Algarath
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Algarath
Pour aller directement au cœur du sujet, soyons clairs, la majorité des actes
terroristes commis dans le monde depuis la fin du siècle dernier ont une
référence principale, pour ne pas dire unique : l’Islam.
Pour que les choses soient claires sur les véritables commanditaires de ces
organisations terroristes, je voudrais juste vous lire cet extrait du New-York
Times du 23 janvier 2016 :
… « Ils ont compris qu’ils ont besoin de nous, et nous comprenons que nous
avons besoin d’eux, » a déclaré Mike Rogers, originaire du Michigan, ancien
membre républicain du Congrès…
Cela c’est de l’histoire récente alors remontons un peu plus loin dans l’histoire.
Les historiens savent quel est le rôle que les Britanniques ont joué dès le
XVIIIème siècle dans l’avènement de la dynastie des Séoud en favorisant son
alliance avec la famille Al Wahhab et cela dans le but de protéger la route des
Indes, et plus près de nous, mais c’est le même objectif géostratégique qui est
poursuivi, avec le pétrole en plus, des liens privilégiés que le Président
Roosevelt a tissés en 1945 entre les USA et le royaume wahhabite.
N’oublions pas non plus le rôle que les Anglais ont continué à jouer dans la
création des Frères musulmans en Egypte dans les années 20 du XXème siècle.
Et qu’est-ce que les Frères musulmans, si ce n’est une espèce de franc-
maçonnerie islamique destinée sinon à servir, du moins à appuyer les intérêts
anglo-saxons, partout où cette confrérie s’est installée. Dans les jeux subtils
d’équilibres et de retournements dans lesquels excellent les anglo-saxons, je
vous invite à observer ce qui s’est passé en Turquie ces dernières années, où
l’on a assisté au remplacement de l’état kémaliste maçonnique (pourtant pro-
occidental mais peut-être pas assez antirusse) par un état islamique dominé
par les Frères musulmans.
Les liens des Frères musulmans avec les puissances britannique et américaine
sont documentés, et il est évident que les réseaux de cette fraternité islamique
ont été utilisés de la Tunisie jusqu’en Syrie et en passant par la Lybie par les
services secrets américains et anglais durant les opérations du printemps
arabe.
Donc pour résumer tout ce qui précède, si l’Islam est bien au centre de ce qu’il
faut bien nommer un environnement terroriste, il est clair à mes yeux qu’il
n’en est nullement le vecteur, ni même la cause, mais qu’il en est l’instrument
docile et largement manipulé par ses parrains anglo-saxons et qu’il intègre des
visées géopolitiques, économiques, militaires, religieuses, culturelles et qui ont
pour finalité ultime la domination du monde par ceux qui s’estiment être les
seuls capables de le diriger.
Mais toutes ces actions terroristes, ces « révolutions de couleur», ces
renversements de régime, ce ne sont que les symptômes aigus d’une pathologie
bien plus grave et bien plus enkystée dans le monde et que j’ai baptisée
l’idéologie anglo-saxonne.
Si l’on ne comprend pas les racines des dérèglements profonds que propage la
conception du monde occidentale, on se met dans la même position que le
médecin qui traite les symptômes sans essayer de comprendre l’étiologie de la
maladie. Ce que fait le Docteur Poutine en ce moment en Syrie, et nous
sommes tous conscients qu’il est obligé de le faire, c’est d’administrer un
traitement chimiothérapique massif pour éviter la mort du patient.
Mais nous savons très bien, que les métastases de ce cancer peuvent se
retrouver demain n’importe où dans le monde, par exemple en Macédoine ou
au Monténégro, dans le Caucase du Nord ou en Moldavie, en Transnistrie ou
en Ossétie.
Il est un fait admis que de tout temps, les hommes ont fait la guerre et que les
conquêtes, les invasions, les massacres sont inhérents à la nature humaine et
aucun peuple sur la terre ne peut se vanter d’être exempt de toute reproche
dans ce domaine. Que ce soit pour conquérir des territoires ou pour défendre
le sien, les hommes font la guerre depuis que le monde est monde et tant qu’on
n’aura pas changé la nature des hommes, on ne changera pas cet état de fait.
