’il a maitrisé les noms des fichier s D
simplement, comment satisfaire la demande de ton ami ? E
Qu’est-ce que la ligne de commande ?
Comment ouvrir un logiciel qui n’a pas de raccourcis au bureau ? C
Comment ouvrir une ligne de commande ? O
M
Quelles sont les procédures à suivre s’il s’agissait des objets physiques, dont tu as
M
besoin d’envoyer à quelqu’un ? réponse attendue : je rassemble les objets, les met A
dans un seul emballage et enfin je les expédie. N
Quelles sont les différentes opérations que tu as utilisées D
A quoi correspondent ces différentes actions en informatique ? E
S
D
E
C
O
M
M
A L’on constate qu’on peut entrer une commande, lorsque le curseur clignotant se
N trouve sur la ligne qui affiche en générale le nom du répertoire courant, suivi d’un
D
chevron ‘’>’’.
E
S
II. LES COMMANDES
L’invite de commande permet de lancer tout programme donc l’exécutable se
trouve dans un répertoire listé dans la variable d’environnement « PATH » de
l’invite. Si l’on tente de lancer un programme qui n’existe pas ou qui ne se trouve pas
dans le chemin d’accès, la réponse est la suivante :
Par exemple si l’on tape « infor » comme programme voila ce qui s’affiche : ‘infor’
n’est pas reconnu entend que commande interne ou externe, un commande
exécutable ou un fichier de commandes.
2 Changer de répertoire I
La commande CD (change directory), est celle qui permet de se déplacer N
V
d’un répertoire à l’autre, la structure est la suivante : CD
I
cheminVersleRepertoireVoulu T
Exemple : C:\> CD ubuntu, après avoir tapé cette commande il s’affiche ceci : C:\ E
ubuntu> le répertoire \ubuntu devient alors le répertoire par défaut.
Cas particulier de commande : CD .. , qui veut dire aller au répertoire parent et CD\, D
E
veut dire aller au répertoire racine.
C
3 Supprimer un répertoire/fichier O
a. Suppression d’un répertoire M
RD ou RMDIR, qui signifie « Remove directory », supprimer un répertoire, cette M
A
commande ne fonctionne que si le répertoire est vide
N
Exemple : C:\Documents> RD coursinfo, cette commande supprime le sous D
répertoire coursinfo qui se trouve Documents E
S
b. Suppression d’un fichier
DEL ou ERASE est la commande de suppression d’un fichier, la structure est la
suivante : DEL nomDuFichier
Exemple : C:\Documents> DEL coursinfo.txt
4 Renommer un répertoire/fichier
a. Renommer un répertoire
b. Renommer un fichier
La commande pour renommer un fichier est pareil que celle pour un répertoire, mais
au niveau du nom du répertoire l’on doit préciser ici le nom du fichier
I Exemple : C:\Documents> REN courinfo.txt coursinformatique.doc
N
V
I
5 Afficher le contenu d’un répertoire
T Pour afficher le contenu d’un répertoire ou sous répertoire et fichier à l’emplacement
E courant, on doit utiliser la commande DI R (qui signifie Directory) accompagné du
nom du dit répertoire, la structure est la suivante :
D DI R emplacementDuRepertoire
E
Exemple : C:\Documents> DIR, cette commande affiche tout répertoire et fichier
C que contenu dans Documents.
O NB : on peut utiliser les options * et ?. Ainsi, ? permet de représenter un caractère et
M * permet de représenter une chaine de caractère.
M Exemple : DI R b ??.* affiche tous les fichiers ayant trois caractères et dont le nom
A
commence par b.
N
D
DI R *.com affiche tous les fichiers ayant pour extension .com.
E DI R b*.c* affiche tous les fichiers dont le nom commence par b et l’extension
S par c.
EXERCICES
I
T
E
Exercice 1
1- Qu’est-ce que l’invite de commande ? D
2- Qu’est-ce que la ligne de commande ? E
3- Donner la structure générale d’une ligne de commande ;
C
4- Donner les commandes permettant d’exécuter ces taches suivantes :
O
- se déplacer dans un répertoire ; M
- copier un fichier ; M
A
- créer un fichier ;
N
- renommer un fichier ; D
- supprimer un fichier ; E
- créer un répertoire S
- renommer un répertoire ;
- supprimer un répertoire ;
- afficher le contenu d’un répertoire courant.
5- Quand on a des difficultés avec certaines commandes, quel utilise-t-on pour avoir
de l’aide ?
S
É
C
U
R
I
T
É
Introduction à la sécurité
informatique
Compétences visés :
Définir les concepts fondamentaux de la sécurité informatique
(confidentialité, disponibilité, intégrité, non répudiation)
Définir les concepts de cybercriminalité, cybersécurité
S
Décrire les techniques de protection des données É
C
Situation problème1 : U
R
Vous recevez un message d’une personne inconnue X vous disant que votre I
numéro de téléphone à été tiré au sort vous donnant ainsi la possibilité de gagner une T
É
importante cagnotte de 1000000 frs( un million de francs). Mais pour entrer en
possession de votre argent l’inconnu X vous propose de composer et de valider un I
code qu’il va vous donner. Très ému de cette offre mielleuse, vous composez et N
F
validez le code qu’il vous a transmis. Quelque seconde plus tard vous recevez un
O
message mobile money vous stipulant que votre compte à été vidé. C’est alors que R
vous comprenez que vous venez de vous faire arnaquer. Comment cela à t’il été M
A
possible ? comment appelle-t-on ce genre de personnes et de délits commis à travers
T
les réseaux informatiques ? I
Q
U
Situation problème2 : E
La société Alpha est une entreprise qui fait dans la recherche et le
développement. A la fin d’une étude basée sur le développement rural, le fruit de ses
recherches est divulgué sur internet. Ce posant plusieurs questions, le responsable de
cette structure demande aux experts comment leurs données ont pu se retrouver dans
la rue sans leur autorisation ?.
INTRODUCTION
Avec le développement de l'utilisation d'internet, de plus en plus
d'entreprises ouvrent leur système d'information à leurs partenaires ou leurs
CONCLUSION
La sécurité d'un système informatique doit être abordée selon une approche
globale. Ainsi, une porte blindée est inutile dans un bâtiment si les fenêtres sont
ouvertes sur la rue.
Cela signifie que la sécurité doit être abordée dans un contexte global e t
notamment prendre en compte les aspects suivants :
La sensibilisation des utilisateurs aux problèmes de sécurité
La sécurité logique, c'est-à-dire la sécurité au niveau des données, notamment les
S données de l'entreprise, les applications ou encore les systèmes d'exploitation.
É
C La sécurité des télécommunications : technologies réseau, serveurs de l'entreprise,
U réseaux d'accès, etc.
R La sécurité physique, soit la sécurité au niveau des infrastructures matérielles :
I
T
salles sécurisées, lieux ouverts au public, espaces communs de l'entreprise, postes de
É travail des personnels, etc.
I
N
F
O
R
M
A
T
I
Q
U
E
EXERCICES
Exercice 1
Question1 : Définir la notion d’intégrité des données ainsi que les objectifs du
contrôle d’intégrité
Question2 : quelles relations existent entre les critères d’intégrité et de
confidentialité ?
Question3 : Dans quelle mesure peut-on considérer des principes d’éthique comme S
faisant partie d’une démarche de sécurité informatique ? É
Question4 : Sur quels principes se fonde la réalisation des attaques informatiques ? C
U
Question5 : Quelle est la place de la maitrise de la cybercriminalité dans une R
démarche de cyber sécurité ? I
Question6 : Ressortez clairement la différence entre un virus, un ver, un cheval de T
É
Troie, une bombe logique.
Question7 : Parmi les infrastructures qui composent un système d’information I
laquelle ne peut être concernée par une cyberattaque ? N
F
A - Matérielle B- Réseau C- Logicielle D- Exploitation E- Structurelle O
Question8 : Parmi les attaques informatiques suivantes quelle est celle qui peut être R
qualifiée d’attaque passive ? M
A
A - modification B- interception C- Fabrication D- Interruption E- Destruction
T
Question9 : Parmi les propositions suivantes laquelle correspond le mieux à la I
définition d’une infraction informatique ? Q
U
A – « Tout comportement illégal, immoral ou non autorisé qui implique la E
transmission et/ou le traitement automatique des données »
B- « tout comportement illégal qui implique l’usage de l’informatique et des
télécommunications »
Question10 : Expliquez comment le concept de « séparation des taches » contribue
à la sécurité informatique d’une organisation.
F
I
U.E 1 : Utiliser les fichiers multimédias
C
H
I
E
R
S
M
U
L
T
I
M
É
D
I
A
S
Compétences visées :
Décrire les caractéristiques (définition, résolution, taille) d’une image
Calculer la résolution d’une image matricielle ;
Calculer la taille d’un fichier multimédia (image, son, vidéo) ;
F
Situation problème : I
C
Lors du mariage du frère de Paul, il le charge du reportage (enregistrement H
audio, photos, vidéos, etc.) qu’il réalise grâce à un appareil adéquat et les stocke dans I
E
son ordinateur. Puisqu’il doit partager les fichiers, il vérifie les caractéristiques et
R
obtient les informations parmi lesquelles : la résolution, la définition, la taille. Paul S
ne comprenant pas ces différents éléments viens vous demandez votre aide pour :
M
i.Décrire les différentes caractéristiques d’une image numérique.
U
ii.Décrire comment calculer la résolution d’une image ; L
iii.Expliquer comment calculer la taille d’un fichier (image, audio, vidéo) T
I
M
É
INTRODUCTION D
I
L’ordinateur est généralement utilisé pour les activités communes comme A
écouter la musique, regarder les films, jouer. Cette utilisation fait de l’ordinateur un S
appareil multimédia car il allie simultanément du texte, de l’image, du so n, de la vidéo
qui sont tous des médias. Un média est un support de communication
Poids
Taille d'un MP3 à 192kbit/s d'une durée de 3,75 minutes : [temps (s)] x débit
(kbit/s) / 8000: [3,75 × 60] × 192 / 8000 = 5,4Mo.
2. Vidéos
Le poids d'une vidéo dépend de son débit d'encodage et de sa durée. Si le
poids s'exprime généralement en méga-octets (Mo), le débit est généralement connu
en kilobits/seconde (Kbps). Pour effectuer les conversions, on sait qu'un octet = 8
F 3. I mage (photo)
I La taille d’un fichier image est calculée en multipliant la surface d’un
C document (hauteur × largeur) à numériser par la profondeur de bit et le dpi au carré.
H
I La taille de l’image étant exprimée en bytes ou octets, le nombre obtenu est divisé
E par 8.
