Grammaire Ebraique
Grammaire Ebraique
Grammaire Ebraique
in
Ottawa
http://www.archive.org/details/grammairehbraOOchab
')
r^
^U^
GRAMMAIRE
HBRAlaUE
LMENTAIRE
PAR
M^ ALPHONSE CHABOT
PBLAT DE SA SAINTET, CCH DE PITHIVIEES
QUATRIME DITION
KEVUE, COEKIGE ET AUGMENTE
FRIBOURG EN BRISGAU
B.
MME Maison
VIENNE
MUNICH
(Bavire),
17
STRASBOURG
(Alsace-
MO. (tats-Unis)
South Broadway.
90.
Librairie
GRAMMAIRE
HBRAQUE
LMENTAIRE.
GRAMMAIRE
V
HBRAQUE
ELEMEiTAIRE.
PAR
-^C
M^ ALPHONSE
PBLAT DE SA SAINTET,
CITR
CHABOT,
DE PITHIVIER3.
B.
VICTOR LECOFFRE,
90,
RUE BONAPARTE,
90,
PARIS.
(>'^-'-l)
4 5kl
Il 9S
rKPKTWF.RrR DE
E. G.
TF.rENER
T.firZlO.
Premire Editiom
Lettre de Monseigneur Dupanlcmp,
D^ aprs
la
le
Grammaire hbraque
volontiers
xkit
donne bien
sa
clart
mon
comme
sa solidit,
grammaire
dans
contri-
buera
tude
beaucmip dvelox^per
l'tude
de la langu^e sacre,
que j'ai
si
vivement recommande
mes In-
votre
succs sont
un honneur pour
vos confrres.
le
Orlans,
10 Dcembre 1875.
Flix, Evque d'Orlans.
Troisime Edition.
Lettre de Monseigneur Goullij Evque d' Orlans.
Cher Monsieur
le
Doyen.
Grammaire Hbraque
VI
se
Quatrime Edition.
sont pleineynent
raliss.
L'adoption
de
cet
ouvrage
de s-
gratid nombre
mrite.
J'applaudis dans
vous en
flicite.
Etudes sacres
ce succs et je
La
Gram-
maire
Saintes Ecritures
du Bationalisme contempm'ain.
si
Partout
ecclsias-
minemment
dition
dans
avec
mon Grand
soin
et
La
le
nouvelle
revue
efficacmnent
en procurer
dveloppement
et le progrs.
rcompense
et je
et toutes
vos uvres.
le
ORLAys,
28 Avril 1889.
Pierre, Evque d'Orlans.
Quatrime Edition.
Lettre de Monseigneur ToiJiet, Evque d'Orlans.
Cher Monseigneur.
Vous
vous
me
de-
ma
u r .
Le simple imprimatur^f me
Avant
tout,
puUieatimi.
comme
l'histoire
Quatrime Edition.
Vil
les
Vous
tiez
avez
crites.
L'tude
un peu
encore
longues
au gr de
On
se
souvient
Orlans de votre examen de licence en thologie pour lequel vous prsenttes la traduction
de
n'importe
quel x)assage
et Vexpilication
livre ouvert
de
la
hihle
hhrdique.
matres
dit-o^y
vos examinateurs ne
et le succs et chre
Vos
fut
tel
grande
titre
de cJianoine
de sa cathdrale.
Depuis
seigneur.
lors,
les
Mon-
Les
loisirs ont
leur
le
a survcu.
le
force d'industrie
le
dans
l'art
d'conomiser
d'accrotre
Et maintenant,
Grammaire
notre divine
particidier, cette
augmente, qui
prcdentes
les
que
les
pntrer notre
Bille
Vous me
et
dites
les
adopt par
sminaires catholiques
Ce sera un beau
le
souhaite de
large cur.
Mais
ce
par
cette foule
de
un
des
ministre trop
peu occup
est
laisse
tant
Le
champ
tudes
sacres
le
vaste
le
et
vari.
Chacun pourrait y
ses attraits.
exploiter
sillon
qui va
mieux
serait
Dieu en
mes en seraient
difies et l'uvre
incomparable
"STTI
Quatrime Edition.
que
nous
poursuivons parmi
nos
frres
les
hanmies
en
tout
mon
cordial et re-
spectueux dvoumient
Orlaxs,
le
S Dcembre 1894.
