Start Up
Start Up
Start Up
En résumé :
Une start up = Forte proposition de valeur reposant sur une innovation majeure (souvent technologique) avec un fort
potentiel de croissance exponentielle.
Une petite entreprise (ou business classique) = Proposition de valeur courante sur un marché mature avec une
croissance linéaire.
Une SU cherche à devenir une Entreprise.
Elle vise une chose : Trouver le BM qui lui permettra de croître de manière exponentielle. Une fois ce BM trouvé, la
SU devient rentable, répétable, et scalable. A partir de ce moment-là, elle sort de la phase SU et se transforme en
entreprise.
2. Le Business Model
Définir le BM de votre entreprise est un prérequis indispensable à son lancement. Vous ne pouvez pas mettre votre
projet à flot sans vous être posé les 5 questions suivantes :
Le financement de l’entreprise
La proposition de valeur
Le segment de clientèle visé
La structure des coûts
Cet outil d’aide à la mise en place de notre BM a pour but de créer des produits et services orientés clients et
utilisateurs, dans le but d’apporter de la valeur à ses clients.
Ses composantes :
Partenaires clés (Avec qui ?) : Ce sont les intervenants stratégiques du projet : Fournisseurs clés, partenaires
clés… Autrement dit les ressources que l’on va se procurer grâce aux partenariats. Pour être sûr de nos choix,
il faut se demander quelles sont ls motivations de nos partenaires : L’optimisation (financière ou autre) ? Les
économies ? La réduction des risques et des incertitudes ? L’acquisition de ressources ou d’activités
particulières ?
Parfois, des partenaires peuvent également être des clients.
Posez-vous la question suivante : « Si je n’ai pas ce partenaire, puis-je faire tourner mon entreprise ? » Si la
réponse est « non », alors c’est un partenaire-clé.
Activités clés (Quoi ?) : Ce sont les activités indispensables au fonctionnement de notre entreprise :
Production, gestion logistique, ingénierie, gestion d’un site web…
Posez-vous la question suivante : « Si je n’exerce pas cette activité, puis-je faire tourner mon entreprise ? » Si
la réponse est « Non », alors c’est une activité-clé.
Ressources clés (Avec quoi ?) : Ce sont les ressources indispensables au fonctionnement de votre activité :
Locaux, matériels, machines, fonds financiers, RH, achats de compétences, logiciels, marque… Ces
ressources doivent être en lien avec vos canaux de distribution, communication etc…
Posez-vous la question suivante : « Si je n’ai pas cette ressource, puis-je faire tourner mon entreprise ? », si la
réponse est « non », alors c’est une ressource-clé.
Proposition de valeur (Quoi et pourquoi ?) : La proposition de valeur est notre offre, ainsi que ce qui fait
que nos clients vont acheter notre produit/service plutôt que celui d’une autre entreprise.
Autrement dit, il s’agit de la combinaison de produits et/ou services qui répond aux besoins, exigences de
notre cible/segment client (Nouveauté, performance, prix, personnalisation, réduction de coûts, réduction de
risque, accessibilité, prix, marque, design, utilité…)
Relation clients (Comment ?) : Cela comprend le type de relations que l’on va établir avec notre cible (self-
service, assistance personnelle, SAV etc…).
Canaux (Comment ?) : Par quels canaux allez-vous faire connaître votre proposition de valeur ? Comment
allez-vous aider vos clients à choisir votre proposition de valeur plutôt que celle d’un concurrent (et donc à
évaluer notre proposition de valeur afin de décider qu’elle est meilleure que celle des concurrents) ? Comment
allez-vous vendre vos produits/services ? (Grossiste, en ligne, magasin…) Quel système de SAV ? Quels
seront vos points de contacts avec vos clients ?
Segments de clientèle (Pour qui ?) : Indiquez ici votre cible ou vos segments cibles si vous en avez
plusieurs, càd un groupe homogène de personnes/E qui ont les mêmes besoins, que vous pouvez servir via le
même canal de distribution, qui seront sensibles à la même communication, qui accepteront de payer le même
prix, et avec lesquels vous aurez le même type de relations.