Ce préalable étant posé, cela ne doit pas nous empêcher d’avoir un regard
aiguisé sur les réalités historiques et géopolitiques de ces dernières décennies et
d’y observer que la plupart des guerres, des coups d’état, des crises ou des
révolutions qui se sont déroulés sur la terre entière avaient une origine
clairement anglo-saxonne. De la guerre de Corée à celle de Syrie en passant
par le Vietnam, l’Iran, l’Angola, le Panama, l’Afghanistan, l’Irak, la Géorgie,
l’Ukraine et bien d’autres, l’idéologie anglo-saxonne est là et bien là et les
questions cruciales qu’il faut alors se poser sont : qu’est-ce que l’idéologie
anglo-saxonne ? D’où vient-elle ?
C’est un peu, toutes choses égales par ailleurs, ce qui s’est passé en cette fin du
XVIème siècle avec la dernière représentante de la dynastie des Tudor.
Imaginez l’exemple auprès des « gentlemen » anglais de voir ce Francis Drake,
ce roturier, cette espèce de moujik de la mer, devenir l’un des hommes les plus
riches d’Angleterre et qui fut anobli par la reine, après avoir pillé les trésors du
royaume d’Espagne. Francis Drake est probablement devenu après ses exploits
le modèle à suivre et parmi ses nombreux admirateurs, un en particulier
mérite d’être retenu, William Raleigh (cf. controverse Ecole de la nuit), car il
est le premier, selon les sources dont je dispose, à avoir conceptualisé
l’hégémonie anglo-saxonne sur le monde. En effet, ce gentilhomme, un peu
pirate lui aussi, un peu aventurier et qui finit décapité à la tour de Londres, eut
le temps d’écrire avant sa mort un ouvrage intitulé en toute simplicité
l’Histoire du monde et dans lequel il affirme : « Qui tient la mer tient le
commerce du monde, qui tient le commerce tient la richesse, qui tient la
richesse du monde tient le monde lui-même ».
Donc c’est là, à mon avis, à partir de cet exploit de piraterie exceptionnel,
qu’est née cette idée de parvenir à la suprématie mondiale par la puissance
maritime et l’accaparement des richesses d’autrui.
Mais cette idée s’est transmise de génération en génération à travers les siècles
dans le monde anglo-saxon (par deux sources, souvent liées : source
exotérique universitaire et source ésotérique franc-maçonnerie), notamment
chez le Britannique Mackinder dont la formule maîtresse est « qui tient
l’Europe orientale tient le heartland, qui tient le heartland domine l’île
mondiale, qui domine l’île mondiale domine le monde » et qui s’est
transformée chez l’Américain Spykman dans la formule plus ramassée « Qui
contrôle le rimland gouverne l’Eurasie ; qui gouverne l’Eurasie contrôle les
destinées du monde ».
Ce qui est extraordinaire c’est qu’à trois siècles de distance, ces trois
personnages partagent tous l’idée de domination du monde et c’est là
véritablement qu’il faut comprendre la nature profonde de cette idéologie
anglo-saxonne :
C’est en toute simplicité l’hégémonie totale sur les affaires du monde, ce qu’ils
appellent aujourd’hui avec la morgue qui les caractérise la gouvernance
mondiale qui n’est que la continuation du Grand jeu dont parlait Kipling,
grand franc-maçon devant l’Eternel, au XIXème siècle.
Et dans ce Grand jeu, la plupart des grands acteurs de la scène mondiale ont
été vaincus, les uns après les autres, par le petit peuple britannique qui ne
comptait que 4 millions d’individus, il y à peine 4 siècles et qui a essaimé à
travers le monde avec les pseudopodes du Commonwealth et de la grande
Amérique : ce qu’ils appellent eux-mêmes les Fives eyes (Royaume-Uni, USA,
Australie, Canada et Nouvelle Zélande).
