Projet Ahdo Kasai 2

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LUTTE CONTRE LA MALNUTRITION CHRONIQUE EN RDC »

PROJET DE MISE EN ŒUVRE DE LA NAC


[NUTRITION A ASSISE COMMUNAUTAIRE]
DANS LA PROVINCE DU KASAI

ABREVIATIONS
- AHDO : African Health & Development Organization
- AGR : Activité Génératrice de recette / Revenue
- ANJE : Alimentation du Nourrisson et du Jeune Enfant
- AS : Aire de Santé
- CAC : Cellule d’Animation Communautaire
- CAP : Connaissances, Aptitudes et Pratiques
- CS : Centre de Santé
- CODESA : Comite de Santé e
- DPS : Division Provinciale de la Santé
- ECP : Equipe Cadre Provinciale
- ECZS : Equipe Cadre de la Zone de Santé
- FOSA : Formation Sanitaire
- HGR : Hôpital Général de Référence
- HTA : Hypertension Artérielle
- IRA : Infections Respiratoires Aigües
- IPS : Inspection Provinciale de la Santé
- NAC : Nutrition a Assise Communautaire
- SNSAP : Surveillance Nutritionnelle, Sécurité Alimentaire et Alerte Précoce
- PRONANUT : Programme National de Nutrition
- RDC : République Démocratique du Congo
- ZS : Zone de Santé
RÉSUME

Titre du Projet : Mise en Œuvre de la NAC dans la Province de Kasaï


Initiateur/Partenaire Terrain : AHDO
Exécutant : Communauté, ZS, DPS/IPS et AHDO
Site d’implémentation du projet :
 Kasaï 18 Zones de Santé
Bénéficiaires : La population de
 18 Zones de Santé Kasaï : 5,059,120 habitants

Justification du projet

Plusieurs enquêtes, études menées et différents rapports SNSAP montrent une


grave détérioration de la situation nutritionnelle en RDC.
Certains indicateurs illustres la mauvaise situation nutritionnelle du pays
à savoir :
- Une prévalence élevée du faible poids des enfants à la naissance allant
jusqu’à 23%( updated data) 
- Une prévalence élevée de la malnutrition aigüe sévère à 8 % chez les
enfants de moins de 5 ans
- Un taux élevé du retard de croissance chez les enfants de moins de 5 ans
atteignant 43%
- Un taux élevée d’insuffisance pondérale modérée et sévère chez les enfants
de moins de 5 ans a 31,1%
- Une avitaminose A chez 61,1% des enfants de 6-36 mois
- Un faible taux d’allaitement maternel exclusif jusqu’à 6 mois 48%
- Un apport journalier moyen de moins de 1000 calories dans la plupart des
ménages.
Par ailleurs, il est établi qu’une nutrition adéquate dès la naissance est une
condition préalable à la bonne croissance physique, mentale et psycho affective
de l’enfant et à la santé de l’adulte.

Objectif général 

Contribuer à la réduction de la prévalence de la malnutrition chronique chez les


enfants de moins de cinq ans et leurs mères avec une attention particulière sur
les groupes suivants :
 Enfants de 6-24 mois
 Femmes enceintes et allaitantes

Objectifs spécifiques :

1) Assurer la couverture d’un paquet d’intervention directe à haut impact de


nutrition
2) Augmenter de 80 % la proportion des FOSA (HGR et CS) ayant les capacités
techniques en nutrition ;
3) Augmenter de 80 % la proportion des structures qui pratiquent
correctement la nutrition
4) Réduire de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants de moins
de 5 ans et leurs mères,
5) Améliorer l’état nutritionnel de la population
Résultats attendus :

1) 80% des AS disposent d’un comité de lutte contre la malnutrition


2)  Mise en place des comités multisectoriels de lutte la malnutrition dans 18
Zones de Sante
3) 389 Aires de Santé disposent des comités de lutte contre la malnutrition et
utilisent les notions de base sur la NAC;
4) 100% de personnel médical pratiques les activités de la NAC dans leurs
FOSA ;
5) Plus de 80% de la population gèrent la malnutrition dans leurs
communautés ;
6) 389 AS des ZS utilisent les notions de base sur la NAC.
7) L’insécurité alimentaire et nutritionnelle des enfants de moins de 5 ans et
leurs mères est réduite,
8) Bonne couverture des paquets d’intervention directe à haut impact de
nutrition
9) L’état nutritionnel de la population est amélioré
Stratégies :