Il est important de distinguer clairement les différents types de clients : Bénéficiaires, acheteurs,
prescripteurs…
Structure des coûts (Combien ?) : Quels sont les coûts les plus importants ? Quelles sont les activités les
plus couteuses ? Quelles sont les ressources les plus couteuses ? Votre BM est-il plus axé sur les coûts (faible
structure de coûts, tarifs bas, automatisation maximum, sous-traitance intensive…) ou sur la valeur (focalisé
sur la création de valeur, proposition de valeur haut de gamme) ?
Flux de revenus (Combien ?) : Comment chacun de vos segments paiera-t-il ? Ponctuellement ? A chaque
achat ? Location ? Abonnement ? Forfait annuel ? Prix fixes ou négociations possibles ? Prix différent selon
les cibles ? Prix en fonction des volumes vendus ?
Compte tenu des besoins en fonds propres des créateurs de SU, on peut distinguer plusieurs capital-risqueurs :
Les fonds nationaux (publics ou privés) : Généralistes ou spécialisés dans certains secteurs d’activités
comme le high-tech, les énergies propres (cleantechs), les biotechs, logiciels etc.
Parmi eux, on peut trouver BpiFrance (établissement public), ainsi que des fonds nationaux privés dont
certains sont fédérés par l’Association française des investisseurs pour la croissance (AFIC).
Les fonds régionaux : Ils interviennent à travers les Instituts régionaux de participation (IRP).
Les Corporate venture : Ce sont des fonds créés par de grands groupes industriels, souvent spécialisés et
intervenant généralement sur leur propre secteur d’activité. Leurs interventions se situent en phase de création
de la SU et quelquefois en phase de développement pour des montants généralement supérieurs à 300 000€.
Les Business Angels sont des particuliers, issus en général du monde des affaires, et disposés à investir des
capitaux (plutôt à partir de 15 000€) dans des projets innovants. Ils sont fédérés par France Angels.
Le micro-capital-risque : Concerne quelques clubs d’investisseurs informels tels que les Cigales (Clubs
d’investisseurs pour une gestion alternative et locale de l’épargne solidaire) pour des interventions modestes
de l’ordre de 1500 à 3000€.
Les incubateurs publics, dit incubateurs « Allègre » : Leur mission consiste à favoriser le transfert de
technologies développées dans les laboratoires de recherche publique par la création d’entreprises innovantes.
Les incubateurs rattachés aux grandes écoles : Ils sont présents dans les grandes écoles d’ingénieurs
comme Centrale, Polytechnique, Telecom Paris Tech, etc. ainsi que les grandes écoles de commerce : HEC,
EM Lyon, ESCP.
Les services proposés varient d’une structure à une autre. Ils s’adressent aux étudiants voire parfois aux
anciens étudiants. Leur champ d’intervention ne se limite pas nécessairement à l’accompagnement puisque
certains se consacrent également à la sensibilisation à l’esprit d’entreprendre auprès des étudiants.
Les incubateurs de collectivités locales : Ils dépendent d’une région, d’une métropole, etc. pour contribuer à
l’attractivité et au développement économique voire social de leur territoire.
Les incubateurs privés : Ils peuvent être à l’initiative d’entrepreneurs, d’investisseurs, d’associations, de
professionnelles etc. avec le soutien ou non de partenaires publics et de grandes entreprises. Certains d’entre
eux prennent la forme d’accélérateurs.
Les incubateurs de grandes entreprises : Dans le contexte actuel, caractérisé par une forte transformation
digitale de certains secteurs, les grandes entreprises ont mis en œuvre des stratégies d’open innovation,
notamment en créant leur propre incubateur afin d’attirer des talents et des ressources nouvelles. Les objectifs
sont multiples : Améliorer l’efficacité commerciale d’un produit, créer une nouvelle offre, favoriser
l’émergence d’une culture intrapreneuriale au sein des équipes etc.
Les CEEI (Centre européen d’entreprises et d’innovation) : Ce sont des organismes publics qui détectent
et accompagnent des projets de création d’entreprises innovantes. Ils sont labellisés par l’Union Européenne et
soutenus par la Commission européenne via le réseau EBN.
