Un Monde Sans Cancer G Edward Griffin
Un Monde Sans Cancer G Edward Griffin
Un Monde Sans Cancer G Edward Griffin
Edward Griffin
UN MONDE
SANS CANCER
Lhistoire de la vitamine B17
Traduit de lamricain
par Mitakuye Oyasin
Rsistance71
= Mitakuye Oyasin =
= Rsistance 71 [1 ], Janvier 2013 =
Sommaire
Introduction
Avertissement
1. Le syndrome du Watergate
2. Gnocide Manhattan
3. Une pomme par jour
4. Lultime test
5. Le cancer comme pousse de vie
6. Le mcanisme total
7. La peur du cyanure
8. Le charlatanisme du Latrile
9. Les gurisons non prouves du cancer
10. Les gurisons prouves contre le cancer
11. Une nouvelle dimension de meurtre
12. Une comparaison statistique
13. Les cartels, moyen d'chapper la concurrence
14. Le monopole ultime
15. Grandes manuvres
16. Complot
17. Le groupe Rockefeller
18. Lordonnance de la charit
19. Celui qui paie laccordoniste
20. commande la musique
21. Le racket protectionniste
Introduction
Nous avons entrepris il y a plusieurs mois, la traduction de
larges extraits du livre rfrence sur le sujet crit par G.
Edward Griffin en 1974: A world Without Cancer, the story of
Vitamin B17. Depuis sa premire mouture, le livre en est sa
14me rimpression notre connaissance, la dernire en date
tant de 2010. Notre traduction porte sur la rimpression de
1998 de la seconde dition (avant-dernire rimpression
donc). Ce livre de 360 pages prsente la particularit dtre
difficile traduire, non pas par la teneur du langage ou sa
technicit, non, mais par le fait quayant pour des raisons de
temps, dcid de ne traduire que de larges extraits, il nous a
t trs difficile de tomber daccord et de slectionner ce qui
devait tre laiss en dehors de la traduction, pourquoi ? Parce
que le livre est riche et dense en information de la premire
la dernire page et que lon comprend au fil de sa lecture
pourquoi il na jamais t traduit en franais (les regards se
tournent vers les lobbies pharmaceutiques) tout en enrageant
quil ne le ft pas. Depuis maintenant 38 ans quil existe, nous
pouvons raisonnablement penser que le fait quaucune maison
ddition nai voulu prendre le risque de le publier en franais
relve certainement plus de la politique de la mdecine que de
la science, un peu comme les travaux de lminent mdecin
franais le Dr Gernez, ont t mis au placard pour les mmes
vraisemblables raisons.
Louvrage
nous
amne
au
gr
des
recherches
et
gouvernement fdral ?
Lavocat: Parce que, votre honneur, le gouvernement
fdral pourrait perdre le contrle.
Avec cette dernire dclaration, le juge visiblement en
colre, saisi son maillet, labattit et dclara: non lieu.
Alors que Me Coe, le Dr Halstead, Bob Bradford, mon
pouse et moi-mme quittions le prtoire, nous vmes une
affiche denviron 1,80m sur 1,20m sur le mur du hall avec
cette inscription en trs grandes lettres: Faites attention au
Latrile, Il est toxique ! En bas de laffiche, en petites lettres,
tait crite cette dclaration: Doit tre affiche dans tous les
btiments gouvernementaux par ordre de la FDA des tatsunis.
tait-il possible que la FDA soit en train de mentir aux
citoyens?
Notre question: A qui profite vraiment tout ce silence ?
Certaines questions valent certainement la peine dtre
poses.
Bonne lecture !
Avertissement
Le Latrile est officiellement un traitement non prouv
pour le cancer. Lauteur de ce livre est un chercheur et un
crivain, pas un mdecin. Les faits dvoils dans les pages qui
suivent ne le sont que pour information seulement et ne sont
pas des avis mdicaux. Leur but est de crer la base dun
consentement inform. Bien quil y ait certaines choses que
lon puisse faire dans le domaine de la prvention, le
traitement clinique du cancer ne doit pas se pratiquer seul.
Ladministration de quelque thrapie anti-cancreuse que ce
soit, incluant les thrapies nutritionnelles, doit tre pratique
sous la supervision directe de personnels mdicaux
professionnels, spcialistes en leur domaine.
