Ce document décrit les propriétés et la préparation de différents sels, notamment le sel microcosmique obtenu à partir d'urine. Il explique les réactions et transformations que subissent ces sels lorsqu'ils sont chauffés ou dissous dans l'eau ou des alcalis.
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Notes d'après la notice LPN n°47 "Cours de spagyrie"concernant
la récupération du sel ammoniacphilosophique et la réalisation
du menstrum radicaluniverselQue dire de ceux-là, soyons charitables mais je penseque tout le monde le sait, il existe plusieurs sels, tousont un point commun l'ammoniaque NH3, qui est unebase faible, et dès lors peut s'associer avec certainséléments atmosphériques, NO2(-), CO2, etc, pourformer ces fameux sels : nitrite d'ammonium(NH4NO2), carbonate d'ammonium ((NH4)2CO3), etc.Effectivement, le nitrite est un acide faible, mais trèsinstable, car il s'oxyde rapidement en nitrated'ammonium (NH4NO3) et se présente sous la forme demagnifiques aiguilles bien particulières.Car parfois, au bout des pointes on aperçoit comme unelance un peu élargi, on dirait presque une fleur.C'est ce sel qui est capté par le sel terrestre contenudans la terre nourricière, et le transforme en salpêtrepour qu'il soit ensuite lentement assimilé par noschères plantes. Et ainsi, le sel "aimantain" transforme lesel volatil en fixe et relibère l'ammoniac.Sel microcosmiqueSel microcosmique; ce sel porte aussi le noms de selfusible, & de sel essentiel d'urine. On l'obtient parl'évaporation de l'urine fraîche à un feu modéré; mais lamaniere la plus facile de préparer ce sel, est de le retirerd'une grande quantité d'urine putréfiée & cuite jusqu'à la consistance d'un sirop liquide, & d'en dépurer les crystauxpar des solutions, des filtrations, & des crystallisationsrépétées. Dans ces opérations, le sel fusible qui contientl'acide du phosphore, se crystallise toujours le premier, & ilest fort aisé à distinguer de celui qui paroît ensuite sous laforme de crystaux longs & cubiques.On a proposé aussi de préparer les crystaux de sel d'urine,en la réduisant à la consistance d'un miel épais, en ladissolvant dans de l'eau bouillante, en la filtrant & la faisantcrystalliser deux ou trois fois. On peut encore, en exposantl'urine à une forte gelée, en concentrer la matiere salinehuileuse jusqu'à une consistance convenable, jusqu'à lacrystallisation: enfin on peut obtenir le sel d'urine, quoiquedans un espace de tems beaucoup plus long, par une lente& très - douce évaporation à l'air, alors il s'en sépare uneterre selénitique en forme de crystaux.Il paroît, par les observations de divers chimistes, qu'unelongue putréfaction est capable de produire dans l'urinedes générations & combinaisons de différens sels. M.Schlosser a trouvé que si on distille le précipité qui se faitpendant l'évaporation de l'urine récente, & qu'on en lessivele caput mortuum après l'avoir calciné, l'eau qui a servi àédulcorer ce caput mortuum, ne donne qu'un véritable selmarin; mais M. Pott ayant distillé le résidu de l'urine réduità la consistance de miel, dont on avoit séparé les premierscrystaux, & qu'on avoit gardé dans un vase pendantquelques années, a retiré un véritable sel fusible de la terre du caput mortuum, & du caput mortuum que fournirent après la rectification & les produits de cette distillation, qui demeurerent encore mêlés ensemble pendant quelquesannées. Comme la distillation avoit donné un esprit ammoniacal huileux, M. Pott en conclut que la terre de l'urine qui avoit été rendue volatile, s'est avec le tems, &par un effet du mouvement intérieur, détachée de sa combinaison précédente, & en a contracté une autre en vertu de laquelle elle est devenue fixe & fusible. M.Margraff a observé que la putréfaction change le sel commun, qui existe dans l'urine, en un sel fusible. Cependant il y a dans l'urine du sel fusible qui y est essentiellement contenu, mais déguisé, comme M. Henckelle prouve: parce que, 1°. il s'obtient par une séparation qui s'opere doucement, & conforme à la façon d'agir de la nature, savoir par une évaporation lente, pour laquelle on n'a point employé la violence du feu; cette évaporation n'agit que sur la partie phlegmatique, & elle n'a pas pu détruire ni décomposer le tout: 2°. ce sel n'est point, [p.924] comme le sel marin, une substance étrangere portée du dehors en - dedans du corps humain, mais il y a été élaboré par la coction & par d'autres mouvements des organes, & formé de substances dans lesquelles il n'était pas. M. Margraff remarque qu'on ne peut séparer entierement le sel