Quelques précisions sur les incubateurs et organismes proches :
Certains incubateurs sont réservés à des profils d’entrepreneurs particuliers. C’est le cas par exemple de Willa,
incubateur qui accompagne les créatrices de SU.
Un incubateur d’entreprises est une structure qui accueille et accompagne des entreprises en phase de création ou
créés récemment.
Quant à l’accélérateur, c’est un programme consacré aux entrepreneurs dont le but est d’accroître la croissance d’une
SU. Ce programme est rarement gratuit et implique soit une participation au capital de la jeune entreprise, soit une
facturation de certains services. Ce programme est souvent court et intensif, proche de celui des incubateurs.
Les pépinières hébergent plutôt des sociétés en phase de développement qui ont dépassé les étapes de projet.
La couveuse d’entreprises quant à elle n’est pas un hébergement physique pour les nouvelles entreprises, mais un
hébergement juridique. Autrement dit, la couveuse prête son numéro de SIREN au « couvé » afin qu’il puisse émettre
des facture légalement, sans passer par l’immatriculation légale de son activité. Ce dispositif, appelé « contrat CAPE »
est destiné aux créateurs d’entreprise qui souhaitent tester leur activité avant de faire le grand saut.
NB : Dans les calculs de coûts, les charges sont en général imputées aux prestations de services dans des démarches
de coût complets (et pas de coûts partiels), mais les clefs de répartition sont très sommaires. On n’utilise ni les centres
d’analyse de la méthode traditionnelle, ni les activités et processus de la méthode ABC : On affecte forfaitairement
tous les frais généraux sur la base des heures de main-d’œuvre directe dans une démarche très sommaire qui ne permet
aucune traçabilité des calculs de coûts. Dans ces métiers du numérique ou de la prestation de services à haute VA, le
pilotage se fait essentiellement par les temps des ingénieurs et des chercheurs.
Les budgets sont souvent utilisés plus comme des éléments prévisionnels dans le cadre d’un plan à 3 ou 5 ans que
comme un véritable système de contrôle de l’exploitation.
Ce n’est que si la SU prend en charge la production effective des solutions inventées, donc si d’une E de matière grise
et de R&D on passe à une E délivrant directement des outputs utilisables réalisés au travers de processus productifs
organisés par elle-même ou bien si on a atteint un stade de maturité (ETI ou GE), que le contrôle budgétaire se déploie
pleinement avec prévisions, reporting, analyse d’écarts et actions correctives.
Le crédit d’impôt se déduit de l’impôt sur le revenu ou l’IS dû par l’entreprise pour l’année au cours de laquelle les
dépenses de recherche ont été réalisées.
L’excédent de crédit d’impôt non imputé fait naitre une créance sur l’Etat de même montant, remboursable à l’issue
d’une période de 3 ans, mais remboursable immédiatement pour les SU (article 244 quater B du C général des
impôts).
Le report des déficits : L’entreprise soumise à l’IS, qui subit un déficit au cours d’un exercice, peut le reporter pour
le déduire soit des bénéfices suivants, soit du bénéfice de l’exercice antérieur, se constituant dans ce cas une créance
d’impôt.
Le déficit subi pendant un exercice est considéré comme une charge déductible du bénéfice des exercices suivants
sans limitation dans le temps.
L’imputation du report en avant est plafonnée, càd qu’elle est limitée à 1 million d’€ par an, majoré de 50% de la
fraction du bénéfice supérieure à ce plafond.
Exemple :
Résultat déficitaire en N-1 : 1 500 000€
Résultat excédentaire en N : 1 050 000€
Part de N-1 à reporter en N : 1 000 000 + 50% x (1 050 000 – 1 000 000) = 1 025 000
25 000€ reste soumis à l’IS en N.
Part de N-1 restant à reporter sur les exercices postérieurs à N : 1 500 000 – 1 025 000 = 475 000€.
