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Code : …………..……
Promotion 2010
Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics. Garidi. Kouba.
REMERCIEMENTS
Nous Remercions Avant Tout Le Dieu De Nous Avoir Gardes En Bonne
Sante De Mener A Bien Ce Modeste Projet De Fin D’étude.
بناء على المشروع الجديد الذي أصدرته"وزارة األشغال العمومية" في مجال المنشات
الفنية تحت عنوان " النظام المضاد للزالزل الخاص بالمنشات الفنية" والذي سيصبح
فان مشروعنا لنھاية الدراسة يعتبر تطبيقا ألھم حيثيات ھذا النظام.
عموما فان ھذه التطبيقات مستنبطة من ديناميك المنشات ‘ و من أجل ھذا لجأنا إلى
تطوير نموذج ميكانيكي للمنشأ و ذلك إلجراء دراسة ديناميكية عليه كي تسمح لنا بفھم
أداء المنشأ أثناء خضوعه لبعض الحموالت المتغيرة مع الزمن )الزالزل( و ھذا من
CHAPITRE I :
L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN
OUVRAGE D’ART ?
CHAPITRE II :
NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMIQUE D’UN
OUVRAGE D’ART.
CHAPITRE III :
PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE.
CHAPITRE IV :
ESTUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS DE LA
COMPOSANTE VERTICALE DU SEISME.
CHARGEMENT……………………………………………………….……………………………42
CHAPITRE V :
ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE PAR LES METHODES
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES
d’ART (RPOA).
CHAPITRE VI :
DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE.
ADOPTE(DEMEAN) ...................................................................................................77
VI.9. CONCLUSION.....................................................................................................79
INTRODUCTION GENERALE:
De manière générale, un pont est soumit à des actions diverses, L'action la plus
importante est très souvent le poids propre de la structure porteuse associé à
celui des éléments non porteurs, tels que le poids du revêtement, des
bordures, et des divers équipements du pont (glissières, gaines techniques,
évacuation des eaux, etc.).
Par définition, le poids propre agit à long terme et sollicite l'ouvrage de
manière statique. Le pont est également sollicité par le milieu environnant par
l'action du vent, des tremblements de terre, du tassement du sol de fondation
ainsi que par les activités humaines représentées par les actions du trafic. Ces
différentes actions ont un caractère variable et se produisent de manière
intermittente avec des intervalles de temps très variables. De plus, lorsque ces
actions se manifestent, leurs directions et leurs intensités sont variables dans le
temps. Le vent, les tremblements de terre et le trafic sont donc des actions qui
agissent de manière dynamique sur l'ouvrage, Pour la plupart des ponts, le
trafic et l’action sismique constituent les actions variables prédominantes. Et vu
que dans les dernières décennies, le nord de l’Algérie, a eu lieu de plusieurs
séismes dans ils ont occasionné des dégâts plus ou moins importants aux
ponts, tel que le tassement des remblais d’accès, déplacements des culées, des
piles et du tablier sur leurs appuis, effondrement des culées, etc.une action
importante engagée par le ministère des travaux publics, à été doté le secteur
d’un règlement parasismique relatif aux ouvrages d’art, dont le but est la prise
en compte de risque sismique, et qui va devenir obligatoire pour l’élaboration
des projets. Et pour cela le nouveau règlement de conception parasismique des
ouvrages d’art (RPOA) sera mais à la disposition des ingénieurs concepteurs
1
INTRODUCTION GENERALE 2010
Le premier présente quelques dégâts causés par les séismes, qui justifier
l’importance de la prise en compte de risque sismique dans l’élaboration des
projets en ouvrages d’art.
Le deuxième porte sur les notions de base pour une étude dynamique des
structures.
2
CHAPITRE I :
L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-
INTERESSANTE POUR UN
OUVRAGE D’ART ?
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
I.1. INTRODUCTION :
Les ponts peuvent être amenés à osciller sous l’effet des tremblements de
terre, cette oscillation peut être verticale ou horizontale, fonction de la
direction d’excitation.
1. Quelles sont les dégâts qui peuvent être causés par un séisme sur un
ouvrage d’art?
2. Comment peut-on estimer les effets dynamique du au séisme, pour qu’on
puisse évaluer la sécurité structurale de l’ouvrage ?
3. Peut-on concevoir des ponts qui demeurent sécuritaire après un séisme
majeur ?
3
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
4
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
FIGURE.I : 1
FIGURE.I : 2
5
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
Ce genre de dégât doit être évité, vu que l’effondrement de tablier d’un pont
conduit à des dommages corporels et à la ruine totale du pont occasionnant
une longue interruption du trafic. Jusqu'à ce que le pont soit réparé ou
remplacé.
FIGURE.I : 3
FIGURE.I : 4
FIGURE.I : 5
6
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
Réalisés.
Dans le cas des ouvrages qui ne sont pas encore réalisés, les règlements
parasismiques en vigueur (RPOA), prévoient un repos minimal d’appui qui tient
compte le déplacement relatif entre le tablier et le support.
FIGURE.I : 7
7
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
ru
FIGURE.I : 8
FIGURE.I : 9
FIGURE .I: 10
8
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
9
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
FIGURE.I : 14
FIGURE.I : 15
10
CHAPITRE I : L’ETUDE SISMIQUE EST-ELLE-INTERESSANTE POUR UN OUVRAGE 2010
D’ART ?
I.5. CONCLUSION :
Ce chapitre a présenté un bref historique sur quelques dégâts causés par des
séismes passés, sur les ouvrages d’arts. Ces différents dégâts peuvent prendre
beaucoup de forme, selon le mouvement des terres, configuration total et
détails spécifiques du pont…etc. En dépit de ces complexités, le dossier est
clair, La chute des tabliers (rencontré fréquemment dans le cas des ouvrages à
travées indépendantes), l’endommagement voir même la rupture des piles et
des dommages complexes qui peuvent affectées les fondations des ouvrages,
sont les principaux dommages qu’on peut rencontrer dans les ouvrages d’arts.
11
CHAPITRE II :
NOTIONS DE BASE POUR UNE
ETUDE DYNAMIQUE D’UN
OUVRAGE D’ART.
CHAPITRE II : NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMYQUE D’UN 2010
OUVRAGE D’ART
II.1. INTRODUCTION :
12
CHAPITRE II : NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMYQUE D’UN 2010
OUVRAGE D’ART
PENDANT LA VIBRATION ?
