Opt-16 C13
Opt-16 C13
Opt-16 C13
13
Plutôt que de décrire la maison du prochain millénaire, nous présentons
dans ce chapitre un projet exemplaire regroupant un grand nombre de
fonctions innovantes que nous pouvons réaliser aujourd’hui dans un pro-
jet de construction ou de rénovation. Il s’agit de la réhabilitation de la
Maison A, située à Paris, dans le XIVe arrondissement.
L’une des ambitions de ce projet était de vérifier qu’une œuvre architec-
turale forte pouvait s’enrichir de l’introduction raisonnée de technologies
domotiques et multimédias. Dans ce contexte, la Maison A regroupe ce
qui se fait de mieux dans les domaines de l’éclairage, de la gestion d’éner-
gie, de la sécurité, de la communication, du numérique et de l’audiovi-
suel, sans toutefois tomber dans la surenchère technologique. Il ne s’agit
pas d’un projet expérimental, mais d’une maison destinée à être habitée.
C’est la raison pour laquelle une importance particulière a été apportée
aux usages et à la simplicité d’utilisation.
Ce projet a été géré selon la méthode décrite au chapitre 11, fondée sur
une analyse fonctionnelle des besoins, la rédaction d’un dossier descriptif
détaillé et une coordination rigoureuse des entreprises sélectionnées.
Nous verrons que le respect scrupuleux de ces différentes étapes a consti-
tué le facteur clé de sa réussite.
Il s’agit d’un projet exceptionnel, tant au niveau de l’architecture, que de
la gestion de l’énergie, du respect de l’environnement et de l’installation
domotique et multimédia. Il nous permet de mesurer jusqu’où il est pos-
sible d’aller dans ces domaines, de définir nos priorités et de toucher du
doigt les coûts réels de conception, d’acquisition et d’installation de la
plupart des matériels et fonctionnalités introduites dans l’ouvrage.
Même si les prix peuvent grandement varier d’une région à une autre ou
selon qu’il s’agit de neuf ou d’amélioration de l’habitat, il nous a semblé
utile de fournir un référentiel fiable.
Les époux M. et leurs deux enfants décident en 2002 de réhabiliter une
modeste demeure parisienne du xixe siècle de 120 m2. Ils rêvent d’une
maison plus spacieuse, plus lumineuse et orientée non plus vers la rue mais
vers le petit jardin situé derrière la maison, en bordure d’une impasse pit-
toresque. Leur rencontre avec l’architecte Jacques Moussafir en 2002 est
déterminante et aboutit, après deux ans d’études, à un concept exception-
nel, renforcé en 2004 par l’achat du studio voisin.
Studio B
Garage mitoyen à l’origine, le Studio B a été réhabilité en parallèle avec le projet Maison A. Sa conception a été soumise à
d’importantes contraintes de budget et de configuration des lieux, mais aussi à la nécessité de devoir évoluer d’une pièce attenante à
la Maison A dans un premier temps à un studio totalement indépendant à moyen terme sans le moindre recâblage. Tous les
équipements du studio, comme le tableau électrique, le coffret de communication, l’interphone ou la chaudière, sont distincts, tout en
communiquant avec les infrastructures de la Maison A pour, par exemple, partager la connexion Internet, accueillir les visiteurs ou
centraliser les fonctions d’éclairage et de chauffage selon des scénarios « je sors » ou « je me couche ». Cette souplesse a été obtenue
par des infrastructures VDI (voix, données, images) et bus de commande.
Pour des raisons budgétaires, seules les fenêtres de toit Velux, motorisées et munies de détecteurs de pluie, fonctionnent en IO
Homecontrol, protocole incompatible avec Konnex, et sont gérées indépendamment (voir figure 13.1). Logement économique, le
Studio B bénéficie néanmoins d’une infrastructure domotique et multimédia évolutive, ainsi que d’une isolation thermique de qualité et
d’une chaudière à condensation. Pour rendre le studio complètement indépendant, il suffira, le moment venu, de souscrire de
nouveaux abonnements d’électricité, de gaz, de téléphone et d’accès Internet et de reprogrammer l’interphone et les commandes
d’éclairage.