1) Plaidoyer auprès des différents leaders communautaires


2) La formation des membres de l’équipe cadres de la DPS, ZS,
Prestataires de soins, leaders communautaires, relais communautaires
et les CAC sur la gestion de la malnutrition ;
3) La sensibilisation de la population sur la gestion de la malnutrition ;
4) La dotation en équipements, AGR et outils de collectes des données ;
5) Médiatisation des messages clés
6) Suivi et évaluation des activités.
Durée du projet : 5 ans
Coût global d’Activités : 12,884,634$USD
II.  CONTEXTE
2.1 Justification
De la politique National de la Nutrition en RDC
- Un pays en développement avec beaucoup de problèmes nutritionnels qui
constituent un frein pour le bien-être social de sa population,
- L’état doit garantir les droits fondamentaux de sa population d’où une
bonne nutrition est un droit fondamental de tout être humain,
Ainsi donc investir dans la nutrition, c’est s’assurer des ressources humaines
valides, garantes d’un développement socioéconomique durable.
La politique nationale de la RDC vise l’élimination de la malnutrition sous toutes
ses formes par la
 Prévention, surveillance et prise en charge des maladies
nutritionnelles
 Promotion de la production et d’une bonne consommation des
aliments notamment le contrôle de qualité des aliments
 Promotion de recherche sur la nutrition
Après plusieurs enquêtes et études menées les résultats montrent une grave
détérioration de la situation nutritionnelle.
Certains indicateurs illustres la mauvaise situation nutritionnelle du pays à savoir
- Une prévalence élevée du faible poids des enfants à la naissance allant
jusqu’à 23% 
- Une prévalence élevée de la malnutrition aigüe sévère à 8 % chez les
enfants de moins de 5 ans
- Un taux élevé du retard de croissance chez les enfants de moins de 5 ans
atteignant 43%
- Un taux élevée d’insuffisance pondérale modérée et sévère chez les enfants
de moins de 5 ans a 31,1%
- Une avitaminose A chez 61,1% Des enfants de 6-36 mois
- Un faible taux d’allaitement maternel exclusif jusqu’à 6 mois 48%
- Un apport journalier moyen de moins de 1000 calories dans la plupart des
ménages.
Par ailleurs, il est établi qu’une nutrition adéquate dès la naissance est une
condition préalable à la bonne croissance physique, mentale et psycho affective de
l’enfant et à la santé de l’adulte
C’est ainsi que nous nous inspirons à appuyer les stratégies nationales de soins de
santé primaires, spécifiquement l’approche NAC pour lutter contre la malnutrition
chronique.

 2.2 Description du secteur


Outre les problèmes des maladies (le paludisme, le VIH/SIDA, la Tuberculose, Etc., la
malnutrition est confrontée aux 6 groupes des problèmes prioritaires
correspondant aux 6 piliers du système de santé à savoir :
- Problèmes liés prestations des services et soins de santé ((i) la faible
couverture sanitaire, (ii) la faible capacité opérationnelle des structures à tous
les niveaux à réaliser les interventions, (iii) de la faible qualité des soins et des
services offerts et (iv) de la faible utilisation des soins et des services
disponibles
- Problèmes liés aux piliers du système de santé (i) problèmes des
infrastructures et équipements et maintenance
- Problèmes des ressources humaines de santé (répartition inéquitable et
inégale, faible motivation et fidélisation du personnel de santé, et qualité
insuffisante de l'enseignement des professionnels de santé et le
développement des compétences des prestataires),
- Problèmes liés aux Médicaments et intrants spécifiques,
- Problème de financement des activités de nutrition,
- Problèmes d’information sanitaire
- Problème de gouvernance et du pilotage du système
Considérant l’objectif de la santé/ nutrition comme étant à la fois économique et
social auquel doivent contribuer tous les secteurs de la vie nationale et un préalable
à la réalisation durable des objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
C’est en réponse à l’un de ces problèmes ci-haut, que AHDO a initié ce projet pour
contribuer à l’amélioration de l’état de santé de la population par la mise en œuvre
de la NAC et soutenir les actions du gouvernement dans la lutte contre la
malnutrition pour le bien-être de la population.
2.2.1. Situation de la Province
Le Kasaï est depuis 2015 une province de la république démocratique du Congo
qui a vu le jour à la suite de l'éclatement de la province du Kasaï-Occidental.
Elle est l’une des provinces de la République Démocratique du Congo à forte
prévalence de la malnutrition estimée à 10,5 % de MAG selon l’EDS 2013-14.

