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Contrôleur technique
Coordination SPS
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Lot : Gros Oeuvre
SOMMAIRE
1. GENERALITES ................................................................................................................ 4
1.1.Objet .............................................................................................................................. 4
1.2.Etendue de la mission.................................................................................................... 4
1.3.Documents à fournir par l'entreprise ............................................................................. 4
6. DÉMOLITIONS .............................................................................................................. 23
7. TERRASSEMENTS........................................................................................................ 23
7.6.Canalisations................................................................................................................ 25
8. FONDATIONS ................................................................................................................ 25
8.1.Forme de propreté........................................................................................................ 25
8.2.Semelles et bèches ....................................................................................................... 25
8.3.Dallage......................................................................................................................... 26
8.4.Finition dessus des dalles : .......................................................................................... 26
8.5.Isolation sous ouvrage au sol....................................................................................... 26
9. SUPERSTRUCTURE ..................................................................................................... 27
1. GENERALITES
1.1. Objet
Le présent document a pour objet de présenter les solutions techniques envisagées dans le cadre
des travaux en gros-oeuvre nécessaires à la construction d’un ensemble de plate-forme
(constituée d’un dallage et de fondations) et de superstructures maçonnées complèté de structure
bois destinée à la construction d’une boutique et ses locaux annexes, sur la commune de
Sonchamp (78120).
La mission de l'Entreprise est dite "d’exécution et de réalisation", les plans de principe et les
bases du programme étant fournis par le concepteur.
L'Entrepreneur doit vérifier que les stipulations des pièces de son marché sont conformes à l'art
de bâtir et aux règles de sa profession.
1.3.1. Consistance
Les plans, schémas et documents fournis par la Maîtrise d’Oeuvre dans le dossier de consultation
correspondent à ses obligations contractuelles, elle fournira des documents complémentaires en
cours de réalisations. La maîtrise d’œuvre ne fournira pas les plans d’atelier chantier.
L'entrepreneur fournira les plans d’exécution correspondants aux ouvrages réalisés qui seront
soumis à l’approbation de la Maîtrise d'Oeuvre.
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2. RÈGLEMENTS ET NORMES
Tous les travaux, fournitures et matériaux devront satisfaire aux normes, DTU et règlements en
vigueur à la date de la signature du marché et aux prescriptions techniques des documents
techniques considérés comme minimales et non limitatives :
Documents et prescriptions applicables pour l'emploi des matériaux, éléments ou ensembles non
traditionnels.
Agréments ou avis techniques favorables délivrés par le CSTB et acceptés par la commission
technique des polices individuelles de base ou les restrictions apportées par cette dernière.
Les matériaux, éléments ou ensembles non traditionnels doivent bénéficier d'avis techniques du
CSTB.
Les matériaux ne bénéficiant pas d'un avis technique du CSTB devront avoir fait l'objet d'une
enquête favorable de la part d'un contrôleur technique. Ils devront en outre bénéficier d'une
police particulière d'assurance dont l'attestation devra être fournie au Maître d'Œuvre et au Maître
d'Ouvrage.
Autres documents :
Les documents précités et dont la liste n'est pas limitative sont réputés connus de l'entreprise. Ils
ne sont donc pas joints au présent dossier.
Tous les travaux comporteront l'ensemble des opérations nécessaires à l'entier et complet
achèvement des ouvrages définis, conformément aux prescriptions techniques spécifiées pour
chaque catégorie d'ouvrage et suivant les règles de l'art.
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En cas de contradiction entre les différents documents techniques généraux et particuliers, les
spécifications techniques du CCTP et de ses annexes prévalent sur les documents généraux si
celles-ci sont plus contraignantes.
− Règles BAEL 91 révisées 99 (DTU P18-702) (mars 1992, février 2000) : Règles
techniques de conception et de calcul des ouvrages et constructions en béton armé suivant
la méthode des états limites (Fascicule 62, titre 1 du CCTG Travaux section 1 : béton
armé) + amendement A1 (CSTB février 2000 ISBN 2-86891-281-8)
− Règles BPEL 91 : règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et
constructions en béton précontraint suivant la méthode des états limites.
− EUROCODE 1 : Actions sur les structures
− EUROCODE 2 : Calcul des structures en béton
− EUROCODE 6 : Calcul des ouvrages en maçonnerie.