Ce projet illustre parfaitement, malgré son échelle modeste, les bénéfices apportés par la domotique et les réseaux VDI et démontre
qu’il est possible d’intégrer des fonctions innovantes, même quand les contraintes budgétaires sont importantes.
bordé par deux façades vitrées, l’autre au sous-sol pour la chambre princi-
pale ouverte sur le jardin intérieur. Les caves voûtées d’origine sont idéales
pour y aménager une salle multimédia et les pièces techniques. La cuisine
est au rez-de-chaussée. Les deux chambres du premier étage sont surmon-
tées d’un bureau créé par surélévation de la toiture. Les deux pentes du toit
ont été inversées par l’architecte (voir figure 13.2).
328
329
330
Étude de cas
avec beaucoup d’intérêt la proposition de sonoriser chacune des pièces de la
maison. Enfin, priorité est donnée à la facilité d’utilisation et à la possibi-
lité d’être autonome dans la programmation des fonctions principales,
comme les scénarios.
Après les deux premiers rendez-vous, une liste de fonctions est établie (voir
tableau 13.1). Certains de ces besoins sont à intégrer dès le début du projet
(phase 1) et d’autres à prendre en compte pour faciliter leur mise en place
ultérieure (phase 2).
Commande sans fil des stores et des éclairages dans certaines zones (baies vitrées et portes �
de placard)
Éclairage sur prises de courant commandées dans le salon, les chambres et le bureau �
Centralisation Scénario « départ de la maison », avec centralisation des stores, des éclairages, de l’alarme, �
du chauffage et de la VMC
331
Transmission téléphonique �
Centrale de télésurveillance �
Audiovisuel Distribution de la TV, de la TNT et du DVD dans toutes les pièces principales �
Diffusion de la radio, de l’iPod et du Media Center dans toutes les pièces principales �
Informatique Réseau informatique pour partager l’Internet haut débit, l’imprimante, les fichiers �
et téléphonie multimédias, etc.
Schéma de principe
Le projet domotique
Figure 13.3
Schéma de principe de l’installation Maison A. Les équipements à commander sont représentés en haut de la figure. Ils doivent pouvoir être centralisés et pilotés
par bouton-poussoir, télécommande, téléphone ou écran tactile, sans toutefois être complètement dépendants d’un ordinateur central (source DomoConsulting)
333
Plans d’implantation
335
Étude de cas
15/10/07 11:24:44
Tebis, appareillage, sécurité), Theben (station météo), Siemens (télépho-
nie), Siedle (vidéophonie), Russound (diffusion sonore), Sairbere (tableau de
bord), Helios (VMC et puits canadien) et Vity (écrans tactiles, vidéosur-
veillance). La figure 13.5 illustre l’installation domotique Konnex de la
Maison A.
Le projet domotique
Figure 13.5
Schéma de principe de l’installation domotique de la Maison A. Tous les circuits alimentant les éclairages, prises ou stores sont raccordés directement
au tableau électrique, de même que l’alarme ou la ventilation. Les trente-huit points de commandes, boutons, écrans tactiles et détecteurs sont reliés
entre eux par le bus et programmés selon les besoins
336
Étude de cas
en conséquence, notamment pour le passage des circuits d’éclairage, l’ali-
mentation des stores et le raccordement sur le bus de tous les points de
commande et de contrôle (détecteurs, sondes, thermostats, etc.). Compte
tenu des contraintes de la réhabilitation, l’installateur souhaite disposer
d’un tableau électrique au sous-sol et d’un autre au rez-de-chaussée (voir
figure 13.6). Le conduit de cheminée qui n’est plus utilisé constitue une
colonne technique idéale pour distribuer tous les raccordements présents et
futurs entre ces deux tableaux électriques, le coffret de communication et
les quatre niveaux de la maison.
Infrastructure VDI. Le choix se porte sur la solution VDI de Casanova,
avec coffret de communication et distribution des fonctions sur vingt-huit
prises RJ-45 (voir figure 13.7).