NON OUI
COMBIEN
PLUSIEURS UN
FIGURE.II : 1
2. L’idéalisation de la structure.
13
CHAPITRE II : NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMYQUE D’UN 2010
OUVRAGE D’ART
3. Le calcul dynamique.
14
CHAPITRE II : NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMYQUE D’UN 2010
OUVRAGE D’ART
Procédure utilisée
15
CHAPITRE II : NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMYQUE D’UN 2010
OUVRAGE D’ART
Il est impossible d’évaluer les forces d’amortissement qui s’applique sur une
structure. Vu son élégance mathématique, on adopte alors le model simple
d’amortissement visqueux .selon ce dernier, les coefficients de la matrice
d’amortissement [C], sont généralement définis en fonctions d’amortissement
modal.
Dans laquelle :
16
CHAPITRE II : NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMYQUE D’UN 2010
OUVRAGE D’ART
Avec :
Les colonnes de la matrice sont constituées par les modes propres de vibration,
issu d’une résolution de système d’équation homogène non-amorti.
࢚
࢛ = න ሺ࣎ሻࢋିࣈ࣓ሺ࢚ି࣎ሻ × ∗࣓ ܖܑܛሺ࢚ − ࣎ሻ ࢊ࢚
ࡹ ࣓
∗
17
CHAPITRE II : NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMYQUE D’UN 2010
OUVRAGE D’ART
ۯሺܑሻ× ܂ሾۻሿ×ሺ۷ሻ
Le calcul de facteur de participation modal : હܑ = ሺܑۻሻ∗
18
CHAPITRE II : NOTIONS DE BASE POUR UNE ETUDE DYNAMYQUE D’UN 2010
OUVRAGE D’ART
۳۷ ۳۷
۹= ܐ
۹= ܐ
FIGURE.II :3
19
CHAPITRE III :
PRESENTATION ET ETUDE
DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE.
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
III.1.2. CARACTERISTIQUES
CARACTERISTIQUE GEOMETRIQUES :
FIGURE.III: 1
20
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
FIGURE.III : 2
21
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
FIGURE.III : 3
On a :
L : lagrangien du système.
∑
i2
22
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
! !
" #
1 23' 4 1234 #
M1 0 0 0 0 0 0
0 M2 0 0 0 0 0
0 0 M3 0 0 0 0
[M] = 0 0 0 M4 0 0 0
0 0 0 0 M3 0 0
0 0 0 0 0 M2 0
0 0 0 0 0 0 M1
2k -k 0 0 0 0 0
-k 2k+k1 -k 0 0 0 0
0 -k 2k -k 0 0 0
[K] =
0 0 -k 2k+k2 -k 0 0
0 0 0 -k 2k -k 0
0 0 0 0 -k 2k+k1 -k
0 0 0 0 0 -k 2k
23
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
FIGURE.III : 4
Concernant la concentration des masses, la règle suivie C’est bien celle décrite en
chapitre02,, Alors, le tablier est segmenté en huit portion, donc sept degré de liberté
de translation dans le sens transversal sont adoptés. Le tablier contient des blocages
transversaux au niveau des piles et les culées. Les masses sont bien assignées aux
têtes des appuis et a mi-portée
portée de chaque tablier,
ta elles sont régit par une rigidité des
appuis plus une rigidité rotationnel du à l’ensemble des appareils d’appui.
24
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
FIGURE.III : 5
M1 0 0 0 0 0 0
0 M2 0 0 0 0 0
0 0 M3 0 0 0 0
[M] = 0 0 0 M4 0 0 0
0 0 0 0 M3 0 0
0 0 0 0 0 M2 0
0 0 0 0 0 0 M1
2*Keff1 -Keff1 0 0 0 0 0
-Keff1 k1+Keff1+Keff2 -Keff2 0 0 0 0
0 -Keff2 2*Keff2 -Keff2 0 0 0
[K]= 0 0 -Keff2 K2+2* Keff2 -Keff2 0 0
0 0 0 -Keff2 2*Keff2 -Keff2 0
0 0 0 0 -Keff2 k1+Keff1+Keff2 -Keff1
0 0 0 0 0 -Keff1 2*Keff1
25
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
[M] =
420178.8527 0 0 0 0 0 0
0 90330.15 0 0 0 0 0
0 0 561358.9473 0 0 0 0
0 0 0 94571.4 0 0 0
0 0 0 0 561358.9473 0 0
0 0 0 0 0 90330.15 0
0 0 0 0 0 0 420178.8527
[K] =
47040000 -23520000 0 0 0 0 0
-23520000 194538542.3 -23520000 0 0 0 0
0 -23520000 47040000 -23520000 0 0 0
0 0 -23520000 145852500 -23520000 0 0
0 0 0 -23520000 47040000 -23520000 0
0 0 0 0 -23520000 194538542.3 -23520000
0 0 0 0 0 -23520000 47040000
⃒12 6 1 2⃒ #
26
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7
1 1 1 1 1 1 1
0.863876697 0.620774693 0.111352182 0.103114098 -25.78991393 -36.67817004 -36.6796922
5.934207336 3.950407569 -0.1242149 -0.189190139 -60.17160773 0.738052721 0.750132815
1.999163964 0.002398366 -0.046425815 -0.002143776 2138.979774 0.024269373 -0.57566715
5.951603805 -3.93627963 -0.143938051 0.176811784 -60.13142728 -0.798919138 0.693809963
0.866491022 -0.618702921 0.121893684 -0.092506887 -25.7728888 39.67884808 -33.9053521
1.003588322 -0.99760646 1.10263208 -0.9042147 0.998881503 -1.081325427 0.923948141
TABLEAU.III : 4
M *1 M *2 M *3 M *4 M *5 M *6 M *7
40996138.91 18360229.22 953804.5849 802903.1324 4.36868E+11 265312106 226767195.6
TABLEAU.III : 5
α1 α2 α3 α4 α5 α6 α7
0.191655392 0.000422308 0.785795961 0.042274994 0.000299763 0.000771031 -0.021219449
TABLEAU.III : 6
27
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
[M] =
210089.4264 0 0 0 0 0 0
0 335714.6 0 0 0 0 0
0 0 280679.47 0 0 0 0
0 0 0 375250.87 0 0 0
0 0 0 0 280679.4736 0 0
0 0 0 0 0 335714.6 0
0 0 0 0 0 0 210089.4264
[K] =
3918440297 -1959220149 0 0 0 0 0
-1959220149 3205350113 -904672238.9 0 0 0 0
0 -904672238.9 1809344478 -904672238.9 0 0 0
0 0 -904672238.9 2038094478 -904672238.9 0 0
0 0 0 -904672238.9 1809344478 -904672238.9 0
0 0 0 0 -904672238.9 3205350113 -1959220149
0 0 0 0 0 -1959220149 3918440297
28
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
⃒12 − 6 1 2⃒ = #
M *1 M *2 M *3 M *4 M *5 M *6 M *7
16798645,53 3820509,03 2523622,68 2903366,08 6476221,89 563772,26 565053,63
TABLEAU.III : 11
α1 α2 α3 α4 α5 α6 α7
0,315 2,95934995927497e-16 0,333 7,21281138757431e-17 0,074 1,23447769642314e-13 0,278
TABLEAU.III : 12
29
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
Pour avoir un bon modèle automatique, qui reflète le pont dans son
ensemble, et qui sera dans les mêmes conditions arrêtées pour le calcule
analytique développer ci-dessus, quelque hypothèses sont arrêtées au niveau
de calcule automatique.
