Cytosquelette QCM ED1 UAG-2014-2015 Sans Corrections

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UE2 La cellule et les tissus

PACES 2014-2015
ED1 Cours de MM Merched, Bloch et Simonnet

QCM 1 : Fractionnement tissulaire et cellulaire

A. Un homogénat est constitué d’une fraction pure d’un mélange cellulaire


B. Une suspension cellulaire est essentiellement constituée de cellules broyées
C. Un fragment cellulaire contient des cellules entières et des débris cellulaire
D. Le fractionnement tissulaire est possible par utilisation de méthodes de séparation
enzymatiques, préservant l’intégrité des cellules
E. Les méthodes d’homogénéisation brutales entrainent la disparition de la structure cellulaire,
mais peuvent préserver les structures subcellulaires

QCM 2 : Fractionnement tissulaire et cellulaire

A. Il est possible de séparer différentes populations cellulaires d’un mélange initial par
cytométrie de flux
B. Les critères de séparation des cellules par centrifugation sont la taille et la densité cellulaire
C. La chromatographie permet de séparer une population cellulaire d’un mélange cellulaire
initial en fonction de paramètres physiques, comme l’expression de protéines de surface
D. La séparation des cellules par sédimentation est très performante en termes de pureté finale
E. L’ultracentrifugation différentielle permet l’obtention de ribosomes

QCM 3 : Fractionnement tissulaire et cellulaire

Cette microphotographie a été obtenue par microscopie électronique


après plusieurs étapes d’ultracentrifugations différentielles d’une
suspension cellulaire initialement homogène.

A. Les structures visibles correspondent à des cellules individuelles


B. Toutes les structures correspondent au même organite
C. La tête de flèche pointe une mitochondrie
D. La flèche pointe un nucléole
E. Les structures sont entourées d’une enveloppe

QCM 4 : Chromatographie d’affinité

A. La chromatographie d’affinité cellulaire permet de sélectionner les cellules d’intérêt grâce à


la présence d’une molécule de surface spécifique d’un ligand donné
B. Un ligand spécifique est lié réversiblement à une matrice au travers de laquelle passe une
solution contenant les cellules à séparer
C. Au cours de la chromatographie d’affinité cellulaire, une suspension de cellules intactes est
utilisée
D. Au cours de la chromatographie d’affinité, la liaison protéine de surface/ligand doit être
réversible
E. Les ligands utilisés en chromatographie d’affinité peuvent être des lectines reconnues par
des sucres greffés sur des glycoprotéines de surface

QCM 5 : Cytométrie en flux

Ce graphique (dot plot) provient d’une analyse par cytométrie en


flux de cellules circulantes immunitaires

A. Il est possible de détecter par cytométrie en flux, des cellules grâce à leurs propriétés
physiques
B. Il est possible de détecter par cytométrie en flux, des cellules grâce à leurs propriétés
biologiques
C. Les fluorochromes utilisés en cytométrie en flux ne peuvent se positionner qu’à la surface
des cellules
D. Sur le graphique de gauche, ce sont les critères physiques qui permettent de visualiser les
différentes populations cellulaires
E. Sur le graphique de droite, ce sont les critères biologiques qui permettent de visualiser les
différentes populations cellulaires

QCM 6 : Cultures cellulaires

A. La culture cellulaire est un système d’étude in vivo


B. Les explants d’organes sont utilisés en culture pour maintenir la différenciation fonctionnelle
et morphologique des cellules constitutives de l’organe
C. Les cultures histiotypiques sont maintenues au sein du tissu de façon à rester dépendantes
du tissu d’origine
D. Les incubateurs utilisés en culture cellulaire ont une atmosphère déplétée en toxique pour
les cellules
E. La culture cellulaire ne permet le maintien in vitro que des cellules adhérentes

QCM 7 : Thérapie cellulaire

A. La thérapie cellulaire consiste à greffer des cellules à un patient pour traiter ou atténuer sa
maladie
B. La thérapie cellulaire n’utilise pas de cellules souches adultes
C. La thérapie cellulaire n’est possible que par la greffe de cellules circulantes pour le
traitement des leucémies, par exemple
D. La médecine régénératrice est actuellement utilisée en routine
En médecine régénératrice, des cellules souches sont prélevées chez le patient et
directement regreffées par greffes autologues