Figure 13.6
L’électricien Ramzi Nammour devant le tableau
électrique principal situé au rez-de-chaussée de
la maison. On distingue l’arrivée des circuits
issus des étages, le raccordement sur bornier
facilitant le câblage des modules domotiques
(source Ghassan G. Nammour)
337
Même s’il n’est pas envisagé de réception TV par satellite, une prise
coaxiale est prévue dans la salle multimédia ainsi que dans le bureau, les
solutions de diffusion satellite en grade 3 n’étant pas encore commerciali-
Le projet domotique
sées. La TNT est distribuée par le réseau VDI afin d’alimenter les écrans de
télévision, l’écran intégré dans le miroir de la salle de bains, le Media
Center et les ordinateurs. Les caméras, l’écran tactile de la cuisine, la base
DECT, l’InternetBox, le répéteur Wi-Fi et les commandes de diffusion
sonores sont toutes raccordées au réseau VDI au niveau du coffret de com-
munication illustré à la figure 13.8.
338
Étude de cas
cité énergétique commence par le travail d’un ther-
micien. Son rôle est d’établir un état des lieux
thermique du bâtiment afin d’en appréhender les
caractéristiques existantes, de déterminer le poten-
tiel des apports solaires et de faire des recomman-
dations pour l’améliorer. Le tout est confronté aux
besoins des futurs occupants et à leurs exigences en
matière de confort d’été et de chauffage d’hiver. La
maison étant située dans le centre de Paris et les
dimensions du jardin étant limitées, les solutions
de type géothermie ou aérothermie ne sont pas
envisageables. Tous ces éléments, renforcés par une
analyse énergétique comparant les coûts d’investis-
sement, les frais de fonctionnement et le niveau de
rejet CO2 de différents systèmes de chauffage,
aboutissent au choix d’une solution fondée sur une
chaudière à condensation au gaz naturel et un poêle
à bois dans le salon.
La chaudière à condensation illustrée à la figure 13.9
permet d’atteindre des rendements supérieurs à
100 % et de générer à elle seule une économie
d’énergie de l’ordre de 20 %. Associée à un système
de régulation, elle permet d’adapter la température
des planchers chauffants et des radiateurs aux
besoins des différentes zones. Elle assure également
le complément aux capteurs solaires pour la pro-
duction d’eau chaude. Le tableau de commande de
la chaudière sert d’interface entre les sources (chau-
dière, capteurs solaires, etc.) et les besoins (plan-
chers chauffants, radiateurs, sèche-serviette,
douches, bains, cuisines, etc.).
Figure 13.8
Coffret de communication en cours
de raccordement (source Ghassan
Chaudière à condensation G. Nammour)
339
Figure 13.10
Capteurs solaires posés sur le toit de la maison.
Leur ressemblance avec des fenêtres de toit a
facilité l’obtention des autorisations
administratives (© P. Kozlowski)
340
Étude de cas
inépuisable et propre puisqu’elle limite les rejets de CO2. Le solaire couvre
environ 60 % des besoins de la famille.
Traitement de l’air. La centrale de VMC double flux illustrée à la
figure 13.11 est équipée d’un récupérateur d’énergie et d’un système à huit
vitesses. Ce système participe à l’efficacité de l’installation, d’autant qu’il est
directement pilotable par l’installation domotique Konnex selon plusieurs
modes : programmation horaire, température de consigne, asservissement au
taux d’humidité ou de CO2, déclenchement sur détection de présence, déro-
gation manuelle par télécommande déportée ou sur l’écran tactile.
Puits canadien. Un puits canadien constitué de quatre tubes de 25 m de
longueur et de 11 cm de diamètre permet de réduire significativement la Figure 13.11
température dans la maison les jours de canicule et de l’augmenter l’hiver Centrale double flux : l’échangeur thermique
situé au centre permet de récupérer la chaleur
pour une consommation électrique dérisoire. Il est généralement recom- au lieu de l’évacuer vers l’extérieur et ainsi
mandé d’utiliser des tubes de diamètre plus grand, et donc moins longs, d’optimiser les performances énergétiques de la
maison. Un système de filtrage assure la qualité
mais la faible surface du jardin a ici imposé ce choix. L’entrée d’air est située de l’air insufflé dans les pièces (source Helios)
dans le jardin, comme le montre la figure 13.12.
Selon la température extérieure, l’installation est capable de déterminer s’il
est préférable d’insuffler dans le circuit de VMC de l’air provenant de
l’extérieur ou du puits canadien. Une commande sur le logiciel de supervi- Figure 13.12
La borne de prise d’air du puits canadien est
sion permet d’effectuer une dérogation à ce fonctionnement automatique. esthétique, inoxydable et équipée d’un filtre à
poche très efficace pour isoler l’intérieur de la
maison de la pollution (© P. Kozlowski)
341
est régulé par la domotique grâce à différents capteurs et complété par le tableau de bord de la cuisine, qui permet de piloter l’installation et de connaître
les consommations énergétiques en instantané ou sous forme d’historique.