G. Edward Griffin
~ Livre I ~
La science de la thrapie du cancer
1. Le syndrome du Watergate
Cette anne[4], 550 000 Amricains vont mourir du cancer.
Un sur trois dentre-nous va dvelopper la maladie au cours
de sa vie. Ceci reprsente 88 millions de personnes rien quaux
tats-unis.
Le but de cette tude est de dmontrer que nous pouvons
arrter cette grande tragdie humaine sur la base de la
connaissance scientifique dj notre disposition.
Nous explorerons la thorie qui veut que, comme le scorbut,
le cancer soit une maladie de dficience, aggrave par le
manque dun composant essentiel de lalimentation de
lHomme moderne et que son contrle ultime rside dans sa
restauration au sein de notre dittique.
Ce que vous allez lire par la suite nest pas approuv par la
mdecine allopathique. Ladministration pour lalimentation et
les produits pharmaceutiques[5], la Socit Amricaine contre
le Cancer[6] et lAmerican Medical Association[7 ] ont mme
qualifi ceci de charlatanisme. En fait, la FDA, lACS et lAMA
ont utilis tous les moyens leur disposition pour viter que ce
que vous allez lire le soit. Ces entits gouvernementales ont
confisqu des films et des livres. Ils ont mme tran devant
les tribunaux des mdecins qui appliquaient ces thories dans
le seul but de sauver la vie de leurs patients[... ]
[... ] Au dbut de lanne 1974, le conseil des mdecins de la
2. Gnocide Manhattan
En plus de ce rapport de Californie, il y a eu de nombreuses
recherches sur le Latrile, menes soi-disant par des
organisations rputes et qualifies. Ceci inclut une tude
datant de 1953 de Stanford University, une recherche de 1961
de luniversit de Berkeley Californie, une en 1962 du Diablo
Lab de Berkeley et une recherche en 1965 finance par
lAssociation Mdicale Canadienne et luniversit McGill de
Montral. Toutes ces recherches ont t ternies par une
attitude biaise et une certaine inaptitude scientifique; des
mensonges et des vices de forme similaires ceux trouvs
dans la fameuse tude de Californie en 1953 furent mises en
vidence. Certaines de ces recherches admettaient
ouvertement la preuve dun effet anti-cancreux, mais les
causes taient attribues autre chose. Certaines de ces
tudes ne portrent que sur la toxicit du laetrile, cest dire
que les recherches ne portaient en aucun cas sur le potentiel
thrapeutique, mais visaient dterminer la dose ncessaire
pour tuer un patient. []
[] Dans le mme temps, le nombre de patients du cancer
qui avaient t mis en rmission par le traitement au laetrile
et qui louaient ses bienfaits ne cessait de grandir. A tel point
que ces patients et leurs familles tablirent une organisation
populaire appel le Comit pour la Libert du choix de la
thrapie anti-cancer. Plusieurs centaines de branches
4. Lultime test
La meilleure faon de prouver ou de dbouter la thorie de
la vitamine contre le cancer serait de prendre un large groupe
de personnes, groupe de plusieurs milliers de personnes et,
durant une priode de plusieurs annes, les exposer un
rgime alimentaire riche en aliments contenant des nitrilosides
et vrifier les rsultats... ceci serait sans aucun doute le test
ultime.
Fort heureusement, ceci a dj t fait.
Dans des contres lointaines et isoles de l'Himalaya, dans
une rgion niche entre le Pakistan de lOuest, lInde et la
Chine, se trouve un petit royaume appel: Hunza. Ces gens
sont connus de part le monde pour leur incroyable longvit et
leur bonne sant exceptionnelle. Il n'est pas surprenant pour
des Hunzakuts de vivre au-del des cent ans et certains mme
jusqu 120 ans et plus. Des quipes mdicales du monde
extrieur qui ont visites lendroit ont rapport qu'elles
n'avaient trouv aucune trace de cancer Hunza.
Bien que la science accepte de nos jours soit incapable
d'expliquer le pourquoi ces gens demeurent sans cancers, il est
intressant de noter que le rgime alimentaire hunza contient
plus de deux cent fois de nitrilosides que le rgime alimentaire
de lAmricain moyen. En fait, dans ce petit pays, o il ny a
pas dargent, la valeur dun homme est mesure par le nombre
l'attention
mortelle
des
systmes
immunologiques du corps. La question cruciale est de
savoir comment ?
