Partie Sbai: Surveillance Epidemiologique
Partie Sbai: Surveillance Epidemiologique
Partie Sbai: Surveillance Epidemiologique
SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE
3. Le meilleur système de surveillance épidémiologique est celui qui est basé sur :
A. L'exactitude des données
B. La rapidité de recueil des données
C. Le nombre important des données
D. La réactivité du système de surveillance
E. La centralisation des données
16. En matière de diffusion des résultats de la surveillance épidémiologique, les données doivent être diffusées
en respectant les règles suivantes:
A. La régularité
B. L'exhaustivité
C. La périodicité
D. L'attractivité
E. Une bonne interprétation
17. Parmi les performances d'un système de surveillance épidémiologique on retiendra:
A. L'adéquation aux objectifs fixés
B. La capacité de s'adapter à une nouvelle définition des cas
C. La capacité de s'adapter à une nouvelle source de données
D. La réactivité du système
E. L'exhaustivité du système
27. Parmi les critères de performances d'un système de surveillance épidémiologique on peut citer:
A. Utilité
B. Simplicité
C. Souplesse
D. Acceptabilité
E. Réactivité
10. Parmi les nouveautés du Règlement Sanitaire International de 2005, nous retiendrons
A. Un champ d'application plus étroit uniquement en rapport avec les maladies infectieuses
B. La notion d'urgence de santé publique à portée internationale
C. Une réactivité accrue face aux épidémies
D. La possibilité d'une assistance technique internationale rapide en cas d'alerte
E. La mise en place de points focaux nationaux chargés de communiquer avec L'OMS
11. Un événement est qualifié d'urgence de santé publique à portée internationale selon le RSI de 2005 selon une
évaluation et un algorithme prenant en compte:
A. La gravité et la mortalité
B. Le fait que cet événement est inattendu ou inhabituel
C. Le risque de propagation internationale
D. Le risque de restriction internationale pour le pays touché
E. Le besoin d'assistance du pays touché
12. Parmi les champs d'applications du RSI de 2005 on peut citer les cas suivants
A. Evénements susceptibles de présenter un danger pour la santé publique d'origine naturelle, accidentelle ou
délibérée
B. Evénements qui impliquent des agents biologiques
C. Evénements qui impliquent des agents chimiques
D. Evénements qui impliquent rayonnements ionisants
E. Aucune des propositions n'est juste
13. L’arrêté du Ministre de la Santé Publique N°685-95 du 21 Mars 1995, fixe les modalités d’application du Décret
Royal du 26 Juin 1967, portant loi obligatoire la déclaration des maladies transmissibles concerne :
A. Les maladies quartenaires, soumises au RSI
B. Les maladies dont la liste est fixée par arrêter du Ministre de la Justice
C. Les maladies pouvant donner lieu à des poussées épidémiques
D. Les maladies considérées à caractère social
E. Les maladies cancéreuses
15. Les maladies quarantenaires à déclaration obligatoire prévues par le RSI sont :
A. La fièvre jaune
B. La grippe aviaire
C. Le paludisme
D. Le choléra
E. La peste
16. Le (les) certificat(s) de vaccination exigé(s), actuellement par le RSI concerne (ent) :
A. La variole
B. L’hépatite B
C. Le choléra
D. La fièvre jaune
E. La peste
17. La chimio-prophylaxie du paludisme prescrite dans les voyages internationaux pour les voyageurs se rendant
dans les pays classés Zone (B) :
A. Est à base de CHLOROQUINE
B. Est à base de MEFLOQUINE
C. Est à base de CHLOROGUINE + PROGUANIL
D. Est à base de DOXYCYCLINE en cas d’intolérance à la MEFLOQUINE
E. Peut être arrêtée après avoir quitté la zone impaludée
21. Les maladies quarantenaires à déclaration obligatoire prévues par le RSI sont :
F. La fièvre jaune
G. La grippe aviaire
H. Le paludisme
I. Le choléra
J. La peste