essentiel de l'urine, & il croit que les causes en sont probablement, 1°. la quantité de l'extrait onctueux, qui empêche la crystallisation; 2°. & principalement la dissipation du sel volatil urineux qui arrive à ce sel, tant dans l'inspissation de l'urine, que dans sa dépuration: carce sel privé de son sel volatil, refuse de prendre une forme saline seche. Si on le dissout fréquemment dans l'eau bouillante, il perd toujours une partie de son esprit urineux(comme l'odeur le prouve suffisamment), & ainsi il ne se met point en crystallisation; ce que l'on peut pourtant corriger en quelque sorte, en y ajoutant un peu d'esprit volatil de sel ammoniac: cet esprit sature avec effervescence l'acide découvert. Quand le sel fusible a été suffisamment dépuré, il est tout -à - fait blanc & sans odeur. M. Pott nous apprend que la figure de ce sel varie beaucoup, suivant les effets de la chaleur, de l'évaporation, & des différentes crystallisations: car il prend la figure de la plûpart des autres, comme du salpêtre, du vitriol, du sel ammoniac, de l'alun, du sel admirable, &c. mais pour l'ordinaire il est en crystaux brillans, octogones & prismatiques. Ce sel excite sur la langue une saveur un peu fraîche; il a à - peu - près le goût du borax, avec lequel il présente des ressemblances singulieres: mis dans un creuset sur le charbon ardent, il y écume, se boursoufle, se fond, & pousse des végétations:soufflé sur le charbon avec un chalumeau, il coule en uneperle ronde quand il est convenablement purifié. Les crystaux de la seconde crystallisation se fondent aussi enperle sur le charbon, quand ils ont été dépurés; mais après le refroidissement, ils prennent une couleur de lait: mêlés avec le phlogistique, ils ne donnent point le phosphore comme les premiers crystaux; après avoir été fondus, ils se remettent facilement en crystallisation, tandis qu'on ne peut plus faire crystalliser les premiers quand une fois il sont été liquéfiés. On voit par cette différence que les crystaux de la seconde crystallisation ont les mêmes propriétés que le sel que M.Haupt a nommé sal mirabile perlatum: ce que M. Margraff ne paroît pas avoir vû lorsqu'il a a dit que ce dernier sel n'a que très - peu de rapport avec le sel microcosmique. La premiere crystallisation ne tombe pas aisément en effervescence à l'air, mais bien la seconde, que l'air chaud commence à réduire en une poudre blanche comme la neige, & qui au lieu de rafraîchir la langue, l'échauffe comme un charbon ardent, sans lui causer pourtant aucune douleur ni aucun dommage. Cette sensation de chaleur ne s'y conserve que quand il est bien dépouillé de toute humidité, & il recouvre toujours cette chaleur, lorsqu'il l'aperdue, par des calcinations répétées. Le sel microcosmique est un sel moyen ammoniacal, dont l'acide est d'une nature toute particuliere & si peu liée avec le sel urineux, qu'il n'est point d'autre exemple de sel ammoniacal sec, dont l'urineux se sépare aussi aisément par la seule distillation, ou par une simple digestion, &même par la seule attraction de l'air. Si on met les crystaux de sel fusible dans une retorte de verre, & qu'après y avoir adapté un récipient bien lutté, on distille insensiblement & par degrés au feu de sable, le sel écume & devient fluide, en même tems il s'éleve dans le récipient un fort esprit urineux volatil, dont le poids est la moitié du total, qui ressemble beaucoup à l'esprit de sel ammoniac préparé avec de la chaux vive, qui étant mêlé en assez grande quantité avec l'esprit de sel, n'entre point en effervescence, mais échauffe considérablement les vaisseaux, au lieu que les urineux ordinaires produisent plûtôt du froid: après cet esprit urineux montre quelques grains de sublimé ammoniacal, l'autre moitié de crystauxforme dans la retorte une masse blanchâtre & crevassée.C'est dans cette matiere saline, qui demeure après ladistillation des crystaux, que l'acide se trouve enveloppé par une terre tenue & glutineuse, & il ne se découvreentierement qu'après que ce résidu a été fondu à un feuviolent, en un corps clair & transparent que l'on fait coulersur une lame de fer chauffé, bien poli; mais la plus grandeviolence du feu ne peut chasser de ce résidu, qu'un peud'humidité, & n'en peut séparer aucun acide ni aucunsublimé.Cette matiere, semblable au verre, se dissout entierementdans deux ou trois parties d'eau distillée bien pure, & sechange en une liqueur claire, un peu épaisse, qui a lesproprietés de tous les acides, de sorte que 1°. elle se meten effervescence avec l'alkali volatil, & 2°. avec l'alkali fixe,& même qu'elle forme avec l'un & l'autre des especes desel moyen tout - à - fait particulieres. 