Test AUDITEUR CONFIRME

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I.

QUESTIONS
1. Donner la définition et leurs objectifs respectifs :
 Contrôle interne : c’est l’ensemble des dispositifs mise en œuvre au
sein d’une organisation pour la maitrise des risques, surtout protéger
son patrimoine et ainsi maintenir les lignes de conduite établies par
la direction général.
Objectifs :
- vérifier que le dispositif et les procédures internes sont conformes
aux normes et usages professionnels et déontologiques
- vérifier que la pratique et la réalisation opérationnelle sont
conformes aux orientations de la Direction General
- vérifier que les limites fixées sont respectées dans tous les
domaines
- vérifier que les dispositifs assurent une stricte indépendance
- vérifier que tous les informations sont fiables et exactes (crédit,
comptabilité)
 Audit interne : c’est une activité indépendante et objective qui donne
à une organisation une assurance sur le degré de maitrise de ses
opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer et contribue à
créer de la valeur ajoutée
Objectifs :
- Vérifier la conformité aux exigences du référentiel de l’entreprise
- Vérifier que les dispositions organisationnelles et opérationnelles
sont établies, connues, comprises et appliqués
- Vérifier l’efficacité du donné audité
- Identifier des pistes d’améliorations et des recommandations
- Conforter les bonnes pratiques observées
2. Donner les composants du contrôle interne
- 1ère composante : un environnement interne favorable à la
maîtrise des risques
- 2ème composante : une évaluation des risques
- 3ème composante : des activités de contrôle qui comprennent les
dispositifs mis en place pour maîtriser les risques de ne pas
atteindre les objectifs fixés
- 4ème composante : la maîtrise de l’information et de la
communication
- 5ème composante : le pilotage du contrôle interne
3. Donner la caractéristique requise de l’audit interne
- Indépendante
- Objective
- Donner une assurance
- Apporte du conseil
4. Citer les principes comptables fondamentaux
- Principe de continuité d’exploitation
- Principe d’indépendance des exercices
- Principe de coût historique
- Principe de prudence
- Principe de permanence des méthodes
- Principe d’importance relative
- Principe de non-compensation
- Principe de bonne information
- Principe d’intangibilité du bilan d’ouverture
5. Quels sont les principaux risques dans le métier d’une Institution de
Microfinance ?
- Risque opérationnel (fraude : crédit fictive ou en prête-nom)
- Risque financier (information comptable faussé)
6. Quels sont les dispositifs de prévention des risques ?
- éviter les incidents indésirables avant leur survenue
- Respecter les dispositifs de contrôle interne (procédure, notes,
instructions, statut, règlement intérieur)
7. Parlez-vous de l’assertion d’audit ?
Le métier d’audit exige une personne polyvalente et compétente, possédant
des qualités :
 Savoir à écouter
 de discrétion
 Analyse et synthèse
 Curiosité, flair et imagination

II. QCM 
Q1. L’Audit est :
A. Un examen professionnel
B. Une sorte de vérification
C. Un type de contrôle de gestion
D. Un processus méthodologique
E. Aucune réponse
Q2. Un auditeur interne peut être un :
A. Salarié de l’entreprise
B. Un commissaire au compte
C. Intervenant externe
D. Etudiant
E. Aucune réponse
Q3. Les normes générales de l’audit :
A. Sont fictive
B. Sont opérationnelles
C. Sont obligatoires
D. Sont de nature comptable
E. Aucune réponse
Q4. Nous pouvons parler des risques dans les situations suivantes :
A. Absence d’une répartition des tâches
B. Confusion des tâches
C. Evaluation forfaitaire des stocks
D. Sous-effectif du personnel comptable
E. Aucune réponse
Q5. Un Auditeur est forcément :
A. Commissaire aux comptes
B. Inspecteur
C. Expert-comptable
D. Professionnel de traitement de l’information
E. Aucune réponse
Q6. L’audit légal est :
A. Un audit opérationnel
B. Un audit obligatoire
C. Un audit interne
D. Un audit externe
E. Aucune réponse

Q7. Le mandat d’un commissaire aux comptes doit durer :