R Formule 1 : Taille du fichier = (hauteur × largeur × profondeur de bit × dpi 2)/8
S
Si les dimensions en pixels sont données, multipliez-les entre elles et par la
M profondeur de bits pour définir le nombre de bits d’une image. Par exemple, si une
U image 24 bits est capturée avec un appareil photo numérique aux dimensions de
L
T
2048 par 3072, alors la taille du fichier est égale à (2048 × 3072 × 24)/8, soit
I 18.874.368 bytes
M
É
D
Formule 2 : Taille du fichier = (dimensions en pixels × profondeur de bit)/8
I 1kilo-octet (KB ou Ko)= 1024 bytes ou octets ;
A 1Megaoctet (MB ou Mo)= 1024 KB (ou Ko) ;
S
1 gigaoctet (GB ou Go)= 1024 MB (ou Mo) ;
1 teraoctet (TB ou To)= 1024 GB (ou Go)
EXERCICES
Exercice 1
1. Définition : image, définition, résolution et taille d’une image.
2. Donner les deux principaux type d’image.
3. Citer les principales caractéristiques d’une image.
Exercice 2
F
1.Déterminer le nombre de pixel d'une image 800×400. Déterminer la largeur et la
I
hauteur de cette image sachant qu'elle présente une résolution de 72 ppp. C
2. Calculer la résolution d’une image bitmap carrée de côté 10 cm et de dé finition H
I
800 × 800. E
R
Exercice 3 S
Un son audio a une fréquence d’échantillonnage de 44,1 kHz (44 100 Hz) et une
M
hauteur de quantification sur 16 bits sachant qu’on a deux piste. Calculer le débit U
binaire de cet audio. L
T
I
Exercice 4 M
On veut réaliser une carte postale de format 10cm x 15cm, orientation portrait, É
D
qualité professionnelle
I
a) Quelle doit être la résolution de cette image ? A
b) Calculer le nombre de pixel pour cette image. On prend 1 pouce=2,5cm S
c) Calculer le nombre de lignes de pixels pour cette photo. On prend 1 pouce=2,5cm
Exercice 5
La notice d'un appareil photographique numérique indique une « résolution » du
capteur CCD de 3072 x 2048, soit 6,3 mégapixels (Mpx). Une image est dite de
qualité « photo » quand la taille du pixel est suffisamment petite pour qu'un œil
normal n'en perçoive pas les détails. On considère qu'un œil normal peut percevoir
des détails lorsque les rayons lumineux issus de ces détails arrivent dans l'œil avec un
angle supérieur à une minute. En codage normal, un pixel est codé en RVB 24 bits.
M
U
L
T
I
M
É
D
I
A
S
S
Y
S
T
È
M
D
‘
I
N
F
O
U.E 2 : Méthodes d’analyse et de conception des R
systèmes d’information M
A
T
I
O
N
Compétences visées :
Décrire les systèmes d’une entreprise,
Énumérer les composants d’un SI,
Décrire les fonctions d’un SI.
S
Y
S Situation problème :
T Vous avez été sélectionné pour faire un stage de vacance dans une
È
M boulangerie de fabrication du pain dans votre quartier. A la fin de votre stage, la série
E de question suivante vous êtes posée afin de vérifier vos compétences acquises.
S
1. De quoi a besoin l’entreprise pour fabriquer du pain ? Comment fait-elle pour
D acquérir ce besoin ?
‘
I 2. Proposer quelques exemples d’actions du dirigeant de cette entreprise
N 3. Donner quelques exemples d’actions des employés de cette entreprise
F
O 4. Comment l’entreprise fait-elle pour mémoriser, traiter et diffuser ses
R informations ?
M
A 5. Quel nom donne-t-on à l’ensemble des ressources de l’entreprise permettant de
T recueillir, d’enregistrer, de traiter et de diffuser les informations ?
I
O
N INTRODUCTION
Toute entreprise recherche une bonne organisation afin d’atteindre
facilement ses objectifs. L’entreprise s’attarde beaucoup à l’information car cette
dernière lui permet de prendre des décisions. Une information représente un élément
de connaissance pouvant être collecté, traité, conservé et diffusé dans une
organisation. Pour gérer l’information, l’entreprise dispose d’une composante
capable de collecter, de stocker, de traiter et diffuser les informations : C’est le
système d’information (SI ). Ainsi, Un SI est l’ensemble de ressources (matérielles,
logicielles, humaines) structurées pour collecter, traiter, mémoriser et diffuser
l’information au sein d’une organisation. Dans la suite de notre cours, nous
1. Le système de pilotage : S
Il est chargé de diriger l’entreprise et de prendre des décisions sur les actions Y
S
à conduire. Il contrôle le système opérant en décidant de son comportement compte T
tenu des objectifs de l’entreprise. È
M
E
2. Le système opérant : S
Environnement
S
a. L’utilisateur final :
Y Il s’agit de toute personne qui utilise le système d’information ou
S
T
l’information qu’il produit. Ce type d’utilisateur peut aussi contribuer à l’acquisition,
È au stockage et au traitement de l’information.
M
E
Exemples : Les commerciaux, les clients, les Direction des Ressources
S Humaines, les Dirigeants, etc.
D
‘ b. Les informaticiens : ces sont des spécialistes (analyste, programmeurs, operateurs,
I
N
etc.) des SI capables de concevoir, d’implanter et de faire fonctionner le SI.
F
O
R
Exemples :
M Les analystes : conçoivent le Système d’information en fonction des besoins
A
T
d’information des utilisateurs ;
I Les programmeurs : élaborent des programmes informatiques en fonction des
O
N
exigences des analystes ;
Les operateurs : exploitent sur ordinateur les systèmes d’information.
EXERCICES
Exercice 1
1. Définir les expressions suivantes : entreprise, Information, donnée, Système
d’information, Système informatique, ERP,
2. Décrire les différentes composantes d’un SI,
3. Donner 4 fonctions d’un SI,
4. Décrire brièvement chacun des systèmes suivants : Système de pilotage, Système
opérant, S
Y
5. Illustrer à l’aide d’un schéma, les différents systèmes d’une entreprise, S
6. Proposer quelques exemples d’acteurs (interne/externe) dans une organisation, T
È
7. Proposer quelques exemples de Cellule de Direction dans une entreprise M
8. Quelle relation existe-t-il entre le Système d’information et le système E
S
informatique ?
D
‘
Exercice 2 : SI d’un lycée I
Pour vous inscrire dans votre lycée, vous avez déposé un dossier d'inscription qui a N
F
été étudié. Après quoi, vous avez reçu un courrier d'acceptation de ce dossier et votre O
inscription a été validée. R
M
Au début du mois de septembre, une réunion du Conseil d'administration, présidée A
par votre proviseur, a déterminé des dates qui bornent chacun des trimestres de T
I
l'année scolaire qui débute. Ces dates sont inscrites dans le règlement intérieur de O
l'établissement scolaire. N
Le proviseur fixe les dates des conseils de classe de chaque trimestre en fonction de
ces bornes. Les professeurs doivent avoir rempli les bulletins trimestriels 3 jours
avant la date du conseil de classe. Les professeurs doivent également relever les
absences de leurs élèves, et les faire remonter à la scolarité qui établit des synthèses à
l'attention du proviseur.
Vos parents (si vous êtes mineurs) sont informés de vos résultats par l'intermédiaire
du bulletin trimestriel qui leur est adressé. Lorsque vous formulez un choix
d'orientation, celui-ci doit également être confirmé par vos parents.
1. Déterminez quels sont les éléments qui font partie dans un lycée du :
a. système de pilotage,
S
Y
S
T
È
M
E
S
D
‘
I
N
F
O
R
M
A
T
I
O
N
Compétences visées :
Décrire les intérêts d’un SI
Énumérer quelques méthodes d’analyse et de conception d’un SI
Situation problème : S
Vous avez été désigné chef de votre salle de classe, et comme première tâche Y
S
vous êtes censé mettre sur pied un moyen pour gérer la discipline dans la salle de T
classe. È
M
1- Quelle démarche allez-vous adopter? E
2- De quels outils allez-vous vous en servir? S
I- INTÉRÊT D’UN SI
Le système d'information contribue au pilotage de l'organisation ou de ses
activités en fournissant de l'information pour son management, il aide ainsi a la prise
de décisions
Un bon système d’information permet à une organisation d’accéder de
comprendre et de réagir à une information rapidement et efficacement.
Pour les entreprises, la capacité de modifier les données en informations est
utile, et inestimable pour le succès de ses affaires dans la résolution des problèmes
qu’elle rencontre.
D
‘
I 1- Rôle d’une méthode d’analyse
N Le besoin d’une méthode est née de la volonté d’uniformiser la résolutions
F
O de certains problème en matière d’analyse de système. Une méthode d’analyse et de
R conception de SI a un double rôle :
M
A Elle guide et indique comment aborder les problèmes.
T Elle propose des normes ou des standards de présentation de résultat
I
O
N 2- Quelques méthodes d’analyse et de conception
Il existe plusieurs méthodes d’analyse et de conception des systèmes
d’information. Chaque méthode répond à une approche bien définie. Les plus
connues sont :
METHODE APPROCHE DESCRIPTION
MERISE : Méthode systémique Cette méthode est adaptée pour les
d’Etude et de Réalisation projets internes aux organisations se
I nformatique pour les limitant à un domaine précis.
Systèmes d’Entreprise
EXERCICES
T
I
O
N
Exercice 1
1- décrire deux intérêts du système d’information dans une organisation.
2- définir les concepts suivants : modèle, méthode d'analyse et de conception.
3- citer 4 exemples de méthode d'analyse et de conception de SI, et pour chacune
d'elle donner son approche.
Exercice 2
Donner un modèle abstrait des objets du monde reels suivant: une personne, un
ordinateur, une maison
B
A
S
E
S
D
U.E 1 : Généralités sur les bases de données
E
D
U.E 2 : Les caractéristiques d’une table
O
N U.E 3 : Les fonctions d’une base de données
N
É
E
S
Situation problème :
Le censeur chargé des premières de votre lycée a du mal à gérer
les enseignants, les apprenants, les notes et les cours de son niveau. Il
pense qu’un outil informatique pourrait l’aider dans l’automatisation de
sa tâche quotidienne.
Objectifs
Décrire les composants d’un SGBD
Énumérer quelques exemples de SGBD ;
Énumérer quelques domaines d’application des bases de données ; B
Déterminer quelques utilités des bases de données ; A
S
Activité : E
- De quel outil aurait-il besoin. S
- Qu’est-ce qu’une base de données ?
- Donner l’importance d’une base de données D
- Quel logiciel permet la définition et la manipulation des bases de données ? E
- Citer des exemples de SGBD
D
O
Une base de données est une collection structurée et organisée d’information N
ayant un objectif commun, stockées de manière à limiter les redondances et à faciliter N
son exploitation. É
E
I. UTILITÉS D’UNE BASE DE DONNÉES S
Une base de donnée est un outil informatique robuste et capable de
supporter de forts volumes de données ; ces données peuvent être locale, c'est-à-dire
utilisable sur une machine par un utilisateur, ou bien répartie, c'est -à-dire que les
informations sont stockées sur des machines distantes et accessibles par réseau.