QCM 8 : Les biomembranes


A. Certains microorganismes ne possèdent pas de membrane
B. Toutes les biomembranes possèdent une bicouche phospholipidique
C. Le glycocalyx forme une couche riche en lipides complexes du côté externe de la membrane
plasmique
D. Des cellules cultivées sur un support solide peuvent être la source de biomembranes
intracellulaires ultra-pures après un choc osmotique
E. Toutes les biomembranes sont constituées des mêmes lipides et protéines

QCM 9 : Les biomembranes

A. Le plus souvent, c’est la structure secondaire feuillet bêta qui traverse les biomembranes
B. Plus une membrane est spécialisée, plus la diversité des protéines constitutives de cette
membrane est faible
C. La proportion des principaux constituants lipidiques d’une même biomembrane est identique
entre les deux feuillets lipidiques
D. La tête hydrophile des phospholipides peut porter une charge électrique
E. Les phospholipides et les sphingolipides font partie des lipides complexes, contrairement au
cholestérol

QCM 8 : Les biomembranes

A. La présence de queues hydrophobes contenant des phospholipides polyinsaturés induit une


augmentation de la fluidité membranaire
B. Le cholestérol limite la fluidité des membranes
C. Les lipides membranaires sont distribués de façon symétrique de part et d’autre de la
membrane plasmique
D. Les protéines sont aussi nombreuses du côté externe que du côté interne de la membrane
plasmique
E. Certaines protéines périphériques de la membrane plasmique peuvent acquérir un
groupement hydrophobe de façon post-traductionnelle

QCM 9 : Les biomembranes

A. Les phospholipides sont insérés de façon permanente dans un hémifeuillet donné d’une
biomembrane
B. Les protéines membranaires sont capables de se déplacer latéralement dans les
biomembranes
C. La fluidité membranaire est constante pour une biomembrane donnée
D. Les radeaux lipidiques peuvent être des zones de fixation privilégiée de certains récepteurs
membranaires
E. Les glucides membranaires sont exclusivement fixés sur les protéines membranaires par
glycosylation

QCM 9 : Les liaisons intercellulaires

A. Les cadhérines sont liées entre elles par des liaisons homophiles
B. Les cadhérines interviennent dans les liaisons cellule-matrice extracellulaire
C. Les sélectines n’appartiennent pas à la famille des CAMs (Cell Adhesion Molecules)
D. Les intégrines font partie de la famille des SAMs (Substrate Adhesion Molecules)
E. L’activation de cadhérines par un ligand extracellulaire spécifique peut se traduire par une
activation de la transcription dans le noyau
QCM 10 : Les transports membranaires

A. Les perméases sont des protéines traversant la membrane plasmique spécialisées dans le
transfert non spécifique de molécules de petite taille
B. La pompe à protons fournit le gradient électrochimique pour faciliter le cotransport de
certains substrats nutritifs via un mécanisme de transport actif secondaire
C. L’ATPase à Na+ et K+ est électrogénique car elle permet de diminuer les charges positives du
côté cytoplasmique de la membrane
D. Certaines protéines de transport peuvent être sélectives pour deux molécules différentes
E. Les ions qui sont des molécules de petite taille traversent librement les biomembranes

QCM 11 : Les transports membranaires

A. Certains antibiotiques sont des ionophores qui bloquent le passage d’ions au travers de la
membrane plasmique de bactéries cibles
B. Chez l’homme, il n’existe pas d’ionophore endogène
C. Un des récepteurs de l’acétylcholine est un canal potassique qui s’ouvre uniquement en
présence de l’acétylcholine
D. Les cellules rénales expriment des aquaporines impliquées dans la réabsorption de l’eau par
transport actif
E. La pompe NA+/K+ ATPase fait sortir 3 ions sodium de la cellule et fait entrer deux ions
potassium

QCM 12 : Fonction de la membrane plasmique

Cinétique de passage de solutés à l’intérieur de la cellule; C=


C1-C2 (la concentration des solutés à l’extérieur de la cellule
(C1) moins la concentration à l’intérieur de la cellule (C2), elle
est négative quand C2>C1)

