TP1 Poutre - Portique
TP1 Poutre - Portique
TP1 Poutre - Portique
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1. INTRODUCTION
La méthode des élements finis, est une manière numérique de résoudre plusieurs
problèmes d’ingénierie et qui permet de déterminer une solution approchée sur un
domaine spatial. En prenant ça en compte, il est impératif de maitriser cette méthode
de calcul pour avoir un outil puissante à l’heure de faire le calcul de nos structures, soit
dans le cadre de la recherche ou de l’industrie, avec des codes tapes par nous-mêmes ou
avec des logiciels crées seulement pour ce but.
Le code de calcul est nourri avec les fichiers qui contiennent les propriétés mécaniques
et géométriques du problème traité, nommées de la façon suivant :
Information qui
Nom du Fichier Extension
contient le fichier
Tableau des connectivités ElementsN .csv
Coordonnés principales de
NodesN .csv
la structure
Forces imposées F_imp .csv
Déplacements imposées U_imp .csv
Propriétés de la Section MatGeo .csv
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Figure 1. Poutre encastrée à son extrémité et soumis à une charge ponctuelle
Source : https://campus.mines-douai.fr/
Les données d’entrée pour commencer la résolution de ce problème sont les suivantes :
DATA VALUE
Longueur L (m) 1
Module de Young (Pa) 2,07 x 1011
Force Imposée (N) -300
Section 0,02m x 0,02m
L’extrémité encastrée est immobile, c’est-á-dire que dans cette extrémité les
déplacements sont imposées.
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Figure 2. Calcul de la flèche en utilisant le code
Source : Auteur
>> Program Où :
U_inc =
0 U_inc : Déplacements inconnues pour le
-0.0363 nœud de l’extrémité libre (nœud 2).
-0.0545
R_XYM : Vecteur des valeurs de la
R_XYM = réaction en X, Y et le Moment à
0 l’encastrement.
300.0000
300.0000 NTM : Vecteur avec les valeurs des
sollicitations internes (l’effort Normal,
NTM = Tranchant et le Moment Fléchissant)
0 pour le nœud 2 de la structure
-300
0
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Figure 3. Diagrammes des sollicitations internes
Source : Auteur
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Figure 4. Poutre discrétisé á l’aide de 10 éléments
Comme on peut voir dans les graphiques, la déviation des valeurs augmente avec les
fréquences plus grandes, mais le plus grand est le nombre d’éléments utilisé pour la
discrétisation, le plus la valeur de la fréquence tiens à converger. Pour les fréquences
plus petits, la convergence s’atteint avec moins nombre d’éléments.
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3. ÉTUDES SUR LE PORTIQUE
Les données d’entrée pour commencer la résolution de ce problème sont les suivantes :
DATA VALUE
Longueur L (m) 0.5
Hauteur (m) 0.4
Module de Young (Pa) 74 x 109
Force Imposée (N) 19,62 suivant x positives
Section 40 mm x 5 mm
Avec les chargements imposés et les conditions limites dans les fichiers reçus par email,
on trouve la déformé suivante :
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Figure 7. Structure Portique déformé
La déformé est cohérente avec la déformée qualitative qui peut être produit par le
chargement imposé. Elle est aussi cohérente avec les calculs analytiques de la RDM.
0.07848*10 Nm
0.07848*10 Nm
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0.1962*10 N
0.1569*10 N
Les résultats de cette analyse sont résumés dans la Figure 10, avec les fréquences trouvés
pour chaque mode analysé.
Figure 10. 5 premières modes propres pour l’analyse modale de la Structure Portique
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4. CONCLUSIONS
Pour l’analyse modale de la Structure Portique, on a trouvé que le risque de mise
en résonance est très haut, et ça peut être corrélé avec le type de matériau et la
géométrie de la section. Avec les fréquences plus hautes, les déplacements
trouvés sont excessives. Les fréquences trouvées pour la configuration de la
Structure Portique sont plus petites que pour la poutre de l’analyse modale 1,
c’est-à-dire que le risque de mise en résonance est plus haut pour le portique
étudié parce que sa fréquence propre pour le première mode est très petite, et il
est facile de la mettre en résonance avec une force aussi petite.
La méthode des éléments finis est un outil mathématique très puissant pour le
calcul des structures de n’importe quel type. On a bien constaté qu’elle nous
permet de connaitre bien les déplacements dus à différentes types des
chargements sur nos structures, aussi comme les forces et efforts internes.
Comme méthode d’analyse académique les TP Matlab sont très graphiques et
nous permettent de maitriser les principes et la théorie nécessaires pour pouvoir
utiliser après des logiciels commerciaux comme ADINA, ABACUS,
HYPERMESH, CATIA, SAP2000, entre outres. Le calcul des structures complexes
sur Matlab peut prendre beaucoup de temps et il est difficile de contrôler les
erreurs dans le code.
Pour les analyses sur la poutre (statique et modale) on a trouvé les mêmes valeurs
analytiques et numériques, ce qui nous a permis de valider notre code.
Pour les analyses sur la structure portique, la partie d’analyse statique est
d’accord à la théorie et on a trouvé les mêmes valeurs analytiques et numériques.
Pour l’analyse modale, ils existent des valeurs un peu différents, ce qui nous
donne l’idée de continuer à déboguer le code pour pouvoir l’utiliser comme il
faut. C’est l’affichage des diagrammes des modes sur Matlab qui m’a posé le plus
des problèmes à coder.
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