3°. elle précipite lescorps dissous dans les alkalis, & même 4°. elle dissout lesterres alkalines.Cependant MM. Pott & Schlosser nient que ce verre salindissout dans de l'eau, fasse aucune effervescence sensibleavec l'alkali, quoique cette effervescence ait lieu lorsqu'onsature avec un alkali la liqueur acide du phosphore brulé.M. Pott a découvert qu'on augmente beaucoup la fusibilitédu sel fixe de l'urine, lorsqu'on dissout ce sel purifié dansun bon esprit de sel, qu'on fait digérer la solution, qu'on lafiltre, & qu'on abstrait doucement l'esprit, jusqu'à ce que lesel se coagule de nouveau. Il a trouvé aussi que le selammoniac fixe, connu pour un sel si fusible, étant mêléavec autant de sel microcosmique, loin d'en conserver lafusibilité, ou d'en acquérir davantage, devient fragile au feucomme une écume friable & verdâtre.Les expériences remarquables de MM. Margraff & Pott,
nous apprennent que le sel fusible précipite les solutions dusel
ammoniac fixe, ou la solution de chaud vive, faite dansl'acide du sel, la solution épaisse de craye, la solution decailloux faite depuis long - tems dans l'alkali fixe, & qu'ils'en précipite une matiere visqueuse qui demeurecohérente comme la glu, & qui s'endurcit sans pouvoir êtredissoute de nouveau: ces expériences me paroissentfortifier le sentiment de ceux qui croient que le sel del'urine contribue à en lier la terre, pour former le calcul dela vessie.M. Pott cite & adopte le sentiment d'Henckel, qui dit que laseconde crystallisation du sel d'urine en forme de salpetre,aussi - bien que le premier sel qui se crystallise du caputmortuum, contiennent l'un & l'autre quelque portion d'acidevitriolique, puisque avec le charbon, ils forment un soufrecommun.M. Pott dit ailleurs que le sel de l'urine contient en soi &réunit la terre colorée de l'acide nitreux, la terre fusible del'acide du sel, & la terre fixe de l'acide du vitriol, lesquelsétant employées à propos, peuvent servir à produire diverschangemens dans d'autres corps: ces idées semblent avoirpeu de fondement, néanmoins les varietés de lacrystallisation du sel fusible, dont nous avons parlé plushaut, mériteroient d'etre étudiées plus soigneusementqu'on n'a fait jusqu'ici.On peut voir dans MM. Margraff & Pott de quelle maniere lesel microcosmique agit sur les métaux avec lesquels on lemet en fusion, ou dans une forte digestion, & les rapportsde ce même sel avec différentes chaux & solutionsmétalliques. La proprieté la plus remarquable de ce sel, qui a été découverte par [p. 925] M. Margraff, c'est qu'étantmêlé avec un inflammable subtil & distillé dans un vaisseaufermé, il produit le phosphore. M. Margraff pense quel'acide du sel microcosmique est essentielle à la productiondu phosphore, & il faut, suivant lui, que cet acide soit mêlédans plusieurs végétaux, parce que la semence deroquette, de cresson, de moutarde, & même le blé,lorsqu'on les distille à un feu violent, donnent à la fin lephosphore, quand le feu est poussé au plus haut degré.Voyez Phosphore. Il est dans l'opinion que le selmicrocosmique, & sur - tout son acide, se trouve mêlé àquelques - uns des végetaux qui composent les alimens &les boissons des hommes, & qu'il passe de - là dans lecorps humain: car il a remarqué que l'urine d'été, saison oùles hommes mangent beaucoup plus de végétaux, fournittoujours une plus grande quantité de ce sel, que l'urined'hiver; mais une semblable preuve paroît extrêmementfoible, quoiqu'elle n'ait laissé aucun doute à M. Margraff.On a attribué différentes vertus médicinales au selmicrocosmique, mais elles ne sont pas assez constatées,quoique ceux qui l'ont employé, semblent se réunir à direque ce sel est un puissant apéritif. Voici les Métaux pouvant être dissous par les Menstrues Salins et parles Mercures Métalliques requis en la Composition des Alkaests :L'Esprit Menstruel de Nitre dissout tous les Métaux, sauf l'Etain et l'Or.L'Esprit Menstruel de Tartre dissout tous les Métaux, sauf lePlomb, l'Etain, l'Antimoine.L'Esprit Menstruel de Sel Commun dissout le Fer, l'Etain etl'Arsenic.Le Metallus Primus dissout tous les Métaux, sauf le Fer et le Bismuth.Le Verre d'Antimoine dissout tous les Métaux, sauf l'Or.Le Mercure d'Etain dissout tous les Métaux.Le Mercure ou Vif Argent dissout tous les Métaux, sauf le Fer.Le Mercure de Plomb dissout tous les Métaux, sauf l'Etain, le Cuivre,le Mercure et l'Argent.Le Soufre Vulgaire dissout tous les Métaux, sauf l'Or et le Zinc.Nota : Pour confectionner un