Avant les évènements de triste mémoire qui ont opposé la milice de Kamuina
Nsapu aux forces régulières, les FARDC, la prévalence de la malnutrition
chronique au Kasaï était de 57,8% selon EDS 2013-2014. La province était placée
en deuxième position après le Sud-Kivu.
En dépit des interventions nutritionnelles d’urgence avec appui des partenaires,
celle-ci demeure et reste encore un problème de santé publique dans notre
province qui continue donc de faire face à cette situation dramatique et accuse
d’énormes difficultés.

Après plusieurs évaluations menées par certains partenaires dans la province du


Kasaï, il se révèle que plusieurs facteurs ont été retenus comme favorisants
malgré la haute prévalence évoquée ci-haut : - le déplacement interne des
populations dus aux conflits et aussi le phénomène récurrent de retournés de
l’Angola, les épidémies de rougeole, …

Tout ceci démontre que la lutte contre la malnutrition surtout dans sa forme
chronique nécessite des interventions de développement et donc de grande
envergure pour lutter efficacement contre la malnutrition sous toutes ses
formes.
.
Densité 33 hab./km2
Rang 7e

Superficie 153307 Km²


Population totale 5059.120 Habitants
Langue(s)
Officielle : Français
Nationale(s) : Tshiluba, Lingala, Swahili, Kikongo

6 Provinces limitrophes du Kasaï


Mai-Ndombe Tshuapa Sankuru

Kwilu Kasaï central

Kwango  Lunda-Nord

Territoires
Dekese, Ilebo, Kamonia, Luebo, Mweka
Dans chaque territoire, les zones de santé sont sélectionnées par rapport à leur
vulnérabilité et la situation nutritionnelle de la population selon le rapport
préliminaire de l’enquête SMART menée par le PRONANUT sous financement de
l’Unicef en 2018.
Population Bénéficiaire de 18 ZONES DE SANTE
POP Nombre Nombre de CIBLE 0- Femmes Femmes
ZONE DE SANTE
TOT d’AS CAC 59Mois Enceintes Allaitantes
BANGA – LUBAKA 173083 18 152 32713 6923 6923
BULAPE 539840 17/18 255 102030 21594 21594
DEKESE 166581 19 285 31484 6663 6663
ILEBO 215511 19 225 40732 8620 8620
KAKENGE 182765 22/24 330 34543 7311 7311
KALONDA OUEST 465643 28 420 88007 18626 18626
KAMONIA 442393 25 375 83612 17696 17696
KAMUESHA 331162 26/28 477 62590 13246 13246
KANZALA 275120 17 209 51998 11005 11005
KITANGUA 277437 28 217 52436 11097 11097
LUEBO 295028 26 390 55760 11801 11801
MIKOPE 212922 23 330 40242 8517 8517
MUSHENGE 185900 24 360 35135 7436 7436
MUTENA 313301 20 300 59214 12532 12532
MWEKA 237602 24 360 44907 9504 9504
NDJOKO – PUNDA 177319 18 272 33513 7093 7093
NYANGA 144417 12 180 27295 5777 5777
TSHIKAPA 423097 23 345 79965 16924 16924
TOTAL 5059121 389/394 5482 956174 202365 202365
Voies d’accès
La Province est accessible par voie fluviale (Ilebo) et riveraine (Kasaï, Sankuru,
Lukenyi, …), par voie aérienne et routière qui est la voie la plus exploitée en
dépit de l’état de ce réseau routier à l’intérieur de chaque territoire surtout
pendant la saison de pluie.
Climat, Relief et végétation :
Il se situe au centre du pays et est traversé par plusieurs cours d’eau. Les plus
grands sont la rivière Tshikapa qui tire sa source en Angola et la rivière Kasaï
qui est l’un des plus grands affluents du fleuve Congo dans lequel elle se
déverse au niveau du pool Malebo dans le territoire d’Ilebo. Cet affluent reçoit
la rivière Sankuru qui sépare Ilebo du territoire de Dekese. Celui-ci est
largement traversé par la rivière Lukenyi qui sert de trafic entre Kinshasa et ce
territoire en passant par Ilebo. Bonne voie d’accessibilité. Ce territoire est aussi
accessible par voie aérienne et par route en traversant le Sankuru d’où se
déverse la rivière Lukenyi à partir d’Ilebo.