A. Une année
B. 2 années
C. 3 années
D. 4 années
E. Aucune réponse
Q8. En matière d’audit légal, l’auditeur est tenu d’une :
A. Obligation de détection d’une fraude
B. Obligation d’amélioration de la gestion
C. Obligation de moyens
D. Obligation de résultats
E. Aucune réponse
Q9. Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur n’est pas
tenu :
A. Tout contrôler
B. Revoir toutes l’opération passée au niveau comptable
C. Planifier et orienter le travail de l’auditeur interne
D. Mettre en place tous les moyens nécessaires à la réalisation de la mission
E. Aucune réponse
Q10. Pour détecter une anomalie, l’auditeur peut faire appel aux outils
suivants :
A. Des contrôles physiques
B. Des impressions personnelles
C. La revue de vraisemblance
D. La technique de sondage
E. Aucune réponse
Q11. Les quels des éléments ci-dessous peuvent faire l’objet de
confirmation :
A. Les créances clients
B. Les provisions pour créances clients
C. Les dettes fournisseurs
D. Les amortissements des immobilisations corporelles
Q12. Au cours de son mandat un commissaire aux comptes :
A. Peut toujours émettre des opinions sans réserve
B. Doit toujours exercer sa mission jusqu’à son terme
C. A toujours la possibilité de démissionner pour motif légitime
D. Ne peut jamais démissionner
Q13. Le principe de la propriété peut stipuler que :
A. Un bien acquis par crédit-bail ne doit pas figurer dans l’actif d’une entreprise
B. Le patrimoine d’une entreprise est constitué des actifs qui lui appartiennent
C. Toutes les opérations doivent être enregistrées et réelles
D. Aucune réponse
Q14. Dans un processus d’achat, la mise en concurrence de fournisseurs
permet :
A. D’identifier les avances aux fournisseurs non récupérées
B. De rechercher le meilleur rapport qualité-prix
C. De faire jour la concurrence entre les fournisseurs
D. Aucune réponse
Q15. Un auditeur des achats peut :
A. Mettre en évidence le risque de forte dépendance d’un seul fournisseur
B. Mettre en évidence le risque de non mise en concurrence des fournisseurs
C. Remettre en cause l’existence d’une procédure d’achat bien élaborée et non
respectée
D. Aucune réponse
Q16. Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur est tenu
de :
A. Planifier et orienter la mission de chaque salarié au sein de l’entreprise
B. Tous vérifier
C. Sélectionner les éléments à contrôler
D. Faire appel à un expert dans un domaine que lui ne maitrise pas
E. De licencier l’auditeur interne en cas d’incompétence
Q17. Afin de détecter des anomalies, l’auditeur financier peut croiser de
l’information issue de :
A. L’actif et passif du bilan
B. Bilan et CPC
C. Bilan et du patrimoine personnel du dirigeant
D. CPC et des orientations stratégiques de l’entreprise
E. Aucune réponse
Q18. Dans le domaine de l’audit, l’auditeur peut faire appel à un certain
nombre de technique de contrôle et de vérifications, parmi lesquelles nous
pouvons citer :
A. La vérification des actifs corporels au sein de l’entreprise
B. La demande (collecte) d’information interne et externe de l’entreprise
C. La vérification d’un calcul
D. L’observation sur terrain
E. Aucune réponse
Q19. Le montant des provisions constatées attire l’attention de l’auditeur
parce que :
A. La constatation des provisions est une obligation légale
B. Il existe des méthodes de calcul précises
C. Il s’agit d’une simple estimation
D. Les provisions figurent aussi bien à l’actif qu’au passif du bilan
E. Les provisions peuvent avoir une influence significative sur le patrimoine de
l’entreprise
Q20. Dans quel cas parle-t-on d’une fraude ?
A. Une erreur sur la date d’enregistrement d’une opération
B. Une erreur sur le calcul arithmétique d’une opération
C. Le non enregistrement d’une sortie de stock
D. L’enregistrement d’opérations fictives
E. Aucune réponse
Q21. Les dirigeants d’une entreprise ont arrêté les comptes annuels de
l’exercice après avoir procédé à une majoration de l’importance de la
valeur des stocks et une minoration significatives des opérations ainsi que
des provisions, dans ce cas on peut parler de :
A. Du respect du principe de prudence
B. D’une dissimulation de la situation financière de l’entreprise
C. D’une fraude
D. D’une erreur
E. Aucune réponse

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