Donc, pour résumer mon propos, le terrorisme instrumenté par les anglo-
saxons (grande finance, mafias, services secrets et cercles de réflexion) auquel
le monde est aujourd’hui confronté, est soit un instrument de déstabilisation
partiel (World Trade Center, Charlie Hebdo, attentats de Paris du 13
novembre…) créé pour choquer les populations et leur faire accepter des
transformations ou des mutations de société qu’elles n’accepteraient pas dans
un contexte normal, soit un instrument de déstabilisation total (Libye, Syrie…)
destiné à provoquer un changement de régime ou un éclatement d’un pays en
plusieurs structures. Les mêmes méthodes de terrorisme « modéré » peuvent
être utilisées aussi en manipulant des esprits faibles (Anders Breiviks), pour
punir un Etat dont les orientations de politique internationale sont estimées
contraires à ce qui devrait être suivi. Il est clair que les attentats que la Russie a
connus ces dernières années appartiennent aussi à cette catégorie.
La Russie fait partie de ces peuples encore libres qui peuvent faire basculer le
monde en dehors de l’hégémonie anglo-saxonne.
La Russie doit trouver en elle-même ses propres ressources, et elle les a, pour se
reconstruire selon ses propres valeurs, tourner le dos à tous les matérialismes,
qu’ils soient marxiste ou libéral et remettre les puissances de l’argent à leur
place. Peut-être est-il temps de fermer la fenêtre ouverte par Pierre le Grand ?
La Russie n’est pas en retard par rapport à l’occident.
Elle est, tout simplement, parce qu’elle est la Terre-mère, la matrice, la terre
des origines.
Mais pour accomplir cette révolution, bénéfique celle-là, il faudra d’abord que
la Russie se débarrasse des scories du système occidental et des nombreux virus
que ce dernier a semé ici et que certains appellent la 5èmecolonne.
J’ai été très surpris l’année dernière de découvrir à Moscou, sur les bords de la
Moskva, dans l’hôtel où nous étions invités avant de partir avec quelques amis
dans le Donbass, l’existence d’un World Trade Center ! Un centre mondial du
commerce ? Ça intéresse qui ? Les Russes ou les escrocs de la City ou de Wall
Street ?
Autrement dit que la Russie s’interdit d’avoir une vue du monde. Et quand un
pays s’interdit d’avoir une vue du monde, c’est-à-dire en clair, d’avoir sa
propre vision du monde, cela signifie qu’il suivra, bon gré, mal gré, l’idéologie
dominante, c’est-à-dire celle qui prévaut aujourd’hui, celle de la toute-
puissance de l’argent.
Pourtant la Russie a déjà par deux fois dans son existence, proclamé sa vérité
dans le monde. La première fois, c’était au nom de la Sainte Alliance quand le
Tsar Alexandre 1er tentait d’élever une digue contre les idées destructrices de la
Révolution française. La deuxième fois, et c’est un paradoxe, c’est au nom des
idéaux de cette même Révolution française que les bolcheviques répandront
sur la terre l’idéal prolétarien, qui pourrait se concevoir en dernière analyse,
comme une résistance à l’idéologie bourgeoise et à la puissance de l’argent-roi.
Tout n’est pas à rejeter chez Marx. En dehors de ces courtes périodes dans
l’histoire, l’ours russe préfère rester dans sa tanière, veillant à ce qu’on ne lui
vole pas son miel et décochant des coups de griffes de temps à autre quand on
le serre de trop près.
Toutefois, si l’on accepte l’idée du moine Philothée selon laquelle Moscou,
depuis la chute de Tsargrad, serait la 3ème Rome et qu’elle aurait pour mission
de protéger la foi orthodoxe – c’est-à-dire la doctrine droite -, Moscou ne peut
dès lors se contenter de protéger sa foi sur son sol.
