Programqtion Labview G
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SIN
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2. MAQUETTAGE DES SOLUTIONS Niveau : 3
CONSTRUCTIVES
Systèmes
d’Information et
Tale
2.3 Modélisations et simulations
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PROGRAMMATION EN « G »
Support d’activité :
Logiciel : LabVIEW
Boitier NI-USB 6009 et câble USB
Une diode DEL rouge standard, une résistance de 330 Ω, une résistance de 10 kΩ et
une thermistance (CTN)
Micro-cordons et platine d’essai
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OBSERVATIONS
NOTE : / 20
DOCUMENTS RÉPONSES
NOMS : ______________/_____________/______________/______________/______________
SIN PROGRAMMATION
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Depuis plus de 20 ans, des millions d'ingénieurs et de scientifiques utilisent le logiciel NI LabVIEW pour
développer des applications sophistiquées de test, de mesure et de contrôle. LabVIEW fournit une gamme
de fonctionnalités et d'outils, allant des assistants interactifs jusqu'aux interfaces configurables par l'utilisateur,
mais il se distingue des autres par son langage de programmation graphique standard (appelé G), le
compilateur intégré qui lui est associé, son éditeur de liens et ses outils de mise au point.
Dans les premiers temps, les ingénieurs étaient sceptiques et ne croyaient pas que cette nouvelle
méthode pourrait faire mieux que les programmes en assembleur faits à la main. Toutefois, les
programmes créés en FORTRAN ont rapidement prouvé qu'ils s'exécutaient presque aussi
efficacement que ceux écrits en assembleur. Dans la foulée, le FORTRAN réduisait le nombre
d'instructions de programmation nécessaires par un facteur de 20, et c'est une des raisons pour
laquelle il est souvent considéré comme le premier langage de programmation de haut niveau.
Logiquement, le FORTRAN fut vite accepté par la communauté scientifique et exerce toujours une
certaine influence.
Cinquante ans plus tard, il existe toujours des leçons à tirer de cette anecdote. Tout d'abord, les
ingénieurs n'ont pas cessé de rechercher des façons plus simples et plus rapides de résoudre
leurs problèmes par le biais de la programmation. Ensuite, les langages de programmation choisis
par les ingénieurs pour traduire leurs tâches ont eu tendance à évoluer vers des niveaux plus
abstraits. Ces leçons expliquent en grande partie l'immense popularité et l'adoption généralisée du
G depuis son introduction en 1986. Le G représente un langage de programmation de niveau
extrêmement élevé qui a pour objectif d'augmenter la productivité de ses utilisateurs tout en
exécutant les programmes à quasiment la même vitesse que les langages de niveaux inférieurs
tels que le FORTRAN et le C++.
PRÉSENTATION DE LABVIEW
SIN PROGRAMMATION
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La seconde différence réside dans le fait que le code G développé avec LabVIEW s'exécute en
fonction des règles de flux de données au lieu d'une approche basée sur des procédures plus
classiques (en d'autres termes, une série de commandes séquentielles à exécuter), comme c'est
souvent le cas avec la plupart des langages de programmation textuels tels que le C et le C++. Un
langage de programmation par flux de données comme le G (ou Agilent VEE, Microsoft Visual et
Apple Quartz Composer) met les données en valeur en tant que concept clé derrière chaque
programme. Dans ce modèle de programmation, ce sont les données qui déterminent l'ordre
d'exécution du flux de données. C'est le flux de données entre les nœuds dans le programme, et
non pas les lignes séquentielles de texte, qui détermine l'ordre d'exécution.
Cette distinction peut paraître insignifiante au premier abord, mais son impact est primordial car
elle attire l'attention du développeur sur les chemins de données entre les différentes parties du
programme. Dans un programme LabVIEW, les nœuds (c'est-à-dire les fonctions, structures
comme les boucles, sous-programmes, etc.) possèdent des entrées, traitent des données et
produisent des signaux en sortie. Dès que les entrées d'un nœud donné reçoivent des données
valides, ce nœud s'exécute selon sa logique, produit des données en sortie et transfère les
données au nœud suivant dans le chemin du flux de données. Un nœud qui reçoit des données
d'un autre nœud ne s'exécute que lorsque le premier nœud a terminé son exécution.
Tous les programmes de LabVIEW sont appelés Virtual Instrument (VI), ils se composent d’une
face avant et d’un diagramme.
LA FACE AVANT
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LES PALETTES
La palette outils :
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LES COULEURS
LA BARRE D’OUTILS
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CRÉATION D’UN VI
INTRODUCTION
On veut réaliser un VI qui affichera une détection d’incendie. L’élévation de température sera
simulée par une glissière à curseur verticale. La température sera affichée par un thermomètre.
Un voyant s’allumera dès que la température dépassera 60°C.
Remarques :
LA FACE AVANT
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Cliquer sur : Express > Commandes numériques pour placer la glissière à curseur verticale.
Cliquer sur : Express > Indicateurs numériques pour placer le thermomètre.
Cliquer sur : Express > Boutons et commutateurs pour placer le bouton stop.
Cliquer sur : Classique > Booléen classique pour placer le voyant d’alerte.
La face avant :
LE DIAGRAMME
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Cliquer sur : Express > Arithmétique et comparaison > Comparaison > placer le comparateur
Supérieur ?
Cliquer sur : Express > Contrôle d’exécution > Boucle while (à élargir pour englober tous les
icônes à l’écran).
Cliquer sur : Mathématiques > numérique > cnste DBL.
Relier les différents blocs par des fils à l’aide de l’outil bobine : Affichage > Palette d’outils >
Connecter les terminaux.
Le diagramme :
Question 1 :
À votre avis, quel est l’intérêt d’avoir une boucle while dans le programme ? Que se passerait-il si l’on
supprimé la boucle while dans le diagramme ?
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Fichier : Programmation en
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Question 2 :
On souhaite ajouter dans le programme précédent une deuxième détection (« GEL ») si la température
descend en dessous de 0°C.
Modifier et sauvegarder le programme précédent dans votre dossier personnel sous le nom :
Programmation_en_G_votre NOM\VI2.
Question 3 :
-
CTN
330 Ω
10 kΩ
Connecter le boitier NI-USB 6009 au PC puis lancer MAX (Outil>Measurement & Automation
explorer).
Fichier : Programmation en
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Cliquer sur Périphériques et interfaces (après avoir laissé à MAX le temps de les chercher).
Cliquer sur le NI USB-6009 qui doit être activé (vous visualiserez aussi toutes les interfaces
précédemment connectées au PC même si elles sont désactivées).
Paramétrer comme indiqué sur la capture d’écran ci-dessus (P02 en sortie et à l’état bas), cliquer
sur démarrer et vérifier que la DEL soit éteinte.
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Face avant :
Diagramme :
Fichier : Programmation en
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Se placer sur l’entrée de la condition de boucle puis clic droit > Créer commande permet de créer
le bouton STOP.
Conversion de données : Palette Fonctions > Express > Manipulations > DDT-- >
Type de données résultant : Scalaire unique
Calcul de Rctn : Palette > Programmation > Structures > Boîte de calcul
Double cliquer sur l’assistant DAQ : Acquérir des signaux > ai0 puis configurer comme suit :
Glisser une copie de votre dossier « Programmation_en_G_votre NOM »contenant les VIs
dans le dossier Travail/Spécialité SIN.