Alkaest, il faut, selon le but qu'on sepropose, en établir la composition d'après les données ci-dessusexposées, en sachant toutefois que ces Sels et Métaux, unis etexaltés par Art Spagyrique, sont infiniment plus puissants qu'en leurnature première.Unis et exaltés par art spagyrique veut dire ennobli soit par la rosée,soit par l'eau de vie ou l'eau de pluie distillé sept à neuf fois.si tu lis donc ce que j'ai marqué au dessus, est donné non seulementla formation du feu secret double de nature :le tartre et le nitre qui permet de dissoudre le dragon noir à l'aide duvaillant chevalier qu'est le fer, et d'obtenir le mercure de cecomposé qui est le régule martial. Par ce moyen, est obtenue la matière androgyne de Cyliani. et le Feusecret que j'ai donné peut être secondé par l'esprit astral (iodure desodium : ou sel de mer traité et rendu canonique par la rosée).L'esprit astral comme le dit Cyliani est une déjection du ciel.Il est le vulcain lunatique, en d'autre terme, la rosée si vouspréférez.Donc l'esprit Astral est en partie de la rosée. Mais il lui manque sonlevain pour être prêt à la calcination philosophique.Comme levain nous trouvons les sels précédemment cités.Mais je peux ajouter de plus que : ce levain selon cyliani est tiré duchêne.Plusieurs fois j'ai lu que des cendres de chênes peuvent se tirer unfeu secret.Cyliani tire donc son esprit astral de l'union de la rosée (eau -spirituel) et des cendres de chênes (corps - terre - corporel).Rappelez vous que le tour de main consiste en l'union d'un corps àun esprit, afin d'en tirer une quintessence.- le feu secret est un sel double, on le sait maintenant assezclairement.Hors donc, quel serait ce sel double : la lance et le bouclier que portele chevalier de fer pour combattre le dragon du sulfure d’antimoine= Régule martial antimonié ou matière contenant les deux naturesmétallique de Cyliani.Quel est donc cette lance et ce bouclier. Pour être clair, ce seldouble est composé de Nitre et de Tartre.- Mais sachez qu'unfeu secret est un Alkaest. donc il peut êtrecomposé d'un sel, de deux, voir de trois.Mais comment s'en servir philosophiquement hors de la voie sèchede l'antimoine et bien simplement en améliorant sa vertuphilosophique par la rosée.Celle-ci dynamise les sels et les rends propre à être employédans l'art.-Maintenant en ce qui concerne les mercures :Les métaux contiennent en eux une certaine proportion de Mercure avec un grand M que l'on peut appelé aussi menstrue ou encoreâme, quintessence, matière première (materia prima), etc., plus oumoins propre à être employé pour l'art.A ne pas confondre avec la première matière de l’art qui est toutautre chose c’est- à dire pour la voie des Amalgames ou la voie sèchela Stibine.C'est à l'aide du feu secret (les sels) ou de l'esprit astral (la rosée)que l'on peut tirer des métaux leurs Mercures.Unissez par exemple l'esprit astral à la matière double métallique deCyliani (un régule martial vénusien), vous trouverez alors unmercure capable de calciner philosophiquement l'or afin d'en tirer lesang du lion rouge ou or potable, graine de la pierre philosophale.Comprenez moi bien : Esprit Astral + Matière Double métallique parexemple = Mercure des Philosophes (le régule martial vénusien).Mais l'erreur de beaucoup a été de penser que ce Mercure nepouvait se trouver que dans certains métaux.En vérité il est contenu dans tous à des proportions plus ou moinsforte, qualitativement et quantitativement.Hors donc oui, le Mercure de l'Etain est le Mercure des Philosophes.N'oubliez pas enfin une dernière chose, seul les métaux fémininstiennent en eux un Mercure propre à être employé à l'art, l'orvulgaire étant masculin.Quels sont les métaux féminins :- la lune ou l'argent.- Jupiter ou l'Etain.- Saturne ou le plomb.- le mercure est androgyne, sachez le.- de même que l'antimoine lui est un métal masculin, car il estappelé petit roi.Mars ou le fer est un métal masculinMaintenant écouter et comprenez en quoi est fait le mercure desphilosophes :le Mercure de l'Etain en lui même n'est pas le Mercure desPhilosophes. c'est son union au feu secret ou à l'Esprit Astral, cad àun certain Alkaest, qui lui donne cette qualité de Mercure des Philosophes.http://yaka- asso.org/yaka/alchimie/az_soufre.phpN'oubliez pas que le Mercure des Philosophes ne dissout pasvraiment tous les métaux.il ne fait que séparer le pur de l'impur et fixe le pur en lui par saforce figeante et froide. ainsi, il est la femelle qui s'attache aumercure de l'or pour en sortir sa graine.comme la pluie fait sortir sa graine du fruit