A. Les transports actifs et facilités impliquent des protéines membranaires spécifiques et


suivent des cinétiques avec un phénomène de saturation lié à la limitation des capacités de
ces protéines
B. La loi de Fick indique qu’une substance diffuse selon son gradient de concentration c.à.d. de
l’endroit où elle est le moins concentrée vers l’endroit où elle est le plus concentrée
C. La cinétique de passage de NO2 qui diffuse librement à l’intérieur de la cellule est illustrée
par la courbe C
D. La diffusion facilitée du lactose dans la cellule suit la cinétique illustrée par la courbe A
E. La pompe à phosphate transporte activement les ions dans la cellule suivant la cinétique
illustrée par la courbe B
QCM 13 : Le système endomembranaire

A. Sur la microphotographie ci-contre, on ne voit pas de 2


membrane plasmique
B. La flèche 1 pointe une vésicule d’endocytose
C. La flèche 2 pointe un grain de sécrétion constitutive
D. La flèche 3 pointe du réticulum endoplasmique 1
E. Les structures notées « CV » pourraient être des vésicules
3
de sécrétion constitutives

QCM 14 : Les réticulums endoplasmiques

A. L’abondance des réticulums endoplasmiques varie en fonction des types cellulaires, mais
également en fonction de l’activité métabolique d’une cellule donnée
B. Le réticulum endoplasmique lisse participe à la synthèse des protéines
C. Le réticulum endoplasmique lisse participe au stockage et à la libération du calcium
intracytosolique
D. Le réticulum endoplasmique lisse participe à la synthèse des phospholipides membranaires
E. Les protéines synthétisées au niveau du réticulum endoplasmique granuleux sont transférées
après greffe d’une molécule de cholestérol permettant le transfert de la protéine dans la
citerne du réticulum

QCM 15 : Biosynthèses et dégradations dans la cellule


A. Le passage d’une protéine synthétisée dans les cavités du réticulum endoplasmique granuleux
se fait par diffusion simple au niveau des endomembranes. Durant ce passage, la protéine
acquiert son peptide signal
B. Le translocon reconnait un ARN ribosomique de la grande sous-unité du ribosome permettant
son ancrage au niveau de la membrane su réticulum endoplasmique
C. Les protéines qui sont synthétisées par les polysomes libres seront systématiquement
exportées
D. Les substrats dégradés dans les lysosomes peuvent venir de l’intérieur ou de l’extérieur de la
cellule
E. Les protéines transitant dans le réticulum endoplasmique granuleux peuvent subir des
déglycosylations

QCM 16 : Trafic et métabolismes intracellulaires


A. Le trans Golgi network (TGN) correspond à un ensemble de vésicules situées au niveau de la
face de formation de l’appareil de Golgi
B. Les citernes de l’appareil de Golgi sont bordées sur leur face externe par des polyribosomes
C. Seules les cellules qui sécrètent des protéines ont un appareil de Golgi
D. Le protéasome a pour fonction la dégradation de protéines à pH 7, après identification par des
molécules d’ubiquitine
E. L’endocytose des LDL constitue un des modes de fourniture de cholestérol à la cellule. Elle
conduit à la dégradation de ces particules à l’intérieur du système lysosomal

QCM 17 : Lysosomes
Sur cette photo, la flèche montre un lysosome contenant une mitochondrie observé en microscopie
électronique.

A. Cette image provient d’une cellule anormale car ce lysosome contient une mitochondrie
B. La membrane limitant ce lysosome provient de la membrane plasmique
C. Dans ce lysosome, le pH n’est pas acide; on ne peut donc y trouver des hydrolases actives
D. La membrane de ce lysosome contient une pompe à protons activée
E. Sur ce document, on ne distingue pas de citernes de l’appareil de Golgi

QCM 18 : Appareil de Golgi


A. Les hydrolases acides acquièrent un récepteur au mannose phosphorylé au cours de leur
passage dans l’appareil de Golgi
B. Dans l’appareil de Golgi, les hydrolases acides sont inactives
C. L’appareil de Golgi ne réalise des glycosylations que sur des substrats protéiques
D. Les vésicules de sécrétion participent à la synthèse de la membrane plasmique
E. C’est dans l’appareil de Golgi que sont synthétisées les enzymes nécessaires au
fonctionnement du protéasome

