DEGRADATION ET PROTECTION DES MATERIAUX-converti
DEGRADATION ET PROTECTION DES MATERIAUX-converti
DEGRADATION ET PROTECTION DES MATERIAUX-converti
I-Introduction
La corrosion est la dégradation d’une substance généralement un métal à cause
d’une réaction avec son milieu environnant. La plus part des milieux environnants
sont corrosifs à un plus ou moins degré. Ce sont par exemple l’air et l’humidité, l’eau
douce, l’eau distillée, l’eau salée, l’atmosphère rurale, urbaine et industrielle. La
vapeur, et d’autre gaz tels que le chlore, l’ammoniac, l’hydrogène sulfure, et les gaz
combustibles.
La corrosion dans l’industrie du pétrole provient davantage du chlorure de sodium,
souffre, des acides chlorhydrique et sulfurique, de l’eau du pétrole brut ou de
l’essence.
La corrosion de l’acier par l’air et l’humidité est la plus courante et conduit à une
perte annuelle immense. La rouille rapide du fer et de l’acier sans protection est bien
connue de tous.
Beaucoup d’opérations actuelles n’auraient pas été possible ou rentables sans
l’emploi d’alliages résistants à la corrosion.
La corrosion peut être parfois bénéfique comme celle des matériaux biodégradables
utilisés dans la fabrication des emballages, la corrosion sert alors à l'environnement
lorsque ces emballages sont laissés dans la nature par insouciance.
Pour comprendre le phénomène de la corrosion on a besoin de faire intervenir
plusieurs principes rattachés à la chimie, à l'électrochimie, à la métallurgie, à la
physique et à la thermodynamique. Toutes ces sciences sont nécessaires pour
comprendre totalement ce phénomène. Ainsi la corrosion est l'affaire de chacun,
quelle que soi sa formation.
Les mécanismes de détérioration ne sont pas les mêmes pour les trois types de
matériaux:
Dans les métaux, il se produit une perte effective de matière soit par dissolution
(corrosion), soit par formation d'une pellicule ou d'une croûte non métallique
(oxydation). Les métaux ont tendance à retourner à leur état d'origine de minerai,
plus stable par rapport au milieu considéré.
Les céramiques sont relativement résistantes à la détérioration, qui se produit
habituellement à température élevée ou dans un milieu ambiant extrême; ce procédé
est fréquemment appelé corrosion.
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Quant aux polymères on parle plutôt de dégradation car les mécanismes et les
conséquences de leur détérioration diffèrent de ceux des métaux et des céramiques.
II. Classification de la corrosion
La corrosion se développe selon deux processus:
• La corrosion sèche.
• La corrosion humide.
II-1. La corrosion sèche
La dégradation des matériaux existe lorsque ceux-ci sont en contact avec des
gaz à des températures où toute trace d'humidité a disparu. Ce phénomène joue un
rôle très important dans les appareils qui fonctionnent à haute température.
II-2. La corrosion humide
C'est la plus répondue, elle se manifeste dans le couple métal / fluide, exemple
la dégradation du matériau organique et du béton.
II-3. Les différents modes de corrosion
Il existe plusieurs modes d'agressivité parmi lesquels on distingue:
• La corrosion chimique
• La corrosion électrochimique
• La corrosion biochimique (la bio corrosion)
• La corrosion en présence d'une sollicitation mécanique
II-3.1.La corrosion chimique
Elle se manifeste par une attaque directe du métal lorsqu'il est en contacte avec des
solutions non électrolytiques ou avec des gaz secs. Au cours de cette corrosion
l'oxydation du métal et la réduction de l'oxydant se produisent en un seul acte.
L'action de l'oxygène reste l'exemple typique de la corrosion chimique.
Exemple :
2F + O2 = 2FeO
II-3.2.La corrosion électrochimique
Elle résulte des hétérogénéités de la structure métallique ou du milieu agressif.
Elle se traduit par un transfert électrochimique entre un métal et une solution
aqueuse à son contact (Figure n°1.).
Ainsi, la corrosion électrochimique implique la réunion des conditions suivantes
:
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• existence d'une dissymétrie physique ou chimique dans le système
métal/solution.
• Présence d'un milieu conducteur.
• Circulation d'un courant électrique.