par mainte et maintelavation mais aussi putréfaction.Le Tartre est le bouclier du chevalier de fer armé de la lance, leNitre. qui combat le dragon d'antimoine.Voyez le testament d'or, d'un anonyme. celui- ci utilise seulement dubon sel de mer et de la rosée.De cela, il en tire un Mercure des Philosophes simple avec lequel ilfait la pierre philosophale.pourquoi je dis simple, tout simplement parce qu'il n'a pas été ajoutéet décuplé avec le Mercure d'un métal.Voilà donc encore autre chose, il existe différentes voies qui mènentà la pierre.Mais seulement unes ou deux mène à la véritable pierre.Sachez que les grands maitres ont travaillés sur l'Antimoine et le Ferpour les métaux.Mais qu'ils ont aussi travaillés sur les sels cités pour leur Feu secret.En sachant que le Mercure des philosophes n'est en rien étranger àla matière, mais tiré d'elle par le Feu secret.Cyliani, Fulcannelli, Philalèthe l'a marqué clairement par le nom d'unde ses traités.Les colombes de Dianes sont donc si je comprends bien un mercure, non du vulgaire.Hors donc, les colombes de diane seraient donc un Mercure,premier qui donnerait plus tard le mercure philosophique,l'Alkaest ou l'eau sèche qui ne mouille pas les mains.Les colombes de diane pour un texte ancien des rose croix cesont les fleurs d'antimoine, pour fulcanelli, c'est deux partsd'un mercure argenté et dissolvant , le premier mercure.la vapeur que sort du centre de la terre forme au contacte de l'air lamagnésie des sages selon le cosmopolite , c'est cette magnésie quiattire à soit comme un aimant l'air des sages et bien sur il faut dixparties de cet air des sages contre une de l'or philosophique.cet air des sages est le nitre cotonneux de cyliani, le mercurephilosophique c'est aussi l'eau sèche ne mouillant pas les mains etc'est le second mercure où la femme de la pierre .Le nitre selon grimaldi est un aimant qui attire l'air à soit car selon lecosmopolite cet aimant a été air lui même et selon aristé il faut unair pour attirer un autre air . Selon le chevalier inconnu c'est l'airvulgaire qui fait apparaître cet aimant et cet aimant fait apparaîtrenotre air. Selon limojon de st didier cet air qui est la rosée pour lecosmopolite n'est pas la rosée commune mais c'est une eaumétallique.cet air qui est la rosée philosophique qui contient le salpêtre desphilosophes dont la matrice est l'aimant des sages est l'air ou unvent qui porte dans sont ventre le fils du soleil selon hermophile .Le nitre philosophique est différent du nitre commun comme lemercure des philosophes est différent du mercure commun . Lemercure des philosophes dans la voie humide est un pur feu est unevapeur métallique .faites aussi attention à la rosée commune qui est différente de larosée philosophique .petite citation :" Si donc tu en connais l'art, tire notre Soleil de notre Mercure : alorstous les secrets émergeront d'une seule image, ce qui, crois-moi, estune chose plus parfaite que toute la perfection du monde, selon le Philosophe qui dit "Si tu peux mener à bien l'oeuvre à partir du seulMercure, tu auras trouvé l'oeuvre le plus précieux de tous".Dans cet oeuvre, il n'y-a rien de superflu; tout, grâce au Dieu vivant,se transforme en pureté, parce que l'action se fait sur un seul sujet."" Il y a une opération très sécrète, et purement naturelle, qui se faitdans notre Mercure avec notre Soleil, et c'est à cet oeuvre qu'il fautattribuer tous les signes décrits par les sages. Cet oeuvre ne seréalise ni avec le feu, ni avec les mains, mais seulement avec unechaleur intérieure : la chaleur extérieure ne fait que repousser lefroid et vaincre ses symptômes."Serais-ce bête de ma part de penser que son or est tiré de quelquechose dont rien ne doit être enlevé et dont il doit être tiré par luimême. Hors donc, j'aurai tendance à penser que Philalèthe cite ici lavoie du Cinabre, où certains disent que cette voie est un particulier.mais si cette voie permettait d'obtenir son or comme il le dit bien,proche du mercure aurifique tiré de l'or vulgaire.Nitre, Salpetre ; Historiquement, le salpêtre était préparé dans un tas de compost (généralement1,5 mètres de haut par 2 mètres de large par 5 mètres de long) comportant unmélange de fumier, de terre (ou de mortier ou de cendres de bois) et des matièresorganiques (paille) pour la porosité de l'ensemble. Le tas était généralement protégéde la pluie, maintenu humide avec l'urine, il était retourné souvent pour accélérer ladécomposition et les infiltrations d'eau durant un an. Le liquide contenant desnombreux nitrates est ensuite converti en nitrates