30
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
Une rotation autour de l’axe vertical est empêchée (vu que l’excentricité entre
le centre de masse et le centre de rigidité, n’est pas prise en compte dans
l’analyse analytique, (voir même dans la méthode monomodale ci-après).
Le déplacement dans le sens vertical est empêché, pour assurer que les
masses ne puisse se déplacer que longitudinalement et dans le même plan (le
travail effectué par le poids de tablier est nul).
31
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
MODE : 01 MODE : 02
32
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
MODE : 03 MODE : 04
MODE : 05 MODE : 06
MODE : 07 MODE : 08
FIGURE.III : 6
33
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
34
CHAPITRE III : PRESENTATION ET ETUDE DYNAMIQUE DE L’OUVRAGE 2010
Après avoir simulé l’ouvrage dans le logiciel de calcul des structures (SAP2000-
V14)avec toutes les conditions d’appuis, on a pu comprendre le comportement
de l’ouvrage vis-à-vis d’un chargement dynamique, à partir duquel, on a essayé
d’élaborer un modèle mathématique qui représente l’ouvrage dans son
ensemble, et qui sera utile pour l’application des méthodes (servant à évaluer
l’effort sismique dans l’ouvrage) présentées dans le nouveau règlement
parasismique des ouvrages d’art (RPOA). On a pu représenter l’ouvrage par
deux model indépendants l’un à l’autre, tout dépend de sens étudié.
Ces modèles ont permis d’avoir pratiquement les mêmes déformées, les
mêmes périodes dans le sens longitudinal et un ordre de grandeur acceptable
des périodes dans le sens transversal, comparativement avec celle obtenues
par le logiciel SAP2000-V14 (voir tableau III : 14).
Mais, en tous les cas, une analyse analytique demeure délicate, voir mêmes
impossible dans le cas des ouvrages qui présente une géométrie complexe,
d’où le recours au calcul automatique est obligatoire. Pour avoir un résultat
satisfaisant, un modèle automatique est compte beaucoup sur la précision des
résultats on site parmi lesquelles :
35
CHAPITRE IV :
ETUDE DU TABLIER ET LA
VERIFICATION VIS-A-VIS LA
COMPOSANTE VERTICALE
DU SEISME.
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
TABLEAU.IV.1.
L = longueur chargée en m.
36
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
La valeur de A(L) est multipliée par les deux coefficients a1 et a2 qui sont fonction
de la classe du pont et du nombre des voies.
Les actions dues aux variations linéaires engendrées par le retrait, fluage et
relaxation des matériaux constitutifs des éléments structurels ainsi que l’action de
la précontrainte sont prises en compte comme actions permanentes selon les
règlements en vigueur de béton armé et de béton précontraint.
37
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
Selon le BAEL 91 :
TABLEAU.IV.2.
TABLEAU.IV.3.
38
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
IV.5.1. DEFINITION :
Les ponts PRAD (ouvrage de type courant à poutres sous chaussées), sont
constitues de poutre précontrainte par adhérence (poutre précontrainte par
prétention) solidarisées par un hourdis en béton coulé en place (sur des coffrages
perdu non participants). Les poutres sont reliées entre elles par des entretoises
uniquement au niveau des appuis. Les poutres préfabriquées en usine sont de
hauteur constante et leur espacement est de l’ordre de 0.8 à 1m le hourdis a à
une épaisseur comprise entre 18 et 22 cm.
Les pont PRAD sont devenus depuis de nombreuses années, une solution
classique pour la réalisation de pont routier ou autoroutier dans la gamme des
portées de 10 à 35 m.
Les torons de la précontrainte ont une très basse relaxation TBR, et super
stabilises T15S (∅ = 15.7 mm avec 1000 = 2.5 %, μ0 = 0.43, une résistance ultime
(ƒprg) de 1770 MPa et une limite élastique (ƒpeg) de 1573 MPa doivent être
conforme a la norme EN 10133-3.
39
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
N . Ap.P N . Ap.P.e0 Mp
− Y+ Y =σt
B I I + ∗
= ′
∗ !" +
N . Ap.P N . Ap.P.e0 Mp ′
+ Y '− Y'= σ c
B I I
= 0.6 fc28.
= 1.5 ft28.
40
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
Les caractéristiques sont calculées (poutre seule, poutre avec réservations des
torons, poutre + la précontrainte + la dalle), pour évaluer les différentes
contraintes. (Voir annexes).
La tension des torons avant le relâchement (la force transmise aux torons par les
vérins) est 76.6% de la limite de rupture. (Après un calcul des pertes à l’about).
Les pertes instantanées ∆σpi sont les pertes par raccourcissement élastique.
Les pertes à long terme ∆σpe sont : Perte du retrait du béton, perte de Relaxation
d'acier et Perte du au fluage du béton (voir annexes).
41
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
TABLEAU.IV.6.
CHARGEMENT :
TABLEAU.IV.7.
LES PHASES 1, 2, 3, ET 4 :
CONTRAINTES ADMISSIBLES:
- compression : 0.6 fcj = 18.00 [MPa]
- traction en zone d'enrobage : 0.70ftj - 0.02fc28 = -1.08 [MPa]
- traction en zone extérieure d’enrobage : 1,5ftj - 0.02fc28 = -3.00 [MPa]
42
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
LES PHASES 5, 6 ET 7 :
Contraintes Admissibles :
Compression (Combinaison des charges 1 et 2) 0.6 fc28 = 21.00 [MPa]
Compression (Combinaison de charge 3) 0.50 fc28 - 0.02 fc28 =16.80 [MPa]
Traction Sous Combinaison Fréquente:
Phase 7a :
- zone d'enrobage = 0
- En dehors de la zone d'enrobage 1.50 ft28 - 0.02 fc28 = -3.35 [MPa].
Traction sous Combinaison Rare:
Phase 7b :
- zone d'enrobage ft28 - 0.02 fc28 = -2.00 MPa
- En dehors de la zone d'enrobage 1.50 ft28 - 0.02 fc28 = -3.35 MPa
Traction sous combinaison Permanente :
Phase 7c :
- En zone d'enrobage = 0
- En dehors de la zone d'enrobage = 0
La vérification des contraintes dans chaque phase est exposée dans l’annexe.
Un dépassement des contraintes de traction est envisagé lors de la vérification.
Des barres d’aciers passifs sont rajoutées pour reprendre les efforts excessifs.