22. Le (les) certificats de vaccination exigé(s) actuellement par le RSI concerne (ent) :
A. La variole
B. L’hépatite B
C. Le choléra
D. La fièvre jaune
E. La peste
23. La vaccination anti-amarile (contre la fièvre jaune) :
A. Est pas exigée actuellement par le RSI
B. A une efficacité très limitée dans le temps
C. Est valable 10 jours après une primo-vaccination
D. Se pratique dans tous les centres de santé du Maroc
E. Doit être authentifiée par la délivrance d’un certificat réglementaire
24. L’arrêté du Ministre de la Santé Publique N°688-95 du 31 Mars 1995, fixant les modalités d’application du
Décret Royal du 26 Juin 1967portant loi rendant obligatoire la déclaration des maladies transmissibles concerne :
*****
A. Les maladies quarantenaires soumises au RSI
B. Les maladies dont la liste est fixée par arrêté du Ministère de la Justice
C. Les maladies pouvant donner lieu à des poussées épidémiques
D. Les maladies considérées à caractère social
E. L’ensemble des maladies infectieuses
25. La chimioprophylaxie du paludisme prescrite dans les voyages internationaux pour les voyageurs se rendant
dans les pays classés Zone (B) :
K. Est à base de CHLOROQUINE
L. Est à base de MEFLOQUINE
M. Est à base de CHLOROQUINE + PROGUANIL
N. Est à base de DOXYCYCLINE en cas d’intolérance à la MEFLOQUINE
O. Doit se poursuivre durant 4 semaines après avoir quitté la zone impaludée
HYGIENE DE L’ALIMENTATION
1. Dans le cadre de la restauration collective, les règles de bases à respecter en matière d'hygiène alimentaire sont:
A. Hygiène des locaux.
B. Hygiène relative au transport et au stockage des denrées alimentaires.
C. Hygiène des équipements.
D. Hygiène du personnel et la formation spécifique.
E. Nettoyage, désinfection et lutte contre les nuisibles
4. Dans le cadre de la restauration collective, les règles de bases à respecter en matière d’hygiène alimentaire sont :
A. Hygiène des locaux
B. Hygiène relative au transport et au stockage.
C. Hygiène des équipements.
D. Hygiène du personnel et la formation spécifique.
E. Nettoyage, désinfection et lutte contre les nuisibles
7. Dans le cadre de la restauration collective, les règles de bases à respecter en matière d’hygiène alimentaire sont
A. Hygiène des locaux
B. Hygiène relative au transport et au stockage
C. Hygiène des équipements
D. Hygiène du personnel et la formation spécifique
E. Nettoyage, désinfection et lutte contre les nuisibles
10. Les additifs alimentaires qui entrent dans la conservation des aliments sont :
A. Les colorants
B. Les gélifiants
C. Les épaississants
D. Les stabilisants
E. Les arô mes
11. Parmi les départements chargés du contrô le des denrées alimentaires au Maroc, on retiendra :
A. Le Ministère de la Santé
B. Le Ministère de l’Agriculture
C. Le Ministère de l’Intérieur
D. Le Ministère des Finances
E. Le Ministère du Commerce
6. les étapes suivantes font partie du traitement de l'eau pour la rendre potable:
A. L'ébullition
B. La clarification
C. L'affinage
D. La désinfection
E. L'ajout d'antibiotiques
7. En pratique quotidienne, parmi les mesures de contrô le de l'eau d'alimentation du réseau en milieu urbain, on
retiendra:
A. Le dosage du chlore (chlorémie)
B. Le taux de minéralisation de l'eau
C. La dureté de l'eau
D. Le dosage des matières grasses
E. La concentration de l'eau en germes totaux
10. Les étapes suivantes font partie du traitement de l’eau pour la rendre potable :
A. L'ébullition
B. La clarification
C. L'affinage
D. La désinfection
E. L'ajout d'antibiotiques
16. En pratique quotidienne, parmi les mesures de contrô le de l’eau d’alimentation du réseau en milieu urbain on
retiendra :
A. Le dosage du chlore (chlorémie)
B. Le taux de minéralisation de l’eau
C. La dureté de l’eau
D. La radioactivité de l’eau
E. La concentration de l’eau en germes totaux
DERATISATION DESINFECTION :