de potassium avec des cendres debois, puis cristallisé et raffiné pour une utilisation en poudre. Les personnes encharge de faire le salpêtre sont dessalpêtriers.L'urinea également été utilisée dans la fabrication du salpêtre pour la poudre àcanon. Dans ce processus, de l'urine est placée dans un récipient contenant de lapailleet laissé à mariner plusieurs mois, après quoi de l'eau est utilisée pour laver lessels chimiques de la paille. Le processus est complété par un filtrage aux cendres debois, ainsi qu'un séchage au soleil et à l'air libre. Les cristaux de salpêtre peuventensuite être collectées et ajoutés à du soufre et du charbon de bois pour créer lapoudre noire. Le nitrate de potassium peut aussi être récoltés à partir desaccumulations de guanodechauve-sourisdans les grottes. Il s'agit de la méthode traditionnelle auLaospour la fabrication de la poudre à canon pour les roquettesBang Fai.Le plus ancien procédé de purification de nitrate de potassium est décrite en 1270par un ingénieur et chimiste Arabe, Hasan al-Rammah de Syrie, dans son ouvrageal-Furusiyya wa al-Manasib al-Harbiyya (« Le Livre de la cavalerie militaire etmachines de guerre ingénieuse »), où il a décrit pour la première fois l'utilisation decarbonate de potassium (sous forme de cendres de bois) afin d'éliminer les sels decalcium et de magnésium, du nitrate de potassium impur[5].Sous le nom denitre , il pouvait être un ingrédient de remèdes tels que l'opiatantiscorbutique, un des remèdes de lapharmacopée maritimeoccidentale au XVIII esiècle[5].Le Feu Secret qui ouvre la matière serait composé comme suit :Le Feu secret des alchimistes est l’Esprit universelle captée etretenue dans une prison : le « Sel philosophique » qui est le sel de larosée (nitrate ou carbonate de potassium ou d’ammonium). Ce selcontient la Lumière symbolisée par l’épée de l’Archange Michael quiouvre les composants de la matière.Le Feu secret (pour extraire le Mercure philosophique) se préparecomme suit :- 200g de tartrate acide de potasse (le bouclier, il provient du tartrepurifié de l'intérieur des tonneaux. C’est un sel organique double etoxydant)- 800g de salpêtre des Philosophes (la lance, nitre, nitrate depotassium KNO3)- 1 / 15e de iodure de sodium (NaI) vivifié au « lait de Vierge » pourêtre sublimable (esprit astral)- le « lait de Vierge » est préparé à partir du sel tiré de la rosée demai.Comment se fait-il que Canseliet ait pu errer près de deux décenniesdurant faute de pouvoir percer à jour le secret de la matière première et de sa préparation : premier échelon incontournable del’apprentissage de l’Art ?Ce n’est pas moi qui le dit, mais Canseliet en personne (in :l’Alchimie expliquée sur ses textes, édition 1972, pages 257 à 269).Ainsi, en 1932 nous apprend-il, il entreprend une coction humide surla base d’interprétations littérales attribuées à Philalèthe ou Cylianiet tente la réanimation du vulgaire hydrargyre(L'élément dont lesymbole estHgest lemercureappelé jadis «Hydrargyre ou vif argent »),plusieurs fois distillé puis amalgamé à du trichlorure d’or.L’amalgame étant soumis à l’action lente d’un feu doux dans unballon de verre.Pensez-vous réellement qu’on puisse réanimer le mercure d’unefaçon aussi rudimentaire ?Comment Canseliet a-t- il pu se fourvoyer ainsi ? 16 ans après sarencontre avec le grand Fulcanelli ?Faut-il croire que Fulcanelli n’a jamais mis son disciple en gardecontre ces procédés sophistes, et parmi eux, ceux qui mettent enœuvre le mercure coulant Hg ? Tout le monde sait aujourd’hui que les Adeptes, à l’unanimité,condamnent l’utilisation du mercure coulant ou de ses dérivés.Flamel avoue s’être laissé égaré et Cyliani reconnait avoir été abusépour avoir œuvré sur le sublimé corrosif (Le sel marin combiné avec lemercurequi a étédissous dans l'esprit de nitre & mis en sublimation,s'appellesublimé corrosif;si on triture le sublimécorrosif avec de nouveaumercure, & que l'on mette lemélange de nouveau en sublimation, on obtient, enréitérant trois fois cette trituration & cette sublimation,ce qu'on nomme le mercure doux , ouaquila alba, ou panacée mercurielle. Si on réitere ces sublimations unplus grand nombre de fois, on obtient ce qu'on appellelacalomelle.)et failli même être empoisonné. Et je puis citer une bonne dizained'autres auteurs...Depuis Artephuis jusqu’à Fulcanelli, en passant par Flamel, le Cosmopolite ou Limojon de Saint Didier, (Philalèthe excepté car ilutilise le double langage pernicieux cher à certains adeptes), lestémoignages sont éloquents : le mercure coulant est à proscrire à jamais. Ni