Son hydrographie est riche. En dépit de ces affluents ci-haut cités, dans sa
partie Ouest, la province du Kasaï est reliée à la province du Kwilu et celle de
Kwango par le pont jeté sur la rivière Luange. Et dans sa partie nord, elle fait
frontière avec la Lunda North, une des provinces de l’Angola en traversant la
rivière Luanga Tshimu et Lumbembe à Kamonia, siège du territoire de Tshikapa

Le climat est de type tropical humide avec 2 saisons : La saison de pluie va de


mi-Septembre à mi-Mai et la saison sèche de mi-Mai à mi-Septembre. Ces
saisons sont intercalées par de petites saisons sèches entre mi-Février et mi-
Mai.
Le Relief
Le relief dominant est la plaine avec les petites collines et plateaux ; la nature
du sol dominant est argilo-sablonneuse ; la végétation reste dominée par la
savane boisée et herbeuse.

i. Situation socio-économique
A l’image de l’ensemble du pays, la population des ZS retenues est pauvre. Elle
vit essentiellement comme pour la majorité de population vivant en milieu
rural de l’Agriculture de subsistance pratiquée donc à faible échelle avec
comme productions principales (maïs, maniocs, millets, arachide et l’huile de
palme), de l’élevage de petit bétail (caprins, porcins,) et rarement de gros
bétail telle que les vaches dont on extrait pas le lait frais pour la consommation
(ce qui n’est pas dans la culture du peuple du Kasaï) ; de basse-cour (volailles),
de la pêche et de la chasse artisanale, mais aussi de petit commerce des
produits manufacturés.

Les produits de la récolte sont soumis à une mauvaise distribution : le maïs et


le millet sont transformés en boisson alcoolique dont une partie est
consommée par les hommes qui abandonnent les travaux champêtres au solde
des femmes et la grande quantité vendue aux frontières de l’Angola dont le
revenu ne sait pas couvrir les besoins du ménage. La qualité de la ration semble
être liée aux us et coutumes et à l’ignorance de la composition et des principes
de mélange des aliments cultivés.

Le chômage très remarquable chez les hommes et aggrave davantage la


situation de pauvreté. D’où le taux élevé de malnutrition. Les mariages
précoces sont très fréquents. Le niveau de scolarité est faible. Le manque de
planning familial qui a comme corollaire les familles nombreuses dont
certaines ayant des naissances très rapprochées.
ii. Situation sanitaire
La situation sanitaire reste dominée selon la morbidité par le paludisme, les
infections respiratoires aiguës, les maladies diarrhéiques, la fièvre typhoïde et
la malnutrition et selon la mortalité par le paludisme et la malnutrition.
L’hypertension artérielle et le diabète sucré sont de plus en plus fréquents dans
certaines zones de santé aboutissant parfois aux décès.

2.3 Bénéficiaires et Acteurs principaux


Le principal bénéficiaire de l’intervention est la population de 18 Zones de
santé du Kasaï soit :

Nombre de ZS POP TOT Nombre Nombre de CIBLE 0- Femmes Femmes


Concernées ZS Concernées d’AS CAC 59Mois Enceintes Allaitantes
18 5,059,120 389 5482 956174 202365 202365

Ce projet sera piloté par l’ECZS avec la participation communautaire,


l’encadrement de la division provinciale de la Santé et l’appui technique et
financier d’AHDO.

3.4 Les contraintes et obstacles

L’absence des moyens financiers et la résistance représentée par les


habitudes familiales et culturelles de la population et du personnel au
changement de comportement.
       3.5     Activités par stratégie

Strategie1: Plaidoyer auprès des différents leaders


- Organiser les réunions d’informations avec les différents leaders.