− Règles N84 modifiées 95 (DTU P06-006) (septembre 1996, août 1997, avril 2000) :
Action de la neige sur les constructions + Erratum 2, modificatif 1 (CCTG Fascicule 61)
(Cahiers CSTB 2906 septembre 1996)
− Règles NV65 (DTU P06-002) (avril 2000) : Règles de calcul définissant les effets de la
neige et du vent sur les constructions et annexes (CSTB 2000 ISBN 2-86891-284-2)
− Règles FB (P92-701) (octobre 1987, décembre 1993, décembre 2000) : Règles de calcul -
Méthode de prévision par le calcul du comportement au feu des structures en béton +
Amendement A1
− Règles FA (P92-702/ANN) (décembre 1993) : Méthode de prévision par le calcul du
comportement au feu des structures en acier - Annexe : Méthodologie de caractérisation
des produits de protection
− Règles PS 92 (DTU NF P06-013) (décembre 1995, février 2001, novembre 2004) :
Règles de construction parasismique - Règles PS applicables aux bâtiments +
Amendement A1 et A2
− Neige et vent :
• Règles N84 modifiées 2000 : Neige
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− Séisme :
• Règles PS 92
− Surcharges :
• Norme NFP 06.001 : Charges d’exploitation des bâtiments
• Norme NFP 06.004 : Charges permanentes
3. HYPOTHESES DE CALCUL
Surcharges d’exploitation
Conformément à la norme NF P 06.001 et aux contraintes du programme, et en particulier :
− Hall : 5 kN/m²
− Boutique : 5 kN/m²
− Reserve, rangement annexe : 5 kN/m²
− Bureau, terrasse, parvis, sanitaires : 2,5 kN/m²
Charges permanentes
− Poids propre des structures, des cloisons, revêtements, etc …
Surcharge climatique
− Vent : région 2
− Neige : région 2
Actions sismiques
− Sans objet
Les fondations superficielles seront ancrées (hors gel) de 30 cm au sein Limon beige à une
profondeur d’assise minimale de 0.8 m/niveau TN.
Il sera conforme au D.TU 13.3 et les essais à la plaque devront avoir pour valeur :
EV2 > 50 MPa
EV2/EV1<2
Kw > 50 Mpa/m.
Un rapport de sol par la société Baudrillard (janvier 2010) complète ces élements et est à la
disposition des entreprises. Il est présenté en annexe des pièces consitutitives du marché.
L’attention des candidats est attirée sur le fait que l’étude géotechnique réalisée en janvier
2010 à l'endroit des fondations des différents bâtiments met en évidence l'hétérogénéité du
sol. Les candidats pourront préciser sous forme de variante toutes les solutions techniques
complémentaires pertinentes concernant la stabilité des dalles de sol (radiers, puits de
fondations, longrines, etc.).
Les extensions crées au droit des existants seront désolidarisées par un joint de dilatation de 2cm.
4.2.1. Déformations
Les déformations sont calculées selon les méthodes du BAEL ou dans les chapitres particuliers
du Cahier des Prescriptions Techniques (C.P.T. Planchers).
Planchers courants
Ce sont ceux qui supportent des cloisons maçonnées ou des revêtements de sol fragiles, pour
lesquels on évalue un fléchissement (appelé flèche active) qui après mise en œuvre des cloisons
ou des revêtements de sol doit rester inférieur à:
− L/500 jusqu’à 5,00 m
0,5 cm + L/1 000 au-delà de 5,00 m
−
Autres Planchers
Ce sont ceux qui ne supportent ni cloisons maçonnées ni des revêtements de sol fragiles, ainsi
que les planchers de combles normalement non accessibles. Pour ces planchers, on limite
conventionnellement la déformabilité par leur fléchissement, celui-ci doit rester inférieur à:
5. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES
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Agrégats
Liants
Adjuvants
Les adjuvants éventuellement utilisés ne sont acceptés que s'ils figurent sur la liste agréée par la
C.O.P.L.A., et qu'ils sont mis en œuvre conformément au Cahier des Charges du Fabricant.
Les sels dissous ne doivent pas risquer de compromettre la qualité du béton, ni la conservation du
béton armé. Une analyse, à la charge de l'entrepreneur, peut être demandée par le Maître
d'Œuvre.
Aciers
Les tableaux suivants fournissent des recommandations pour le choix des exigences relatives à la
composition et aux propriétés du béton en fonction de la classe d’exposition, conformément à la
norme NF EN 206-1.
Les valeurs du tableau ci –après correspondent à des ciments de type CEM I conforme à l’EN
197-1, et à des granulats dont la dimension maximale nominale maximale est comprise entre 20
mm et 32 mm.
Les classes de résistances minimales ont été déterminées à partir de la relation entre le rapport
eau / ciment et la classe de résistance du béton fabriqué à partir de ciment appartenant à la classe
de résistance 32,5.
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Les valeurs limites spécifiées du rapport eau / ciment maximal et la teneur minimale en ciment
s’appliquent dans tous les cas, tandis que les exigences supplémentaires relatives à la classe de
résistance du béton peuvent être spécifiées en complément.