43
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
44
CHAPITRE
HAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS
VIS VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
Diamètre de Barre φ mm 16 16 16 16
Diamètre d'une seule barre AS1 mm² 201.06 201.06 201.06 201.06
TABLEAU.IV.7.
45
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
Pour équilibrer les efforts de glissement ainsi que les efforts dus au retrait
différentiel existant à la jonction entre la poutre et le hourdis, il est nécessaire de
prévoir des aciers de couture qui sortent au-dessus des poutres. Ceci est obtenu
pour partie en prolongeant les étriers d'âme au-delà de la fibre supérieure, et
pour le reste au moyen de fers en U renversés, ancrés dans la table de
compression de la poutre. Cette disposition existe sur toute la zone où le hourdis
doit effectivement être accroché aux poutres.
46
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
Les contraintes du cisaillement sont vérifiées pour les deux poutres (25m et
33.4m) (voir annexes).
47
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
REMARQUE :
Un dépassement des contraintes dans les fibres inferieurs des poutres sous
l’effet de la combinaison accidentelle faisant intervenir le séisme est prévu. Pour
cela un rajout des aciers passifs est adopté. (Voir annexes).
48
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
Après avoir évalué le nombre des torons moyennant les efforts décrits ci-dessus,
une vérification des contraintes a été faite vis-à-vis des combinaisons de service
et des combinaisons accidentelles (séisme) :
49
CHAPITRE IV : ETUDE DU TABLIER ET LA VERIFICATION VIS-A-VIS LA COMPOSANTE
VERTICALE DU SEISME
remédier par une retardation dans le relâchement des torons, jusqu'au le béton
atteint une résistance de 35 MPa au lieu de 30 MPa.
Mais, ces solutions ont été adoptées pour la composante descendante du séisme.
50
CHAPITRE V :
ESTIMATION DE L’EFFORT
SISMIQUE HORIZONTAL PAR
LES METHODES EXPOSEES
DANS LE NOUVEAU
REGLEMENT DES OUVRAGES
D’ART (RPOA).
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
V.1 INTRODUCTION :
Pour évaluer l’effort sismique dans l’ouvrage, l’action sismique résulte d’une
translation d’ensemble (tous les points de sol se déplacent en phase) dans
chacune des trois directions est prise en compte pour le calcul.
51
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
Deux méthodes sont utilisées pour chaque direction, pour évaluer l’effort
sismique dans l’ouvrage :
de tablier. FIGURE.V : 1
FIGURE.V : 2
NB :
L’hypothèse de continuité de tablier dans cet ouvrage est faites, pour pouvoir
exposer la procédure de calcul de l’effort sismique par la méthode monomodal,
mais on réalité cette discontinuité doit être prise en compte, pour pouvoir se
prémunir vis-à-vis des conséquences qui peuvent être causées par le séisme
52
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
FIGURE.V : 3
APPAREIL D’APPUI :
a = 0.35 m. T =0.05 m.
E=32000000 KN/m2
CALCUL DES RAIDEURS TOTALE PAR APPUI : une raideur équivalente doit
être calculée par appui, dans le cas ou celui-ci est surmonter d’appareils
d’appui.
53
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
1
Kappui =
1 1
+
Kappareil Kpile
1) La masse modale (la masse mise en mouvement) doit être supérieur à 70%.
Cette condition est vérifiée pour le séisme longitudinal (dans le cas ou le
tablier est isolé de toutes les piles par des appareils en élastomère fretté ou
glissants) si : MP ≤ 0.43*MT.
MP=368539.2 Kg
2) Le biais (Angle de l’axe du tablier avec l’axe des appuis) est supérieur à 70
grad.
54
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
4) Les raideurs des appuis dans le sens longitudinal et transversal ne doit pas
varier plus de 10٪ par rapport aux valeurs calculées sans biais.
Donc nous somme en présence d’un ouvrage pour lequel nous pouvons utiliser
la méthode d’analyse simplifiée dite monomodale.
M = 1963075.6 Kg
K = 150239950 N/m
La raideur dans le sens longitudinal c’est la somme des raideurs totales des
appuis plus la raideur des appareils d’appui au niveau des culées.
55
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
M 1963075.6
T=2∗π∗# = 2∗π∗# = 0.71 s
K 150239950
Dans le cas des ponts courants, le taux d’amortissement adopté et celui des
piles, dans notre cas les piles sont en béton armé, donc on adopte un taux
d’amortissement de 5 ٪ Voir (RPOA).
Sae=5.18 m/ s2.
56
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
x1 x2 x3 x4 x5 x6 x7
0.014036866 2.54782E-05 0.034620505 0.001854458 8.97563E-07 1.65875E-06 0.014036866
0.012126122 1.58162E-05 0.003855069 0.000191221 -2.31481E-05 -6.08399E-05 0.012126122
0.083297675 0.000100649 -0.004300383 -0.000350845 -5.40078E-05 1.22424E-06 0.083297675
0.028061997 6.11061E-08 -0.001607285 -3.97554E-06 0.001919869 4.02568E-08 0.028061997
0.083541867 -0.000100289 -0.004983208 0.00032789 -5.39717E-05 -1.32521E-06 0.083541867
0.012162819 -1.57635E-05 0.004220021 -0.00017155 -2.31328E-05 6.58173E-05 0.012162819
0.014087235 -2.54172E-05 0.03817368 -0.001676828 8.96559E-07 -1.79365E-06 0.014087235
TABLEAU.V : 5
57
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
D’où le niveau de la force totale dans cette direction est obtenu par une
sommation algébrique de tous les effets : Ftot = 10289.70725 KN.
Donc, c’est pratiquement le même niveau de force, on peut dire alors, que la
réponse d’un pont à travée indépendantes, peut être estimée par la réponse
d’un modèle à un seul degré de liberté, mais cela reste valable pour estimer le
niveau de force total transmit à l’ouvrage, mais la répartition des forces ne
58
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
sera jamais de la même manière, que dans le cas exposé ci-dessous (tablier
continu).
Concernant le premier model, il n’est pas applicable dans notre cas. Voir
(RPOA), Parce que le tablier contient un blocage transversal, de plus le rapport
longueur total par la largeur est strictement supérieur à 5 (L/B>5). Donc, il y a
lieu de se référer au deuxième model qui est le model à tablier flexible, dont la
Période fondamentale peut être estimée par la méthode de Rayleigh, elle est
donnée alors par la formule suivante :
∑ DE × F E B
A=B×C×#
∑ GE × FE
59
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
∑ J8 × K8 .