QCM 19 : Synthèses et dégradation


A. Les clivages protéiques réalisés dans l’appareil de Golgi permettent la dégradation des
protéines
B. Les hydrolases acides ne sont retrouvées que dans des vésicules issues de l’appareil de Golgi
C. Les vésicules contenant les substrats lysosomaux proviennent de la face trans de l’appareil de
Golgi
D. Le protéasome est un complexe de dégradation de protéines non compartimenté
E. L’acrosome est un lysosome géant du spermatozoïde qui reste dans la cellule sous forme de
corps résiduel

QCM 20 : Le système lysosomal


A. Les récepteurs aux LDLs sont dégradés dans le lysosome tardif, en même temps que la
particule LDL
B. Les récepteurs au mannose 6 phosphate sont dégradé dès que le prélysosome fusionne avec
une vésicule contenant un substrat
C. Certains substrats peuvent s’accumuler dans les lysosomes par absence des hydrolases qui
normalement les dégradent
D. Certains substrats provoquent une toxicité cellulaire par destruction des lysosomes et
dispersion des hydrolases dans le cytoplasme
E. Les maladies lysosomales sont des maladies génétiques conduisant à l’absence de produit de
dégradation

QCM 21 : Codage et émission du signal


A. La sécrétion d’une hormone hydrophile comme le cortisol se fait par exocytose vésiculaire grâce
à la présence de V-SNARES.
B. La sécrétion contrôlée nécessite la présente d’un signal qui est décodé après l’accolement des
vésicules de sécrétion à la membrane plasmique.
C. L’endocytose permet de contrôler la surface cellulaire et de recycler le matériel vésiculaire
D. Certains ligands transmembranaires sont libérés par protéolyse contrôlée
E. La dégradation d’un ligand est un système de rétrocontrôle de la communication cellulaire

QCM 22 : Codage et émission du signal

A. La production de la dopamine fait intervenir l’appareil de Golgi.


B.La courbe verte du diagramme montre une sécrétion normale de dopamine (DA) dans la fente
synaptique
C. La concentration de dopamine est régulée par recapture de la dopamine dans le neurone pré-
synaptique
D. La cocaïne augmente la concentration de la dopamine dans la fente synaptique
E. La cocaïne est un antagoniste de la dopamine et se fixe plus longuement sur le récepteur de la
dopamine que la dopamine elle-même

QCM 23 : La liaison ligand-récepteur


Soit une hormone (H) ayant un KD de 1nM pour son récepteur (R) :
A. A la concentration de 0,5 nM de H, il y aura la moitié des récepteurs R occupés par H.
B.A la concentration de 2 nM, il y aura le double de molécules de H fixée sur les récepteurs R par
rapport à la concentration de H à 1nM.
C. Un antagoniste (A) ayant un KD de 1,5 nM pour R a une moins bonne affinité que H pour ce
récepteur.
D. Un récepteur fixera obligatoirement toujours plus de molécules d’un agoniste que d’un
antagoniste, même si ce dernier a la même affinité pour R.
E. La présence d’un antagoniste modifie l’affinité de H pour son récepteur.

QCM 24 : La liaison ligand-récepteur

Un récepteur glutamatergique de type NMDA, voisin d’un récepteur AMPA sur une membrane
neuronale, est soumis à la stimulation d’un agoniste A de synthèse (médicament) ayant une affinité de
0.1µM pour ce récepteur NMDA.

A. La réponse induite par la stimulation du récepteur NMDA par A est invariante, quelle que soit
l’état de polarité de la membrane
B.La réponse induite par A est facilitée par mise en jeu du récepteur voisin de type AMPA dont la
stimulation entraîne une dépolarisation de la membrane du neurone
C. La stimulation du récepteur NMDA n’est efficace qu’en présence de hautes quantités de
magnésium dans l’environnement de ce récepteur
D. La stimulation du récepteur AMPA améliore l’affinité du récepteur NMDA pour le ligand A
E. Un antagoniste de synthèse AT du récepteur NMDA, pour lequel ce récepteur a une affinité de
0.5µM, bloque au moins la moitié de l’effet de A lorsque A et AT sont présents tous les deux à
la même concentration dans la fente synaptique