L’idéologie du Système visant à faire disparaître les nations et les peuples pour
fondre l’humanité entière dans un magma informe d’individus déracinés et
décérébrés, c’est au nom de la défense de toutes les patries, et donc bien au-
delà des BRICS ou de l’Organisation de Coopération de Shanghai, que la Russie
nouvelle doit faire entendre son message.
Emmanuel Leroy
Pour entrer directement dans le cœur du sujet, j’irai au fait et je dirai que si
l’on ne prend pas conscience que la guerre en cours contre la Russie
aujourd’hui, est la même guerre que l’oligarchie anglo-saxonne a mené depuis
l’époque élisabéthaine contre l’Espagne et le Portugal, puis contre la Hollande,
puis contre la France, définitivement vaincue à Waterloo, puis contre
l’Autriche-Hongrie vaincue en 1918 et enfin contre l’Allemagne vaincue en
1945, on ne peut comprendre intimement aucun des grands événements qui
se sont déroulés sur le continent européen, depuis la fin de la seconde guerre
mondiale. Tous ces peuples européens ont courbé la tête et leurs élites sont
passées sous les fourches caudines de la City, aujourd’hui renforcée par Wall
Street.
Dans cette lecture rapide de l’histoire de l’Europe des 5 derniers siècles, force
est de constater qu’il ne reste qu’un peuple sur le continent eurasiatique qui
n’a jamais été vaincu définitivement par les puissances anglo-saxonnes et c’est
le peuple russe. Voilà pourquoi ce que les Anglais ont appelé « Le Grand jeu »
continue et il continuera jusqu’à ce que la Russie s’incline à son tour ou
jusqu’à ce que Mammon tombe de son piédestal.
Si l’on ne rentre pas dans cette logique, on ne peut rien comprendre à la chute
du mur de Berlin en 1989, ni aux sécessions programmées des pays baltes, de
la Biélorussie, de l’Ukraine et des régions d’Asie centrale, ni aux révolutions de
couleur en Yougoslavie, ni à celle de la Géorgie en 2008, ni bien sûr à la crise
ukrainienne que nous connaissons aujourd’hui.
La crise ukrainienne
Alors remontons plus avant dans l’analyse des causes de cette guerre. Le
magazine russe, Zavtra, a publié le 15 mars 2015, le compte rendu d’une table
ronde organisée autour de la situation actuelle en Russie et en Ukraine, de ses
causes et de son impact pour l’avenir. Alexander Nagorny, Secrétaire exécutif
du club d’Izborsk implique la perestroïka de Gobatchev dans la genèse de la
guerre civile en Ukraine. Il a parfaitement raison d’intégrer cette période de
l’histoire russe comme une des causes de la situation de crise qui existe
aujourd’hui dans le Donbass, mais à la condition de ne pas oublier d’analyser
la pérestroïka et la glasnost gorbatchévienne pour ce qu’elles étaient, à savoir
des mesures de déstabilisation et de réorientation politique suscitées par
l’occident.
Si l’on se refuse à admettre cette hypothèse, on ne peut rien comprendre aux
conditions de la dislocation du régime soviétique et au pillage généralisé qui a
suivi durant l’ère Eltsine.
Si l’on remonte encore plus loin dans le temps, on peut considérer que le
financement pendant la première guerre mondiale de Trotsky par la City et
certaines banques new-yorkaises d’une part et de Lénine par l’Allemagne de
Guillaume II d’autre part, afin de renverser la dynastie des Romanov et
d’établir un régime totalitaire et spécifiquement antichrétien, constituent là
encore, une cause ancienne mais probable de la guerre en Ukraine.
Autrement dit, et pour résumer mon propos, depuis la fin du XVIème siècle au
moins, l’oligarchie anglaise, c’est-à-dire aristocratie et finance réunies, a
conçu le projet de dominer le monde par tous les moyens, y compris légaux : la
guerre, le vol, la corruption, la subversion, le boycott, le blocus, les sanctions
économiques, l’assassinat, le chantage, la désinformation… La liste n’est pas
exhaustive.