H =2×I×# = 0.18 N
∑ L8 × K8
0 ≤ T ≤ T1 s.
y1 y2 y3 y4 y5 y6 y7
0.001878498 4.86E-19 0.000302419 3.81E-20 2.97E-05 2.06E-17 4.65E-05
0.003523182 8.02E-19 0.000428713 4.16E-20 2.57E-05 -9.39E-18 -2.12E-05
0.006897225 8.14E-19 -1.17E-08 -6.61E-20 -7.41E-05 1.84E-18 4.39E-06
0.007787382 4.09E-34 -0.000428716 9.23E-35 6.94E-05 -2.37E-31 -1.21E-06
0.006897225 -8.14E-19 -1.17E-08 6.61E-20 -7.41E-05 -1.84E-18 4.39E-06
0.003523182 -8.02E-19 0.000428713 -4.16E-20 2.57E-05 9.39E-18 -2.12E-05
0.001878498 -4.86E-19 0.000302419 -3.81E-20 2.97E-05 -2.06E-17 4.65E-05
TABLEAU.V : 8
60
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
Vu que les périodes du système sont aussi bien espacées dans la direction
transversale, alors la combinaison de la racine carrée de la somme des carrés
(SRSS) est déterminante.
61
CHAPITRE V : ESTIMATION DE L’EFFORT SISMIQUE HORIZONTAL PAR LES METHODES 201
EXPOSEES DANS LE NOUVEAU REGLEMENT DES OUVRAGES D’ARTS (RPOA). 0
Sont les mêmes forces pratiquement, aussi la méthode basée sur le model à
tablier flexible Est une approche qui donne des bons résultats, mais elle est
difficile à mettre en œuvre, d’où il est obligatoire de recours à un logiciel de
calcul des structure, dans le cas des ouvrages à plusieurs travées.
V.3. CONCLUSION :
La procédure à suivre pour évaluer l’effort sismique dans l’ouvrage est parue
simple, mais en réalité un calcule très lourde et inévitable doit être effectuer
pour évaluer l’action maximale probable qui peut solliciter l’ouvrage.
Dans le cas d’un tablier reposant sur des appareils d’appui en élastomère frété,
une autre problématique est apparue, parce ce que celui-ci va se comporter
comme étant une structure isolée, d’où une étude fiable fait appelle aux
techniques de calcul des structures isolées.
62
CHAPITRE VI :
DIMENSIONNEMENT DES
PILES EN CAPACITE.
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
VI.1. INTRODUCTION :
Ces dernières années, l’analyse non linéaire dans les ouvrages d’art à connue
une plus grande vitesse, elle est devenue généralement nécessaire en absence
d’isolation dans les zones de forte sismicité, afin de conduire à un niveau
raisonnable du coût de construction. Du fait d’une réduction des forces
sismiques obtenues à partir d’un modèle de calcul élastique, faisant deviser
celles-ci par le coefficient de comportement qui prend en compte l’effet
favorable de la sur-résistance et de la capacité de déformation non élastique.
63
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
- La formation des rotules est admise dans les zones ou les matériaux se
plastifient.
- Les rotules plastiques doivent être situées en pied de pile si celles-ci sont
articulées, en pied et en tète si celles-ci sont encastrées (voir figure ci-
dessous)
A éviter :
- La formation des rotules plastique dans les semelles de fondation, car des
dégâts éventuelles qui seraient difficiles à inspecter et à réparer.
- Une rupture fragile, qui peut apparaitre dans le cas du béton, sous forme
d’une rupture par cisaillement ou flambement de barres longitudinales.
64
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
TABLEAU.VI: 1
K : vaut (2) pour les piles encastrées à leurs deux extrémités et (1) pour les
autres cas ; L : est la hauteur de la pile.
Donc la valeur de base de (q) est corrigée pour tenir compte de l’effort normal
65
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
q = q0 si η ≤ 0.3.
q = q0 - × (િ − . ) × (ܙ − ) si 0.3 ≤ η ≤ 0.6.
q =1 si 0.6 ≤ η.
Une longueur critique dénommée (lc) est déterminé (voir figure), elle englobe
la zone de la rotule plastique, et s’étend à partir de l’encastrement sur une
longueur (lc) qui est la plus grande des deux valeurs :
ۺ
• Lc = λxh ou λ = (2 + ) 1≤λ≤2
ࢎ
FIGURE.VI : 2
67
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
S: Sollicitations.
R: Resistance.
Vérification De La Flexion :
γ0 =1.2; γr=1.
Vérification De Cisaillement :
γ0 =1 ; γr=1.4.
FIGURE.VI : 3
Arrivant à l’étape la plus délicate dans cette analyse, qui est la vérification de
critère de cohérence. Elle consiste à vérifier que les rotules conçues en tel
endroit sont effectivement plastifiées sous les combinaisons déterminantes
faisant intervenir le séisme.
Pour cela, le recourt à des méthodes non linaire est obligatoire. La méthode
statique non linéaire par pousser progressive (push-over) est utilisée dans la
suite. Le principe de cette méthode consiste en une série d’analyses
séquentielles superposées, qui se rapproche d’une courbe de force-
déplacement de la structure totale, s’appelle la courbe de capacité.
Dans cette méthode une force croissante est appliquée, au fur et à mesure de
l’augmentation de la force, on suit l’évolution des moments et des
déformations dans les sections critiques. Dés que le moment plastique est
atteint dans une section, une rotule plastique est introduite afin de tenir
compte de la redistribution des efforts dans le reste de la structure, cette
68
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
procédure est s’arrête dés que les conditions limitent par le BAEL à l’état limite
ultime (ߦb=3.5‰, ߦs=10‰)
=10‰ sont atteintes.
FIGURE.VI : 4
L’ouvrage contient des butés transversal sur les piles, d’où celles-ci
celles se
comportent comme des portiques, dans les futss sont encastrées en bas à la
semelle et en haut au chevêtre, deux zones critiques par fut sont envisagées
pour le dimensionnement en capacité.
69
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
ELS : G+1.2QR
ELU : 1.35G+1.6QRP
G ± E2 (Ψ=0)
La distribution des
sollicitations sous l’effet
de la combinaison
accidentelle prévue est
montée dans la
figure.VI :5.
FIGURE.VI : 5
Cette distinction ce justifier, par l’action alternative du séisme, qui crie deux
sollicitations normales différentes dans les futs de rive, une traction et une
compression (voir figure), fonction de la direction du séisme.
- Pour le calcul des aciers, on va prendre alors, le cas ou la section est soumis
au moment fléchissant et a l’effort normal de traction.
- Pour l’évaluation de l’effort normale de réduit (η=σcm/fc90), on va prendre
l’effort normale de compression.