Sta^yslas, Evque d'Orlans.
FzTHiviERs,
le
25 Mars 1896.
sainte des
Hbreux
le
et des
Clirtiens,
la rsolution
monde.
la
Xous avons
eu lliomieur
et
la
joie
de
faire
entendre
langue de Mdise
des
Prophtes,
dans
Eucharistique,
xyrsid pjar
Son
Eminence
et
Monseigiieur
Lgat de Sa Saintet
Lon XIII.
Nous avons
le
le
l'avarice,
les gloires
de Vauguste sacre^nent de
nos autels.
Depuis
vingt
ans,
notre
Grammaire a
admise
du Canada.
cette
dsir,
c'est
l'tude
de
la
da
A. Chabot,
Table
Introduction.
Pages
I.
IL
ni.
De De
rcriture des
l'tude
Hbreux
sacre
Premire Partie.
Des signes lmentaires.
Chap.
Chap.
I.
De
la lecture de l'hbreu
18
28
33
38
45
Seconde Partie.
Des
Chap. Chap.
I.
diffrentes parties
du discours.
52
IL
55
rgulier
".
57
74
77
Des Verbes
Section
I.
irrguliers
.... ....
78
83
96
107
Chap.
III.
Du Nom
Table.
p^g^^
Chap.
113
115
121
125
129
Paradigmes
Analyse grammaticale Texte hbreu du 3^ chap. du
Texte hbreu du Texte hbreu du
l^'^
l^''
155
liv.
de Samuel
161
chap. du
liv. liv.
de Jonas
162 163
. .
1^^ chap.
du
de Ruth
165
Introduction.
I.
savants
appellent
smitiques,
les
parce
qu'elles
taient
descendants de Sem.
On
Nous
nomme
connaissons, en
effet,
Ds
dent
les
l'antiquit
la
plus
recule,
nous voyons
les
langues smitiques en usage dans les contres qui s'tendepuis le Tigre jusqu' la Mditerrane et depuis
montagnes de l'Armnie jusqu'au sud de l'Arabie. Elles taient donc parles dans la Palestine avec la Phnicie, dans la Syrie, la Msopotamie avec l'Assyrie
et la Babylonie, et dans l'Arabie.
La
en
trois
famille
des
deux groupes:
Le groupe
leurs
se])tentrional
comprenant
rameaux avec
diffrents
dialectes:
Varamen
(hbreu, phnicien,
etc.).
premier qualifi
dit,
1
di
ismalite,
et le
second
I.
Un mot
d'arriver l'hbreu.
de
Sem
(Gen. X. 22. 23 et
suiv.).
le
L'aramen occidental
de
l're
n'est
chrtienne
syriaque
le
et
principalement
dialecte
nomm
le la plus
Sa littrature fut
trs
brillante
vers
4 et
La
version syriaque
fidle)
ainsi ap-
pele
parce
rend
le
sens littral de
l'Ecriture,
Le syriaque
7"^
commena
au
13"
il
sicle,
et
presque
entirement
disparu
et
comme
quelques
langue
sectes
vivante.
Les Maronites
le
du Liban
encore
de l'Orient
conservent
comme
langue
liturgique.
les
nom
de clialden.
que parlait
d'Abraham, quand
le
l'apprit en
peu
langue hbraque.
la
donne
acte:
elle
fut
appele
la
parce
qu'on
cru
que
le
dialecte
aramen de
des Chal-
4.
I.
La langue
et
Babylone,
Sans doute
l'tat
Les caractres de
com-
nom
U arabe
riche
est
l'inverse
et
de l'aramen:
fonnes.
tait
Il
c'est
une langue
le
en voyelles
appel
en
Son
dialecte
les
plus
ancien
himyarite,
parl
dans
contres
mridionales de l'Arabie.
la langue thiopienne ou
dont
il
nous reste un
cette
Depuis
de
le
14
le
sicle,
langue
dialecte
aniJiarique
parle
encore
nos jours.