Les amortissements différés : Conformément aux dispositions du 2° du 1 de l'article 39 du CGI, les amortissements
régulièrement différés (non comptabilisés) au cours d'exercices déficitaires peuvent être compris dans les charges
déductibles des exercices bénéficiaires suivants, en sus de l'annuité normale d'amortissement, à condition toutefois
qu'ils soient réellement effectués et qu'ils n'excèdent pas la limite de ceux généralement consacrés par les usages.
Il est précisé, d'autre part, que les amortissements régulièrement différés en période déficitaire doivent normalement
s'imputer sur les résultats des premiers exercices suivants qui laissent apparaître un bénéfice suffisant pour y faire
face.
Si, à la clôture d'un exercice, l'entreprise ne respecte pas l'obligation prévue à l'article 39 B du CGI, de constater en
écritures un amortissement minimal égal à l'amortissement linéaire, elle perd définitivement le droit de déduire la
fraction des amortissements qui a été ainsi différée.
L’impôt sur les sociétés (IS) : Les sociétés nouvelles sont dispensées du versement d’acomptes d’IS jusqu’à la
clôture de leur premier exercice.
Pour les sociétés contrôlées à 75 % par des personnes physiques, dont le chiffre d'affaires HT est inférieur à 7.630.000
euros et dont le capital est entièrement libéré à la clôture de l'exercice, le taux d'IS est ramené à 15 % dans la limite de
38.120 euros de bénéfice, au lieu de 28%.
Employer moins de 250 personnes au cours de l’exercice au titre duquel elle demande à bénéficier de ce
statut.
Réaliser un CA inférieur à 50 millions €.
Disposer d’un total de bilan inférieur à 43 Millions €.
Être indépendante, càd que son K doit être détenu pour minimum 50% par des personnes physiques.
Réaliser des dépenses de R&D représentants au moins 15% des charges.
Exonérations :
Exonération d'impôt sur les sociétés pendant 24 mois
Exonération de 50 % pour la période ou l'exercice suivant. A noter : L'exonération d'impôt sur les bénéfices est
cumulable avec le crédit d'impôt recherche (CIR)
Exonération de 50 % pour la période ou l'exercice suivant. A noter : L'exonération d'impôt sur les bénéfices est
cumulable avec le crédit d'impôt recherche (CIR)
Exonération des cotisations sociales patronales sur une partie des rémunérations versées aux chercheurs,
techniciens, gestionnaires de projet de R&D, juristes chargés de la protection industrielle et personnels chargés des
tests préconcurrentiels.
L'exonération porte uniquement sur les cotisations patronales d'assurance maladie, maternité, invalidité, décès,
vieillesse, et allocations familiales :
Pour l’entrepreneur : Pour lui, être en hyper croissance est un signe d’acceptation sur le marché.
Pour les pouvoirs publics : Pour eux, les E en hyper croissance permettent de réduire le chômage car elles
embauchent bcp en peu de temps (création d’emplois).
Exemple d’entreprises en hyper croissance : Leetchi, Doctolib, Blabla Car, Le slip français, meilleur taux.com,
Veepee, Meetic…
Au début de sa thèse, elle s’est rendu compte que 3 facteurs peuvent influencer l’hyper croissance :
Facteurs environnementaux : Levées de fonds (investisseurs, personnes étrangères qui apportent des fonds),
accompagnement, et partenariats.
Pour arriver à l’hyper croissance, il n’y a pas un unique chemin à emprunter, ils peuvent être différents selon les E. Ce
chemin se frayera en faisant fonctionner différents facteurs pour arriver à son propre objectif d’hyper croissance,
propre à chaque E.
Certains entrepreneurs y arrivent du 1er coup, d’autres s’y sont repris plusieurs fois avant de réussir.
Il y a 2 grandes stratégies d’hyper croissance qui vont définir les différents chemins entrepris par une E :
La stratégie de croissance :
Les entrepreneurs qui optent pour cette stratégie sont souvent des preneurs de risques. Ils ont de
l’expériences et savent comment ça marche.
Ils ont des BM scalables (qui peut être déployé à l’international, en France comme aux EU, peut être
déployé à grande échelle facilement). Ex : Blabla car s’appelait au départ covoiturage.com mais ce nom
n’était pas adapté à l’international. « Scalabilité de l’entreprise », le site doit aussi être prévu pour être
scalable pour que le site ne plante pas si bcp de visites.