70
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
- L=8 m, D=1.2 m
Lc=1.70m
Lc HAUT BAT
RIVE 0.798 0.842
INTERMEDIAIRE 0.758 0.801
TABLEAU.VI: 2
.ହ×
- Le coefficient de comportement de base : ݍ0 = 1 + ≈ 3.5
×
71
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
TABLEAU.VI: 3
TABLEAU.VI: 4
TABLEAU.VI: 5
72
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
TABLEAU.VI: 6
As HAUT BAT
RIVE 26HA25 28HA25
INTERMEDIAIRE 24HA25 24HA25
TABLEAU.VI: 7
73
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
Sd : sollicitation de calcul.
.ଵହ୶ୡ୨ ୖୢ
Rd=min { ; 4 MPa} = 2.88 Mpa. ; = 2.06 Mpa.
ஓୠ ஓ୰
D’où : b0 = 0.848 m
V
Sd =
b0×d
; en prend le maximum des efforts tranchants, qui va
609.71
Sd =
0.9∗0.848∗0.848∗1000
= 0.94 MPa
ୖୢ
Alors : γ0*Sd = 0.94 < = 2.06 Mpa .......................................... OK
ஓ୰
74
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
௧×
St ≤ = 47.4 cm (BAEL 91).
.ସ×
ଵ.×௧×௧
St ≤ = 5.45 cm (RPOA).
×
La pile est modélisée comme un portique, avec des sections renforcées par le
ferraillage arrêtes.
FIGURE.VI : 7
75
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
FIGURE.VI : 8
76
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
FIGURE : 9
FIGURE.VI
FIGURE.VI : 10
77
CHAPITRE VI : DIMENSIONNEMENT DES PILES EN CAPACITE 2010
FIGURE.VI : 11
VI.9. CONCLUSION :
La capacité en déplacement des piles est très grande par rapport à la demande,
d’où un dimensionnement en capacité des piles est très utile pour concevoir
des projets économes.
79
CONCLUSION GENERALE 2010
CONCLUSION GENERALE :
L’objectif souligné au début de ce travail était, d’élaborer une procédure
détaillée de calcul des ouvrages d’art courants en zone sismique, suivant
les méthodes et les dispositions constructives arrêtées dans le nouveau
règlement parasismique des ouvrages d’art RPOA. vu que ce calcul
relève de la dynamique des structures, un développement d’un modèle
mécanique de l’ouvrage était inévitable pour mener à bien exposer la
démarche à suivre dans ce calcul et pour montrer aux utilisateurs de ce
règlement que le calcul parasismique d’un ouvrage d’art en réalité
présente des complexités diverses, qui peuvent avoir lieu dans le
schéma statique de l’ouvrage, les conditions d’appuis qui jouent un rôle
primordiale dans la détermination de la plage des périodes de l’ouvrage,
rappelant qu’un tablier reposant sur des appareils d’appui en
élastomère frété se comporte comme une structure isolée.
80
CONCLUSION GENERALE 2010
séisme, ce qui peut conduire le projet à des prix irraisonnables (le cout
d’un ouvrage est lié directement aux efforts dans les piles qui vont être
transmis par conséquent aux fondations). A cet effet, un chapitre de ce
travail, présente une procédure de calcul dite CALCUL EN CAPACITE qui
vise à réduire cet effort, faisant intervenir un nouveau concept qui et le
coefficient de comportement.
81
ANNEXES 2010
ANNEXES
I. MODELISATION DE L’OUVRAGE.
L’ESPACE.
L’ESPACE.
([K] - ࣓ [M])*{A}=0
ANNEXES 2010
I. MODELISATION DE L’OUVRAGE
Dans le SAP2000-
V14, le module
(BRIDGE) vous
permettrez de
modéliser l’ouvrage
avec toutes les
caractéristiques,
sections, Matériaux
et disposition des
éléments.
Une attention
particulière doit être
faite, concernant les
conditions d’appuis, parce qu’elles jouent un rôle primordial pour
l’étude dynamique, voir même la réponse sismique de l’ouvrage
(répartition de l’effort sismique), dépend essentiellement de ces
conditions.
Par exemple pour un ouvrage ou le tablier repose sur des appareils
d’appui, la rigidité de celles-ci doit être déterminé (voir chapitre 4) et
assignée convenablement.
Aussi, lors d’une analyse dynamique, une grande attention doit être faite
à la source de masse que vous allez mobiliser lors cette analyse.
Parce que le SAP2000, ne peut déterminer que la charge permanente
des éléments structuraux. Mais, une masse due aux équipements fixes
sur l’ouvrage, voir même un pourcentage des charges d’exploitation qui
est recommandée par les règlements en vigueur(RPOA) dans le cas des
ouvrages urbains, doit être rajouté a partir de la source de masse sous
forme d’une force, qui va la convertir automatiquement a une masse.
ANNEXES 2010
- Choisissez (Responce
Spectrum) dans (Load
Case Type).
- Nommez la force
sismique (Load Case
Name)
- Choisissez le type de
combinaison.
- Choisissez la direction
voulue (Load Name).
- Choisissez le spectre
déterminé auparavant
(Function).
SPECTRE DE DIMENSIONNEMENT :
ANNEXES 2010
cm2 ଷଷଶ଼ସ
A = 5108 ; Y’c = = 65.83 cm ; Yc = H- Y =84.17 cm
ହଵ଼
TABLEAU. III.2
S’ = 10 cm
t = 20 cm
A (cm2) Y' (cm) A*Y (cm3) I'' =A*(Y-Yd) 2 (cm4) I''' = A*Y' 2 (cm4)
poutre précontrainte 5 210.57 87.10 453 824.78 3 889 397.39 39 526 720.37
ଵସଷ୶ଶయ
Yd =110.22 cm ; Y’d = H - Y0 = 59.78 cm ;I'' = = 95 333.33 cm4
ଵଶ
TOTALE 15 23 29 29
TABLEAU. III.6
No. de Cables [ Ni ] 15 23 29 29
Valeur de relaxation iso thermique ρ1000 [%] 2.50 2.50 2.50 2.50
Perte de relaxation d'acier [MPa]
∆σpRS = 0.06ρ1000 (σPi / σPrg - µo) σpi 59.42 55.87 53.21 53.53
TABLEAU. III.12
Perte par fluage du béton : ∆fpCR = [%] σP0 87.80 116.83 139.63 133.92
Effort de Précontrainte : Pe = σP0 x As1 x Ns 2 986.88 4 579.88 5 774.63 5 774.63
σPe = (a) / Ac + (a) / I' x e'² 1.962 3.328 4.517 4.418
(a) = Pe(∆σpsh + ∆σpCR + ∆σpRS) [MPa] 0.441 0.762 1.047 1.024
Contrainte de comp. finale à cg des torons
6.127 7.253 8.255 7.551
σb = σM + σNc +σc + σPe [MPa]
150% de la σ de compression finale 1.5 σb 9.190 10.880 12.383 11.326
Perte par fluage du béton: si σM < 1.5 σb
- - - -
∆σpCR = 2.5σb Ep / Ecj [MPa]
Perte par fluage du béton: si σM > 1.5 σb
87.7984 116.8323 139.6358 133.9278
∆σpCR = (σb + σM) Ep / Ecj [MPa]
Pourcentage de perte ∆σpCR [%]
6.476 8.617 10.299 9.878
TABLEAU. III.13
ANNEXES 2010
TABLEAU. III.16
ANNEXES 2010
+ ∆Pe/A' + ∆Pee'/Sb'
kPa -2325.28 -3934.32 -5323.14 -5206.34
σts5 =σσb4 + ∆Pe/A' + ∆Pee'/ Sb' MPa 7.347 8.984 10.389 9.678
TABLEAU. III.18
+ MC /St' kPa - - - -
- MC /Sb' kPa - - - -
σts6 = fts5 + MC / Sts' Au dessus de la dalle MPa 0.399 0.679 0.925 0.905
σts6 = σt5 + MC /St' MPa 2.411 4.799 6.019 6.738
σtb6 = σb5 - MC / Sb' MPa 7.347 8.984 10.389 9.678
TABLEAU. III.19
ANNEXES 2010
σts7a = σts6+ M /Sts' Au dessus de la dalle MPa 1.620 3.505 4.790 5.180
TABLEAU. III.20
ANNEXES 2010
σts7b = σts6+ M /Sts' Au dessus de la dalle MPa 3.309 6.319 8.277 9.007
TABLEAU. III.21
ANNEXES 2010
Pd + G
σts7c = fts6+ M /Sts' Au dessus de la dalle MPa 0.796 1.515 2.048 2.146
TABLEAU. III.22
ANNEXES 2010
b
b1 .