1. Parmi la (les) méthode(s) chimique(s) de la désinfection il y a:
A. La chloration
B. L'ébullition
C. L'autoclavage
D. La filtration
E. ..
22. En matière d’enquête epidemio autour d’une TIAC, le ou les objectifs à retenir selon vous est (sont) :
A. De médiatiser le phénomène épidémique
B. D’identifier l’agent pathogène
C. D’identifier les facteurs favorisants
D. D’éviter les récidives
E. Valider les protocoles de pec thérapeutique des cas
23. la phase descriptive de l’enquête épidémio lors d’une TIAC permet de
A. Formuler une hypothèse sur l’agent causal
B. Décrire les signes cliniques
C. Calculer le taux d’attaque
D. Calculer le risque relatif RR pour chaque plat
E. Formuler une hypothèse sur le repas suspect
34. Les manifestations cliniques en rapport avec une toxi-infection alimentaire due aux moules sont :
A. Brutales
B. Neurologiques
C. Respiratoires
D. Digestives
E. Réversibles
35. Parmi les risques infectieux en liaison avec les viandes on retiendra :
A. Les zoonoses
B. Le botulisme
C. La toxoplasmose
D. Le kyste hydatique
E. Les salmonelloses
HYGIENE HOSPITALIERE
1. L’hygiène hospitalière a pour objectif(s) de
A. Réduire la consommation des ATB
B. Protéger les patients sur le plan éthique
C. Préserver la sensibilité des germes aux ATB
D. Faire des économies de santé
E. Promouvoir la santé
10. Parmi les précautions dites « standards » en matière de lutte contre les infections nosocomiales nous
retiendrons:
A. Le lavage des mains
B. L'usage de conteneur rigide pour stocker les aiguilles usagées après injection
C. Le port de gants et de blouses
D.Le transport sécurisé des prélèvements sanguins
12. Parmi les mesures de prévention des infections nosocomiales ou « IAS » on retiendra:
A. Le respect des précautions « standard »
B. L'isolement des malades infectés, potentiellement contagieux
C. La désinfection et/ou la stérilisation adéquate du matériel de soins
D. La formation du personnel hospitalier en matière d'hygiène
E. La maitrise de l'environnement du patient
14. Parmi les facteurs favorisant la récéptivité aux infections nosocomiales on cite :
A. La mauvaise hygiène des malades
B. L’antibiothérapie prolongée
C. Multiplication des gestes invasifs à visée diagnostique et thérapeutique
D. Le sexe des patients
E. L’â ge des patients
17. Les facteurs favorisants agissant sur la transmission des maladies infectieuses sont :
A. La profession
B. L’entassement
C. Les facteurs météorologiques
D. Les déplacements
E. Les mœurs
1. L’élimination des déchets d’activité de soins à risque infectieux (DASRI) fait appel :
A. A Un triage préalable
B. La fermentation contrô lée
C. La décharge publique
D. L'incinération
E. Des entreprises spécialisées
1. En cas d’accident d’exposition au sang par projection directe du sang sur une muqueuse il faut :
A. Arrêter l'activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone lésée à l'eau et au savon
C. Désinfecter à l'eau de javel à 12° de chlore de la zone concernée
D. Consulter rapidement un médecin référent
E. Mettre l'accidenté immédiatement sous chimiothérapie antirétrovirale
2. Le risque de contamnation par du sang infecte en cas d' AES est de :
A. 30% en cas d'infection par le VIH
B. B 3% en cas d'infection par le VHC
C. 0,3% en cas d'infection par le VHB
D.0,03% en cas d'infection par le VIH, si projection cutanéo-muqueuse sur peau saine
E. 3% en cas d'infection par le VIH
3. En cas d'accident d'exposition au sang par piqû re avec une aiguille creuse il faut
A. Arrêter l'activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone cutanée léésée à l'eau et au savon