Dans cet autrement excellent article prcit, nous trouvons
une des plus grosses fausses suppositions qui altre la vaste
majorit de toute la recherche sur le cancer aujourd'hui et qui
est la supposition que les cellules cancreuses soient
trangres au corps qui les contient. Au contraire, elles sont
une part vitale du cycle de vie (grossesse et cicatrisation), ainsi
la nature les a dot de moyens efficaces pour viter lattention
meurtrire des globules blancs.
Une des caractristiques des cellules trophoblastiques est
qu'elles sont entoures d'un fin manteau de protines qui
portent une charge lectrostatique ngative. En terme
technique ceci est appel le manteau pricellulaire de
sialomucine. Les globules blancs portent galement une charge
ngative, comme les polarits se repoussent, les cellules
trophoblastiques sont bien protges. Le facteur de blocage
n'est rien d'autre qu'un champ lectrostatique cellulaire.
6. Le mcanisme total
Comme dmontr dans le chapitre prcdent, on peut
penser que le cancer est une forme de processus de surcicatrisation dans lequel le corps produirait des cellules
trophoblastiques comme faisant partie de ses efforts
contrecarrer des dgts spcifiques ou au vieillissement dun
tissu normal. Ces cellules trophoblastiques sont protges par
un manteau de protines charges lectrostatiquement. Mais
en prsence
dune
quantit
suffisante
denzymes
pancratiques, ce manteau protecteur est digr, exposant
ainsi les cellules trophoblastiques la force destructrice des
globules blancs du corps. Ainsi, la Nature a assign au pancras
le rle vital de faire la prvention du cancer en contrlant les
cellules trophoblastiques.
Mais que se passe-t-il si, pour des raisons dge ou de
facteurs hrditaires, le pancras devient faible ou si le type de
rgime alimentaire que nous avons, nous fait consommer pour
la digestion la plupart des enzymes pancratiques, en laissant
peu en circulation dans le systme sanguin ? Que se passe-t-il
si, cause de la chirurgie ou de radiations, il y a des tissus
cicatriciels autour du cancer qui inhibent la circulation
sanguine et empchent les enzymes pancratiques de
l'atteindre ? Que dire si la vitesse de croissance du cancer est
si importante que les enzymes pancratiques ne peuvent plus
suivre la cadence ? Alors quoi ?
gram-positif et ngatif.
En 1953, des scientifiques de luniversit et facult de
mdecine de lUtah publirent un nombre darticles appels
tudes sur les extraits antibiotiques de la plante
Leptotaenia. Ils confirmrent les affirmations du Dr Krebs
senior quant leffet antibiotique de la leptonine sur les virus
de grippes. [...]
[..] Le Dr Ernst Krebs Junior dsirait initialement suivre les
pas de son pre dans la pratique de la mdecine. Peu de temps
aprs avoir rejoint une facult de mdecine (medical school), il
comprt alors que son intrt ne rsidait pas dans le
traitement des patients, mais dans le monde de la chimie
mdicale. Aprs trois annes dtude danatomie et de
mdecine au Hahnemann Medical College, il changera de
direction et obtint un doctorat en biochimie.
Il fit ses tudes de 3me cycle luniversit dIllinois entre
1938 et 1941, se spcialisant en bactriologie, il reut son
Bachelor de Science de luniversit de lIllinois en 1942 et
poursuivit ses tudes de 4me cycle aux universits du
Mississippi et de Californie.
Au cours de sa vie et sa carrire, le Dr Krebs fut lauteur de
bon nombre darticles scientifiques incluant ses articles La
thse unitaire ou trophoblastique du cancer et Les
nitrilosides dans les plantes et les animaux. Il fut le
rcipiendaire de nombre de prix et de doctorats aux tatsunis et l'tranger. Il fut le directeur scientifique pour la John
Beard Memorial Foundation jusqu son dcs en 1996. Il fut
aussi linventeur (par la dcouverte) de la vitamine B15 ou
acide pangamique, qui fut prouve tre de grande importance
7. La peur du cyanure
Le 1er Septembre 1972, le dpartement de la sant
publique de ltat de Californie publia son rapport mensuel de
mortalit destination de la profession mdicale et de la
presse. Ce rapport contenait une histoire concernant un couple
qui avait t trait dans un hpital pour empoisonnement au
cyanure aprs qu'ils aient ingr trente graines d'abricot
(contenues dans les noyaux). Le 4 Septembre, le Los Angeles
Examiner publiait une notice de lUPI (agence de presse)
titrant: des noyaux de fruits peuvent provoquer un
empoisonnement au cyanure. Six jours plus tard, le New York
Times titrait: Des graines dabricots lies un
empoisonnement sur la cte Ouest
Tous les Amricains avaient t prvenus et effrays, afin
de rester l'cart de ces graines !! Pour ceux qui ntaient que
peu familiers avec le Latrile, ce fut presque une mise KO en
ce qui concerne lutilisation de la vitamine B17. Comme nous le
dmontrerons dans des chapitres ultrieurs, ceci tait
vraisemblablement le but de tout cela. [...]