Une base de données permet de gérer finement les droits d’accès à la lecture
et la modification des données : elle permet de mettre des données à la disposition
d'utilisateurs pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en
2 Exemples de SGBD
On distingue plusieurs SGBD parmi lesquels :
Microsoft Access
MySQL
MicrosoftSQL B
Oracle A
DB2 S
Sybase E
PosgresSQL S
D
E
EXERCICES
D
Exercice 1
1. Définir base de données, SGDB O
2. Quelle différence faites-vous entre une base de données et un fichier texte N
ordinaire ? N
3. Citer 03 utilités d’une base de données tout en les expliquant clairement É
4. Citer 05 exemples de SGDB E
5. Décrire les 03 fonctions d’un SGBD S
6. Quels sont les composants d’un SGBD ?
Objectifs
Décrire les éléments caractéristiques d’une table
Décrire les contraintes d’intégrités
B
A Activité
S Après avoir pris en compte l’avis de plusieurs d’entre vous, votre cenceur
E pense qu’il aura besoin d’une table ELEVE.
S - Qu’est-ce qu’une table ?
- Citer quelques éléments caractéristiques de cette table
D - Sachant qu’une contrainte d’intégrité est un ensemble de règles qui définit la
E cohérence d’une donnée ou d’un ensemble de données de la base de données, citer
quelques contraintes d’intégrité que peuvent respecter la table ELEVE
D
O I. ÉLÉMENTS CARACTÉRISTIQUES D’UNE TABLE
N Une table ou relation est un ensemble de données organisées sous la forme
N d’un tableau à deux dimensions où les colonnes représentent les catégories
É d’informations et les lignes à des enregistrements.
E Un enregistrement ou ligne est une ligne d’une table dans un modèle
S relationnel ; c’est une occurrence, un exemple d’une table.
Un attribut ou colonne est une propriété caractéristique d’une table, une
colonne d’une table dans un modèle relationnel ;
Une clé primaire est un attribut (ou un ensemble d’attributs) permettant
d’identifier de manière unique une table. Elle est généralement soulignée.
Une clé étrangère d’une table est un attribut qui est clé primaire dans une
table et qui se retrouve dans une autre table. Elle est généralement précédée par le
symbole « # »
D EXERCICES
E Exercice 1
Objectifs
Décrire les fonctions de manipulation d’une base de données
Décrire les fonctions de définition d’une base de données
B
Activité :
A
Monsieur le censeur sait désormais qu’il aura besoin de la table ELEVE, et
S
aimerai créer cette table.
E
Que doit-il prendre en compte au moment de créer la table ?
S
Quelles sont les opérations qu’il peut réaliser pour modifier la structure de la
table ELEVE ?
D
Quelles sont les opérations qu’il peut réaliser pour manipuler les données de la
E
table ELEVE ?
D
En plus du contrôle de l’accès aux données, les SGBD permettent la
O
définition et la manipulation des données.
N
N
I. LES FONCTIONS DE DÉFINITION D’UNE BASE DE DONNÉES
É
Grâce au langage de définition de données (LDD) qu’il intègre, le SGBD
E
permet de définir la structure de la base de données, de créer et de supprimer les
S
objets dans la BD (tables, contraintes, vue, …) ; Il permet également de définir le
format des données.
Parmi les fonctions de définition de données, on distingue :
Création de la base de données :
Création d’une table : pour créer une table, il faut préciser les différents éléments
caractéristiques de cette table au moment de sa création et les différente contraintes
d’intégrité.
ELEVE(matricule : entier, nom : caractère, prenom : texte, age : entier, tel : entier)
Ajout de colonne d’une table : on ne peut ajouter qu’une colonne dans une table
existante :
B Exemple : ajout de l’attribut classe dans la table ELEVE
A ÉLÈVE
S matricule Nom Prénom Classe Age Tel
E
S ELEVE(matricule : entier, nom : caractère, prenom : texte, Classe : caractère, age :
entier, tel : entier)
D
E Renommage des colonnes d’une table : consiste à changer le nom d’une colonne ;
Exemple : modifier la colonne Age en date_naissance
D ÉLÈVE
O matricule Nom Prénom Classe date_naissance Tel
N
N ELEVE(matricule : entier, nom : caractère, prenom : texte, Classe : caractère,
É date_naissance: entier, tel : entier)
E
S Modification du type de donnée d’une colonne : consiste à modifier le format
des valeurs d’une colonne.
Exemple : Changer te type de « matricule », d’entier à caractère
Suppression des tables : lorsqu’on supprime une table, elle n’existe plus et si elle
contenait des données, elles sont perdues
EXERCICES
Exercice 1
Soit la base de données suivante :
La base de données Gestion_commande est utilisee dans un super marché pour
l’editer des factures de ses clients et de pour gérer ses stocks. Le schéma de la base de
données client :
B Client(numClt, nom, adresse, ville, compte)
A Produit(numPro, libelle, prix, qteStock)
S Commande(numCmde, numClt, dateCmde)
E Detail(numPro, numPro, qteCmde)
S 1. Combien de table compte cette BD ? décrive chacune de ces tables en ressortant
la clé primaire, le type de chaque attribut, …
D 2. Citer 04 contraintes d’intégrité que doivent respecter certains attributs de ses
E tables ;
3. Donner 01 exemple de client, de produit, de commande et de détail de commande
D 4. Modifier la structure d’une table client en y ajoutant l’attribut « Categorie » ;
O 5. Renommer une table « Detail » en « detail_Commande » ;
N
N
É
E
S
S
T
U.E 1 : Les structures itératives R
U
C
T
U.E 2 : Les structures conditionnelles U
R
E
S
S Situation problème :
T Lors d’une course de résistance, votre enseignant vous demande d’effectuer
R
U 4 tours du stade de jeux votre lycée. Pour cela il se dote d’un chronomètre pour
C
T
vérifier le temps mis et note à chaque fois le nombre de tours faits sur un tableau (1,
U 2, 3 ….).
R
E Mettez-vous en groupe de trois, et répondez aux questions suivantes :
S 1- Quelle est l’action qui sera à chaque fois répétée ?
A 2- Pour qu’elle condition doit t’on arrêter de répéter l’action identifiée plus haut ?
L
G
3- Compléter la phrase suivante :
O Tant que ………………. nous continuerons à courir.
R
I 4- Quelles sont les structures de contrôles mises en exergue dans les questions
T précédentes ?
H
M Le compteur du nombre de tours augmente chaque fois d’une unité (1, 2, 3)
I
Q
5- A structure de contrôle cela renvoie t’il ?
U
E
S
INTRODUCTION
Les opérations élémentaires relatives à la résolution d‘un problème, peuvent
en fonction de leur enchainement, être organisées suivant une famille de structures
algorithmiques fondamentales. nous pouvons citer :
Les structures séquentielles ;
Les structures alternatives ;
Les structures de choix ;
Les structures itératives ou répétitives
Nous allons dans le cadre de cette leçon, nous appesantir sur les structures
itératives.
I- RAPPEL
La structure itérative ou boucle répète l‘exécution d‘une instruction ou d‘un
ensemble d‘instructions. Sa forme dépend de la connaissance qu‘on a du nombre de
répétition de L‘action. On distingue deux cas.
1. Le nombre de répétitions n‘est pas connu ou est variable
On distingue deux structures de bases :
La structure RÉPÉTER JUSQU'A S
T
La structure TANT QUE FAIRE R
U
C
2- le nombre de répétitions est connu ou invariable T
U
On utilise la structure POUR R
E
S
II- LA STRUCTURE REPETER…JUSQU'A
A
Dans la structure REPETER …JUSQU'A, l‘action est exécutée une L
première fois puis sa répétition se poursuit jusqu‘a ce que la condition soit vérifiée. G
O
Elle se présente sous la forme suivante : R
I
SYNTAXE : T
Répéter H
M
Action ; I
Jusqu‘à condition vrai Q
U
E
S
III- LA STRUCTURE TANT QUE…FAIRE
SYNTAXE :
TANT QUE condition Faire
Action ;
FIN TANT QUE
Exemple :
I=1 ;
TANT QUE i < 5 FAIRE
AFFICHER (" bonjour à tous") ;
FIN TANTQUE
S
T
Exemple Pour i allant de 0 à 9 Pas de 1 faire
R Afficher(i) ;
U
C Fin pour
T
U
R
E
S
A
L
G
O
R
I
T
H
M
I
Q
U
E
S
EXERCICES
Exercice 1
1) Quelle différence y a-t-il entre les boucles REPETER et TANT QUE ?
2) Quels sont les données indispensables à l‘utilisation de la boucle POUR ?
3) Donner les syntaxes des boucles POUR, TANT QUE et REPETER.
Exercice 2 S
Écrire l‘algorithme permettant d‘afficher à l‘écran tous les nombres impairs inférieurs T
R
à 200. Utiliser la boucle POUR et TANT QUE. U
C
T
Exercice 3 U
R
Que produit l‘algorithme suivant : E
algorithme S
Variable N :Entier A
L
Debut G
N ←0 ; O
R
Repeter I
N ←N +3 ; T
H
Jusqu‘à (N > 45) vrai M
I
Fin Q
U
E
S
S
I. LES STRUCTURES ALTERNATIVES
T L‘instruction si permet de programmer une structure dite de choix (ou
R
U
alternative), permettant de choisir entre deux instructions ou plus, suivant la valeur
C d‘une expression Jouant le rôle de condition. La seconde partie, introduite par le mot
T
U clé SINON, est Facultative, de sorte que l‘instruction SI présente deux formes. On
R
E
distingue deux types de Structures alternatives :
S
EXERCICES A
L
G
O
Exercice 1 R
Votre papa décide de vous primer par rapport à la fin d‘année selon votre mention. I
T
Pour ce faire il vous impose les conditions suivantes : H
- Pour la mention p (passable) il vous achète des bonbons ; M
I
- Pour la mention AB il vous offre un vélo ; Q
- Pour la mention B Il vous offre une console de jeux ; U
E
- Pour la mention TB il vous offre un billet d‘avion pour Paris. S
Exercice 2
Écrire l‘algorithme qui prend en entrée deux nombres et affiche le plus grand.
S
T INTRODUCTION
R
U En informatique, une structure de données est une structure logique destinée
C
T
à contenir des données, afin de leur donner une organisation permettant de simplifier
U leur traitement. Différentes structures de données existent pour des données
R
E différentes ou répondant à des contraintes algorithmiques différentes. Parmis celles-
S ci nous pouvons citer des tableaux, des enregistrements, des listes des piles…
A Dans ce cours nous allons présenter de manière sommaire quelques unes.
L
G
O
R
I- ENREGISTREMENTS
I Les enregistrements sont des structures de données dont les éléments
T
H
peuvent être de type différent. Pour créer des enregistrements, il faut déclarer un
M nouveau type (type structuré), basé sur d'autres types existants.
I
Q Après avoir défini un type structuré, on peut l'utiliser comme un type normal
U en déclarant une ou plusieurs variables de ce type.
E
S Les variables de type structuré sont appelées enregistrements.