La
religion
de
Mahomet
les
autres langues
1)
2 l'arabe
3"
etc.
Le Coran
la
(la lecture
par
avec l'arabe
littral.
Cependant
autres versions.
1*
4
\j
I.
hbreu,
la
langue
de rxA.iicien Testament,
est
le
dialectes
cananens:
la
il
se
rapproche
beaucoup
Il
de
l'aramen
parl
par
simplicit
de sa phrase.
fut
d'abord
par
les
descendants
de
Sem
qui,
aprs la
Palestine.
dispersion
des
fils
Dans la suite, les Cananens, descendants de Cham, vinrent d'Egypte ou des bords du golfe persique
se fixer
la
langue qui ds
Canaan.
atteint
Ds
perfection
le
une
des
que
l'on
pouvait
dj
composer
juif,
Le Pentateuque dont
le
l'auteur
servit
en
si
peuple
comme
trieurs.
de type
changer
la
langue
Il
Captivit.
est
les Juifs
s'habiturent
peu peu
retour
au chalden et
l'apprirent
De
ils
continurent
l'an-
chalden.^)
Cependant
dans
Vers
le
temps de
qu'ils
conservrent ensuite
Les
lielyreu le
crivains
du
N.
T.
dsignent
sous
le
nom
Ce
1)
en chalden:
4Vn, 28;
dit
Esdr. IV,
8 VI,
18; Vil,
1226.
anciens
Outre
le
Pentateuque,
les
samaritain,
crit
en
caractres hbreux,
Pentateuque
crite
I.
les
Aptres,
comme
Aprs
versions le
plus,
ils
la
mort de
mirent traduire
donnrent leurs
en chalden.^)
nom
De
Rabbins sur
Talmud.
toutes les
soit
orale,
est
les
collection
s'appelle
le
Le
Talmud
toutes
il
renferme,
mais on y trouve aussi des digressions sans nombre dans Le Talmud se le domaine des sciences et de la fable.
compose de deux
texte et la
la
loi
parties:
la
comme
les
le
Gemara
qui en est
comme
la glose.
Outre
Juifs
criU
contenue
dans
le
Pentateuque,
avaient
comme
qui
docteurs
l'an
transmettaient
par
la
tradition.
Vers
180
ap. J.-C,
Judas
le
ments rabbiniques dans un ouvrage qu'on appela Misclma (rptition); c'tait comme une rptition de la loi de
Moise ou seconde
loi.
Dans
la
suite,
les
Rabbins
la
firent
paratre
de nom-
1)
partir
de cette poque,
les
Juifs
appelrent l'ancien
hbreu alangue
la suite.
2)
sainte>>
nom
conserv dans
effet
du texte plutt que des traductions littrales. Les plus estimes sont celles d'Onkelos et de Jonathan ben Uzziel.
6
par
les
I.
Rabbins de Palestine,
et la
la
obscure,
Gemara
de Babylone
et
dans
les
coles
de Babvlonie
qui
plus
estime
des Juifs.
en aramen pur,
Aprs Ihbreu,
il
un
la
il
assez
grand
nombre
ses
d'inscriptions.
Il
tait parl
dans
Phnicie et
se
colonies,
modifia
en dialecte no-p.mique.
Les
traits
langues
ont
sont
entre
elles
plusieurs
caractres
de
ressemblance
comme
les
distinctifs
par lesquels
langues modernes.
1^.
On
n'crit
que
les
comonnes:
les
voyelles
sont
soit
de
la
consonne correspondante.
en allant de droite gauche.
rencontre
2.
et se lisent
3.
On
La
dans
ces
est
ou sons gutturaux
4.
qu'il
nous
de prononcer.
mots
compose de
elle se
5.
coyisonnes
formes
cas
du substantif ne s'expriment
comme
en grec
II.
De
et
en
latin,
prpositions;
Giitif.
8**.
(Voir
46.)
exprimer
9*^.
ou quand ils servent de pronoms possessifs, s'attaclient au nom, au verbe et aux particules qu'ils modifient et prennent pour cette raison le nom de suffixes.