[...] Dans une confrence publique sur le sujet du Latrile,
une femme dans, laudience posa une question au Dr Ernst
Krebs Junior afin de savoir sil y avait un danger quelconque
de manger trop de graines de fruits contenant le facteur B17.
Voici ce quil rpondit:
8. Le charlatanisme du Latrile
Le Latrile est un maudit charlatanisme. Tel fut la
dclaration dHlne Brown, prsidente de la Socit contre le
Cancer de Californie.
Ds 1974, il y avait au moins 26 articles scientifiques publis
par des mdecins connus, qui avaient utilis le Latrile dans le
traitement de leurs patients et qui avaient conclus que le
Latrile tait la fois sain, sr, et efficace dans le traitement
du cancer. (Note: une liste complte de ces articles est inclue
dans le livre The Laetrile Nitrilosides pages 84 et 85) [...]
[...] LAmerican Cancer Society et autres porte-parole de la
mdecine orthodoxe voudraient nous faire croire que seuls des
charlatans et des farfelus ont conduit ces expriences et
acquiesc aux conclusions. Les mdecins qui ont fait ces
expriences et ceux qui ont partags leurs conclusions ne sont
ni des charlatans ni des farfelus. Voici juste quelques uns de
leurs noms:
En Allemagne de lOuest [1 9], le Dr Hans Nieper, ancien
directeur de dpartement de mdecine de lhpital Silbersee
de Hanovre. Pionnier de l'utilisation mdicale du cobalt et qui
est crdit pour avoir dvelopp le mdicament anti-cancer la
cyclophosphamide. List dans le whos who de la science
mondiale, il fut le directeur de la socit allemande pour le
traitement mdical des tumeurs. Il est un des cancrologues
au monde les plus respects. Au cours dune visite aux tatsUnis en 1972, voici ce qua dit aux journalistes le Dr Nieper:
Aprs plus de vingt ans de travail spcialis, jai trouv les
nitrilosides non toxiques, en dautre terme le Latrile,
comme tant des substances bien suprieures toute
autre substance en ce qui concerne le traitement du
cancer ou sa prvention. Il est mon avis, la seule
substance possible pour le contrle ultime du cancer.
Au Canada, il y a le Dr. N.R Bouziane, docteur en mdecine
et directeur des laboratoires de recherche l'hpital Ste
Jeanne D'Arc de Montral, membre du comit des tumeurs de
lhpital en charge de la chimiothrapie [...]
Aprs une premire srie de tests avec le Latrile peu de
temps aprs qu'il fut introduit, le Dr Bouziane rapporta:
Nous avons toujours un diagnostic bas sur l'histologie
(analyse microscopique des tissus), nous n'avons jamais
pris un cas sans preuve histologique de cancer. Dans notre
enqute, des cas terminaux taient si dsesprs, quils ne
reurent mme pas la dose considre comme basique de
trente grammes. La plupart de ces cas devinrent
nanmoins mobiles et certains ont repris une activit
normale en un laps de temps trs court et ce en prenant
une dose de maintien.
Aux Philippines, il y a le Dr Manuel Navarro, docteur en
mdecine, ancien professeur de mdecine et de chirurgie de
luniversit de Santo Tomas Manille et membre associ du
Conseil National de Recherche Scientifique des Philippines.
Membre du collge de mdecine, de la socit philippine
dendocrinologie et du mtabolisme et un membre de
Le 8me cas tudi est celui dun nomm Bud Robinson qui
envoya une lettre au Dr Krebs Jr, nous la traduisons ici:
Cher Dr. Krebs,
Merci de m'avoir donn un autre anniversaire (17
Mai).