Étude de cas
cuves de 750 litres et une pompe installés au sous-sol alimentent les chasses
d’eau et le système d’arrosage du jardin. Un capteur de niveau permet à
tout moment de visualiser sur les écrans de la maison la quantité d’eau
disponible.
Figure 13.14
Cuves de récupération d’eau de pluie et pompe alimentant les chasses d’eau et l’arrosage du jardin (© P. Kozlowski)
La détection des tentatives d’intrusion est assurée par des capteurs volumé-
triques, des détecteurs de bris de glace et des détecteurs d’ouverture. Une
sirène intérieure complète ce dispositif. La centrale d’alarme radio est éga-
lement reliée par bus à l’ensemble de l’installation domotique, ce qui per-
met l’échange d’informations entre les deux systèmes. Il est ainsi possible
d’utiliser l’écran tactile de la centrale pour les mises en et hors service totale
ou partielle de l’alarme, de visualiser les alarmes techniques, mais aussi de
piloter par l’intermédiaire de cette interface tous les équipements électri-
ques de la maison ou d’utiliser les détecteurs volumétriques pour comman-
der l’éclairage d’un couloir quand la maison n’est pas sous alarme. Le
dispositif propose également des fonctions de messagerie permettant aux
membres de la famille de se laisser des messages vocaux. La figure 13.16
récapitule les différents équipements liés au système anti-intrusion.
Vidéosurveillance. Le système est constitué de trois caméras intérieures
(cuisine, salon, sous-sol) et une extérieure, celle du vidéophone, qui est
compatible avec les systèmes de vidéosurveillance du marché. L’infrastructure
VDI décrite précédemment permet de simplifier la mise en œuvre du sys-
tème et offrira à l’avenir la possibilité d’ajouter ou de déplacer des caméras.
L’offre de caméra IP étant aujourd’hui restreinte, notamment en termes
Le projet domotique
Figure 13.18
Système d’accueil des visiteurs. La platine de rue est encastrée en façade et est constituée d’un bouton-poussoir, d’un micro, d’un haut-parleur, d’une caméra
couleur orientable et d’un lecteur d’empreintes digitales capable de gérer jusqu’à cent utilisateurs. Le poste intérieur de la cuisine se compose
d’un combiné fixe, d’une sonnerie, de boutons de commande et d’un moniteur vidéo couleur. À droite, le poste audio du deuxième étage (© P. Kozlowski)
Étude de cas
d’un poste intérieur audio au deuxième étage.
Le vidéophone est raccordé au système téléphonique et au réseau TV, ce qui
assure la réception des visiteurs dans les meilleures conditions de sécurité
et depuis toutes les pièces de la maison.
La figure 13.19 donne une vue synthétique des systèmes de sécurité, de
vidéosurveillance et de contrôle d’accès de la maison.
Figure 13.19
Schéma de principe des systèmes de vidéosurveillance et de contrôle d’accès. Un système de vidéophonie et de contrôle d’accès des visiteurs complète le niveau
de sécurité de la maison Les quatre caméras sont consultables sur tous les écrans en local et à distance. La platine de rue communique avec le vidéophone de la
cuisine, le combiné audio situé à l’étage ainsi qu’avec tous les téléphones de la maison
347
Figure 13.20
Commandes sans fil collées sur les parois ne permettant pas le moindre câblage (© P. Kozlowski)
348
Figure 13.22
Schéma de principe de l’installation audiovisuelle (source DomoConsulting)
Figure 13.23
Écran tactile situé à l’entrée du salon
permettant de commander toutes les sources
audio et vidéo de la maison (© P. Kozlowski)
349
Figure 13.24
Enceintes invisibles conçues pour diffuser le son
à travers une surface solide pouvant être peinte
ou recouverte de tissus (source Pilote Films)
Figure 13.27
Principales étapes de déroulement du projet
352
Le traçage des gaines de passage de câble est alors effectué, et les plans de
câblage sont validés par toutes les parties. Cela permet à l’électricien de
réaliser l’installation électrique de façon totalement autonome. Le rôle de
DomoConsulting se limite pendant cette période à coordonner, au côté de
l’architecte, les interventions des entreprises concernées. Certaines fini-
tions, comme la pose des stores, la fabrication des meubles audiovisuels,
l’intégration du téléviseur dans le miroir de la salle de bains ou l’intégra-
tion de l’écran d’ordinateur motorisé dans le bureau de la chambre princi-
pale nécessitent une synchronisation entre plusieurs corps d’état (voir
figure 13.29).