lui ni ses minerais dont il est extrait où ses composés nesont propres à la confection du Grand Œuvre.Le piège est si grossier qu’il faut vraiment être un débutant pour ytomber à pieds joints et le jeune Canseliet n’aurait jamais perdu sontemps en essayant d’élaborer la Pierre à partir du vil mercure Hg s’ilavait effectivement reçu une véritable initiation de la part deFulcanelli.N’est-il pas étonnant de constater qu’un étudiant en l’art, disposantd’une certaine compétence acquise en seize années et deconnaissances livresques minimum, ayant par surcroit rédigé lesintroductions aux livres du grand maître, se soit ainsi lourdementtrompé en tentant de faire réagir un mélange de mercure et d’or ?Canseliet, comme on s’y attend, constate son échec après mainteset vaines manipulations. Ensuite il jette son dévolu sur la Galène(étude du Talisman de Marly-le- Roi - Alchimie, édition 1964, pages105 et suivantes) seule minière valable pour le Grand Œuvre selonlui.Ce choix découle peut-être de la petite remarque non anodine deFulcanelli à propos de la lettre “G” ainsi qu’à l’interprétation naïve etéronnée du texte bien connu d’Arthepius, car correctement lu, cetexte donne bien la solution de l’énigme.Citation :« l’antimoine est des parties de Saturne, ayant en toutesfaçons sa nature.... »Fort de ses conclusions hâtives, Canseliet se lance alors dans unesuite d’opérations infructueuses menées sur ce qu’il croit à tort ou àraison être la Materia Prima des grands maîtres, jusqu’à ce qu’enfinil réalise qu’il a fait fausse route.En effet, il y a un autre sulfure susceptible de correspondre à ce fameux et légendaire Loup Gris ou Dragon Ecailleux de Fulcanelli, àl’Antimoine Saturnin d’Artephuis. Pourquoi donc chercher midi àquatorze heures ?Ce revirement se fait certainement à l’époque où il rencontra sonami turc et avec lequel il échangea une fructueuse correspondancesur le déroulement de la Grande Coction. Il est probable que cet amisoit en définitive son seul et vrai initiateur.Mais force est de constater que Canseliet commet une nouvelleerreur dans son approche des opérations du Premier Œuvre : il setrompe dans la manière d’appliquer les sels !En effet, s’il s’était donné la peine de lire attentivement quelquespassages des Demeures Philosophales, il aurait pu lire que les selsdu Premier Œuvre ne s’utilisent pas ensemble « en couple » maisséparément, l’un après l’autre.A ce propos il convient de rapprocher le fameux passage du combatdu dragon et du preux chevalier (Demeure Philosophales) où entermes très peu voilés Fulcanelli nous livre le secret de la calcinationdu Premier Œuvre :Citation :C'est à votre intention, frères inconnus de la mystérieusecité solaire, que nous formé le dessein les modes divers et successifsde nos purifications. Vous nous saurez gré, nous en sommes certain,de vous avoir signalé ces écueils, récifs de la mer hermétique,contre lesquels sont venus naufrager tant d'argonautesinexpérimentés. Si donc vous désirez posséder le griffon, qui estnotre pierre astrale, en l'arrachant de sa gangue arsenicale, prenezdeux parts de terre vierge, notre dragon écailleux, et une de l'agentigné, lequel est ce vaillant chevalier armé de la lance et du bouclier.– Ares, plus vigoureux qu'Aries, doit être en moindre quantité –.Pulvérisez et ajoutez la quinzième partie du tout de ce sel pur, blanc,admirable, plusieurs fois lavé et cristallisé, que vous deveznécessairement connaître. Mélangez intimement ; puis, prenantexemple sur la douloureuse passion de Notre-Seigneur, crucifiezavec trois pointes de fer, afin que le corps meure et puisseressusciter ensuite. Cela fait, chassez du cadavre les sédiments lesplus grossiers ; broyez et en triturez les ossements ; malaxez le toutsur un feu doux avec une verge d'acier. Jetez alors dans ce mélange la moitié du second sel, tiré de la rosée qui, au mois de mai, fertilisela terre, et vous obtiendrez un corps plus clair que le précédent.Répétez trois fois la même technique ; vous parviendrez à la minièrede notre mercure, et vous aurez gravi la première marche del'escalier des sages. Lorsque Jésus ressuscita, le troisième jour aprèssa mort, un ange lumineux et vêtu de blanc occupait seul le sépulcrevide...Et ce n'est pas fini !Dans sa descrïption du modus operandi du second œuvre, il indiquesa manière d'opérer pour les sublimations. Elle ne correspond pas auprocessus canonique de la voie sèche !En effet, au lieu d'appliquer 7 à 9 fois la technique des aiglessuccessivement pour purifier convenablement l'embryon, il morcelleson compot en 10 petites