Sil vous plait, rappelez-vous ce 15 Novembre 1979,
lorsque mon mdecin et quatre autres urologues ne
me donnrent que quatre mois vivre avec mon
cancer de la prostate alors qu'ils me donnaient rendezvous pour des rayons et de la chimiothrapie, qui, je le
savais, allaient me tuer si le cancer ne le faisait pas; je
refusai alors leur traitement.
Puis un dimanche aprs-midi je vous ai contact par
tlphone et j'ai suivi votre programme trs simple.
Jai 71 ans et suis dans ma 13me anne de survie
au cancer. Trois des quatre urologues mentionns
sont morts du cancer et quarante ou cinquante
personnes sont en vie aujourd'hui et en bonne sant
parce qu'ils ont suivi mon simple programme du Dr
Krebs.
Merci encore pour mavoir rendu la vie.
Votre ami
H.M. Bud Robinson
Cette lettre fut crite en 1992. Quand lauteur la contact
en Juin 1996, Mr Robinson tait toujours en excellente sant.
Il avait 75 ans et non plus 71 et le nombre de patients du
cancer quil avait aid rcuprer de la maladie slevait plus
de 90. [...]
[...] Lorsque confront avec un grand nombre de ces
vidences cliniques, certains mdecins, cause de leur
partialit professionnelle contre la mdecine nutritionnelle,
cherchent toujours des explications alternatives. Leur
explication favorite est souvent que le cancer a ragi
tardivement aux mdicaments toxiques et rayons. Sil ny a
pas eu de traitement pralable, alors le patient navait pas de
cancer, ou si la prsence d'un cancer avait t prouve par
biopsie ou chirurgie, alors ils finissent par dire que cela tombait
sous le coup de la rmission spontane, ce qui veut dire que
le cancer avait disparu comme cela, de lui-mme, sans aide
extrieure. Cela peut se produire, mais cela est trs, trs rare.
[...]
Dr Good tait sur la bonne voie, mais ce fut une voie qui ne fut
jamais suivie, car on ne peut pas breveter un rgime pauvre
en protines ! [...]
[...] Le Dr Bruce Halstead[22] par exemple, directeur et
fondateur du World Life Research Institute de Colton en
Californie, voyagea en URSS et dcouvrit que des scientifiques
y tudiaient les composants naturels non-toxiques depuis le
dbut des annes 1960 et taient apparemment bien en
avance dans le domaine en comparaison des chercheurs
amricains. Il parla avec grand enthousiasme d'une substance
et d'un compos appel Eleuterococcus, qui daprs sa
description, ressemblait trangement lacide pangamique ou
vitamine B15, dcouverte par le Dr. Krebs.
Quoi quil ft, le Dr Halstead nobtint aucun succs pour faire
approuver lexprimentation avec ce compos par la FDA. Il se
plaignit: Jai essay partout. Je ne peux pas obtenir une
quelconque entreprise pharmaceutique pour le soutenir
cause des rgulations de la FDA qui sont faites pour des
spcificits. Ceci est prcisment l o tout le corps mdical est
en conflit.
Le Dr Halstead tait galement sur la bonne piste, cest
pourquoi il reut tant de rsistance de la part de
lestablishment mdical et politique. Aprs avoir not que le
congrs venait juste de dbloquer un autre 1,6 milliards de
dollars pour la recherche contre le cancer, il dit qu son avis,
cela ne produirait aucun rsultat parce que cela sera
entirement dpens dans la recherche pour de nouvelles
molcules artificielles toxiques plutt que d'adresser des
composs non-toxiques naturels. Puis il ajouta:
~ Livre II ~
La politique de la thrapie du cancer
supporter.
Linformation qui va suivre trouve sa source
essentiellement dans les auditions faites par le gouvernement
et les rapports varis publis par le snat et les comits de la
chambre basse[24] entre 1928 et 1946.
Les principaux tant: le sous-comit parlementaire pour
enquter sur la propagande nazie en 1934, le comit spcial du
snat enqutant sur lindustrie des munitions en 1935, le
rapport sur les cartels diffus par le comit temporaire
parlementaire sur lconomie nationale en 1941, le comit
snatorial denqute sur le programme de la dfense en 1942,
la rapport du snat sur les patentes de 1942 et le sous-comit
snatorial sur la mobilisation de guerre de 1946.