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corrosion formés peuvent jouer un rôle actif de barrière plus ou moins efficace selon
leur nature. Cependant, ces couches sont minces, pas toujours homogènes dans
leur épaisseur, et leur nature change dès lors qu’elles sont extraites du milieu dans
lequel elles se sont formées.
II-5. Morphologie de la corrosion
Selon la nature de l'attaque, la corrosion peut présenter des aspects très divers
regroupés en deux grandes familles:
• la corrosion uniforme ou généralisée.
• La corrosion localisée.
II-5.1. La corrosion uniforme ou généralisée
C'est la forme la plus classique de corrosion, mais pas toujours la plus
importante en termes économiques ou sécuritaires. La corrosion uniforme (Figure
n°.) se caractérise par l'existence de plusieurs processus électrochimiques
individuels qui se produisent uniformément sur toute la surface considérée. Elle se
traduit en diminution d'épaisseur par unité de temps (ou en perte de poids par unité
de surface, et par unité de temps) si les produits de corrosion sont solubles, ou par
un dépôt uniforme s'ils ne le sont pas. La corrosion uniforme peut être réduite ou
évitée par un choix convenable du matériau, la modification du milieu ou la protection
cathodique.
Ce type de corrosion peut être détecté longtemps avant qu'un ennui vienne
interrompre la vie de l'équipement ou de la structure.
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dont la surface est très faible devant le reste de la structure métallique qui constitue
la zone cathodique (Figure n°3.).
Cette corrosion est produite par le mouvement relatif d'un fluide corrosif et d'une
surface métallique. L'aspect mécanique du mouvement est important et les
phénomènes de frottement et d'usure peuvent intervenir.
b) Corrosion Caverneuse
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mécaniques. Ces atomes d'hydrogène ont pour origine:l'atmosphère environnante,
les procédés d'électrolyse et la corrosion électrochimique. Une fois qu'il a pénétré
dans le réseau, l'atome d'hydrogène peut provoquer plusieurs types de dégâts:
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Les atomes de fer se détachent d’eux-mêmes et passent en solution sous forme
d’ions ferreux Fe++. Les électrons (e-) demeurent dans le métal et à travers lui
chimiquement vers la surface cathodique. Ces électrons sont accepter à la surface
cathodiques.
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L’immersion dans un électrolyte ou un fluide conducteur est nécessaire pour former
le circuit ou pour conduire le courant de l’anode ou la zone anodique à la cathode ou
zone cathodique. Par exemple l’eau de haute pureté ou haute résistivité est utilisée
dans certaines applications pour réduire la corrosion à un faible taux. L’eau du
robinet et l’eau de mer ne sont pas pures et sont de bon conducteurs. La figure ci-
dessous illustre l’ionisation de l’eau (H2O = H+ + OH-)
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Dans l’eau pure, les bulles d’hydrogène se rassemblent sur la cathode en formant
une couverture isolante qui réduit le débit du courant et arrête pratiquement la
corrosion. Ce phénomène est appelé « polarisation » comme il se produit à la
cathode , on le désigne par polarisation cathodique.
Dans les solutions d’acide fort, l’hydrogène est produit sous forme de bulles qui se
brisent continuellement sur l’acier qui corrode et la corrosion se poursuit sans
diminution jusqu’à ce que tout le métal ou l’acide soient consommés.
La plus part des eaux contiennent de l’oxygène dissous. Cet oxygène se combine
avec l’hydrogène pour former de l’eau et ainsi évite l’accumulation (polarisation) et la
corrosion continue sans empêchement. L’oxygène dans ce cas agit comme agent
dépolarisant cathodique.
Pour cette raison, l’eau des chaudières est désaérée (dégazée) afin de réduire les
quantités d’oxygène qui se combineraient avec l’hydrogène présent à la cathode.
L’une des premières méthodes de lutte contre la corrosion consistait à faire circuler
l’eau avant son alimentation en chaudière à travers un réservoir contenant des petits
morceaux de fer.
Le fer se corrodait et l’oxygène dissout était consommé, procurant ainsi de l’eau non
corrosive.