Les éléments qui composent un enregistrement sont appelés champs
Sa déclaration est la suivante :
Type
Structure nom_type
nom_champ1: type_champ1
…
nom_champN: type_champN
FinStruct
S
II-LISTES T
Les listes chaînées sont des structures de données semblables aux tableaux R
U
sauf que l'accès à un élément par un pointeur au lieu d’indice. Chaque élément étant C
repéré par ses voisins auxquels il est relié. T
U
Une liste étant complètement définie par : R
tete : Pointeur vers le premier élément E
S
Suivant : chaque élément possède un pointeur vers un autre nœud
A
Valeur :valeur(s) de la donnée (des données) d’un nœud L
Fin : Le pointeur suivant du dernier élément doit pointer vers NULL (la fin de G
O
la liste) R
Sa déclaration se fait de la manière suivante : I
T
typedef struct noeud H
M
{ I
char *nom; Q
U
int num ; E
struct noeud * suivant; S
} Noeud;
Noeud * tete;
Tete=NULL ;
III- PILES
La pile est une structure de données, qui permet de stocker les données dans
l'ordre LIFO (Last In First Out) - en français Dernier Entré Premier Sorti).
Une pille a un seul point d’accès, les données sont ajoutées ou retranchées
par l’intermédiaire de la tête d’accès appelé sommet de la pile.
EXERCICES
Exercice 1
Exercice 2
Les tableaux
OPO
Déclarer un tableau à une dimension ;
Parcourir un tableau pour effectuer la lecture, l’affichage, la recherche ;
Exécuter un algorithme simple utilisant les tableaux.
S
T
Situation problème : R
U
Au cours d’informatique l’enseignant demande d’écrire un algorithme C
permettant de saisir sept notes et de les afficher après avoir multiplié toutes les notes T
U
par 2. R
Voici notre solution : E
S
Algorithme Note
A
Variables N1, N2, N3, N4, N5, N6, N7 : Réel L
Début G
O
Ecrire ("Entrer la valeur de la 1er note") R
Lire (N1) I
T
Ecrire ("Entrer la valeur de la 2eme note") H
M
Lire (N2) I
Ecrire ("Entrer la valeur de la 3eme note") Q
U
Lire (N3) E
Ecrire ("Entrer la valeur de la 1er note") S
Lire (N4)
Ecrire ("Entrer la valeur de la 1er note")
Lire (N5)
Ecrire ("Entrer la valeur de la 1er note")
Lire (N6)
Ecrire ("Entrer la valeur de la 1er note")
Lire (N7)
Ecrire ("La note 1 multipliée par 2 est : ", N1 *2)
Ecrire ("La note 2 multipliée par 2 est : ", N2 *2)
A
L
INTRODUCTION
G En anglais Array, un tableau est une suite d'éléments de même type. Il utilise
O
R plusieurs cases mémoire à l'aide d'un seul nom. Comme toutes les cases portent le
I
T
même nom, elles se différencient par un numéro ou un indice. Dans ce cours on verra
H comment déclarer un tableau et l’utiliser pour exécuter des algorithmes.
M
I
Q
U
I- DÉCLARATION D’UN TABLEAU A UNE DIMENSION
E Un tableau est une structure de donnée T qui permet de stocker un certain
S
nombre d’éléments T [i] repérés par un index i. Les tableaux vérifient généralement
les propriétés suivantes :
tous les éléments ont le même type de base ;
le nombre d’éléments stockés est fixé.
La déclaration d'un tableau permet d'associer à un nom une zone mémoire
composée d'un certain nombre de cases mémoires de même type.
Parcours complet d'un tableau Le fait que les éléments d'un tableau soient
indicés permet de parcourir tous ces éléments avec une boucle, en utilisant une
variable qui sert d'indice et s'incrémente à chaque tour de boucle.
Exercice 1:
Écrire un algorithme permettant de saisir 20 notes et de les afficher après avoir
multiplié toutes ces notes par un coefficient fourni par l'utilisateur :
Solution :
Algorithme tableau_note
Variable Note : tableau[19] de Réels S
T
Coef, i : entier R
Début U
C
Ecrire ("Entrer le coefficient") T
Lire (Coef) U
R
//Remplissage du tableau Note E
S
Pour i Allant de 0 à 19 Faire
Ecrire ("Entrer la valeur de la note", i) A
L
Lire (Note[i]) G
Fin Pour O
R
//Affichage des notes * Coef I
T
Pour i Allant de 0 à 19 Faire H
Affiche(Note[i] * Coef M
I
Fin Pour Q
Fin U
E
S
Exercice 2 :
Écrire un algorithme qui déclare un tableau de 12 notes, dont on fait ensuite saisir
les valeurs par l’utilisateur, calcul la moyenne des notes et affiche à l’écran.
Solution :
Algorithme tableau_note
Variable Tab : tableau [8] de Réels
S, i : entier
Début
S←0
Pour i allant de 0 à 8 faires
Ecrire ("Entrez la note numéro ", i + 1)
Lire (Tab [i])
S ←S + Tab[i]
Fin pour
Ecrire ("Moyenne :", S / 9)
Fin
S
T
R
U
C
T
EXERCICES
U
R
E
S
Exercice 1
A
L
G Exercice 2
O
R
I
T
H
M
I
Q
U
E
S
F
O
N
C
T
I
O
N
S
E
T
U.E 1 : Notions de procédure et fonction P
R
O
C
É
D
U
R
E
S
Compétences visées :
Identifier et déclarer une procédure et une fonction.
Savoir passer des paramètres a une procédure et une fonction.
Exécuter un algorithme en utilisant une procédure et une fonction.
F
O
N
C
Situation problème
T Votre professeur titulaire fait appel à vous pour l’aider dans le calcul de
I
O
moyenne de chaque élève de votre salle de classe. Pour ce faire, il opte pour une
N solution algorithmique et vous devez l’aider dans l’élaboration de cette solution.
S
L’intitulé de chaque matière et son coefficient son connus. Lors d’une exécution,
E l’utilisateur devra donc entrer le nom de l’élève, pour chaque matière entrer sa note ;
T
l’algorithme affichera à l’écran la note finale de chaque matière, la note totale et la
P moyenne.
R
O
Quelle méthode peut-on prendre pour calculer la note finale de tous les élèves sans
C avoir à reprendre la même séquence d’instructions pour chaque matière ?
É
D
U INTRODUCTION
R
E Un algorithme est une séquence ordonnée et finie d’instructions dont une
S exécution correcte permet de résoudre un problème spécifique appartenant à une
classe de problèmes connus. Cette séquence d’instructions peut être constituée de
plusieurs sous-séquences d’instructions (les blocs). Dès lors, on peut constater
plusieurs répétitions d’un même bloc. Le corps de l’algorithme est donc très vaste, la
détection d’une erreur sur un bloc répétitif nécessite la correction sur tous les blocs
qui se ressemblent.
Pour contourner ces problèmes générés par les séquences d’instructions qui
se répètent, on utilise les procédures et les fonctions.
P
La syntaxe d’une procédure est la suivante : R
Procédure nom_de_la procédure (paramètre1:type1; …… paramètreN: type n ) O
C
Déclaration des variables et constantes É
Début D
U
/*Corps de la procédure*/ R
Finprocédure E
S
Exemple : Ecrire une Procédure qui renvoie la somme deux nombres et l’appeler dans
un algorithme.
procédure addition (a : Réel, b : Réel) Appelons notre procédure dans un
F Var S : Réel; /* le résultat qu’on va algorithme.
O
N
retourner*/ Algorithme exemple
C début Var x, y, P: Réel;
T
I
S←a+ b; Procédure addition ;
O afficher (‘’La somme est égale à :’’, S); Début
N
S
fin Ecrire (‘’Veuillez saisir deux nombres ‘’)
;
E
T
Lire (x) ; Lire (y) ;
addition (x, y);
P
Fin
R
O
C
É II. LES FONCTIONS
D Une fonction est un sous-programme qui effectue une tâche ou un calcul et
U
R qui renvoie ou retourne un résultat. Dans la plupart des cas, elle contient des
E paramètres( informations qui seront récupéré par la fonction et qui serviront à
S
l'exécution de la tâche ou du calcul.
REMARQUE :
Il faut bien faire la différence par la suite entre une Variable locale (variable
privée) et variable globale (variable publique). En Algorithmique, une variable locale
est une variable qui ne peut être utilisée que dans la fonction / procédure où elle est
définie. La variable locale s'oppose à la variable globale qui peut être utilisée dans
tout le programme. La variable locale n’a donc de visibilité qu’a l’intérieur de la
procédure / fonction.
CONCLUSION
Les procédures et fonctions permettent de : réduire la taille des algorithmes,
faciliter la lecture des algorithmes, faciliter la correction des erreurs, …. Une
procédure est une fonction qui ne retourne pas de valeur. Pour utiliser une procédure
ou une fonction, on doit la définir au préalable puis l’appeler chaque fois que le
F besoin s’impose. L’ordre, le type et le nombre des paramètres doivent à chaque appel
O
N d’une procédure ou d’une fonction être cohérent à sa déclaration. Dans une fonction
C récursive, on doit vérifier si la condition d’arrêt est possible pour n’importe quelle
T
I valeur des paramètres.
O
N
S
E
T
P
R
O
C
É
D
U
R
E
S
EXERCICES
Exercice 1
1) Donner l’avantage des procédures et fonctions, les critères à respecter lors d’un
appel.
2) Qu’elle est la différence fondamentale entre une fonction et une procédure ?
3) Écrire une fonction qui à base des notes et coefficient, retourne la moyenne d’un
élève
4) Écrire une procédure qui permet à un utilisateur de saisir la note pour une matière
PROGRAMMER EN HTML
P
R
U.E 1 : Insérer les fichiers multimédias dans une page web O
G
R
U.E 2 : Insérer des tableaux et formulaires en HTML A
M
M
U.E 3 : Organiser les dossiers du site et mise en place du CSS E
R
E
N
H
T
M
L
Situation problème :
P Lors de la création de votre site web, vous voulez réserver une page pour le
R téléchargement des musiques, des vidéos et photos à vos visiteurs. Comment allez
O vous insérer ces éléments dans votre page ?
G
R
A
M I. INSÉRER UNE IMAGE EN HTML
M Il fallait utiliser la balise <img> pour insérer une image dans un fichier
E HTML.
R
La balise <img> est représenté par une balise orpheline et possède deux
E attributs obligatoires : l'attribut src, qui sert à indiquer le chemin (relatif ou absolu)
N de l’image, et l'attribut alt qui sert à décrire l’image, dans le cas où l'utilisateur ne
pourrait pas la voir.
H Commençons donc par placer une image dans le même dossier que notre
T
M
fichier HTML et essayons de l’afficher. Ici l’image s’appelle « mon-lycee.png ».
L
<img src="mon-lycee.png" alt="photo de mon lycée">
EXERCICES E
N
Exercice 1
H
Exercice 2 T
M
Exercice 3 L
Exercice 4
Exercice 5
Compétences :
Insérer un tableau dans une page web
Créer un formulaire
Situation problème :
P
R Le club informatique de votre lycée veut permettre à chaque candidat à la
O coopérative de s’inscrire dans le site web du lycée en renseignant ses informations
G personnelles (nom, prénom, âge, …) dans une page web pour les organiser plutard
R et les afficher en lignes et colonnes. Quels sont les éléments permettent de recueillir
A
les informations des différents candidats ? Que peut-on utiliser pour organiser les
M
M données sous forme de lignes et colonnes ?