0.80y
Cc
hf
dp-0.40y
dp
H
Tp
. . .
FIG.III.4
Limite d'élasticité garantie d'acier ps = fpeg [MPa] 1 573.00 1 573.00 1 573.00 1 573.00
Contrainte ultime du béton,
[MPa] 19.83 19.83 19.83 19.83
fbu = 0.85 fcj / (φ γb)
Surface d'acier de précontrainte, APS m² 0.00225 0.00345 0.00435 0.00435
TABLEAU. III.23
ANNEXES 2010
CAPACITE DE CISAILLEMENT :
Centroide depuis l'axe neutre yGr [m] 0.3274 0.3274 0.3306 0.3306 0.3340
TABLEAU III.26
Résistance à la compression du béton :fcj [kPa] 35 000 35 000 35 000 35 000 35 000
TABLEAU III.27
Inclinaison de l'étrier :α 90 90 90 90 90
Surface totale
At=Nbéq x As : At [mm²] 616 616 308 226 226
d'acier
TABLEAU III.28
ANNEXES 2010
2.3.4.2. CONTRAINTE :
unité de contrainte de 3 165 2 809 2 421 2 074 1 785
cisaillement τu = Vu / ( bo d ) [KPa]
Cisai. Max.
admi τmax=MIN (0.15 fcj /γb; 4MPa) [KPa] 3 500 3 500 3 500 3 500 3 500
TABLEAU III.30
Limite élastique maximum d'acier :fe [KPa] 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000
Tension admissible du béton
= 600 + 0.06fcj
: ft [KPa] 2 700 2 700 2 700 2 700 2 700
St1 = fe At / [(tu - ft/3) (tan bu )( bo gs )] 563 668 419 399 529
[mm]
TABLEAU III.31
Stmax = min (St1, St2, St3) [mm] 400 400 400 400 400
TABLEAU III.32
ANNEXES 2010
TABLEAU. III.34
ANNEXES 2010
FIGURE.III :5
7.2. LA COMPOSANTE ASCENDANTE :
7.2.1. CONTRAINTE SOUS FLECTION :
Chargement Contraintes sous flexion
0.125 L 0.250 L 0.375 L 0.500 L
M = MG3 + MG4 - E3 [Kn.m] -1 065,00 -1 873,00 -2 439,00 -2 613,56
+ M/Sts' Au dessus de la dalle [kPa] -2 499,54 -4 363,57 -5 649,09 -6 053,40
+ M/St' [kPa] -1 660,63 -2 913,88 -3 786,55 -4 057,55
- M/Sb' [kPa] 4631,22 7958,80 10182,52 10911,29
ft7b = ft6+ M /St' [MPa] 0,750 1,885 2,233 2,681
fts7b = fts6+ M /Sts' Au dessus de la dalle [kPa] -2,101 -3,684 -4,724 -5,149
Tension admissible en combinaison de [MPa] -3,350 -3,350 -3,350 -3,350
chargement sismique
si < Admissible, sinon Non X [MPa] X X X
fb7b = fb6 - M /Sb' 11,978 16,943 20,571 20,589
Contrainte admissible 0.6 fc28 [MPa] 21 21 21 21
si < Admissible, sinon Non X [MPa]
TABLEAU. III.35
ANNEXES 2010
FIGURE.III :5
ANNEXES 2010
2- A POUTRE DE 25 M DE LONGUEUR :
1. ROPRIETES DES SECTIONS :
1.1 PROPRIETE DE LA POUTRE SEULE :
Y' A*Y'
Formule No. B (cm) H (cm) A (cm2) A*Y'2 (cm4) I (cm4)
(cm) (cm3)
5) 1 x 21 x 118 1 18.00 95.00 1 710.00 64.50 110 295 7 114 028 1 286 062.50
6) 2 x (13 x 20) / 2 2 13.00 20.00 260.00 105.33 27 387 2 884 729 5 777.78
TOTALE 10 15 20 20
TABLEAU. III.38
ANNEXES 2010
No. De Cables [ Ni ] 10 15 20 20
TABLEAU. III.40
Charge
0.125L 0.250L 0.375L 0.500L
TABLEAU. III.43
ANNEXES 2010
TABLEAU. III.44
TABLEAU. III.45
Perte par fluage du béton : ∆fpCR = [%] σP0 70.34 93.63 124.60 120.94
Effort de Précontrainte : Pe = σP0 x As1 x Ns 1 991.25 2 986.88 3 982.50 3 982.50
σPe = (a) / Ac + (a) / I’ x e’² 1.335 2.194 3.342 3.292
(a) = Pe(∆σpsh + ∆σpCR + ∆σpRS) [Mpa] 0.270 0.450 0.681 0.671
TABLEAU. III.46
TABLEAU. III.48
2.2.6. EFFORT DE PRECONTRAINTE EN PHASE DE CONSTRUCTION
ET EN SERVICE :
TABLEAU. III.49
ANNEXES 2010
TABLEAU. III.50
TABLEAU. III.51
TABLEAU. III.52
ANNEXES 2010
σ s5 = ∆Pe/A' - ∆Pee'/ St' Au dessus de la dalle MPa 0.261 0.429 0.664 0.654
σ ts5 = ft4 + ∆Pe/A' - ∆ Pee'/ St' MPa 1.668 3.305 3.845 4.224
σ ts5 = fb4 + ∆Pe/A' + ∆Pee'/ Sb' MPa 6.306 7.836 10.158 9.770
TABLEAU. III.54
+ MC /St' [kPa] - - - -
- MC /Sb' [kPa] - - - -
σ ts6 = σ ts5 + MC / Sts' Au dessus de la dalle [MPa] 0.261 0.429 0.664 0.654
TABLEAU. III.55
ANNEXES 2010
σ ts7a = σ ts6+ M /Sts' Au dessus de la dalle [MPa] 1.823 3.118 3.886 4.101
TABLEAU. III.56
ANNEXES 2010
Pd + G + Qrp