Classe d’exposition
X0 XC 1 XC 2 XC 3 XC4 XS 1 XS 2 XS 3 XD 1 XD 2 XD 3
Rapport eau / -
ciment 0,65 0,60 0,55 0,50 0,50 0,45 0,45 0,55 0,55 0,45
maximal
Classe de
résistance C12/15 C20/25 C25/30 C30/37 C30/37 C30/3 C35/4 C35/4 C30/3 C30/3 C35/45
minimale 7 5 5 7 7
Teneur
minimale en - 260 280 280 300 300 320 340 300 300 320
ciment
(kg/m3)
Teneur
minimale en - - - - - - - - - - -
air (%)
Autres
prescriptions
a) Si le béton ne contient pas d’air entraîné volontairement, il convient que la performance du béton soit alors mesurée
conformément à une méthode d’essai appropriée, en comparaison avec un béton pour lequel la résistance gel / dégel
pour la classe d’exposition correspondante a été établie.
b) Lorsque la présence de SO2-4 conduit aux classes d’exposition XA2 et XA3, il est essentiel d’utiliser un ciment résistant
aux sulfates. S’il existe des classes de ciment offrant une résistance moyenne ou élevée aux sulfates pour la classe
d’exposition XA2 (et XA1 lorsque c’est applicable). Il convient d’utiliser un ciment ayant une résistance aux sulfates
élevée pour la classe d’exposition XA3.
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Classe d’exposition
XF 1 XF 2 XF 3 XF4 XA 1 XA 2 XA 3
Rapport eau /
ciment 0,55 0,55 0,50 0,45 0,55 0,50 0,45
maximal
Classe de
résistance C30/37 C25/30 C30/37 C30/37 C30/37 C30/37 C35/45
minimale
Teneur
minimale en 300 300 320 340 300 320 360
ciment
(kg/m3)
Teneur
minimale en - 4,0 a) 4,0 a) 4,0 a) - - -
air(%)
Autres
prescriptions Granulats conformes au prEN 1 2620 :2000 avec une Ciment résistant au sulfate b)
résistance suffisante au gel / dégel
a) Si le béton ne contient pas d’air entraîné volontairement, il convient que la performance du béton soit alors mesurée
conformément à une méthode d’essai appropriée, en comparaison avec un béton pour lequel la résistance gel / dégel
pour la classe d’exposition correspondante a été établie.
b) Lorsque la présence de SO2-4 conduit aux classes d’exposition XA2 et XA3, il est essentiel d’utiliser un ciment
résistant aux sulfates. S’il existe des classes de ciment offrant une résistance moyenne ou élevée aux sulfates pour la
classe d’exposition XA2 (et XA1 lorsque c’est applicable). Il convient d’utiliser un ciment ayant une résistance aux
sulfates élevée pour la classe d’exposition XA3.
La mise en œuvre des bétons devra être conforme à la norme P 18.201 (DTU N° 21 de
Septembre 1984) : exécution des travaux en béton.
Les opérations de contrôle relatives à l'acceptation des matériaux, la confection des bétons, la
réception des ouvrages, sont celles définies au DTU N° 20.
Les laboratoires qui effectuent les épreuves et essais dus par l'entreprise au titre de son marché,
aussi bien lors de l'étude préalable que pour le contrôle du béton lors de l'exécution des ouvrages,
doivent être agréés par le Maître d'Œuvre et le bureau de contrôle.
Un béton contrôlé a une composition qui résulte d'une étude préalable et sa production est
soumise à un contrôle. Cette étude et ce contrôle sont conformes aux prescriptions des articles ci-
après.
Etude préalable
L'étude préalable doit être faite par l'entreprise aidée par un laboratoire si nécessaire et porte sur
les deux points suivants :
− analyse granulométrique,
− recherche d'une composition optimale du béton.
Tous les matériaux pris en compte dans les études (granulats, eau, ciment, adjuvant éventuel...)
sont ceux qui doivent être utilisés sur le chantier.
On détermine les dosages en granulats, ciment, eau, adjuvant éventuel, qui conduisent à un béton
ayant :
Ces essais de résistance mécanique relatifs à cette étude préalable sont à la charge de l'entreprise.
Ils sont conduits suivant les prescriptions du BAEL 91. Leur nombre est déterminé en accord
avec le Maître d'Œuvre, en principe six essais sur éprouvettes cylindriques pour 50 m3 de béton.
Selon la qualité du béton et sa régularité, un nombre d'essais supérieur peut-être demandé.
Les prélèvements de contrôle sont effectués par l'entreprise. Les essais sont réalisés par un
laboratoire agréé. Un prélèvement est composé de trois éprouvettes. La fréquence de ces
prélèvements, dans le cas de contrôle strict, est la suivante :
Dans le cas d'un contrôle atténué, un prélèvement est effectué pour 300 m3, avec un minimum
d'un prélèvement.
Les opérations de contrôle relatives à l'acceptation des matériaux, la confection des bétons, la
réception des ouvrages, sont celles définies au DTU n° 20.