E
R I. LES TABLEAUX
Un tableau qu'est-ce que c'est ? Tout simplement une suite de lignes et de
E
N colonnes qui forment un ensemble de cellules. Les tableaux servent avant tout à
présenter des données tabulaires. Un tableau est délimité par les balises <table>
H </table>. Le contenu d'un tableau HTML est généré horizontalement. C'est-à-dire
T
M
qu'il n'est pas créé colonne par colonne mais ligne par ligne. Pour créer un tableau,
L nous commençons par créer des lignes, puis nous insérons dans ces lignes les cellules
du tableau. Le contenu (textes, images, autres balises) se trouve uniquement dans les
cellules et ne doit se trouver en aucun cas en dehors.
Exemple :
< table border= ‘1’>
< caption >Passagers du vol 377 </ caption > P
< tr > R
< th >Nom </ th > O
< th >Âge </ th >
G
< th >Pays </ th >
R
</ tr >
< tr > A
< td >Carmen </ td > M
< td >33 ans </ td > M
< td >Espagne </ td > E
</ tr > R
< tr >
< td >Michelle </ td >
< td >26 ans </ td > E
< td >États - Unis </ td > N
</ tr >
</ table > H
T
M
L
II. LES FORMULAIRES
Toute page HTML peut être enrichie de formulaires interactifs, qui invitent
vos visiteurs à renseigner des informations : saisir du texte, sélectionner des options,
valider avec un bouton . . . tout est possible ! Nous arrivons cependant aux limites
du langage HTML car il faut ensuite pouvoir analyser les informations que le visiteur
a saisies. ... et cela ne peut pas se faire en langage HTML. Comme nous allons le
voir, le traitement des résultats doit s'effectuer dans un autre langage, par exemple le
PHP.
Chaque élément doit être nommé, pour cela on utilise l'attribut NAME. Le nom
ainsi défini permet d'identifier les données lors de leur envoi. Il doit être unique, sauf
dans le cas d'un ensemble composé de plusieurs éléments (boutons radio par
exemple). Un autre attribut VALUE est commun à ces balises, mais son rôle est
différent selon le type d'élément utilisé.
Remarque : Pour le type “radio”, les attributs “name” doivent porter la même
valeur sinon il y aura possibilité de choisir plusieurs valeurs comme pour les cases à
cocher
L'élément SELECT
Cet élément sert à définir des listes (menus déroulant ou ascenseurs). Elle
s'utilise avec la balise OPTION.
Exemple résultat
P <select name="menu">
R <option> Pomme </option>
O <option> Banane</option>
G <option> Orange</option>
R <option selected> Citron
A </option>
M <option> Pêche </option>
M <option> Poire </option>
E </select >
R
L'élément TEXTAREA
E
Permet de créer une zone de texte en spécifiant sa taille grâce aux attributs
N
ROWS et COLS.
H Exemple Résutat
T
M
L
<textarea name="comm" rows=10
cols=40>
Tapez vos commentaires ici
</textarea>
Compétences visées :
Créer un dossier principal et des sous-dossiers en fonction de fichiers utilisés
et des thèmes traités
Regrouper les fichiers à utiliser en fonction de leur nature et en fonction du
thème ou des parties du site P
Créer un fichier de style externe R
O
G
Problème : Le club informatique de votre établissement lance le projet de R
développement de son site Web, ce site doit entre-autre faire une présentation A
générale de l’établissement mais aussi les activités des autres clubs tels que club M
journal, club anglais, club santé… Chaque club dans le site web doit avoir un espace M
E
pour la publication de ses activités et ses éventuelles photos et fichiers.
R
Proposez une organisation structurée de ce site web ainsi que les fichiers présents de
ce site E
Solution N
On aura un dossier global qui représente le site web
H
Dans ce dossier on va créer un dossier pour chaque club et chacun de ces dossiers T
contiendra un dossier pour les images, un dossier pour les fichiers audio, un dossier M
L
pour les vidéos…
OBJECTIFS
PUBLIC VISE
P
R
O II- INSERTION DU CSS DANS UNE PAGE HTM
G Le CSS (Cascading Style Sheet) est un langage permettant la mise en forme
R
des pages Web. Le css agit sur des éléments de langage html nettement sur des balises
A
M qui représentent des sélecteurs.
M Dans un document html, on peut insérer le code css soit :
E Dans une balise html sous forme d’attribut
R syntaxe : <balise style="propriété : valeur">
Exemple: <p style="color :blue">
E
N
Dans l’entête de document html : entre les balises <head>……</head> inserer la
H balise <style type="text/css" >
T Saisir le code css ici
M
</style>
L
EXERCICES
Exercice 1 P
On veut ajouter dans le site web de votre lycée une page web permettant à chaque R
élève d’écouter ses chassons préférées ou de suivre des documentaires durant la O
G
semaine culturelle du mois de février
R
Saisir la structure minimale d’une page html A
Reproduire le code suivant entre les balises<body> et </body> M
M
<table border="1">
<tr> E
<td R
colspan="2"
>ligne1, colonne 1 et 2</td> E
<td>ligne1, colonne3</td>
</tr> N
<tr>
<td>ligne2, colonne1</td> H
<td>ligne2, colonne2</td> T
<td>ligne2, colonne3</td> M
</tr> L
</table>
Enregistrer sous votre nom .html dans un dossier qui porte le nom de votre classe
sur le bureau de votre ordinateur
Ouvrer la page avec votre navigateur et décrire ce que vous voyez
Modifier votre code comme suite :
<table border="1">
<tr>
<td rowspan="2">ligne 1 et 2, colonne1</td>
<td>ligne1, colonne2</td>
<td>ligne1, colonne3</td>
</tr>
<tr>
<td>ligne2, colonne2</td>
<td>ligne2, colonne3</td>
</tr>
</table>
P
R
O Remplacer les données de vos tables par les balises <audio>et <video> pour
G obtenir un tableau de don éventuellement de video, au préalable prenez les fichiers
R audio et vidéo que vous enregistrez au prélable dans le dossier contenant votre page
A web
M
M Insertion d’audio
E
<audio controls>
R
<source src="hype_home.mp3">
E <source src="hype_home.ogg">
N </audio>
H
T
M
L Insertion de video
PROGRAMMER EN JAVASCRIPT
fonctions en JavaScript E
N
Situation problème
Votre camarade vient de créer un formulaire en HTML permettant
d’entrer les données par un utilisateur et souhaiterait contrôler et
manipuler ces données (vérification de la saisie, convertir les données
numériques, …). Peut-il le faire en HTML ? sinon proposez lui un
langage approprié.
Introduction au JavaScript
Compétences visées :
Énoncer les limites du HTML liées à l’interactivité
Définir JavaScript
Énoncer les avantages et limites de JavaScript
P
R
Utiliser la balise script
O
G
R Activité
A
M
1. Donner le role des balise form, input, a
M 2. Donner le role des attributs name, value, id, type
E
R
3. Justifier cette affirmation : le HTML et le CSS permettent de créer des pages web
statiques
E
N
4. Quand dit-on qu’une page web est interactive
5. Qu’entendez-vous par coté client, coté serveur
J
A
V INTRODUCTION
A
S Le html et le CSS nous permettent de créer et mettre en forme des pages
C web dites statiques car elles ne peuvent pas interagir avec l’utilisateur (récupérer ou
R
I vérifier les données saisies par un utilisateur par exemple). Pour Remédier à ce
P problème, des langages tels que, ASP, PHP, ou JavaScript ont vu le jour. Le
T
JavaScript a été développé par Netscape en 1995 sous le nom de LiveScript et
s’exécute directement sur le navigateur de l’utilisateur.
web.
Dans ce second cas, la balise <SCRIPT> contiendra un attribut src faisant référence
au fichier externe : < script src= ”mon_fichier_externe.js”> code ici </script> ; Ceci
a pour avantages entre autres d’alléger la page HTML la rendant plus lisible, et
rendre le code réutilisable et plus facilement maintenable.
Remarque : Il est vivement conseiller d’inclure des commentaires personnels dans vos
codes JavaScript comme pour tous les langages de programmation. JavaScript utilise
le symbole « // » pour des commentaires de fin de ligne et « /* … */ » pour des
commentaires sur plusieurs lignes.
P
R
O EXERCICES
G
R Exercice 1
A
M
1) Définir script, javascript
M 2) Pourquoi utilise-t-on du javascript dans les pages web
E
3) Que signifie l’expression « langage coté client »
R
4) Donner deux avantages ainsi que deux limites du langage javascript
E
N
5) Soit l’affirmation suivante : « le code javascript peut être insérer partout dans une
page web »
J
a. Dire en justifiant si cette affirmation est vraie
A
V b. Peut-on utiliser le code javascript en dehors de la page web ? si oui comment ?
A
6) Les commentaires permettent entre autres d’assurer la maintenabilité du code ;
S
C comment insérer un commentaire en javascript
R
I
P
T
1 L’instruction d’affectation.
Cette instruction permet d’attribuer une valeur ou le résultat d’une
expression à une variable.
Syntaxe : nom_variable=valeur ; Exemple : nombre = 19
prenom = "zavier"
E
N
J
3 L’instruction d’affichage ou de sortie ou d’écriture. A
V
Pour afficher du texte en JavaScript on peut utiliser la méthode write() ou la méthode A
alert() S
C
Syntaxe : R
document.write("texte à afficher") ; ou alert("texte à afficher") ; I
P
document.write(nom_variable) ; ou alert(nom_variable) ; T
Exemple :
alert("Que c’est facile la première scientifique !") ; l’exécution de cette commande va
afficher une boite de dialogue d’alerte similaire à celle présentée ci -contre et
l’utilisateur n’a plus qu’a cliquer sur ok pour continuer.
P
R
O
G
R
A
M
M
E Remarque : La réponse de la commande prompt() est toujours une chaîne de
R caractères.
E Si on désire récupérer un nombre, il faut utiliser la fonction parseInt (pour convertir
N en un nombre entier) ou parseFloat (pour la convertir en nombre à virgule).
J Syntaxe : parseInt(chaine) ou parseInt(var) ; parseFloat(chaine) ou parseFloat(var)
A Exemples :
V
A Age= prompt("Entrer votre age") ;
Ou Age = parseInt(prompt("Entrer votre ag
S parseInt(Age) ;
C
R parseInt(“23AZer”) et parseInt(“23”) ; //ces deux instructions retournent le
I nombre 23.
