Article 350

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La dissertation

Le secteur bancaire comme plusieurs secteur est aussi régis par le code
de travail, dans d’améliorer les relations de travail dans ce dernier et donc
le respect des règlementations légales et les textes juridiques apparaitre
fondamentale et obligatoire.

Ainsi ce secteur est règlementé par L’USIB (Union syndicale


interbancaire) et le GPBM (Groupement professionnel des banques du
Maroc) en mettant des accords en faveur des parties consolidant les
droits des employés, gradés et cadres…

Parmi ses accords l’un qui signée en 2018 les éléments de ce dit accorde
se base sur : Augmentation des salaires en faveur du personnel ayant un
salaire brut annuel jusqu’à 400.000 DH, l’amélioration des retraites du
personnel des banques, Formation interbancaire, Régionalisation des
œuvres sociales…

Cependant, on trouve des établissements bancaires qui entrent dans le


stade, par le dépassement de ces règles et qui sortent de la ligne
respectueuse.

En revanche le Crédit du Maroc un de ces établissements en notant le


dépassement au niveau des deux articles du code de travail 350 et 353,
le premier concerne le barème de la prime d’ancienneté, et le deuxième la
base de calcul de cette dernière.

Donc comment cette banque a procédé à cette érronation ? Et qu’elles


sont les conséquences sur elle-même et sur le secteur bancaire en gros ?

Pour répondre à ces questions au niveau du développement, qui va ce


composé de deux parties ; la première c’est pour l’identification de cette
banque ainsi le processus fait par elle la falsification des primes donnés à
des employés ; la deuxième c’est pour les conséquences supportées.
Pour bien cadré la synthèse, il faut mieux identifie le Crédit du
Maroc (CDM) qui est une banque commerciale marocaine fondée en
1929. C'est une filiale du groupe français Crédit agricole S.A, et son siège
social à casablanca.

À ce problème propre au Crédit du Maroc, il existe deux barèmes fixant


les primes d’ancienneté : celui de la convention collective du secteur
bancaire de 1956 (signée par toutes les banques hormis la BCP), et celui
du Code du travail de 2004.Le premier, qui est moins avantageux pour les
salariés, n’a pas été mis à jour suite à l’entrée en vigueur du Code du
travail, et la règle légale est claire: la priorité est donnée à l’application
des barèmes qui sont les plus avantageux pour les salariés et ça selon
l’article 350 « tout salarié doit bénéficier d'une prime d'ancienneté dont le
montant est fixé à :- 5 % du salaire versé, après deux ans de service ; - 10
% du salaire versé, après cinq ans de service ;- 15 % du salaire versé,
après douze ans de service ; - 20% du salaire versé, après vingt ans de
service ; - 25% du salaire versé, après vingt-cinq ans de service. » et
l’articles 353.

Le Crédit du Maroc se basait sur le barème moins avantageux de 1956, et


aucune mention n’est faite d’une régularisation par rapport au barème de
la loi dans la lettre adressée aux collaborateurs.

La banque essayent sur plusieurs années de faucher dans le calcul de la


prime d’anciennetés en justifiant que c’est une faute de calcule mais la
réalité est vu lorsque Reda El Ouadi ancien responsable du pôle risques
de marché du Crédit du Maroc (CDM), il a décidé d’attaquer ce
problèmes par son dépôt un recours devant le tribunal de Casablanca en
mai 2015 et une plainte pour licenciement abusif. Dans ce processus le
tribunal a condamné le Crédit du Maroc à lui verser près de 1,5 million de
dirhams en réparation, dont environ 107 000 dirhams au titre de la
régularisation de la prime d'ancienneté.

En citant l’autre conséquence qui comporte sur le risque pour les finances
du Crédit du Maroc. Si, pour les seuls 11 procès en cours, les
régularisations pourraient coûter 900 000 dirhams, les chiffres s’envolent
concernant le coût global pour les 2400 salariés du CDM.
Par ailleurs ça influence sur l’image de la banque et sur son
positionnement au marché bancaire.

Ce point pourrait impacter plus largement le secteur bancaire puisque


peuvent aussi ces dernières appliquent le même procédé du calcul comme
CDM et donc s’influencer de ça.

Pour conclure Le crédit Du Maroc comme tout autres entités ou banques


ont un objectif de gagner même si sur la base détérioration des autres
personnes et la falsification des textes légaux mais tout fait a des
conséquences.

En gros la Crédit du Maroc c’était juste un exemple qui montre que les
règles doivent être respect et appliquer en réalité si ce n’était pas le cas, il
y a d’autre procédures de les appliquer avec des autres façons

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