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Fabrication et transport
Le béton peut être fabriqué dans une centrale extérieure, qui doit être agréée par le bureau de
contrôle pour les classes de béton demandées. Le transport doit alors être obligatoirement
effectué dans des camions toupies.
Après fabrication, la mise en œuvre du béton doit être faite dans un délai maximum fixé en début
de chantier ; à titre indicatif, on pourra adopter un délai de 1 h 30 pour une température <25°C, et
1 h par temps chaud.
Il peut également être installé des centrales sur le chantier. Tout ajout d'eau postérieur à la
fabrication est interdit. Le délai entre fabrication et mise en œuvre doit être réduit au minimum.
Les bétons ainsi mis en œuvre font l'objet d'un contrôle strict.
Mise en œuvre
Le béton doit être mis en œuvre à la benne. Toutefois, certains ouvrages peuvent être coulés à la
pompe, après accord du Maître d'Œuvre. Les coulages, serrages, reprises de bétonnage, etc...
Sont effectués conformément aux DTU.
Le béton ne doit pas tomber librement d'une hauteur supérieure à 3,00 m. Il doit être mis en
œuvre par couche horizontale de faible épaisseur (20 à 30 cm au maximum). Le laps de temps
entre le bétonnage de deux couches successives doit être au plus égal à 15 minutes. Le temps de
vibration doit être limité pour éviter la ségrégation. La vibration par l'intermédiaire des armures
est interdite.
Le béton frais doit être protégé contre la dessiccation, jusqu'à la prise complète. Il est arrosé sans
risque d'érosion de la surface du béton. Le béton durci, si le risque de dessiccation demeure, doit
être arrosé pour conserver sa surface humide.
Arrêts de bétonnage
D'une manière générale, il sera mis des joints hydro-gonflants à chaque reprise de bétonnage avec
certificat d'autocontrôle.
Dans les poutres, l'arrêt de bétonnage, éventuellement nécessaire, doit être généralement incliné à
30° et coffré comme indiqué ci-avant, le plan de reprise étant perpendiculaire aux bielles de
béton comprimé.
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Tout ouvrage présentant un plan de reprise contraire à cette prescription est refusé, démoli et
reconstruit aux frais de l'entreprise, sur l'ordre du Maître d'Œuvre.
Les aciers utilisés, ronds lisses, ronds à haute adhérence (HA/Fe E50) ou treillis soudés, doivent
être conformes à leur fiche d'homologation et au BAEL 91.
Les armatures, au moment de leur mise en œuvre et du bétonnage, sont exemptes de trace de
rouille non adhérente, de peinture, de graisse ou de boue. Elles sont dimensionnées (diamètre et
longueur) et façonnées conformément aux dessins. Le cintrage se fait mécaniquement à froid à
l'aide de matrice, de façon à obtenir les rayons de courbure indiqués dans les conditions d'emploi
qui concernent chacune des catégories.
Les armatures en attente sont positionnées avec soin et conservées rectilignes, avec les longueurs
nécessaires pour assurer le recouvrement avec les armatures posées ultérieurement. Au cas où les
armatures en attente nécessiteraient un pliage, la nuance de l'acier utilisé sera obligatoirement
celle de l'acier Fe E 24.
Les armatures qui présentent une forme en baïonnette entraînent le refus de l'ouvrage qui les
comporte, donc sa démolition, sur ordre du Maître d'Œuvre.
Pour satisfaire aux mesures de sécurité, les armatures en attente verticales sont recourbées
horizontalement puis redéployées au moment du coulage ou doivent comporter une crosse.
L'enrobage des armatures est obtenu par des dispositifs efficaces de calage en béton ou en
plastique.
Toute partie bétonnée laissant apparaître les armatures est soit démolie, soit repiquée et
reconstituée avec du béton sur ordre du Maître d'Œuvre.
Ces valeurs d'enrobage peuvent être aggravées pour tenir compte des distances minimum aux
parements pour ancrage des barres, pour la tenue au feu de la structure ou pour toutes autres
causes qui exigeraient des valeurs supérieures à celles indiquées ci-dessus.
Les parements doivent être exempts de tout produit nuisant à l'adhérence des enduits, des
peintures, revêtements hydrofuges, etc... ou risquant de faire apparaître des traces.
Tous les ragréages, ponçages et enduits pelliculaires qui s'avèrent nécessaires pour obtenir un
acceptable sont dus. Il en est de même pour le redressement des arêtes, notamment celles des
poteaux, poutres, tableaux, voussures.
Aucun ragréage ne sera admis sur les parois de béton laissées brutes et apparentes, suivant plans
et fiches de localisation.
Les parements doivent être exempts de tous produits pouvant nuire à l’adhérence des enduits, des
peintures, des revêtements hydrofuges, de colles pour revêtements divers, etc. ou risquant de
faire apparaître des traces.