Dautres sources dinformation incluent: le comit snatorial
denqute sur le lobbying, le comit snatorial sur le secteur
banquier et des changes, les archives du tribunal de
Nuremberg et des douzaines de volumes trouvs comme
rfrences standard dans toute grande bibliothque. En
d'autres termes, bien que lhistoire que nous allons dvoiler
maintenant ne soit pas connue de manire extensive, elle est
quoi qu'il en soit, partie intgrale du domaine public aux tatsunis et peut-tre vrifie par quiconque en exprime le dsir.
Voici cette histoire[25].
Dans les annes qui ont prcdes la seconde guerre
mondiale, s'est cr un cartel international, centralis en
Allemagne, qui domina les industries mondiales de la chimie et
du mdicament. Il tendit ses oprations dans 93 pays et tait
une grande force politique et conomique sur tous les
continents. Ce cartel tait connu sur le nom dI.G. Farben.
16. Complot
Une fois de plus le lecteur peut se demander s'il est
vritablement ncessaire dinclure toute cette histoire
propos des cartels dans une tude sur la thrapie du cancer.
Une fois de plus, redisons-le de manire emphatique, cela lest
bel et bien. Non seulement cette tude historique nous mne
une meilleure comprhension du pourquoi l'industrie
pharmaceutique en est venue tre influence par des
facteurs autres que la simple productions de mdicaments et
de la vrit scientifique, mais nous donne galement la rponse
une question laissant des plus perplexe. Cette question, qui
est souvent pose lorsquon a dcouvert que la thrapie
vitaminique est la cible d'une opposition organise, se pose
gnralement de la faon suivante :
Suggrez-vous que des personnes au sein du
gouvernement, des entreprises ou de la mdecine, corps
mdical, pourraient tre si partiales pour placer leurs
propres intrts financiers ou politiques au dessus de la
sant et du bien-tre de leurs concitoyens ? Quils
descendraient si bas, quils empcheraient volontairement
une thrapeutique de gurison contre le cancer ?
La rponse cette question, la lumire froide de lHistoire,
est vidente. Si des citoyens importants, hautement respects
dans leurs communauts, peuvent planifier et excuter des
guerres globales; s'ils peuvent grer des camps de
sur le fait qu'il fut maintenu chez IG Farben pour donner des
conseils professionnels la plupart des chefs nazis, incluant
Goebbels, le ministre de la propagande et Hitler lui-mme.[...]
Lhomme qui mrite le plus de crdit pour avoir fait avancer
la science profitable de la fondation pour philanthropie
mdicale, tait un pasteur moderniste du nom de Fred
Gates[34]. Gates tait bien plus un homme daffaires quun
homme de dieu. [...]
Une des toutes premires fondations tablie par Rockefeller
et Gates fut le General Education Board. Le but de cette
philanthropie ntait pas dlever le niveau dducation des
gens, comme certains purent navement le croire lpoque,
mais de convertir la masse des citoyens amricains en un
troupeau docile et satisfait de travailleurs sans revendications.
[...]
Lassociation de New York pour la sant et contre la
tuberculose fut un autre exemple classique. Originellement
tablie par un groupe de mdecins en croisade contre la
tuberculose, elle tomba bientt captive de la domination
financire des Rockefeller. Rockefeller mit aux commandes du
programme un ducateur social alors peu connu: Harry
Hopkins. Sous sa direction, lassociation contre la tuberculose
se dveloppa lchelle internationale et ds 1920, collectait
des millions de dollars par an.
Rockefeller contrlait l'opration, mais l'essentiel de l'argent
provenait du public au travers de contributions et des achats
des phoques de Nol. Un des grands scandales de 1932 tourna
autour des accusations du commissaire de New York pour la
sant publique, Lewis I. Harris, qui crivit une lettre au New
24. Funambulisme
Les mdecins et les confrenciers peuvent se faire les
avocats de la vitamine B17 et hurler depuis les toits, si les
victimes du cancer ne peuvent pas obtenir de latrile, de
graines dabricots ou dAprikern, il ne peut pas y avoir de
danger pour le statu quo. De cette manire la FDA a allou une
grande partie de ses ressources pour harceler, harasser et
dtruire ceux qui produisent, distribuent ou administrent la
vitamine B17, latrile, afin de contrler le cancer des patients.