fts7b = fts6+ M /Sts' Au dessus de la dalle [MPa] 3.395 5.652 7.077 7.435
TABLEAU. III.57
ANNEXES 2010
σ ts7c = σ ts6+ M /Sts' Au dessus de la dalle [MPa] 0.621 1.124 1.572 1.602
TABLEAU. III.58
ANNEXES 2010
FIGURE.III :6
ANNEXES 2010
dimensions dimensions
0.125 L 0.250 L 0.375 L 0.500 L
Largeur de la table b m 1.445 1.445 1.445 1.445
TABLEAU. III.59
Limite d'élasticité garantie d'acier ps = fpeg MPa 1 573.00 1 573.00 1 573.00 1 573.00
Contrainte ultime du béton,fbu = 0.85 fcj / (φ γb) MPa 19.83 19.83 19.83 19.83
Combinaison ultime
Mu1 = 1.35Pm + 1.35G + 1.6Qr Mu1 1 819.35 3 101.40 3 4 031.00
768.35
Mu2 = 1.35Pm + 1.35G + 1.35Qrp Mu2 2 216.70 3 742.20 4 4 923.45
642.65
Mu3 = 1.35Pm + 1.35G + 1.35∆φ Mu3 939.60 1 647.00 2 2 208.60
080.35
Mu: Max ( Mu1, Mu2, Mu3 ) Mu 2 216.70 3 742.20 4 4 923.45
642.65
TABLEAU III.60
ANNEXES 2010
Diamètre d'une seule barre AS1 mm² 201.06 201.06 201.06 201.06
TABLEAU III.62
ANNEXES 2010
Résistance à la compression du béton :fcj [kPa] 35 000 35 000 35 000 35 000 35 000
Coefficient partiel du béton : γb 1.50 1.50 1.50 1.50 1.50
TABLEAU III.64
TABLEAU III.66
ANNEXES 2010
Coefficient partiel
: γs 1.15 1.15 1.15 1.15 1.15
d'acier
Limite élastique maximum d'acier :fe [KPa] 500 000 500 000 500 000 500 000 500 000
Tension admissible du béton
= 600 + 0.06fcj
: ft [KPa] 2 700 2 700 2 700 2 700 2 700
Espacement
630 790 557 644 1 188
St = fe At / [(tu - ft/3) (tan bu )( bo gs )] [mm]
TABLEAU III.67
250 000 250 000 250 000 250 000 250 000
Limite élastique maximum d'acier fe [KPa]
Tension admissible du béton 1 860 1 860 1 860 1 860 1 860
= 600 + 0.06 (0.60fcj)
ft [KPa]
TABLEAU III.69
Espacement maximum :
a.
=min(0.8d ;40cm) [mm] 400 400 400 400 400
St1
b. 2 138 2 138 1 069 785 785
= At .fe/0.4 bo [mm]
St2
Stmax = min (St1, St2, St3) [mm] 540 540 540 540 540
TABLEAU III.70
ANNEXES 2010
Armature de
4-ø14 @ 125 4-ø14 @ 125 2-ø14 @ 125 2-ø12 @ 150 2-ø12 @ 150
cisaillement finale
Diamètre [mm] 14 14 14 12 12
TABLEAU.III :71
Fig.III.7
2.8.2. COMPOSANTE ASCENDENTE :
2.8.2.1. CONTRAINTE SOUS FLECTION :
Chargement Contraintes sous flexion
0.125 L 0.250 L 0.375 L 0.500 L
M = MG3 + MG4 - E3 Kn.m -496,00 -830,00 -1 061,00 - 1 146,00
+ M/Sts' Au dessus de la dalle kPa -1 454,49 -2 421,82 -3 077,32 -3 323,85
+ M/St' kPa -881,75 -1 474,87 -1 883,17 -2 034,04
- M/Sb' kPa 2841,12 4680,29 5878,79 6349,76
fts7b = fts6+ M /Sts' Au dessus de la dalle kPa -1,194 -1,992 -2,413 -2,670
ft7b = ft6+ M /St' MPa 0,786 1,830 1,961 2,190
Tension admissible en combinaison de MPa
-3,350 -3,350 -3,350 -3,350
chargement sismique
si < Admissible, sinon x MPa
fb7b = fb6 - M /Sb' 9,147 12,517 16,036 16,120
Contrainte admissible 0.6 fc28 MPa
21 21 21 21
si < Admissible, sinon x MPa
TABLEAU III.73
ANNEXES 2010
Fig.III.8
ANNEXES 2010
K= [105 -105 0
-105 315 -210
0 -210 525];
M= [0.175 0 0
0 0.263 0
0 0 0.350];
LES RESULTATS:
PULSATIONS =
14.5169 31.0411 46.0807
PERIODES =
0.4326 0.2023 0.1363
MODESPROPRE =
1.0000 1.0000 1.0000
0.6488 -0.6059 -2.5390
0.3019 -0.6777 2.4436
MASSEGENERALISE =
0.3176 0.4323 3.9605
FACTEURDECONTRIBUTIONMODAL =
1.4210 -0.5125 0.0915
PARTICIPATIONMASSIQUE =
81.3806 14.4089 4.2106
ANNEXES 2010
REMARQUE :
Pour se confirmer de ces résultats vous pouvez faire un calcule rapide à
la main, ou bien voir l’exemple dans le livre de la dynamique des
structure (ELEMENTS DE GENIE PARASISMIQUE ET DE CALCUL
DYNAMIQUE DES STRUCTURES. Par ANDRE FILIATRAULT) (page 207).
REFERENCES
BIBLIOGRAPHIQUES
1. REGLES PARASISMIQUES APPLICABLES AU DOMAINE DES OUVRAGES
D’ART RPOA 2008.
2. REGLES DEFINISSANT LES CHARGES A APLLIQUER POUR LE CALCUL ET LES
EPREUVES DES PONTS ROUTES RCPR.