Sont dus tous les ponçages, ragréages et enduits pelliculaires qui s’avéreraient nécessaires pour
obtenir un fini acceptable. Il en est de même pour le redressement des arêtes, notamment celles
des poteaux, poutres, tableaux, voussures.
L'entrepreneur est tenu de tenir compte des revêtements qui sont appliqués sur les ouvrages en
béton.
Les parements des bétons doivent être conformes aux prescriptions des DTU spécifiques aux
revêtements qui viennent les recouvrir :
Pour les revêtements épais tels qu'enduits aux liants hydrauliques, carreaux céramiques, pierres
scellés, etc..., l'entrepreneur du présent lot doit prévoir systématiquement un bouchardage du
parement sur le béton encore frais, dès le décoffrage, soit bouchardage mécanique, soit à l'aide
d'un retardateur de prise de surface passé au préalable à l'intérieur du coffrage (lavage au jet d'eau
dès le décoffrage faisant apparaître les granulats).
Pour les enduits, peinturages, enduits plastiques, prévoir le parement P3 "soigné", sans trace
d'huile de décoffrage ou autre produit susceptible de nuire à l'adhérence du revêtement.
Toutefois, si le Cahier des Charges du fabricant prescrit un autre traitement du parement,
l'entreprise doit s'y conformer.
Ouvrages de référence
On distingue 4 types de parements, dont les caractéristiques de l'état de surfaces sont définies
comme suit :
Dl - Surface brute
Destinée à recevoir un revêtement épais tel que chape, dallage, carrelage épais scellé sur lit de
sable nécessitant une réserve d'épaisseur de l'ordre de 5 cm et plus. Aucune exigence particulière
n'est requise pour l'état de surface.
D2 - Surface courante
Régulière obtenue par un surfaçage à la règle ou à l'hélicoptère, et destinée à recevoir les types de
revêtements tels que :
− carrelages scellés directement sur dalle, nécessitant une réserve de l'ordre de 2,5 cm,
− parquets flottants nécessitant une réserve de l'ordre de 4cm.
D3 - Surface soignée
Idem parement D2, mais destinée à recevoir, en collage direct, des revêtements de sol minces
déformables, sous réserve d'un lissage (à la charge de l'applicateur) avec un produit agréé, en
consommation limitée à 2,5 KG/m² maximum. Au-dessus de cette valeur, un ponçage ou un
ragréage ARDUR sera exigé.
Locaux destinés à recevoir une peinture de sol ou un revêtement résine en traitement définitif.
Horizontalité
L'instrument de mesure est une règle de 2,00 mm de longueur, équipée d'un niveau à bulle d'air.
Une extrémité de la règle est tenue en contact avec un point du plancher, la règle étant
horizontale, on mesure la dénivellation du plancher à l'autre extrémité de la règle. On mesure de
la même façon la dénivellation cumulée à l'intérieur d'une pièce.
Planéité
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On distingue trois types de mesures complémentaires les unes des autres et caractérisant chacune
la planéité à une échelle différente :
Horizontalité Planéité
Coffrage
Les coffrages doivent présenter une rigidité suffisante pour résister, sans déformation sensible,
aux charges et pressions auxquelles ils sont soumis, ainsi qu’aux chocs accidentels pendant
l’exécution des travaux.
Ils doivent être suffisamment étanches, notamment aux arêtes, pour éviter toute perte de laitance.
L’étanchéité du coffrage doit être telle que ne puissent se produire que de rares suintements de
laitance non susceptibles d’affecter des qualités mécaniques ni, éventuellement, les qualités
d’étanchéité ou d’aspect de la paroi.
Préalablement au bétonnage, les coffrages doivent être débarrassés de tous matériaux étrangers
(papier, polystyrène expansé, bois, fils d’attache, etc.). Lorsque le béton est demandé brut de
décoffrage, toutes dispositions doivent être prises pour que les faces après décoffrage, ne
comportent aucune pièce de bois apparente.
Produits de démoulage
Tous les moules et coffrages doivent recevoir, sur leur parement au contact du béton, un produit
destiné à éviter toute adhérence du béton au coffrage.
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Ce produit ne doit pas tacher ni être incompatible avec les revêtements scellés, peints ou teintés,
ni attaquer le béton. Il doit faire l’objet d’essais, aux frais de l’entreprise du présent lot et requérir
l’avis du Maître d’Œuvre et du bureau de contrôle.
Décoffrage
Le décoffrage doit être entrepris lorsque le béton a acquis un durcissement suffisant pour pouvoir
supporter les contraintes auxquelles il sera soumis immédiatement après, sans déformation
excessive et dans des conditions de sécurité suffisantes.