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Dans les eaux neutres ou alcalines (contenant de l’oxygène dissous) la réaction à
l’anode résultant de la corrosion est la même, mais la réaction à la cathode est la
suivante :
H2O + ½ O2 +2e- 2(OH)- (ion hydroxyde)
La réaction totale est :
Fe + H2O +1/2 O2 Fe++ + 2(OH)- ou Fe (OH)2 (hydroxyde ferreux)
Potentiel d'électrode
✓ Potentiel d'équilibre
✓ Potentiel de corrosion (ou de dissolution)
1. Potentiel d'équilibre
Le potentiel d'équilibre est le potentiel d'un métal plongé dans une solution non
corrosive contenant ses ions métalliques (solution de l'un de ses sels). Ce potentiel
est une grandeur thermodynamique et il est indépendant du temps. Sa valeur est
obtenue en appliquant la loi de Nernst au système redox considéré. De façon
générale:
M = M n+ + ne −
EM = E 0 M / M n+ +
RT
nF
Ln M n +
Avec:
E0M/M+: Potentiel standard ;
R : Constante des gaz parfaits ;
T: Température en °K;
n : Nombre d'électrons mis en jeu dans la réaction ;
F: Constante de Faraday (F = 96500 coulombs) ;
Mn+ : Concentration de l'ion Mn+ dans la solution.
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Tableau 1.Série de potentiel d'équilibre par rapport à l'électrode normale à
hydrogène.
Métal Réaction Potentiel (V)
(Extrémité noble)
Or Au Au3+ + 3 e- +1,420
(Extrémité active)
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Lorsqu'un métal est plongé dans un électrolyte quelconque, des ions
métalliques vont passer en solution, c'est-à-dire que le métal se corrode et prend
donc un potentiel par rapport à la solution. Ce potentiel évolue en fonction du temps
pour se stabiliser à une certaine valeur appelée potentiel de corrosion ou de
dissolution.
Piles et batteries :
L’anode et la cathode d’une pile de corrosion reliées ensemble ou éloignées et
séparées doivent maintenir le contact électrique fermant le circuit pour le passage du
courant.
Les anodes et les cathodes peuvent se former sur une même pièce de métal. Quand
deux métaux différents sont en contact, cuivre et acier par exemple, l’un devient
habituellement anode sur toute sa surface tandis que l’autre devient entièrement
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cathode. Le métal le moins résistant à la corrosion devient anode (ou anodique).
Pour l’exemple précédent le fer devient anode et le cuivre devient cathode.
Quand une anode et une cathode constituent une pile et que le courant débite, une
différence de potentiel, ou voltage , existe entre l’anode et la cathode. Ce principe
sont à la base des batteries d’automobile qui contiennent une solution d’acide
sulfurique. Le même principe s’applique pour les piles sèches.
La pile sèche ordinaire est représentée dans la figure ci-dessous. L’enveloppe est
faite de zinc et le barreau central en carbone (graphite).
Le carbone est conducteur de l’’électricité et se comporte dans ce cas comme un
métal. Quand le circuit est fermé, le zinc se corrode et se comporte comme une
anode. un voltage de 1.5 V environ s’établit et le courant débite. L’énergie d’origine
électrique est obtenue à partir d’une telle pile, en raison de l’attaque du zinc qui
passe en solution (Zn Zn++ +2e-). Le magnésium est aussi employé dans
les piles sèches car il est attaqué à peu près complètement par de nombreux milieux.
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Exercices
Exercice1:
Dites, pour chaque réaction, quelle est la forme oxydante et quelle est la forme
réductrice.
Solution 1:
Exercice 2:
Ag+, H2, Sn2+, Fe, Ag, NO, Al, Cl2, H+, Zn, Fe2+, NO3-, Cl-, Sn, Zn2+, Al3+.
Solution 2:
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Exercice 3:
Un clou de masse 500 mg est plongé dans 50 ml d'acide chlorhydrique à 1,0 mol.l-1.
Solution 3:
a)
Fe = Fe2+ + 2e-
2H+ + 2e-= H2
----------------------------------------
2H+ + Fe = H2 + Fe2+
n(Fe) = n(H2)
n(Fe) = n(Fe2+)
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Exercice 4:
Solution 4:
Le couple Cu2+/Cu étant plus oxydant que le couple H+/H2, la règle du g ne peut
s'appliquer : quand on met en présence du cuivre et un de l'acide chlorhydrique, rien
ne se passe.
Exercice 5:
On constitue une pile avec deux électrodes de platine plongeant, la première dans
une solution acidifiée contenant des ions I- et la deuxième dans une solution
contenant des ions en milieu acide Cr2O72- . On a :
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Solution 5:
Le couple Cr2O72-/Cr3+ est plus oxydant que I2/I- : du coté du chrome, il va se passer
une réduction, c'est donc le pôle + de la pile ; du coté de l'iode, on a oxydation, c'est
le pôle négatif.