fractions. Selon moi (je peux me tromper),cette technique de morcellement est plutôt applicable à la voiehumide (cf Cyliani et l'auteur des Récréations Hermétiques).Canseliet utilise les deux sels ensemble et non séparément commele conseille Fulcanelli, ce qui est de grande conséquence pour lasuite du processus avec le risque certain de brûler les fleurs lors dela sublimation du Second Œuvre.Mais force est de constater que Canseliet commet une nouvelleerreur dans son approche des opérations du Premier Œuvre : il setrompe dans la manière d’appliquer les sels !En effet, s’il s’était donné la peine de lire attentivement quelquespassages des Demeures Philosophales, il aurait pu lire que les selsdu Premier Œuvre ne s’utilisent pas ensemble « en couple » maisséparément, l’un après l’autre.otes d'après la notice LPN n°47 "Cours de spagyrie" concernant la récupérationdu sel ammoniac philosophique et la réalisation du menstrum radical universel[g]1)Préparation de l'opérateur[/b]4 à 5 jour d'alimentation peu ou pas carnéeRéduire sa consommation de sel, mais ne pas adopter un régime désodé qui estdangereux. Boisson : eau ou vin uniquement.[g]2)Récupération de l'urine (quelques litres)3) Vérification de la qualité de l'urine [/b]a) distiller jusqu'au sec, très lentement vers la finb) placer le sel d'urine sec dans un creusetc) chauffage : le sel ammoniac se décompose en vapeur (ne pas respirer), Siprésence de chlorure de sodium : crépitements. L'urine est alors à rejeter.[g]4) Mise en couveuse[/b] à 40-42°C pendant 30 à 40 jours[g]5)Distillation jusqu'au sec[/b], de préférence sous vide en fin de distillationpour éviter les surchauffes (perte du caractère philosophique)[g]6)Purification du sel [/b]par dissolution dans de l'eau de pluie distillée.Evaporation à température modérée jusqu'à formation de cristaux. Il doit resterdu liquide autours des cristaux pour que la purification soit bonne. Les cristauxsont séchés sous vide et conservés dans un flacon étanche.7)Dés que la quantité est suffisante, [g]pulvériser et placer en macération dansl'alcool absolu[/b].8)après plusieurs mois, [g]distillation[/b].On obtient un menstrum en général très supérieur à celui de Kerkring qui estobtenu avec un sel mort. Applications possibles dans le règne minéral« In girum imus nocte et consumimurLe Feu Secret qui ouvre la matière serait composé comme suit :Le Feu secret des alchimistes est l’Esprit universelle captée etretenue dans une prison : le « Sel philosophique » qui est le sel de larosée (nitrate ou carbonate de potassium ou d’ammonium). Ce selcontient la Lumière symbolisée par l’épée de l’Archange Michael quiouvre les composants de la matière.Le Feu secret (pour extraire le Mercure philosophique) se préparecomme suit :- 200g de tartrate acide de potasse (le bouclier, il provient du tartrepurifié de l'intérieur des tonneaux. C’est un sel organique double et oxydant)- 800g de salpêtre des Philosophes (la lance, nitre, nitrate depotassium KNO3)- 1 / 15e de iodure de sodium (NaI) vivifié au « lait de Vierge » pourêtre sublimable (esprit astral)- le « lait de Vierge » est préparé à partir du sel tiré de la rosée demai.Bonsoir Michel , je me joint a Myme pour l'audace de votre entée enmatière ; j'aime bien . C'est étonnant mais c'est a peut de choseprès mes la déduction a laquelle je suis parvenu sur les sels . Mais letemps passant l'idée que le feu secret ne se situé pas là mais unétage au-dessus a fait son chemin . Je m'explique brièvement . Quel'Esprit Universel soit le feu secret , j'en suis intiment convaincu , parcontre que son enveloppe soit le , ou les sels entrant dans lacomposition de celui-ci , là par contre !!! Je ne conteste pas l'utilitéde ceux-ci , mais en hors d'OEuvre . Pour moi le feu secret estl'Esprit Universel mais fixé sur notre second or , ou soufre si vouspréférez car l'esprit tient ici dans la symbolique le role du mercure , je pense que c'est cette conjonction notre feu secret et l'ArchangeMichel . Et si je ne me trompe , la validité de mes dires devrait semanifester au laboratoire par l'étoile révélant la grotte ou celui-ci secache , visite les entrailles de la terre etc ... Je ne sais pas ci le termede lait de vierge est vraiment approprié a ce stade de l'oeuvre , jesais que d'autres l'on utilisé , mais c'est secondaire . Je relève ce quevous dites simplement pour attirer l'attention sur ces deuxexplications , celles-ci ne sont pas a perdre de vue , lacompréhension du premier OEuvre peut en etre facilité . C'est dumoins ce que je pense . Amicalement Athosathos Messages: 201