Strategie2: Renforcement des capacités du personnel.


- Identifier les personnes cibles à former par structure
- Elaborer les termes de référence et outils de la formation
- Organiser la formation des membres de l’équipe cadres de la DPS, ZS,
Prestataires de soins, leaders communautaires, relais communautaires et
les CAC sur la gestion de la malnutrition
- Elaborer le rapport de la formation
- Faire le suivi post-formation des personnes formées
Strategie3: Communication pour le changement social et de
comportement
- Mettre en place les panneaux de signalisation et affiches des messages sur
la gestion de la malnutrition
- Sensibiliser la population sur la gestion de la malnutrition.
- Identifier les canaux de transmission des messages
- Assurer le suivi-évaluation de mise en œuvre des activités
IV.  PREALABLES ET HYPOTHESES
       4.1.   Préalable
Les conditions suivantes sont nécessaires pour la réalisation de ce projet :
- Le projet est financé ;
- La communauté adhère au projet.

      4.2.    Hypothèses aux différents niveaux


Financement effectif, un partenariat équitable, une stabilité de la monnaie, et
une équipe cadre dévouée matérialisent la mise en œuvre de ce projet.

      4.3.    Risques et flexibilités


Ce projet pourrait subir certaines adaptations pour sa réussite lors de sa mise
en œuvre devant une fluctuation monétaire.
5. ACTIVITES A REALISER
1. Organisation de la communauté
- contact préalable avec les autorités locales
- premier réunion de concertation avec la communauté au niveau des aires
de sante
- réunion de concertation avec la communauté, élection des Recos et mise
en place des CAC
- Mise en place / Redynamisation du CODESA
- Cartographie des organisations communautaires par aire de santé
2. Capacitation de la communauté

- renforcement des capacités des animateurs ECP, ECZS,


Prestataires de soins, CODESA, CAC, leaders communautaires
- dotation moyens logistiques
3. Diagnostic communautaire
Les étapes sont :
- identification de la malnutrition comme problème [enquête CAP=
connaissances, attitudes et Pratiques]
- choix des problèmes prioritaires
- analyse causale de la malnutrition et des problèmes nutritionnels
prioritaires identifiés
- analyse des obstacles pour de meilleures pratiques d’alimentation du
nourrisson et du jeune enfant
- choix des solutions
4. Elaboration du plan local de lutte contre la malnutrition et la
mobilisation des ressources locales
- identifier les objectifs et les résultats attendus
- Identifier les actions à mener pour atteindre ces résultats
- identifier le lieu d’action
- identifier la période d’activité
- identifier les ressources nécessaires [humaines, matérielles, et financières
- identifier les obstacles et contraintes ou opportunités éventuelles
5. Mise en œuvre du plan local de lutte contre la malnutrition
- recensement / dénombrement des bénéficiaires directs
- mise en œuvre des interventions proprement dites
- le suivi des activités au niveau communautaire
- le contrôle communautaire
- la supervision des activités communautaires
- la coordination des activités au niveau communautaire
6. Monitorage, Revue et supervision
- une fois le mois par aire de santé
- une fois le mois par zone de santé
- une fois le trimestre par province
- une fois le semestre national
7. Evaluation de la mise en œuvre du plan
- organiser les évaluations interne et externe
Distance BCZS par rapport à Voie d'accès au BCZS (Route, Nombre Total Aires
N° Nom de Zone de Santé la DPS (en Km) rivière, lac, etc.) de Santé
1 Banga Lubaka 180 Route 18
2 Bulape 345 Route 18
3 Dekese 625 Route 20
4 Ilebo 365 Route, Rivière 19
5 Kakenge 375 Route 24
6 Kalonda-Ouest 7 Route 28
7 Kamonia 75 Route 25
8 Kamuesha 125 Route 26
9 Kanzala 2 Route 17
10 Kitangua 75 Route 28
11 Luebo 230 Route 26
12 Mikope 260 Route 23
13 Mushenge 385 Route 24
14 Mutena 125 Route 20
15 Mweka 310 Route 25
16 Ndjoko Punda 167 Route 18
17 Nyanga 125 Route 12
18 Tshikapa 0 Route 23
TOTAL     394

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