10^.
l'art
des
constructions
des
priodes;
les
mots
se
suivent
membres de phrase
jonction et
se relient habituellement
par
la con-
IL
La premire
images propres
les voyaient.
les
les reprsenter;
en d'autres termes,
pour
en rappeler
elle
l'ide
ceux qui
Dans
se
la suite,
devint
phontique j
quand
hommes
mirent
laiss
une criture
l'origine,
hiro-
s'en
servirent
surtout,
dans un
but religieux.
Les
leur
Ils
Assyro- Babyloniens
empruntrent
directement
criture
commencrent
loin;
ils
analysrent la
Ils
sont donc
lettres
et
ait
possd de vritables
c'est
8
ralphabet.
II.
De
Environ
trois
mille
ans
avant
notre
re,
quinze
cents
nous trouvons
l'criture
dit
Cependant on peut dire que l'alphabet proprement t invent par les Phniciens, mais ce ne fut
Les Egyptiens
signes
les
une
multitude
innombrable
sorte
de
hiro-
glyphiques.
Dans
au
cette
de chaos,
Phniciens
choisirent ving*t
exactement
nombre
de
consomies
ou
d'aspirations
se servaient pas
pour copier
sacrs
ments qui nous restent de l'criture hbraque sont l'inscription du monument de Msa du temps de Josaphat et celle de Silo; nous possdons aussi des monnaies
On y trouve les caractres hbreux primitifs, tout fait diffrents des ntres. Ces caractres ressemblaient aux lettres que l'on trouve dans
frappes sous les Machabes.
les inscriptions phniciennes.
Le
avons, est crit avec les caractres aramens que les Juifs,
mme temps
que
le
Il
chalden.
comme
qui
une grande
lettre
La nouvelle
reut
qu'ils avaient
commenc
le
plus
tard
nom
carre des
Chach'ois,
IL
De
cause
nombre
Les scribes des synagogues s'appliqurent avec zle donner chaque lettre la forme qui lui tait
de ses lettres.
propre
duisant
et
qu'ils
regardaient
comme
sacre.
En
repro-
ainsi
du texte biblique,
Les
Les
Juifs,
comme
presque tous
que
savants
n'ont
pu dcouvrir pourquoi
si
Anciens
Peut-tre
difficile
lire.
et
mme
varit de prononciation.
En
il
on
laissait
la facult
admises
sacr,
dans
pays o
se trouvait.
Ainsi
le
texte
prononc de
dilBPrentes
les
mmes.
Aprs
Juifs
la
ruine
de Jrusalem, un grand
le
nombre de
langue des
disperss
Ils
dans
monde
ils
l'aramen.^)
furent obligs
d'adopter
la
devaient vivre.
La
pro-
rsolurent
d'ajouter les
voyelles au texte
Mais
ils
des mots,
pla-
En mme temps
que
les
dans
marge
laramen
en
Palestine
et
eu
10
qu'on appelle
n.
De
la Massore'^) (tradition).
Ce
fut en suivant la
ils
comptrent
les versets,
les
mots
et
jusqu'aux lettres
mmes
de la Bible et rendirent
ainsi impossible
On
pense
que
l'introduction
6"^ sicle
complte
ap. J.-C.
des
points
Peut-tre la
cole
Massore tout-entire
juive de Tibriade.
est-elle
sortie
de
l'ancienne
Cependant malgr
Massortes,
il
la
ponctuation
si
ingnieuse des
diff-
s'introduisit
dans les
coles juives
rentes manires
La prononRussie se
Pologne
et la
rapproche de
la
langue syriaque.
et
Ceux
travers l'Arabie
et
le
langue arabe.
La prononciation
elle
est
admise
aujourd'hui
par
les
Protestants
est
et
les
Catholiques.
La prononciation
d'Allemagne
p)oliaise
en
usage
parmi
les Juifs
et de Russie.
in.
et
1^.
De
l'tnde
de l'hbreu,
Aprs
la
la tradition.
Au
onzime
sicle,
De
eri ou
note marginale, doit tre prfr au Kethib qui est le texte mme. Avant de se prononcer sur la valeur de l'un et de l'autre il faut
soumettre
tique (V.
le
lois
. 80).
III.