C. Rincer abondamment cette zone à l'eau après 'avoir nettoyée
D. Déclarer l'accident
E. Désinfecter avec l'alcool à 70° avec un temps de contact d'au moins 5 min
4. En cas d'accident d'exposition au sang par projection sur la conjonctive oculaire, il faut
19. Arrêter l'activité en cours
20. Nettoyer immédiatement la zone par un savon détergeant
21. Rincer abondamment cette zone au sérum physiologique
22. Déclarer 'accident le plus rapidement possible
23. Désinfecter avec l'alcool à 70° avec un temps de contact d'au moins 5 min
5. En cas d'accident d'exposition au sang par piqure, blessure ou contact direct avec un liquide biologique sur une
peau lésée, il faut:
A. Arrêter l'activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone lésée à l'eau et au savon
C. Désinfecter à l'eau de javel à 12° de chlore la zone cutanée concernée
D. Désinfecter au dakin stabilisée la zone cutanée concernée
E. Désinfecter avec l'alcool à 100% avec un temps de contact d'au moins 5 min
9. Les facteurs déterminants la contamination suite à un AES chez le personnel soignant sont :
A. Le non respect des précautions « standards »
B. La prévalence de l'infection parmi la population
C. Le taux de transmission après exposition
D. La fréquence de l'exposition
E. La gravité de l'infection chez le patient source
10. Le risque de contamination après une piqure contenant du sang contaminé est estimé :
A. 15% pour le VHC
B. 30% pour le VHB
C. 0,3% pour le VIH
D. 30% pour le VIH
E. 3% pour le VHC
11. En cas d’accident d’exposition au sang par piqure avec une aiguille creuse il faut :
A. Arrêter l’activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la cone cutanée lésée à l’eau et au savon
C. Rincer abondamment cette zone à l’eau après l’avoir nettoyée
D. Déclarer l’accident
E. Désinfecteur avec l’alcool à 70º avec un temps de contact d’au moins 5 minutes
12. En cas d’accident d’exposition au sang par projection sur la conjonctive oculaire il faut :
A. Arrêter l’activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone par un savon détergeant
C. Rincer abondamment cette zone au sérum physiologique
D. Déclarer l’accident le plus rapidement possible
E. Désinfecter avec l’alcool à 70º avec un temps de contact d’au moins 5 minutes
14. Lors d’un accident d’exposition au sang, il peut y avoir contamination par des agents
A. Viraux
B. Bactériens
C. Parasitaires
D. Fungiques
E. Chimiques
15. les facteurs déterminants la contamination suite à un AES chez le personnel soignant sont
A. Le non-respect des précautions standards
B. La prévalence de l’infection parmi la population
C. Le taux de transmission après exposition
D. La fréquence de l’exposition
E. La gravité de l’infection chez le patient source
16. le risque de contamination après une piqure contenant du sang contaminé est
A. 15% VHC
B. 30% VHB
C. 0.3% VIH
D. 30% VIH
E. 3% VHC
19. Lors d’un accident d’exposition au sang, il peut y avoir contamination par des agents
A. Viraux
B. Bactériens
C. Parasitaires
D. Fungiques
E. Aucun des susmentionnés
20. les fact déterminants la contamination suite à un AES chez le personnel soignant sont
A. Le non-respect des précautions standards
B. La prévalence de l’infection parmi la population
C. Le taux de transmission après exposition
D. La fréquence de l’exposition
E. La gravité de l’infection chez le patient source
21. le risque de contamination après une piqure contenant du sang contaminé est
A. 15% VHC
B. 10% VHB
C. 0.3% VIH
D. + important en cas de piqure par aiguille creuse qu’en cas de piqure par aiguille pleine
E. 3% VHC
2. La ou les mesure(s) qui ne fait (font) pas partie des précautions « standard » sont:
A. La désadaptation des aiguilles à la main
B. La destruction des DASRI
C. Le port de gants
D. Le nettoyage des surfaces souillées
E. La vaccination du personnel
4. La ou les mesure(s) qui fait (font) partie des précautions « standard » sont :
A. La désadaptation des aiguilles à la main
B. La destruction des DASRI
C. Le port des gants
D. Le nettoyage des surfaces souillées
E. La vaccination du personnel
5. Dans un souci d'optimisation de l'usage des antibiotiques à l'hô pital toute prescription d'antibiotiques doit être :
A. Signée lisiblement
B. Datée
C. Nominative
D. Limitée dans le temps
E. Documentée par des résultats d'analyses bactériologiques
7. Dans un souci d’optimiser l’usage des antibio à l’hô pital toute prescription d’antibio doit être
A. Signée lisiblement
B. Datée
C. Nominative
D. Limitée ds le temps
E. Documentée par des résultats d’analyse bactério
STERILISATION
1. Parmi les facteurs qui conditionnent une bonne stérilisation nous retiendrons:
A. Le pré-traitement
B. Le nettoyage
C. Le conditionnement
D. Les contrô les de la stérilisation
E. Le stockage
PARTIE MRABET :
5. Un facteur de risque :
A. Est une notion statistique
B. N’a pas toujours un rô le causal
C. Permet de définir les groupes à risques
D. Peut être en rapport avec une caractéristique socio-économique
E. Peut être en rapport avec l’état matrimonial
Exercice 1 : On s'intéresse à l'infarctus du myocarde dans la population marocaine, pour lequel on s'est fixé 4
objectifs
1- Connaitre la fréquence dans cette population
2- Savoir quels sont les facteurs de risque
3- Estimer combien de cas d'infarctus du myocarde seraient évités si les facteurs étaient supprimés
4- Etudier l'efficacité sur la mortalité après infarctus du myocarde d'un nouveau traitement thrombolytique
1. Parmi ces schémas d'étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au premier
objectif:
A. Etude expérimentale
B. Etude d'observation
C. Etude de cohorte prospective
D. Etude cas-témoins
E. Mesure de prévalence
2. Parmi ces schémas d'étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au deuxième
objectif:
A. Etude expérimentale
B. Mesure du risque relatif
C. Etude de cohorte prospective
D. Etude cas-témoins
E. Mesure de mortalité
3. Parmi ces schémas d'étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au troisième
objectif:
A. Etude de cohorte prospective
B. Etude cas-témoins
C. Nombre de cas attribuables
D. Etude expérimentale
E. Etude d'incidence
4. Parmi ces schémas d'étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser répondre au quatrième objectif
A. Etude expérimentale
B. Etude de cohorte prospective
C. Etude d'observation
D. Etude cas- témoins
E. Etude transversale
5. Les études cas-témoins reposent sur le (s) principe (s) suivant (s) :
A. La sélection des sujets selon le statut, cas/témoins
B. La sélection des sujets selon le statut, exposés/non exposé
C. La comparaison des 2 groupes selon leur exposition antérieure
D. La comparaison des 2 groupes selon l‘évènement futur
E. Le calcul de l'incidence de la maladie parmi les sujets étudiés
Exercice 2:
On a étudié 18 sujets atteints d'une pathologie pancréatique qui prédispose à la survenue d'un diabète
Les résultats sont présentés sur la figure 1 suivante
DC: indique le décès à cotte date
M: indique le diagnostic de diabète à cette date
Si aucune information n'est précis6e à la fin du suivi du sujet considéré, ce sujet est considéré comme perdu de
vue.
Figure 1:Survenue du cancer chez 18 sujets atteints d'une pathologie du pancréas prédisposant au diabète Etude