Lorsque certains historiens qualifient de volonté d’équilibre entre grandes
puissances, la politique de Londres depuis Henry VIII jusqu’à la première
guerre mondiale, ils n’ont que partiellement raison. Derrière le jeu des
alliances successives avec l’Autriche, la Prusse, la Russie, la France, la Suède ou
d’autres, se dessinait toujours la volonté de faire tomber, l’une après l’autre
toutes les puissances qui dominaient le continent européen et qui pouvaient
compromettre le grand projet thalassocratique. D’abord, il fallut briser
l’empire de Charles Quint et sa suprématie maritime dans le commerce des
Amériques, puis briser la puissance française qui domina l’Europe de la fin du
XVIIème siècle jusqu’à Waterloo.
La dernière forteresse qu’il leur reste à conquérir se trouve sur les rives de la
Moskova. Et la guerre qu’ils feront, qu’ils font, pour conquérir le Kremlin est
une guerre totale: Idéologique, culturelle, religieuse, économique,
technologique et bien sûr militaire.
Emmanuel Leroy
11-14 minutes
Telle est l’origine de l’accord signé à Vienne en 2015, que les Etats-Unis ont
quitté sans justification crédible, pour reprendre un programme de mesures
de coercition, le 8 mai 2018. Il est vrai que l’Iran, qui avait déjà annoncé en
février 2016 vendre désormais son pétrole en euros, venait de déclarer le 18
avril 2018 que tout son commerce international serait prochainement
effectué en euros. A peine vingt jours plus tard, les Etats-Unis ont donc quitté
l’accord de Vienne et repris les hostilités envers l’Iran, mettant en difficulté les
autres pays signataires de ce traité.
Les motifs des Etats-Unis débordent donc largement leur inimitié éculée pour
l’Iran avec lequel ils ont su s’allier en Bosnie et Herzégovine douze ans après
la prise en otage de leur ambassade et quatre ans après leur destruction du
vol 655. Surtout, ils ont clairement montré par leur volte-face de 2013 qu’ils
étaient prêts à tout, y compris à perdre l’Arabie Séoudite (aux réserves
bientôt épuisées), pour réincorporer l’Iran au système dollar. Il est cependant
vrai qu’au-delà de leur ridicule annonce de l’envoi de cinq cents militaires en
Arabie Séoudite, leur reprise de la base aérienne Prince Sultan pourrait
montrer l’intention d’un déploiement plus important et de longue durée. Or
les Etats-Unis annoncent depuis une douzaine d’années que les frappes
nucléaires qu’ils planifient contre quinze à vingt cibles leur assureront la
reddition de l’Iran en quelques heures, aussi ce n’est pas pour combattre
l’Iran qu’ils s’installent en Arabie.
Le conflit contre l’Iran est, pour les Etats-Unis, secondaire de par la nature et
la carrure du pays en question. Attaquer l’Iran serait (ou sera) pour eux une
guerre parmi d’autres, pas nécessairement la dernière, et en tout cas pas la
première avec le même objectif. Car l’objectif de cette confrontation, où
l’Iran ne joue le rôle que de l’ennemi visible, c’est de dissuader le commerce
international affranchi du dollar. Quant à la véritable opération d’assertion
ultime, elle ne sera assénée que le jour, certain mais imprévisible, où le dollar
sera sur le point d’être renvoyé à sa véritable valeur économique et
arithmétique, que ce soit du fait d’une décision étatsunienne (elles ne sont
pas toutes stratégiquement heureuses pour leur futur), d’une décision
chinoise, ou d’une circonstance économique fortuite.
Et plus le pays qu’ils auront osé vitrifier sera important, plus le message au
reste du monde aura du poids. Les circonstances du moment désigneront
peut-être l’Iran, mais c’est aux préparatifs contre la Russie que les Etats-Unis
consacrent le plus d’énergie, en ce moment même.
Source:http://stratediplo.blogspot.com/2019/07/liran-nest-pas-seul-vise.html