De l'tude
Rabbi Chayug
grammaires.
Ils
Ds
avec succs
l'tude
sicle,
on
se
mit tudier
Italie,
la
en Espagne, en
en France et en Allemagne.
Jean
Reuchlin mrita
rudition.
17^^
sicle.
les plus
d'autres
augmenter
avec
les
connaissance de l'hbreu en
comparant
il
Parmi eux
faut
citer Schultens,
Schroeder
et
Jahn.
Au
Bickell,
19^ sicle,
Knig, Kautzsch
et
Strack ont puissament contribu en Allemagne aux progrs des tudes hbraques.
les
dans
l'tude
de
l'hbreu.
suffit
de
a
citer
qui
publi
la
de
Londres,
la
plus
complte
que nous
ayons,
d'Edmond
Walton
un
a
dictionnaire
laiss
d'excellents
sur
les
langues
orientales,
etc. etc.
En
chaires
etc.,
France
la
les
du collge de France par les Gnbrard, Yatable, en Sorbonne dans la chaire d'Orlans^); par un grand
1)
bonne, par
d'aprs le texte
<dans les Ecoles de Sorduc d'Orlans, pour interprter l'Ecriture Sainte, Gramm. de Ladvocat. hbreii.
12
ni.
De rtude
nombre de
Oratoriens
religieux ^
etc.,
Jsuites,
Bndictins, Dominicains,
Presque
lihren.
poss en
Nous n'avons
parvenues
nous
sont
sans
altration
considrable.
Le
exempt de fautes de copistes, mais il n'a pas t corrompu dans les choses essentielles qui ont rapport la foi et aux moeurs. Ewald et Renan ont prtendu que les livres les plus
texte hbreu n'est pas
anciens,
comme
le
Pentateuque, Josu,
fois et
etc.
avaient t
composs en plusieurs
qu'ils n'avaient reu
une rdaction
que peu de
temps avant
Bibliques
de
P.
M'".
et
du
On ne
pendant
saurait
Les Juifs
laisss
1) Glaire
a compar les
ciits bibliques
de D. Calmet avec
il
affirme
Rhin qui l'gale et que la plupart d'entre eux lui doivent une grande partie de leur rudition/>. Il ajoute: Le mrite des Allemands dans les langues orientales est beaucoup exagr par des admirateurs qui n'ont pas fait une tude assez approfondie de ces langues En lisant les auteurs allemands (Gesenius, Ewald, Rosenmller, etc.) il faut
n'est pas
un
>>.
se tenir en
III.
De
13
dj
les diffrents
fautes
de copistes et dresser
Canon
ou catalogue des
sacrs.
reconnus
comme
La
les
version
altration
Le
cruel Antiochus
Machabes
J.-C.
se
dfendre.
lui-mme exhorte
il
Ecritures
(Joan. V. 39):
ne l'aurait pas
elles avaient t
corrompues.
Dans
possible
les
sicles
il
n'tait
plus
de
falsifier
texte hbreu
sans se mettre en
Les Massortes
eux-mmes
le texte
de la Bible:
ennemis acharns.
Ainsi le texte hbreu doit avoir pour nous dans sa
la
Vulgate authen-
primitives?
Il
s'agit
ici
cile
qu'il rsulterait
l'Eglise de Dieu, si
il y recomiue
de toutes
les
en
avait
14
ni.
De
pour
soit
telle j
ture, de sorte
la rejeter
les
graves inconvnients
aurait
citer
tantt
autre,
rit,
parcequ'elle est,
et qu'elle
ginaux ou
les
la foi
murs.
n'a pas prfr la
Le Concile
mitif,
fait
Yulgate au texte
il
pri-
ni
et orientales, car
n'en
aucune mention:
leur laisse
Il
qu'ils
avaient auparavant.
parmi
elles
il
la
le sei*vice
public
dans
natre
latine.