Les ragréages ou rebouchages ne doivent être effectués qu’après l’avis du Maître d’Œuvre. Ils
sont faits soit avec du béton à fine granulométrie, soit avec du mortier de ciment, après avis du
Maître d’Œuvre.
Tout ragréage ou rebouchage qui est fait sans l’accord du Maître d’Œuvre entraîne la démolition
et la reconstruction de l’ouvrage, aux frais de l’entreprise.
Les arêtes des ouvrages bétonnés sont, après décoffrage, protégées contre les chocs pendant toute
la durée du chantier. Les surfaces de béton destinées à rester apparentes doivent être protégées
par une feuille de polyéthylène contre les projections de mortier, de peinture, etc.
Les tolérances dimensionnelles indiquées dans le présent C.C.T.P. sont celles admises au
moment des mesures de contrôles opérées entre corps d'état différents et des mises en service.
En conséquence, toutes les imprécisions d'implantation, déformations de coffrages, les variations
de dimensions résultant de la température et du retrait considérés comme jeu de comportement
sont cumulables.
Ces valeurs cumulées doivent être nécessairement dans les limites définies ci-après. Dans le cas
contraire, l'entrepreneur doit la reprise des ouvrages.
L'entrepreneur fait effectuer à ses frais et sous sa propre responsabilité, par un géomètre agréé les
tracés d'implantation des ouvrages d'après les plans qui lui sont remis et les instructions qui lui
sont données par le Maître d'Œuvre.
Les axes principaux de référence et le niveau de référence sont matérialisés par des bornes, qui
doivent être protégées pour demeurer en parfait état pendant toute la durée du chantier.
A chaque étage, l'entrepreneur doit réimplanter le tramage de l'ouvrage et les cotes de niveau.
Les tolérances de positionnement de ces éléments sont les suivantes :
Niveaux
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Distance verticale entre deux repères quelconques de niveau : la plus grande des deux valeurs :
− 0,5 cm,
− 0,05 % de la distance verticale entre ces deux éléments.
Tramage de plan
Distance entre deux points d'intersection du maillage de la trame : la plus grande des deux
valeurs :
− 0,5 cm,
− 0,05 % de la distance verticale entre ces deux points.
Verticalité
Écart de verticalité entre deux points quelconques correspondants du maillage de la traîne situés
à des niveaux différents : la plus grande des deux valeurs :
− 0,5 cm,
− 0,05 % de la distance verticale entre ces deux points.
Les éléments de structure ou incorporés à la structure (poteaux, voiles, poutres, baies, etc...) sont
positionnés par rapport aux éléments réels de tramage définis au paragraphe précédent, suivant
les cotes indiquées sur les plans.
Les tolérances sur l'implantation réelle d'un élément par rapport aux trames, et sur la distance
entre deux points quelconques de l'ouvrage construit et la cote théorique résultant des plans sont
les suivantes :
Au cas où l'utilisation des deux critères précédents conduirait à deux valeurs différentes, c'est la
plus petite des deux valeurs qui s'impose.
Après traitement de sol pour les zones concernées, décapage terre végétale et terrassements
complémentaires et avant tout bétonnage, l'Entrepreneur du présent corps d’état fait réceptionner
les fonds de fouille en présence de la Maîtrise d'Oeuvre et du Bureau de Contrôle.
La finition du fond de fouille doit être exécutée juste avant la mise en place du béton de propreté
et des fondations de telle sorte que les caractéristiques mécaniques des sols en place ne soient pas
altérées.
Toutes poches ou lentilles, beaucoup plus compressibles que le terrain d’ensemble, doivent être
purgées et remplacées par un sol de compressibilité sensiblement équivalente à celle du sol en
général.
Dans le cas où une simple mise en place ne peut assurer le degré de compressibilité recherché,
l'Entrepreneur doit envisager le compactage du sol de remplacement.
Dans les mêmes conditions, tous terrains (roches anciennes, fondations, etc. ) susceptibles de
former des points durs sous l’assise des fondations, doivent être enlevés.
S’il y a lieu les prescriptions du D.T.U. 13.1 paragraphes 2.25 à 2.38 doivent être respectées.
En cas de gel, les prescriptions du D.T.U. 13.1 paragraphes 2.4 doivent être respectées.
5.10.4. Barrière étanche
La barrière étanche des fondations sera réalisée par incorporation d’un hydrofuge dans le béton
au-dessus du niveau d’arase supérieure des semelles.
6. DÉMOLITIONS
7. TERRASSEMENTS
Fouilles en terrain de toute nature compris démolition et enlèvement de tous les blocs pouvant
perturber la construction des ouvrages.