P
T Rayon = parseFloat("24.568Bonjour38"); //cette instruction renvoie le nombre
24.568
E
N
EXERCICES
Exercice 1
J
A 1) Qu’est-ce qu’une variable
V 2) Quelle différence faites-vous entre une variable et une constante
A
S 3) Justifier l’affirmation suivante : « le javascript est un langage faiblement typé »
C 4) Que signifie cette affirmation : « en javascript, une variable peut être déclarer
R
I implicitement »
P 5) Parmi les variables suivantes, identifier celles qui sont non valides et justifier :
T
_123 ; pianic26 ; yahoo@; première_CD ; lyoss-plus; grand prof; 4points; alert;
facile!_bizarre8
Exercice 2
Soit le script:
<script language = "javascript">
var age = parseInt(prompt("entrer votre age svp")) ;
</script>
a. Quel est le type de donnée retourné par défaut dans un prompt
b. Déduire le rôle du parseInt dans ce script
120 Groupe WhatsApp « Les grandprofs Info »
10- Programmer en JavaScript
Exercice 3
Soit le script :
<script language = "javascript">
var nombre1 = parseInt(prompt("entrer le premier nombre svp")) ;
var nombre2 = prompt("entrer le deuxième nombre svp") ;
alert(nombre1 + nombre2) ;
</script>
a. Quel sera le contenu de la boite de dialogue alert si l’utilisateur entre P
R
respectivement O
i.04 et 88 G
R
ii.123bonjour et salut A
b. Corriger ce script pour retourner effectivement la somme de nombre1 et M
M
nombre2 E
R
Exercice 4
E
Déterminer le contenu des variables d, e et f dans le script suivant : N
<script language = "javascript">
J
a = 25 ; b = 12 ; c = 2 ; A
a++ ; b-- ; c*=3 ; V
A
d = a%b ; e = (b==c) ; f = e && d S
</script> C
R
I
Exercice 5 P
T
1) Écrire un script qui demande à l’utilisateur le rayon et la hauteur d’un cylindre et
affiche son volume
a. Dans une boite de dialogue
b. Sur la page
2) Écrire un script qui demande le nom et le prénom de l’utilisateur puis affiche le
nom complet
Compétences visées :
Traduire des algorithmes séquentiels, conditionnels et itératifs en JavaScript
Déclarer un tableau et une fonction en JavaScript
P
R Activité
O
Qu’est-ce qu’une structure conditionnelle ? une structure répétitive ?
G
R Qu’est-ce qu’une fonction ? une procédure ?
A
M
M Soit l’algorithme suivant :
E
Algorithme sans_nom
R
Var nombre : entier ;
E
N
Début
nombre 4 ;
J
Tantque (nombre #0) faire
A
V Ecrire ("entrer un nombre pair positif")
A
Lire (nombre)
S
C Si ((nombre < 0) ou (nombre mod 2 # 0)) alors
R Ecrire ("le nombre doit être pair et positif")
I
P finSi
T finTantque
Fin
1. Que fait cet algorithme
2. Que se passe-t-il si l’utilisateur saisi les valeurs :
a. -2
b. 5
c. 0
3. Relevez dans cet algorithme une structure conditionnelle et une structure
itérative
4. Traduire cet algorithme en script JavaScript
P
I. LES STRUCTURES CONDITIONNELLES R
a Structure avec une alternative (if…) O
G
L’instruction if est la structure de test la plus basique, elle permet d’exécuter les R
instructions lorsqu’une condition est vérifiée. La syntaxe est la suivante. A
M
I f (condition) { M
// liste d’instructions E
R
}
Il est possible de définir plusieurs conditions à remplir avec les opérateurs ET et OU E
N
(&& et ||) et s’il n’ya qu’une instruction, les accolades ne sont pas nécessaires.
Exemple : If(x= =2) document.write (‘’x vaut 2’’) J
A
V
b Structure avec deux alternatives (if … else…) A
S
Elle permet en plus d’exécuter d’autres instructions en cas de non réalisation de la C
condition. La syntaxe est la suivante R
I
if (condition) { P
// listes d’instructions T
} else {
// autres séries d’instructions
}
Exemple :
if (moyenne >= 10) {
document.write( "Admis en classe superieure");
} else {
J
A
Exemple :
V if ( reponse ==1 ) {
A
S
cadeau = “console”;
C }
R
I
else if ( reponse==3 ) {
P cadeau = “fleurs” ;
T
}
else {
cadeau = “rien du tout” ;
}
Remarque : Il existe une autre condition nommée « Switch » que nous ne verrons pas dans
ce cours!
a While
Elle correspond à la structure algorithmique «Tant Que» et permet
d’exécuter les <actions> aussi longtemps que <condition> est vraie. Si la condition P
est fausse au début, aucune instruction n’est exécutée. Les actions doivent permettre R
O
d’incrémenter la condition. Sa syntaxe est la suivante : G
while ( <condition> ) { R
A
<actions>; M
... M
E
} R
E
Exemple : N
<script language="JavaScript">
J
compt=1; A
while (compt<5) { V
A
document.write ("ligne : " + compt + "<br>"); S
compt++; C
} R
I
document.write("fin de la boucle"); P
</script> T
b Do…While
Elle correspond à la structure algorithmique «Repéter» et permet d’exécuter
les <actions> aussi longtemps que <condition> est vraie. Si la condition est fausse
au début, les instructions sont quand même exécutées une fois. Les actions doivent
permettre d’incrémenter la condition. Sa syntaxe est la suivante :
do {
<actions>
...
Exemple :
<script language="JavaScript">
compt=1;
do{
document.write ("ligne : " + compt + "<br>");
compt++;
P
R
}
O while (compt<5)
G
R
document.write("fin de la boucle");
A </script>
M
M
E Remarque :
R La boucle While doit être utilisée uniquement si on a une condition qui teste l’entrée
E dans la boucle, et la Do...While si la condition teste la sortie de la boucle (le corps
N de la boucle doit être exécuter au moins une fois). Il est également recommandé
J d’utiliser la boucle lorsque le nombre d’itération est connu d’avance.
A
V
A c For
S Elle correspond à la structure algorithmique «Pour» et la syntaxe est la suivante :
C
R for (compteur ; condition; modification du compteur) {
I <action>
P
T ...
}
Exemple :
<script language="JavaScript">
var somme=20;
for (i=10 ;i<=12 ; i++){
somme+=i ;
document.write("La somme est : " +somme+"<br>");
}
</script>
Interprétation :
La première ligne du script déclare un tableau vide ;
Ensuite on insère les prénoms «Ella», «Anicet» ;
On remplace la valeur d’indice 0 (c’est-à-dire «Ella») par «Raissa» ;
On range les données par ordre alphabétique ;
On entre dans une boucle «For» avec pour compteur «indice» initialisée à 0, la
condition de continuation «indice<2» car la taille du tableau est 2 ;
La boucle va afficher les valeurs du tableau indice après indice.
P
R
O 2 Les fonctions
G
R On appelle fonction un sous-programme qui permet d'effectuer un ensemble
A d'instruction par simple appel de la fonction dans le corps du programme principal.
M
M Une fonction qui ne retourne aucune valeur est appelée procédure. Dans JavaScript,
E les fonctions et les procédures sont définies par le mot clé function.
R
NB : Avant d’être utilisée, une fonction ou procédure doit être définie car pour
E l’appeler dans le corps du programme il faut que le navigateur la connaisse, c’est -à-
N
dire son nom, ces arguments (paramètres) et les instructions qu’elle contient.
J La déclaration d’une fonction ou procédure se fait en respectant la syntaxe suivante
A
V :
A Syntaxe :
S
C
function nom_fonction(parametre 1, parametre 2, ...) {
R <instructions >
I
P
<instructions >
T …..
[ return resultat; ] /* présent si c’est une fonction */
}
Exemple : fonction calculant le carrée d’un nombre qu’on lui passe en paramètre.
function carre(nombre){
res = nombre*nombre ;
return res;
}
Remarques:
a Fonctions prédéfinies
Javascript dispose aussi de fonctions mathématiques tels que : Math.abs(x),
Math.sqrt(x), Math.pow(x,y), Math.sin(x), Math.log(x), Math.random(),
P
Math.max(x,y), Math.min(x,y) etc.
R
O
b Portée d’une variable G
R
Toute variable déclarée en dehors de toute fonction, est dite variable globale A
et peut donc être exploiter partout dans le script tandis qu’une variable déclarée par M
M
le mot clé var dans une fonction aura une portée limitée à cette seule fonction et ne E
pourra donc pas être exploiter ailleurs dans le script. D'où le nom de variable locale. R
Par contre, toujours dans une fonction, si la variable est déclarée de manière implicite E
(sans utiliser le mot var), sa portée sera globale. N
J
A
V
A
S
C
R
I
P
T
EXERCICES
Exercice 1
QCM (questions à choix multiples)
1) En JavaScript, l’instruction permettant d’affecter la valeur 1 dans la 2e case du
tableau nommé tab est :
a- tab[1]=1 ; b- tab(1)=2 ; c- tab[2]=1 ; d- tab(1)=2
P 2) L’instruction permettant d’afficher la taille du tableau nommé tab en JavaScript
R est : a- Alert(tab.taille) ; b- Document.write(tab.size) ; c- Alert (Tab.length) ;
O
G d- Alert (tab.length) ;
R 3) L’une des méthodes suivantes permet de convertir un tableau en chaine de
A
M caractère ;
M a- concat() ; b- sort() ; c- join(); d- length()
E
R 4) Une structure permettant d’effectuer répétitivement une série d’opérations avec
une condition est :
E
N a- une fonction ; b- une boucle ; c- une procedure; d- une itération
5) Selon la hiérarchie des objets en JS, le bouton but1 du formulaire form1 peut être
J
A accéder par :
V a- window.form1.but1; b- document.form1.but1;
A
S c- document.window.form1.but1; d- window.but1 ;
C
R
I Exercice 2
P Répondre par Vrai ou Faux
T
1) On peut déclarer un tableau sans initialiser en JavaScript
2) La méthode prompt() est une instruction d’écriture ou de sortie
3) Le mot clé return est obligatoire dans la déclaration d’une procédure
Exercice 3
On considère le code JavaScript suivant. Répondre clairement aux questions
suivantes
J
A
Exercice 4 V
A
Le proviseur du lycée a besoin d’un élève de terminale parce qu’il aimerait calculer S
directement depuis une des pages web du site du lycée le nombre total des élèves et C
vous allez l’y aider. R
I
1. Donner la syntaxe d’une fonction en JavaScript P
2. Donner la syntaxe d’une boucle for en JavaScript T
3. Écrire une fonction nommée som_tab qui prend un tableau d’entiers en paramètre
et retourne la somme de ses valeurs
4. Déclarer sans initialiser un tableau nommé nbr_el_class qui enregistrera chaque
fois le nombre d’élèves d’une classe
5. Que fais ce bout de code ?
j=0 ;
do{
var a= parseInt(prompt("entrer un nombre d’eleves et 0 lorsque vous
avez parcouru toutes les classes") );
P
R
O
G
R
A
M
M
E
R
E
N
J
A
V
A
S
C
R
I
P
T
Compétences visées :
Utiliser l’évènement onclick
Utiliser les zones de saisie en javascript
Programmer un convertisseur
P
R
Activité O
G
1. Qu’est-ce qu’un formulaire ? R
A
2. Donner quelques éléments que nous pouvons retrouver sur un formulaire M
3. Comment déclare-t-on un formulaire sur une page web ? M
E
4. Écrire le code HTML permettant de créer un formulaire comportant :
R
a. Une zone de texte libellée taille en cm
b. Un bouton de validation avec la valeur convertir E
N
c. Une autre zone de texte libellée taille en pouce
5. On souhaite maintenant que lorsque la page est visualisée, l’utilisateur saisi sa J
A
taille en centimètre dans le champ prévu à cet effet, puis il clique sur convertir et sa V
taille en pouce doit être affichée dans le champ pour la taille en pousse. Comment A
S
procéder ? C
R
I
INTRODUCTION P
T
Le langage JavaScript associé au langage HTML permet de rendre les pages
web interactives ; (non seulement les utilisateurs peuvent prodiguer des informations
à une page web mais la page peut aussi réagir aux informations saisies par un
utilisateur). Les boites de dialogues comme nous l’avons déjà vu permettent par
exemple d’envoyer des messages aux utilisateurs ou d’obtenir des informations des
utilisateurs ; cette nouvelle leçon sera consacrée à l’étude d’un autre élément
d’interactivité dans JavaScript : les évènements
Exemple :
document.getElementById("lienProduits").href="products.html";
document.getElementById("img").scr = "photo.jpg";
document.getElementById("txt").value= "les ways forts";
Remarque : il est également possible d’accéder aux éléments d’une page par l’attribut
« name » mais cela donne généralement lieu à des codes plus long ; nous
n’aborderons donc pas cette notion dans cette leçon.