D'ailleurs
tmoignage de
ceux-ci
Or panni
dont
ils
nous pourrions
la 4^^ session
citer le Cardinal de S*
o fut rendu
dernier
le dcret
MelYoici
sur
que
dit
ce
docteur:
Dans
il
le
dcret
l'dition
n'tait
nullement
paru
sur
dans
toutes
notre
les
sicle
celle
autres,
mais
saint
synode a
laiss
une
grecque et hbraque".
la
Le Concile
n'a
Yulgate une
m. De Ttude
valeur
il
15
intrinsque
n'avait
pas auparavant,
mais
de
lui
rit
extrinsque
provenant
de
la
dclaration
mme
l'Eglise, autorit
que ne possdent ni
comme
texte
officiel
ce soit".
4.
La connaissance
texte primitif,
mais en-
endroits
et
pour expliquer
les
nombreux
dom
dans
Calmet,
les
etc.,
endroits o
paraissent
oflPrir
plus de clart.
Il est difficile
si
on n'a pas un peu tudi la langue hbraque. Dans tous les temps, l'Eglise a favoris cette tude.
sait
On
avec
quels
applaudissements
elle
accueillit
S*
les
Augustin
va jusqu'
dire
que
la
connaissance de l'hbreu et du
Le
Morin,
le P.
grands thologiens ne
pas autrement.
Nous
1)
S*
l'A. T. et
N. d'aprs
Jrme avait traduit, il est vrai, tout le Psautier sur le texte hbreu, mais sa version ne fut pas adopte, parceque le Psautier de l'ancienne Italique tait depuis longtemps en usage
dans l'Eglise.
Louis
ont reconnu
mrite de
Walton
l'a
16
ni.
De
ngliget
s'y
adonnt dans
chez
Paul
fit
un
commandement exprs
d'riger
tous
les
suprieurs
d'ordres
eux
des
chaires
langues orientales.
Lon
Pagnin
ture
faire
d'aprs le texte
rgles
le
professeur d'hbreu.
Depuis
le
Pie V, Sixte
verss
et
Grgoire
XIV
corriger
VUI
telle
que nous
Enfin
la lisons. le
traite de
pour
et
une ncessit,
pour
les
livres
canoniques.
Il
serait
aussi
dsirer
aux
dans
grades thologiques.
De
plus,
il
les autres
langues smitiques
pour
dans l'intrt
La connaissance de
grande
utilit
pour rfuter
Protestants et
les Incrdules.
III.
De Ftude de Thbreu,
et
17
Yulgate,
il
faut donc
etc.
de
Huet, de Witasse,
que
que
hbreu,
Depuis plus
ont
d'un sicle,
les
puis
dans
la
philologie
arguments
pour
attaquer
nos
se
dogmes.
Bullet,
Nous devons
Gune,
etc.,
ils
sont placs.
se sentent
pour l'tude de
zle
la
y appliqui
ca-
quer avec
pour l'honneur de
sainte Eglise
dsire toujours
rencontreront,
est
vrai,
eUes
est
bien vite. Bonnetty affinne qu' il non seulement possible, mais facile d'apprendre l'hdisparatront
lmentaires", et
il
homme, ayant
tude une ou
un an, en consacrant
cette
Chabot, Gramm.
hbr.
l' ditioa.
Premire Partie.
De
la lecture de l'hbren.
. 1.
Des consonnes.
en allant de droite gauche.
les autres
L'hbreu
s'crit et se lit
comme
dit,
que
les c&nsonnes.
Comme
par
nous
l'avons
les
voyelles
furent
ajoutes
lettres.
Nous
la
le
tableau suivant
aux langues de
prononcer
et
l'Orient:
les
il
nous
serait
difficile
de les
de
reprsenter.
employons pour
caractres
latins,
et notamment par M. l'abb Nous Vigouroux dans son Dictionnaire de la Bible. nous servirons de ces signes phontiques dans notre Grammaire, pour indiquer la prononciation des mots
des
philologues
modernes
hbreux.
De
la lecture de l'hbreu.