Comme on est en milieu acide, il faut faire intervenir des ions H+ : au départ on a des
Cr2O72- et à l'arrivée des Cr3+. Les O et les H+ que l'on a au départ vont donner des
H2O. On a donc :
Pour l'iode :
2I-= I2 + 2e-
Les 6 e- dégagés par la première réaction doivent être absorbés par la deuxième, on
a donc les deux réactions :
Exercice 6:
a) Comment constituer une pile faisant intervenir les couples Cu2+/Cu et Ni2+/Ni ?
E° (Ni2+/Ni) = - 0,23 V
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c) Comment la masse de l'électrode négative varie-t-elle lorsque la pile débite un
courant de 10 mA pendant 2 heures ?
Solution 6:
a)
c) On a les réactions :
Cu2+ + 2 e-= Cu
Ni =Ni2+ + 2 e-
On a :
Q = n1e- = It
Q = It = 72 C
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n = 72/96500 = 7,46.10-4 mol
Exercice 7:
a) Expliquer pourquoi, tant qu'il reste du magnésium, la coque n'est pas attaquée.
Solution 7:
a) C’est le métal de potentiel oxydoréducteur le plus faible qui sera oxydé, donc ici le
magnésium.
b) Mg = Mg2+ + 2e-
Q = 2.96500.300.103/24,3 Q = 2,38.10 9 C
Fe = Fe2+ + 2 e-
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m(Fe) = 300.55,8/24,3 m(Fe) = 689 kg
Exercice 8:
Pour protéger une canalisation en fonte, on la relie par un fil conducteur à un bloc de
zinc.
En l'absence de bloc de zinc, la perte annuelle en fer serait de 0,274 kg.m -2. La
canalisation a un diamètre extérieur de 0,80 m. Quelle est la masse de zinc
consommée par an et par mètre de canalisation ?
Solution 8:
S = pd.l
l = S/pd = 0,398 m.
m(Fe) = 0,274/0,398
Fe =Fe2+ + 2 e-
Zn= Zn2+ + 2 e-
Exercice 9:
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Calculer la durée de vie maximale de l'anode.
Solution 9:
Zn =Zn2+ + 2 e-
Exercice 10:
Données :
Le pouvoir corrosif de l'eau de mer, vis à vis du fer, est noté Pc. Sa valeur est :
Pc = 1,2.l0-4 kg.m-2.h-1.
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Ceci signifie qu'il disparaît 1,2.10-4 kg de fer, par m2 de paroi, et par heure.
a) Calculer la masse de fer disparue par oxydation, en un an, par mètre carré de
plaque.
b) Exprimer, puis calculer, la quantité d'électricité Q, mise en jeu par cette oxydation,
en un an, par mètre carré de plaque.
a) Justifier le choix du zinc comme élément protecteur. Quel est le nom de ce type de
protection ?
b) Sachant que les plots de zinc sont remplacés lorsque 60 % de leur masse a été
consommée par la corrosion, calculer la masse de zinc à fixer sur un mètre carré de
plaque pour protéger l'acier pendant un an.
Solution 10:
1)Fe=Fe2+ + 2 e-
Zn =Zn2+ + 2 e-
Q = m(Fe).2F/N(Fe)
Q = 1,05.2.96500/55,8 Q = 3,64.106 C
4) Le potentiel du zinc est plus petit que celui du fer, c’est donc un réducteur plus fort
que le fer, il va donc s’oxyder plus facilement.
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m(Zn) = 65,4.1,0512.100/55,8.60 m(Zn) = 2,05 kg
Exercice 1:
Exercice 2:
Al 3+ + 3e − = Al
Ni = Ni 2+ + 2e −
Exercice 3:
Mg 2+ + 2e− = Mg
Ag = Ag + + e −
Exercice 4:
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Ecrire la demi-équation électronique du couple H + / H2
Exercice5:
Exercice6:
Exercice 7:
Exercice 8:
O2 / H 2 O Fe 2+ / Fe Ag + / Ag Al 3+ / Al
3- En réalité les ions métalliques formés réagissent ensuite avec les ions hydroxyde
formés. Ecrire les réactions de précipitations qui se produisent.
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