− l’exécution de tous les terrassements à la main pour quelle que cause que ce soit,
− le décapage à la main du fond de fouilles,
− la collecte et l’épuisement des eaux de ruissellement ou d’infiltration,
− les dispositifs évitant la dégradation des talus et des fonds de fouilles
− l’exécution en petites parties, dans l’embarras des étais ou en terrain mouillé,
− l’exécution des banquettes et talus nécessaires,
− les démolitions de toutes maçonneries et ouvrages béton éventuellement rencontrés dans les
fouilles,
− les remblais de tous les puits, fosses, caves et vides rencontrés dans les fouilles,
− dans le cas de rencontre de canalisation, l’entrepreneur devra en aviser immédiatement le
Maître de l’Ouvrage,
Les parois et les fonds sont libres, bien dressés, sans jarret avec une tolérance de + - 5 cm.
Localisation
Localisation
Pour la mise en œuvre des dallages, l’entreprise devra prévoir la réalisation de la couche d’assise
par remblai de faible épaisseur soigneusement compacté.
Reprise de terre saine provenant des fouilles pour remblai par couches de 0.20 m d’épaisseur,
pilonnage soigné.
Localisation
− Sous dallage,
− Autour des ouvrages enterrés.
Les terres qui pourront être réutilisées seront conservées sur le site en accord avec le maître
d’ouvrage et seront nettoyées de toutes impuretés avant réutilisation.
Les terres ne pouvant être utilisées sur place, gravats divers, résidus de nettoyage, etc… seront
évacuées aux décharges publiques dans les plus brefs délais y compris toutes sujétions de
protections.
Le tri des déchets sera réalisé conformément à la circulaire du 15 février 2000 relative à la
planification de la gestion des déchets de chantier du bâtiment et des travaux publics.
Les moyens de transport utilisés seront choisis de telle sorte qu’ils ne provoquent sur le chantier
aucun dommage aux fouilles et aux ouvrages en cours de construction.
Localisation
Nota : Tous les remblais mis en œuvre seront traités
Ensemble plates-formes compris les remblais, les fouilles et jusqu’à 1.00 m en périphérie.
7.6. Canalisations
Réalisation des canalisations enterrées pour collecter les eaux usées, eaux vannes, eaux pluviales,
comprenant :
Localisation
Pour l'ensemble des réseaux enterrés conformément au plan architecte,
8. FONDATIONS
Localisation
Fondations de type semelles superficielles, elles seront isolée pour constituer les massifs de
fondations ou bèche en périphérie de dallage. Les fonds de fouilles seront contrôlés pour
s’assurer que toutes les fondations sollicitent le terrain dans les mêmes conditions.
Béton armé C25/C30, coulé en pleine fouille.
Dimensionnement suivant calculs de descente de charges et de rapport de sol.
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Lot : Gros Oeuvre
Localisation
8.3. Dallage
L’entreprise devra effectuer des essais à la plaque pour évaluer la bonne compacité et la
deformabilté de la couche de forme.
Les essais à la plaque devront avoir pour valeur :
EV2 > 50 MPa
EV2/EV1<2
Kw > 50 Mpa/m.
Les dallages sur terre-plein seront conforme à la norme NF P11-213-2 (DTU 13.3) (mars 2005)
Localisation
Nota : Suivant les options de parquet bois de la boutique et de carrelage des sanitaires, le type de
finition est susceptible d’être modifié en relation avec les corps d’état concernés.
Sous dalle prévoir la fourniture et pose, d’un isolant thermique en mousse de polyuréthane de 5,5
cm d’épaisseur, ainsi qu’en élévation des bêches avec protection par enduit ciment sur
grillagesur la face externe.
9. SUPERSTRUCTURE
Les murs seront réalisés en blocs pleins. Parpaings de béton qualité B40 ou B80, premier choix,
parfaitement calibrés, hourdés au mortier de ciment dosé à 250 kg/m3 de sable.
Les élévations seront réalisées en parpaings pleins ou creux suivant localisation de 20 cm
d’épaisseur, suivant indications des plans et DTU correspondants, étant précisé que l’épaisseur
indiquée ci-dessus est l’épaisseur brute sans les enduits. Elles constituent des valeurs minimales
qui devront être vérifiées par l’Entrepreneur en fonction des contraintes techniques et des règles
en vigueur.
Le jointoiement « en montant » sera effectué avec mortier de joint serré au fur et à mesure du
montage avant qu’il n’ait fait sa prise.
La jonction en « té » entre murs, se fera par engravures.
L'Entreprise doit la fourniture, l'implantation et la pose des boîtes de réservation des divers corps
d'état qui lui sont réclamées, dans une limite d'une semaine avant le bétonnage de l'élément. Les
réservations, autres que celles réalisées par boîtes en bois ou du polystyrène sont à fournir par le
corps d'état concerné, au gros œuvre, pour ces incorporations (fourreaux, taquets, douilles, rails,
etc...).
Chaque entreprise de second oeuvre a, à sa charge la pose des incorporations de câbles, gaines ou
tuyaux dans le béton. L'entrepreneur du présent corps d’état doit prévoir un délai suffisant entre
la mise en place de son ferraillage et le bétonnage pour permettre au corps d'état d'intervenir.