Autre pt important de cette stratégie, c’est le marketing, tout le monde doit commencer à parler de
l’entreprise en peu de temps, tout va se faire très rapidement dès le début, pas le time. On va se présenter dans
des émissions télévisions, radios etc.
On va faire des levées de fonds pour avoir bcp de sous tout de suite et se développer rapidement.
Partenariats étrangers.
Dream Team
Les entrepreneurs qui passent par cette stratégie devront être patient avant d’être rentable. Ex : Blabla car a été
créé en 2008 et vient à peine de se déclarer rentable. Son taux de croissance annuel moyen est pourtant de
40%, 50 millions d’utilisateurs, technique levées de fonds de plusieurs milliards d’euros avec 17
investisseurs Ces E sont des bouffeuses de cash, elles demandent vraiment bcp d’argent, c’est pour cela
qu’on s’adresse souvent à des leveurs de fonds pour financer une dream team càd prendre les meilleurs sur le
marché, on ne laisse pas rentrer n’importe qui.
La stratégie de rentabilité :
L’entrepreneur n’est pas du tout dans la rapidité, il réfléchit bcp et protège la culture, les valeurs de son E
pour que ce soit son E sur le très long terme, comme un papa qui ne veut pas abandonner son enfant.
Ex : CityScoot a été créée en 2013 et n’a mis que 2 ans pour être rentable, contrairement à blabla car qui a
opté pour la 1ère stratégie. Son taux de croissance annuel moyen est lui aussi de 40%, et se trouve seulement
dans certaines villes françaises et en Italie, contrairement à blabla qui est étendue dans 22 pays.
L’entrepreneur veux garder la main sur son entreprise et sa culture, ses valeurs, c’est pour cela qu’il a choisi
cette restriction.
Les effets : Il a abandonné l’élection, et cette affaire aura des répercussions sur l’avenir du parti politique
LREM (mauvaise image, chercher un nouveau candidat…)
Effets : Cela a entrainé des millions de réactions sur les réseaux sociaux (#deletefacebook) et des articles des
médias. La valeur des titres de Facebook a décliné, et bcp de gens se sont mis à supprimé leur compte, comme
par ex Elon Musk.
Une valeur est un type de croyance centrale dans un système de croyances individuels.
Les valeurs sont des idées abstraites, positives ou négatives, qui représentent les croyances des sujets. Ex : La liberté,
la laïcité.
Par exemple, nous savons non seulement qu’il faut parler de telle ou telle manière, mais aussi ce qu’il est bien de faire
ou non.
Le lien entre valeur, norme et légitimité : Jugement social.
La légitimité a également un lien avec la réputation : La réputation est « la manière dont quelqu’un/quelque chose est
connu, considéré dans un public » ou « opinion favorable ou défavorable du public, pour qq, qq chose ».
La réputation est l’évaluation basée sur la performance de l’entreprise.
Quand on juge, fait une évaluation sur le personnes ou entreprises, on juge par rapport aux normes, règles de la
société, on construit la légitimité de l’E.
La légitimité cognitive : Elle est fondée sur la cohérence entre les comportements de l’organisation et les
schémas de ce qui est compris des acteurs sociaux. Ex : Griveaux est diplômé d’HEC et Sciences Po On
attend à ce que les candidats ait des expériences académiques ou pro dans leur domaine de travail.
La légitimité régulative : Respect des règles dans la société.
Normative : Respect des normes reconnue dans la société. Ex : En France, la famille est une forme normative
de la légitimité, que n’a pas respecté Griveaux.
Industry : Respect des standards de l’industrie dans laquelle on se trouve. Ex : Facebook ne respecte pas les
standards des réseaux sociaux, qui ont parmi ces standards le respect de la vie privée de leurs utilisateurs.
Mais qui confère cette légitimité ?
Ce sont nous, individus, mais aussi les médias (jugement par le biais d’articles), l’Etat/gouvernement, et les parties
prenantes (les investisseurs, fournisseurs, ...) qui conférons cette légitimité ou non.