de cohorte, 1990-1992
1. Quel est le taux annuel de mortalité dans cette population de 1991 à 1992
A. 3 cas ?
B. 16.9 cas pour 1000 personne-mois ?
C. 202 cas pour 1000 personne-années ?
D. 472 cas pour 1000 personne-années ?
E. 202 cas pour 1000?
Exercice 3 :
Les résultats concernant tous les cas de retard de croissance chez l'enfant estimés en 1980 et 2000 dans les pays
en développement sont présentés dans le tableau suivant
Tableau 1 : Fréquence du retard de croissance chez l'enfant d'â ge préscolaire, dans les pays en développement par
région et sous-région (classification des Nations Unies), en 1980 et 200
10. En épidémiologie les enquêtes observationnelles transversales, ont des objectifs d'application:
A. Essentiellement descriptif
B. Parfois descriptif
C. Parfois étiologique
D. Essentiellement étiologique
E. Dans le domaine des pathologies chroniques et récurrentes
17. Les études de cohortes prospectives analytiques et observationnelles ont pour avantages:
A. D'estimer le taux d'incidence
B. D’estimer le risque relatif
C. D’estimer le risque attribuable
D. D'étudier simultanément plusieurs expositions en rapport avec la maladie
E. D'éviter le biais de sélection
18. Les études de cohortes prospectives analytiques et observationnelles ont pour inconvénients:
A. D'être longue
B. D'être couteuse
C. De nécessiter une logistique lourde
D. D'estimer que la prévalence
E. La possibilitéé de changement du statut « exposé » au cours du temps d'observation
21. Les études observationnelles, analytiques de type cas-témoins ont pour avantages
A. D'être faciles à réaliser
B. D'un cout faible
C. Applicables aux maladies fréquentes
D. Applicables aux expositions rares
E. Permettent d'estimer l'incidence
22. Les études observationnelles, analytiques de type cas-témoins ont pour inconvénients
A. D'approximer le risque relatif (RR)
B. Difficulté de choix de témoins
C. D'éviter le biais d'information
D. Favoriser le biais lié à la mémorisation
E. La subjectivité de l'enquêteur
23. Retenez les propositions justes concernant les études cas témoinss
A. La sélection des témoins est difficile
B. Les témoins et les malades doivent posséder les mêmes caractères de personnes
C. Pour chaque cas on peut faire correspondre 2 à 3 témoins
A. D Les témoins doivent être choisis dans la population générale ou dans l'entourage du cas
D. Il ya le risque de « perdus de vue »
28. En épidémiologie analytique les arguments en faveur d'une relation causale sont :
A. La séquence dans le temps
B. La constante de l'association
C. La reproductibilité
D. La force de l'association statistique
E. L'existence d'une relation dose-effet
34. Dans les études expérimentales type « essais clinique phase lll»
A. L'exposition est observée
B. L'exposition est contrô lée
C. Les groupes comparés sont randomisés par rapport à 'exposition étudiée
D. Les groupes comparés sont randomisés par rapport à l'événement étudié
E. Les groupes sont suivis et comparés par rapport à l'évènement étudié^
40. Retenez les propositions justes concernant les études cas témoins :
A. Elles conviennent à l’étude de maladies rares
B. Elles permettent l’étude de plusieurs facteurs de risque
C. Elles permettent l’étude de plusieurs maladies à la fois
D. La détermination du statut malade/non malade est facile
E. L’obtention d’un groupe de sujets comparables est difficile
43. la classification des études épidemio prend en considération les critères suivants
A. Le mode d’échantillonnage
B. La chrono de recueil des infos
C. La chrono de l’étude
D. La procédure de l’étude
45. Dans une étude expérimentale, l’exposition des sujets doit répondre aux questions suivantes
A. Qui sera exposé ?
B. A quoi sera exposé ?
C. Quand sera exposé ?
D. Comment sera exposé ?
E. Ou sera exposé ?
53. En épidémio analytique, les critères internes à l’étude, en faveur d’une relation causale sont
A. La séquence dans le temps
B. La constante de l’association
C. La reproductibilité
D. La force de l’association statistique
E. L’existence d’une relation dose-effet
54. En épidémio analytique, les critères externes à l’étude en faveur d’une relation causale sont :
A. L’observation de l’association entre exposition et maladie de façon répétée
B. La plausibilité biologique de l’association
C. La cohérence avec las connaissances générales sur le sujet
D. La cohérence dans le temps entre distribution de l’exposition à la caractéristique et la maladie
E. La cohérence dans l’espace entre distribution de l’exposition à la caractéristique et la maladie
58. les critères qui sont pris en considération pour la classification des études épidémio sont