<html> P
R
<head> O
<meta charset = "utf-8"> G
R
<title>validation de formulaire avec javascript</title> A
</head> M
M
<body > E
<font face="times new roman"> R
<script language="javascript">
function convertir(){
var h_cm = document.getElementById("h_cm").value;
var h_m = h_cm / 100;
document.getElementById ("h_pd").value = h_m;
}
</script>
Groupe WhatsApp « Les grandprofs Info »
135
10- Programmer en JavaScript
</body>
</html>
P
R
EXERCICES
O Exercice 1
G
R
1) Définir évènement
A 2) Quel est l’évènement qui est supporté nativement par le langage HTML
M
M
3) Donner le rôle d’un gestionnaire d’évènement
E 4) Décrire brièvement quatre gestionnaires d’évènement
R
E Exercice 2
N
Soit un formulaire avec une zone de texte (avec cet attribut id = txtZone)
J a. Écrire une instruction permettant de garder la valeur de la zone de texte (le texte
A
V qu’elle contient) dans une variable txtVal
A b. Écrire une instruction permettant de remplacer ce contenu par la valeur « trop
S
C cool »
R
I
P Exercice 3
T En vous inspirant de l’exemple du cours,
a. Créer une page web contenant :
i. Une zone de texte (libellée nom complet)
ii. Deux boutons radios pour le sexe ( M et F)
iii. Un bouton pour valider (OK par exemple).
b. Par la suite, écrire une fonction permettant d’afficher le message :
« Bienvenu M. nom_complet » ou « Bienvenu Mme. nom_complet », suivant le sexe
choisi (où nom_complet désigne le nom saisie par l’utilisateur).
Ex : Bienvenu M. Lionel Sop ou Bienvenu Mme. Raïssa Ngah
PROGRAMMER EN C
P
U.E 1 : Introduction au langage C R
O
G
U.E 2 : Les structures de contrôle en C R
A
M
U.E 3 : Les tableaux en C M
E
R
U.E 4 : Les sous-programmes en C
E
N
U.E 5 : Exécution d’un programme C
C
Introduction au langage C
Objectifs pédagogiques :
Installer un compilateur C ;
Écrire la structure d’un programme C ;
Inclure les bibliothèques stdio.h, stlib.h, math.h et conio.h ;
Utiliser les fonctions d’entrée/sortie classiques (scanf, printf, get,) ;
P
R Situation problème :
O Votre ami souhaite utiliser l’ordinateur pour exécuter ses algorithmes. Pour
G cela, votre petit frère lui propose la traduction de ces algorithmes en langage C avant
R de les exécutés. Ne connaissant rien sur ce langage, il fait donc appel à vous dans le
A but de l’expliquer quelques notions sur langage C.
M
M Consignes :
E 1. Définir langage de programmation
R 2. A part le langage C, quel autre langage de programmation connaissez -vous ?
3. Comment appelle-t-on un algorithme déjà traduit en langage de programmation ?
E 4. Comment appelle-t-on l’application qui permet d’exécuter un programme sur un
N ordinateur ?
5. Donner la structure du programme écrit en langage C.
C 6. Donner le rôle des bibliothèques en langage C. Puis énumérer quelques exemples.
7. Donner une fonction utilisée en langage C pour :
- Afficher un message
- Lire une variable.
I. DÉFINITION :
Programmation : c’est la traduction d’un algorithme en un langage de
programmation.
Langage de programmation : ensemble des mots et symboles permettant
d’écrire un programme.
int main ()
{
Déclarati ons de variable s inter nes
instructi ons
}
La ligne : int main() se nomme un "en-tête". Elle précise que ce qui sera
décrit à sa suite est en fait le ''programme principal". Elle peut avoir des paramètres
P formels.
R Le programme (principal) proprement dit est constitué des variables internes
O et des instructions et vient à la suite de cet en-tête. Il est délimité par les accolades
G "{" et "}".
R
A Exemple de programme C affichant "Bonjour".
M
M
E
R
E ) ;
N
P
R
O
G
R
A
M
M
E
R
Après avoir inscrit un indicateur de conversion dans la chaîne de caractère
(dans les guillemets ""), il faut indiquer de quelle variable il faut afficher la valeur. Il E
suffit de rajouter une virgule après les ces derniers, suivis du nom de la variable, N
comme ceci :
C
printf ("% [lettre]", variable_ a_afficher);
Exemples :
Les entrées
Pour récupérer les valeurs saisies par l’utilisateur, nous utilisons les fonctions
suivantes : scanf () et get ()
La syntaxe de l’utilisation de la fonction Scanf() est :
P scanf("%[lettre]", &variable qui_contiendra_notre_valeur);
R
NB : La fonction scanf a besoin de connaitre l’emplacement en mémoire de nos
O
variables afin de les modifier. Afin d’effectuer cette opération, on utilise le symbole
G
&. Donc, si vous oubliez le &, le programme plantera quand vous le lancerez, car
R
vous tenterez d’accéder à une adresse mémoire inexistante !
A
Exemple :
M
M
E
R
E
N
EXERCICES
Exercice 1
Vous souhaitez écrire un programme C qui demande à l’utilisateur de saisir un
nombre puis affiche ce nombre.
1. Donner la structure d’un programme C
2. Quelles sont les bibliothèques standard que vous avez besoin dans votre
programme C
3. Écrire l’algorithme qui permet de réaliser cette tâche. P
4. Traduire votre algorithme en langage C R
O
G
R
Exercice 2 A
1. Définir le terme suivant : compilateur, programme, programmation, langage de M
programmation. M
2. Citer deux exemples de compilateur C E
3. Donner deux exemples de langage de programmation. R
4. Donner le rôle des bibliothèques standard suivant : <stidio.h>, <stdlib.h> et
<math.h> E
5. Donner 03 exemples des fonctions C utilisées pour afficher les textes à l’écran. N
6. Donner deux exemples des fonctions C qui permet la récupération des données
de l’utilisateur. C
7. Donner la différence entre les fonctions puts() et printf()
8. Quel rôle joue le symbole & dans la récupération de la valeur d’une variable ?
Exercice 3
Écrire un programme C qui affiche « bonjour » suivi du nom de l’utilisateur.
1 #include <math.h>
2 int main() {
3 int a ;
4 put("entrer un nombre");
5 scanf(%d,a) ;
6 printf("le nombre saisi est:",a);
P 7 return 0 ;
R 8 )
O
Travail demandé :
G
Ce programme est -il correct ? Si non relevez toutes les lignes incorrectes puis
R
corriger.
A
M
M
E
R
E
N
Objectifs pédagogiques :
Écrire la syntaxe des structures for, while et do…while en C;
Utiliser l’operateur conditionnelle (?) et virgule ;
Situation problème : P
Votre amie souhaite écrire un programme C qui calcule et affiche la table deR
multiplication d’un nombre positif saisi par l’utilisateur. Elle souhaite donc que ceO
programme affiche à chaque fois un message à l’utilisateur s’il saisi un nombre G
négatif. Rencontrant des problèmes sur l’écriture de ce programme, elle donc appel R
à vous dans le but de l’aider. A
Consignes : M
1. Qu’entend-on par structure de contrôle ? M
2. Énumérer les différentes structures de contrôle utilisées en programmation. E
3. Quelle structure utilise-t-on dans le cas où la condition se traite en deux cas R
possibles ?
4. Quelle structure utilise-t-on dans chacun des cas suivants : E
- La répétition connue d’un bloc instructions d’un programme ? N
- La répétition non connue d’un bloc instructions d’un programme ?
C
La forme réduite
if (condition) {
P bloc instructions 1
R }
O
G Exemple : le programme C qui prend en entrée un nombre puis affiche le
R message « positif » si c’est ce nombre est supérieur à 0 est :
A #include <Stdio.h>
M int main (void) {
M int n ;
E printf ("saisir un nombre");
R scanf("%d",&n);
if (n>0) {
printf("Positif");
E
}
N
Return 0;
}
C
La forme complète
if (condition) {
bloc instructions 1
} else {
bloc instructions 2
#include <Stdio.h>
int main (void) {
int n ;
printf ("saisir un nombre");
scanf("%d",&n);
if (n%2==0) {
printf("%d",n,"est paire");
P
} else { R
printf("%d",n,"est impaire"); O
} G
Return 0; R
} A
M
L’opérateurs conditionnel ?
M
L’opérateur conditionnel ? est un opérateur ternaire. Sa syntaxe est la suivante :
condition ? expression 1 : expression 2 ; E
Cette expression est égale à expression 1 si condition est satisfaite, et à expression 2 R
sinon.
Exemple : le programme C qui calcule la valeur absolue d’un nombre est : E
N
#include <Stdio.h>
int main (void) { C
int x, abs;
abs=((x>=0)? x : -x) ;
printf(" abs= %d",abs);
}
Return 0;
}
#include <Stdio.h>
P int main (void) {
R int a, b ;
O b=((a=3),(a+2)) ;
G printf(" b= %d",b);
}
R
Return 0;
A
}
M
M retournera 5 à la sortie.
E NB : la virgule séparant les arguments d’une fonction ou les déclarations des variables
R n’est pas l’opérateur virgule.
E
Structures itératives
N
Toutes les structures itératives répètent l’exécution de traitement(s). Deux
cas sont cependant à envisager, selon que :
C
- Le nombre de répétitions est connu à l’avance : c’est le cas des boucles itératives.
- Le nombre de répétitions n’est pas connu ou est variable : c’est le cas des boucles
conditionnelles.
Boucle for
Cette structure est une boucle itérative ; elle consiste à répéter un certain
traitement un nombre de fois fixé à l’avance. Cette structure est donnée par :
for (initialisation ; condition ;incrémentation ) {
bloc instructions;
}
150 Groupe WhatsApp « Les grandprofs Info »
11- Programmer en C
Exemple : Affichage de nombres plus petit ou égal à 5.
printf(" i=%d",i);
Boucle while
Parfois, pour réaliser une tâche, on doit effectuer plusieurs fois les mêmes
P
instructions, sans que le nombre de fois soit déterminé à l’avance. On utilise alors
R
une boucle conditionnelle. Dans cette structure, le même traitement est effectué tant
O
qu’une condition reste valide ; la boucle s’arrête quand celle-ci n’est plus remplie.