QCM 25 : Les messagers intracellulaires


A. Les messagers intracellulaires sont toujours de nature hydrophile, car ils sont synthétisés
uniquement à partir de molécules hydrophiles intracellulaires
B. La concentration intracellulaire en AMP cyclique est contrôlée uniquement par le niveau
d’activité des Protéines Gs et Gi
C. L’activation de la Protéine-kinase C intracellulaire est dépendante de seconds messagers de
nature hydrophile et hydrophobe
D. Le diacylglycérol (DAG) est l’un des deux produits de la dégradation d’un phospholipide
membranaire, le second étant un composé hydrophile
E. Par le biais de l’activation de la Protéine kinase C, le diacylglycérol hydrophobe induit
indirectement des processus de phosphorylation de molécules hydrophiles intracellulaires

QCM 26 Les messagers intracellulaires


A. Le calcium est présent à plus haute concentration dans le milieu intracellulaire que dans le
milieu extracellulaire en raison de l’existence de canaux calciques dans la membrane basale
B. Le calcium est présent en plus haute concentration dans la lumière du reticulum
endoplasmique que dans le cytosol
C. Le récepteur canal de la ryanodine, présent dans la membrane du réticulum, est sensible aux
augmentations de la concentration intracellulaire en calcium conduisant à son ouverture
D. Il existe des calcium-ATPases dans la membrane plasmique permettant de rejeter le calcium
contre son gradient vers la lumière du reticulum endoplasmique
E. Un excès de calcium peut être réduit par l’action de phosphatases intracellulaires

QCM27 : Le rétro-contrôle
A. L’activité des récepteurs adrénergiques est contrôlée en partie par le niveau de stimulation de
ces récepteurs eux-mêmes
B. L’activité des récepteurs adrénergiques est contrôlée en partie par le niveau de stimulation de
récepteurs différents des récepteurs adrénergiques
C. L’internalisation des récepteurs est une des formes de désensibilisation
D. Au niveau des synapses neuronales, le rétro-contrôle positif ou négatif de la communication
cellulaire n’est supporté que par des mécanismes présents au niveau présynaptique
E. La potentialisation à long terme (LTP) est une forme de mémoire cellulaire au niveau neuronal

QCM 28 : Interactions entre systèmes


A. La sécrétion de prolactine par les cellules lactotropes de l’anté-hypophyse est sous le contrôle
de récepteurs couplés à des protéines Gi, Gs et Gq
B. La TRH (tyréo-stimulating hormone) inhibe la sécrétion de prolactine par les cellules
lactotropes
C. La synthèse et la sécrétion d’ocytocine par les cellules de l’endomètre est initiée par
l’augmentation progressive de la concentration en oestrogènes chez la femelle durant la
gestation
D. L’apparition brutale de jonctions communicantes au sein de l’endomètre favorise la
synchronisation de la contraction de l’ensemble des cellules du myomètre
E. Une perfusion continue de LH-RH permet d’induire la synthèse des androgènes dans certaines
formes de stérilité chez l’homme
QCM29 : Pathologie de la communication et pharmacologie
A. Le gène codant pour le récepteur de la TSH peut subir une mutation entraînant une
activation permanente de ce récepteur se traduisant par une surproduction d’AMPc
B. La perte d’activité GTPasique d’une protéine Gs couplée à une adénylate cyclase a pour
conséquence un manque de production d’AMPc dans la cellule
C. Chez l’homme, le traitement au long cours par un neuroleptique, antagoniste des
récepteurs dopaminergiques, conduit à un excès d’hormone lactotrope
D. Une production excessive d’AMPc peut être due à une désensibilisation d’un récepteur
couplé à une Protéine Gi
E. Une mutation activatrice du récepteur au cortisol de l’hypothalamus entraine une
diminution de la sécrétion du cortisol par les cellules corticosurrénales

QCM 30: Pathologie de la communication cellulaire


Une hormone (H) est capable de stimuler spécifiquement un récepteur (R) à 7 domaines
transmembranaires entraînant l’activation d’une adénylate cyclase via la mise en jeu d’une Protéine
Gs. Il est observé, chez un certain nombre d’individus, une mutation du récepteur R se traduisant par
une activation spontanée et permanente de ce récepteur, même en l’absence de stimulation par H.
Les propositions suivantes sont-elles justes?

A. Il est observé une activation excessive de la Protéine kinase A intracellulaire


B. L’activité GTPasique de la sous-unité α de la Protéine G est inhibée
C. On observe un excès de phosphorylation de protéines intracellulaires
D. Un excès de calcium est libéré par réticulum endoplasmique
E. Une hypertrophie cellulaire peut être observée

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