Les mdecins sont la cible particulire d'actions trs fortes et
qui se veulent exemplaires pour la raison vidente que si
beaucoup d'entre eux taient autoriss utiliser une thrapie
nutritive vitaminique, cela ouvrirait les vannes de l'acceptation
mdicale pour celle-ci. Tout mdecin qui ose se rebeller doit
par consquent, tre publiquement dtruit pour l'exemple, qui
doit tre vu et compris par les autres mdecins de faon ce
qu'ils sachent ce qui les attend sils embotent le pas. Lors dun
procs, un mdecin fut appel la barre des tmoins, le Dr.
Weilerstein qui rpondit la question de savoir s'il existait des
mdecins de bonne rputation qui prescrivaient le latrile, il
rpondit: Aussi loin que je sache, tous les mdecins qui ont
prescrits du latrile en Californie depuis 1963 ont t traduit
en justice de manire satisfaisante. Vous avez la rponse: tout
mdecin qui a t attaqu et condamn en justice ne peut pas
(plus) avoir une bonne rputation. Ainsi donc aucun mdecin
de bonne rputation na jamais prescrit de latrile !
Dr Ernst Krebs
= Mitakuye Oyasin =
= Rsistance 71, Janvier 2013 =
[1 ] https://resistance7 1 .wordpress.com /
[2 ] NDT: Food and Drugs Adm inistration, lorganism e fdral qui rgit
lalim entation et les m dicam ents aux tats-unis, encore de nos jours, la
m m e qui est totalem ent noy aute par les cadres de Monsanto et de
lindustrie chim ique et pharm aceutique
[3 ] NDT: lav ocat du Committee of Choice for Cancer Therapy.
[4 ] NDT: 1 9 9 8
[5] NDT: libelle FDA aux tats-unis pour Food & Drugs Administration,
acrony m e que nous utiliserons pour la suite de cet expos
[6 ] NDT: American Cancer Society ou ACS
[7 ] NDT: AMA qui est lquiv alent outre-Atlantique de notre ordre des
m decins
[8] NDT: suit ici un expos de laffaire de ltat am ricain contre Dextra
Fortified Sugar
[9 ]
Note des traducteurs: suit ici lexplication dune affaire judiciaire entre
la FDA et le Dr. Andrew Iv y au dbut des annes 1 9 6 0.
[1 0] NDT: difficile de traduire la phrase de MacDonald puisque le slogan
rim e en anglais. Le slogan est com m e suit: A pack a day keeps lung
cancer away ... [ rapprocher du dicton anglais An apple a day keeps the
doctor away ]
[1 1 ] NDT: IND en anglais pour Inv estigation on New Drug. Drug en
anglais ay ant essentiellem ent le sens de m dicam ents dans un contexte
m dical.
[1 2 ] NDT: Lautre nom du Latrile, connu aussi sous le nom de v itam ine
B1 7
[1 3 ]
[] Note des traducteurs: suit ici une liste de plus de tests effectus, qui
Note des traducteurs: Sensuit ici une liste dautres cas de peuplades
dont lalim entation est galem ent riche en nitrilosides: les eskim os, les
habitants dHabkhazie dans la Caucase et les am rindiens.
[1 5] NDT: aussi connue sous le nom de cellule souche germ inale.
[1 6 ]
Note des traducteurs: S'ensuit ici l'exem ple d'un cas de cancer trait
par le Dr. Virginia Liv ingstone sur un patient lui-m m e m decin ay ant
perdu toute confiance en la m decine allopathique. On lui injecta le v accin
BCG (anti-tuberculeux) pour la production d'anticorps et on le soum it un
rgim e alim entaire trs pauv re en cholestrol et sous antibiotiques. Le
rgim e alim entaire supprim ait tous les alim ents qui m ettaient trop le
pancras contribution dans le sy stm e digestif afin de ne pas puiser les
enzy m es pancratiques des fins digestiv es (pas de sucres raffins, pas de
v olaille, dufs, beaucoup de lgum es crus, du poisson et des supplm ents
m ulti v itam iniques. En m oins de deux m ois, le patient entra en rm ission de
son cancer.
[1 7 ] NDT: la tum eur cancreuse est aussi constitue de cellules saines
[1 8] NDT: en m chant les graines et non pas en les av alant tout rond.
[1 9 ] NDT: la RFA lpoque.
[2 0] NDT: tout com m e le Dr Ernst Krebs Jr qui labora le Latrile
[2 1 ]
Note des traducteurs: S'ensuit ici sur plusieurs pages d'autres exem ples
de cas de corruption et de m alhonntet de la part des cadres de la FDA,
couv erts par leur hirarchie.
[4 2 ]