G
Cette structure répétitive est ainsi formulée :
R
While (condition vraie) { A
M
bloc instructions; M
} E
R
Exemple : affichage des nombres plus petit que 5
i=0 ; E
While (i < 5) {
N
printf("i=%d",i);
i++; C
}
Boucle do…while
Une variante de structure répétitive avec boucle conditionnelle consiste à
répéter un traitement jusqu’à ce qu’une certaine condition soit vérifiée. Dans ce cas,
la boucle est exécutée au moins une fois, après quoi on teste la condition. On la
traduit par l’instruction :
do {
bloc instructions;
} While (condition);
E
N
EXERCICES
Exercice 1
Soit le programme suivant :
P
R
O
G
R
A
M
Ecrire un programme C réalisant exactement la même chose, en utilisant :
M
a) Une instruction while;
E
b) Une instruction do ... while
R
Exercice 2
E
Écrire un programme C pour calculer la moyenne de notes fournies au clavier. Le
nombre de notes n’est pas connu à priori et l’utilisateur peut en fournir autant qu’il N
le désire. Pour signaler qu’il a terminé on convient de fournir une note négative non
comptée dans la moyenne. C
Exercice 3
Écrire un programme C pour Déterminer si un nombre entier fourni en donnée est
premier ou non
Exercice 4
Écrire un programme qui affiche la table de multiplication des nombres de 1 à 10
Exercice 5
Soit le programme C ci-dessous :
#include <Stdio.h>
int main (void) {
int a,b,m;
m =((a>b)? a : b) ;
printf("%d",m);
}
P
Return 0;
R
}
O
G
a. Que fait ce programme ?
R
b. Traduire ce programme en utilisant la structure alternative.
A
M
M
E
R
E
N
Les tableaux en C
Objectif pédagogique :
Déclarer un tableau en C ;
Situation problème :
Votre camarade Ali souhaite écrit un programme C qui calculera la moyenne
arithmétique de 50 nombres. Votre petit frère lui conseil d’utiliser le tableau dans P
son programme pour stocker les 50 nombres. Ne connaissant pas comment utiliser R
le tableau en C, il fait appel à vous dans le but de l’aider. O
Consignes : G
1. Définir tableau R
2. Donner l’intérêt de l’utilisation d’un tableau A
3. Donner les caractéristiques d’un tableau M
4. Donner la syntaxe de déclaration d’un tableau en langage C M
5. Expliquer comment, on remplit un tableau avec ses éléments en C E
6. Expliquer comment on accède aux différents éléments d’un tableau en C. R
E
I. DÉCLARATION D’UN TABLEAU N
Un tableau est un ensemble fini d’éléments de même type, stockés en
mémoire à des adresses contiguës. C
La déclaration d’un tableau à une dimension se fait de la façon suivante :
type nom-du-tableau[nombre-éléments] ;
où nombre-éléments est une expression constante entière positive. Par exemple : int
tab [10] ; indique que tab est un tableau de 10 éléments de type int.
Pour plus de clarté, il est nécessaire de donner un nom à la constante
nombre-éléments par une directive au préprocesseur, par exemple
# define nombre-éléments 10
P Exemple :
R int tab[2] ;
O tab[0]=10 ; 10 9
G
tab[1]= 9 ;
R
A
M Évidemment, à ce rythme-là, l’affectation est longue, surtout si votre tableau
M est de grande taille. C’est pourquoi on utilise la boucle itérative for.
E On peut initialiser le tableau lors de sa création par une liste de constantes
R de la façon suivante :
type nom-du-tableau[N ]={ constante-1,…,constante-N} ;
E Par exemple, on peut écrire :
N # define N 4
int tab[N]={1,2,3,4} ;
C 1 2 3 4
#include <Stdio.h>
#define N 10
int main () {
int tab[N];
int i;
……………
for (i=0;i<N;i++) {
printf("tab[%d]=%d\n",I,tab[i]);
}
Return 0;
P
R
}
O
G
R
A
M
M
E
R
E
N
EXERCICES
Exercice 1
Écrire un programme C qui calcule la moyenne de 5 nombres saisi par l’utilisateur.
Exercice 2
1. Définir tableau puis donner 03 éléments qui caractérisent un tableau.
2. Quel inconvénient présente le remplissage d’un tableau en utilisant l’affectation ?
P Quelle autre méthode proposeriez-vous pour résoudre ce problème ?
R
O Exercice 3
G 1. Écrire un programme C qui permet de rechercher le plus petit élément d’un
R tableau à 20 éléments.
A 2. Écrire un programme C qui permet de rechercher le nom d’un candidat parmi les
M noms de 50 candidats admis à un concours.
M 3. Écrire un programme C qui permet de faire la somme de 10 éléments d’un
E tableau.
R 4. Écrire un programme C permettant de créer les tableaux ci-dessous :
E Tableau 1 :
N 12 13 14 15 222
Tableau 2 :
C 2 3 4 5 22 1 2 1 2 3
11 22 11 22 3 4 12 14 14 6
Les sous-programmes en C
Objectif pédagogique :
Déclarer et appeler un sous-programme en C ;
Situation problème :
Votre ami Isaac a utilisé le langage C pour créer une calculatrice qui effectue
les opérations d’addition, de soustraction, de division et de multiplication. Il constate P
que le code source de son programme est touffu et volumineux ce qui lui rend R
difficile la compréhension de son code. Il cherche donc un moyen très efficace pour O
mieux structurer son programme. Pour cela il fait appel à vous dans le but de l’aider. G
Consignes : R
1. Que doit faire votre ami Isaac pour organiser et mieux comprendre son code ? A
2. Comment appelle-t-on le sous-programme en C ? M
3. Donner la syntaxe de définition d’une fonction en C M
4. Comment fait-on appel à une fonction en langage C ? E
R
I. DÉFINITION D’UNE FONCTION
L’écriture et la compréhension d’un programme peut s’avérer difficile E
lorsque le nombre d’instructions devient trop important. A ce moment, le N
programme devient lourd et son exécution par l’ordinateur devient beaucoup plus
lente. Pour pallier ce problème, on a mis sur pied la notion de sous-programme C
informatique dont l’objectif principal est de scinder un programme complexe et
touffu en plusieurs sous-programmes plus simples et plus efficaces. En C, les sous
programmes sont appelés les fonctions.
A part la fonction principale main() qui est obligatoire, les autres fonctions
d’un programme C sont dites fonctions secondaires.
Une fonction en C se définit de la manière suivante :
type nom-fonction (type-1 argument-1,…,type-n argument-n)
{
[ déclarations des variables locales]
listes d’instructions
printf("%d\n",produit(c,d));
}
E
N
EXERCICES
Exercice 1
On veut écrire un programme C qui calcule la moyenne de 50 nombres saisis par
l’utilisateur.
a. Écrire une fonction nommée Lecture qui permet de lire les 50 nombres puis les
stockent dans un tableau de taille 50.
b. Écrire une autre fonction nommée somme qui permet de sommer les 50 nombres P
stockés dans le tableau. R
c. Écrire une autre fonction nommée moyenne qui calcule la moyenne de ces 50 O
nombres. G
d. Écrire la fonction principale faisant appel à ces fonctions pour résoudre le R
problème posé. A
M
Exercice 2 M
1. Définir fonction E
2. Quel mot clef utilisé en C et qu’on place devant le nom de la fonction pour R
signifier qu’elle ne retourne pas une valeur ?
3. Donner la différence entre une variable globale et une variable locale. E
4. Écrire une fonction en C qui permet de calculer x n où x et n sont les nombres N
entiers.
5. Écrire une fonction en C qui permet de déterminer le type d’une personne selon C
son âge.
NB : mineur (si âge <= 14), adulte (si âge > 14)
Situation problème :
Votre amie Claudine a écrit un programme qui calcule la somme des 10
P nombres en utilisant le langage C. Elle souhaite donc tester ce programme pour savoir
R s’il réalise vraiment la tâche demandée. Rencontrant des difficultés, elle fait appel à
O vous dans le but de l’aider.
G Consignes :
R 1. De quoi a-t-elle besoin pour tester son programme ?
A 2. Donner le rôle d’un compilateur.
M 3. Décrire les étapes qu’elle doit suivre pour résoudre son problème.
M
E I. TESTER UN PROGRAMME C EN UTILISANT LE COMPILATEUR GCC
R Le C est un langage compilé (par opposition aux langages interprétés). Cela
signifie qu’un programme C est décrit par un fichier texte, appelé fichier source. Ce
E fichier n’étant évidemment pas exécutable par le microprocesseur, il faut le traduire
N en langage machine. Cette opération est appelée la compilation et est effectuée par
un programme appelé compilateur. Elle se décompose en fait en 4 phases successives
C :
1. Le traitement par le préprocesseur : le fichier source est analysé par le
préprocesseur qui effectue des transformations purement textuelles (remplacement
de chaînes de caractères, inclusion d’autres fichiers source … ).
2. La compilation : la compilation proprement dite traduit le fichier généré par le
préprocesseur en assembleur.
3. L’assemblage : cette opération transforme le code assembleur en un fichier binaire,
c’est-`a-dire en instructions directement compréhensibles par le processeur.
4. L’édition de liens : un programme est souvent séparé en plusieurs fichiers source,
pour des raisons de clarté mais aussi parce qu’il fait généralement appel à des librairies
des fonctions standard déjà écrites. Une fois chaque code source assemble, il faut
P
R
O
G
R
A
M
M
E
R
E
N
C
Ses différentes parties sont :
1. La barre d’outils : elle comprend de nombreux boutons.
2. La liste des fichiers du projet : c’est à gauche que s’affiche tous les fichiers sources
de votre programme
3. La zone principale : c’est là que vous pourriez écrire votre code en langage C
4. La zone de notification : aussi appelée « la zone morte », c’est ici que vous
pourriez voir les erreurs de compilation.
E
N
EXERCICES
Exercice 1
On souhaite écrire et exécuter un programme C qui calcule la somme de trois
nombres saisis par l’utilisateur.
1. Écrire un programme C qui réalise la tâche demandée.
2. Démarrer l’IDE installer sur votre machine puis reproduire votre code dans la
zone de travail de ce logiciel.
P 3. Cliquer sur le bouton de compilation pour compiler votre programme.
R 4. Exécuter ce programme avec les valeurs 2, 3,23, 4 et 10.
O
G Exercice 2
R Utiliser l’IDE code::Blocks pour écrire et exécuter chacun des programmes demandés
A ci-dessous :
M 1. Un programme C qui calcule la moyenne de 10 nombres fournis par l’utilisateur.
M 2. Un programme C qui calcule le PGDC de deux nombres entiers naturels.
E 3. Un programme C qui détermine le reste de la division de a par b. Où a et b sont
R fournis par l’utilisateur.
4. Un programme C qui affiche la table de multiplication d’n nombre saisi par
E l’utilisateur.
N
P
R
O
G
R
A
M
M
E
R
E
N