Compte tenu du nombre important d’équipements, la phase de mise en
service est particulièrement délicate. L’électricien, véritable intégrateur,
assure l’essentiel du paramétrage domotique, de la programmation des
écrans et de la mise en œuvre de l’installation audiovisuelle sur la base du
cahier des charges. Certains fabricants assurent ponctuellement le support
technique et DomoConsulting sert d’interface dans le dialogue, la mise au
point et la prise en main par les différents membres de la famille.
353
354
Étude de cas
avec les spécifications du cahier des charges.
Il est important de noter que la programmation finale des scénarios n’est
effectuée qu’après l’emménagement, de façon à optimiser leur fonctionne-
ment en fonction de l’utilisation réelle de la maison. La flexibilité du sys-
tème permet de déplacer quelques points de commande et de modifier
l’affectation de certaines prises VDI.
La figure 13.30 montre l’écran tactile de la cuisine permettant de contrôler
l’ensemble de l’installation.
La mise en place de tous ces systèmes n’a pas d’impact sur la date de livrai-
son de la maison. L’installation électrique prend évidemment plus de temps
que pour une maison traditionnelle, mais, tout comme la phase de mise en
service et de paramétrage, elle ne perturbe ni le planning ni l’intervention
des autres corps d’état.
Figure 13.30
L’écran tactile de la cuisine donne accès à la centralisation des commandes, à la supervision de l’installation ainsi qu’à la visualisation des sources vidéo
et des caméras et permet la commande de la diffusion sonore et l’accès à Internet (© P. Kozlowski)
355
356
Étude de cas
Projet initial Installation communicante Équipements optionnels
Terrassement 10 000
Maçonnerie/élévation 140 000
Charpente 25 000
Couverture 20 000
Menuiseries/ouvertures 50 000
Plomberie 20 000
Électricité 21 000 5 100 Éclairage Konnex/tableau domotique 240 Variation d’éclairage
Réseau VDI 1 200 1 400 Coffret de communication munication/RJ45 500 Actif TV
Appareillage électrique 4 000 1 100 Kallysta Konnex/détecteurs 340 Boutons IR/radio
Luminaires 12 000
Automatismes 2 300 800 Centralisation stores KNX 1 200 Lift écran
Chauffage 25 000 1 100 Station météo/régulation 640 Capteurs T°
Peinture intérieure 18 000
Cuisine 30 000
Poêle à bois 3 000
Jardin 5 000 400 Gestion arrosage
Sécurité 1 400 600 Centrale Konnex et écran tactile 430 Détecteurs de fumée
Contrôle d’accès 1 100 Code/lecteur biométrique
Accueil des visiteurs 1 200 1 500 Vidéophone Konnex modulaire 1 400 Renvoi vers téléphone et TV
Vidéosurveillance 200 Précâblage 900 Caméras/serveur
Escalier 12 000
Aspiration centralisée 3 000
VMC double flux 3 000 700 Interface Konnex
Puits canadien 2 500
Carrelage 5 000
Placards/dressing 3 000
Informatique 220 Switch 16 ports/Wi-Fi 900 UMPC
Diffusion sonore Précâblage/HP/claviers 5 500 Claviers/HP/centrale audio/tuner
Diffusion vidéo 200 Précâblage 3 000 Modulateur/centrale vidéo
Home cinéma 250 Précâblage Home Cinema 3 800 Plasma/système 5.1/DVD
Centralisation 300 Boutons scénarios 1 600 Passerelle résidentielle
Écran tactile 200 Précâblage 4 000 Écrans 3,8”, 7” et 15”
Programmation/paramétrage 1 500 Paramétrage Konnex 3 200 Intégration domotique/multimédia
Études architectes et BET 30 000
Étude multimédia/domotique 2 500 Conception 1 500 Suivi/Coordination
357
358