A. La chrono de l’étude
B. La finalité de l’étude
C. La procédure de l’étude
D. Le mode d’échantillonnage
E. Le recueil des infos
59. En matiére de classification des études épidémio , les études descriptives incluent les études
A. Transversales
B. Corrélationnelles
C. D’n=individus
D. Cas-témoins
E. Cohortes
Exercice 1 :
On s’intéresse à l’IDM dans la population marocaine, pour lequel on s’est fixé 4 objectifs
1. Connaitre la fréquence dans cette population
2. Savoir quels sont les FDR
3. Estimer combien de cas d’IDM seraient évités si les facteurs étaient supprimés
4. Etudier l’efficacité sur la mortalité après IDM d’un nouveau traitement thrombolytique
1. Parmi ces schémas d’étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au 1 er
objectif
A. Etude expérimentale
B. Etude d’observation
C. Etude de cohorte prospective
D. Etude cas témoins
E. Mesure de prévalence
2. Parmi ces schémas d’étude et ces mesures , lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au 2 eme
objectif
A. Etude expérimentale
B. Etude du risque relative
C. Etude de cohorte prospective
D. Etude cas témoins
E. Mesure de mortalité
3. Parmi ces schémas d’étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au 3 eme
objectif
A. Etude de cohorte prospective
B. Etude cas témoins
C. Nombre de cas attribuables
D. Etude expérimentale
E. Etude d’incidence
4. Parmi ces schémas d’étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au 4 eme
objectif
A. Etude expérimentale
B. Etude de cohorte prospective
C. Etude d’observation
D. Etude cas témoins
E. Etude transversale
EPIDEMIOLOGIE EVALUATIVE :
ECHANTILLONNAGE :
1. Retenez les propositions justes concernant les sondages stratifiés :
A. Le tirage au sort s’effectue sur l’ensemble de la population
B. Le tirage au sort s’effectue dans les différences strates (sexe, l’â ge …)
C. Ils fournissent de meilleures estimations que les sondages simples
D. Ils sont difficiles à organiser et à interpréter
E. Ils permettent d’éviter certains biais
5. En épidémiologie, un biais :
A. Altère les résultats de l’étude
B. Est une erreur systématique
C. Peut être dû à un mauvais échantillonnage
D. Peut être dû aux techniques de mesures
E. Peut être dû à l’enregistrement des données
4. Le test de dépistage:
A. Est appliqué aux personnes apparemment saines
B. Est appliqué aux personnes présentant des troubles
C. Est pratiqué sur des groupes
D. Est moins précis que le test de diagnostic
E. Constitue une base de traitement
5. Un dépistage doit
A. Etre discriminatif
B. Etre adapté
C. Etre acceptable
D. Entrainer une confirmation
E. Déboucher sur une action
6. Le test de dépistage
A. Est appliqué aux personnes apparemment saines
B. Est appliqué aux personnes présentant des troubles
C. Est pratiqué sur des groupes
D. Est moins précis que le test de diagnostic
E. Constitue une base de traitement
7. Le test de dépistage :
A. Est appliqué aux personnes apparemment saines
B. Est appliqué aux personnes présentant des symptô mes
C. Est pratiqué sur des groupes
D. Est moins précis que le test de diagnostic
E. Constitue une base de traitement
A RECHERCHER le chapitre
EXERCICES :
Exercice numéro 1 :
En vue d'identifier les facteurs de risque liées à la survenue d'infection nosocomiales (IN) dans un service de
réanimation chirurgical, nous avons réalisé une étude chez les malades exposés au cathétérisme vasculaire.
1. Quel type d'étude permet d'atteindre cet objectif ?
A. Etude de prévalence
B. Etude de cohorte
C. Etude cas-témoins
D. Etude ici-ailleurs
E. Etude avant-après
3. Pour atteindre cet objectif nous avons constitué 2 groupes : le premier groupe avec 100 patients présentant l'IN,
et le deuxième groupe de 100 patients ne présentant pas l'IN. Ensuite nous avons cherché à savoir ceux qui étaient
sous cathétérisme vasculaire. Préciser le ou les schémas d'étude
A. Etude de prévalence
B. Etude cas-témoins
F. Essai thérapeutique
C. Etude de cohorte
D. Etude ici-ailleurs
5. Parmi les 100 patients (IN), 50 avaient été cathétérisés et parmi les 100 patients ont infectés, 20 avaient été
cathétésiés. Préciser la ou les valeurs de la mesure d’association :
A. 0,5
B. 1,5
C. 1
D. 2,5
E. 4
4. Peut on dire qu’il existe une association entre infection par le VIH et la tuberculose ?
A. Oui, de façon certaine car le risque relatif est supérieur à 1
B. Non, de façon certaine car le risque relatif est inférieur à 1
C. Oui, a priori, mais il faudrait connaitre l'intervalle de confiance du risque relatif
D. D'après les données, on ne peut pas savoir s'il existe ou non une association
E. Pour savoir s'il existe une association, il faut calculer le rapport de cotes