Toutefois, il veille à ce qu'aucun désordre ne soit apporté à son ouvrage après leur passage.
Localisation
Tous les ouvrages nécessaires pour recevoir les travaux des autres corps d'état.
10.2. Fourreaux
Fourniture et pose des fourreaux de pénétration des réseaux divers (Eau, EDF, Téléphone, etc...)
en PVC ou JANOLENE, compris obturation par matériau expansif 3M et fourreaux de liaison
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Lot : Gros Oeuvre
réglementaires entre les pénétrations et les locaux techniques ou les gaines verticales, tant
enterrées qu'en élévation.
Appuis débordants ou en sifflet, sans oreille, en béton légèrement armé, finition lissé avec forme
de pente, y compris toutes sujétions d’exécution.
Seuils en béton légèrement armé, finition lissée avec forme de pente et de nez extérieur arrondi, y
compris toutes sujétions d’exécution.
Localisation
Caractéristiques
Tuyaux en PVC série « Assainissement »
- conformes aux normes françaises et aux prescriptions du CCTG, fascicule 70.-
« Canalisations d’assainissement »
- marque agréée et de première qualité, les canalisations seront posés par bouts
normaux avec raccords normalisés.
Leur paroi intérieure sera parfaitement lisse, épaisseur, compacité et homogénéité constantes.
Tous les tuyaux ébréchés ou d’un aspect douteux seront systématiquement écartés.
Mise en œuvre
Au droit de chaque joint, le fond de fouille sera approfondi de façon que le tuyau porte sur
toute la longueur du corps et non sur les bagues et les collets.
Avant de mettre les tuyaux en place, l’entrepreneur établira sur le fond de fouille une forme
de sable de 0,10 cm d’épaisseur au minimum.
Lorsque les tuyaux auront été mis à leur place définitive, ils seront soigneusement calés
latéralement avant la connexion des joints.
Après exécution des joints, l’entrepreneur effectuera un bourrage latéral en sable et
recouvrira le tuyau d’une épaisseur minimale de 0,20 m du même sable.
Le remblaiement des tranchées sera exécuté avec des matériaux meubles correctement
arrosés par couches de 0,20 m successives.
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Lot : Gros Oeuvre
Réseaux à réaliser :
- Les collecteurs eaux usées et eaux vannes
Les collecteurs seront réalisés en tube PVC CR8, qualité assainissement (épaisseur
renforcée), marque WAVIN ou techniquement équivalente.
Les travaux comprendront :
- La fourniture et la pose des tuyaux
- Les terrassements nécessaires, remblaiements et réfection du sol
- Le supportage des canalisations
- La mise en œuvre de té de tringlage à chaque raccordement
11.5. Citerne EP
Citernes en béton ou en plastique (la solution la moins chère sera retenue) de 6000 L.
avec
− filtre
− pompe
− trop plein raccordé au réseau d’évacuation
y compris terrassement et installation
11.6. Réseau EP
Canalisations PVC de section appropriée, posées de façon identique aux
canalisations EU décrites ci-dessus, s'écoulant vers le fossé existant.
Regards béton avec dalette au pied de chaque descente
Regard à grille (sanitaires de plein vent)
Regards de visite
Caniveau en béton au droit de l’égout de toit des sanitaires de plein vent
Localisation : suivant plan
- Assemblées, soudées.
Massifs en béton avec scellement des platines fournies par le lot charpente bois
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Lot : Gros Oeuvre
Localisation : parvis.
Forme en béton non armé sur sous couche en gros cailloux et fermeture par sablon.
Dessus fini par chappe incorporée en ciment pour empreintes type feuilles d’arbre.
Après pose d’un feutre anticontaminant, fourniture et pose de gravillon blanc sur une épaiseur de
5cm et une largeur de 3m au pourtour de la boutique après décapage du terrain naturel pour mise
au même niveau que le sol extérieur
- Pose scellée :
* selon Avis Technique,
* joints réglés au ciment gris.
Localisation : Sanitaires
Localisation : Sanitaire
- Découpes :
* selon calepinage.
- Calepinage :
* à soumettre à l’accord de l’ARCHITECTE.
Localisation : Sanitaires.
Avant l’exécution des revêtements de sols collés, l’Entrepreneur effectuera un nettoyage suivi
d’un ragréage systématique destiné à parfaire la planitude et à réparer les dégradations normales
causées par le déroulement du chantier.
Compte-tenu de la pose sur « sol surfacé » ce ragréage (ou enduit de lissage) sera appliqué en 1
ou 2 couches avec une charge totale suffisante en fonction :
* de l’état de surface du sol, de sa planitude, de la nature du matériau à coller.
Localisation : Sanitaires.