19
20
Les
lettres
I^e la lecture
de l'hbreu.
sont souvent
is%
ce sont
n,
\^)
Cinq
^,
lettres
changent de forme
finales)]
elles
la
fin des
mots:
Z,
),
?,
(lettres
^)
y :'5 2
kamiifs).
i5^
r.^
>,
r,
",
s'largissent quella
d'un mot,
l'usage^ en hbreu^
lignes.
les
mots en deux
nomme
<^
dilatables
^,
^,
:^,
Ecrire en caractres
des
libretix.
les
consonnes seulement
local bDb,
mots
suivants,
comme
voyelle.
par exemple,
normand
12121Z.
hbreu
sans
Danemark, hydromel, citron, cavalcade, tribulation, Constantinople, Abraham, construction, chai-mant, phosphore, arabe, musulman, protecteur, instruction, clinique,
1)
bres.
de
"^
Les Juifs se servent des lettres pour exprimer les nomLes dix premires lettres de X ", reprsentent les units; p les dizaines; les autres lettres s'emploient pour les cen-
taines.
Le ^
(sans point
Les Massodiacritique) signifie 300. nombres 500, 600, 700, 800, 900, par les 400, les les rabbins prfrent ajouter r
ex. "ir
La
lettre qui
"^r.
exprime
436.
le
nombre
le
droite, ex.
Le nombre
du nom
2)
ineffable r.-")
mais par
"J, 9
-{-
<^-
mmoire.
De
circulation,
la lecture de l'hbreu.
21
Amrique, alphabet,
2.
On compte
brves.
cinq
longues
et
cinq
voyelles
pondante,
comme
il
suit:
Voyelles Imigues.
;-
Kamets^)
^z'n
DIT
n^")
dbr {parole)
sm {nom)
rib {dispute)
Cholem
Schoureq
b^'p
Ti'^i'a
qol {voix)
{ou long)
Voyelles brves.
miit {mourir)
-^ Patach
-:r
na
?jbl2
bat
{fille)
Sgol
meleTc {roi)
'D^
Hm
{avec)
Kamets chatouph
Kibbouts
Les points voyelles,
llilg
'iripTp
qorbn {offrande)
sulhn
{table).
u {ou bref)
comme on
le voit,
ne se prononalBPecte.
comme
par exemple
Dn'::
mayim.
plus
1) Il est
etc.; il serait
Nous ne transcrivons
seule lettre
%
le
Schoureq et
le
long et
bref.
Comme
le
(bou); 2 bu (bou).
22
De
la lecture de l'hbreu.
. 3.
Sous
place
les
un Schera
sev\
ou plutt
Jj^lTT
sv\
vain,
voyelle et tantt ne se
Scheva simple et
le
Scheva compos.
A.
Du Scheva
simple.
Le Scheva
quant
simple,
II
ne
s'crit
(il
ex. btp
qtal
final,
finales,
iu)-^
mais
il
s'crit
toujours dans le
Caph
ex.
et
a aussi
un Scheva,
ex. r)bt:p
de
l'e
muet dans
ceptible,
devoir,
ptetit-^
presque impersoupon.
le
comme
Ve
muet
dans
syllaV
Le
nom
dis-
moyen
desquelles
on peut
Le Scheva
est
mobile au
commencement d'une
ex.
syl-
aPibt:p qetalfm
(vous avez
De
2
la lecture de l'hbreu.
23
n'est
aprs
pas affecte
aprs
un autre Scheva,
ex.
^b'Pj?'^
yiqtl
(ils
DaguescJi
l'intrieur
nbpp
qitteldh
(elle
a massacr).
le
quand
la lettre
Scheva
halelil (loues).
Le
que,
dans
le
mme
mot,
il
est
Comme
nous l'avons
Scheva
trouve
dmible
par un Dagiiesch
se
devant
un autre Scheva,
ex.
^HpS';
yifqed
{_ils
visiteront).
Du Scheva
compos ou Chateph.
htf,
se
rapide),
joint
une des
voyelles brves
On
Le
ex.
lipyi
CJicdeph patach
-zr,
qui a
le
son de a
trs bref,
'oser (qui).
sgol
Le Chateph
(homme).
24
De
la lecture de Thbreu.
(^maladie).
Le Scheva compos
pour en
faciliter la prononciation.-^)
Lire et transcrire,
comme
rmiri
,a*^5i?T
^orinsr
. 4.
Du Daguesch
(t':>r]
et
du Mappiq.
en doux et
fort.
Le Daguesch
se divise se
Le Daguesch doux ne
sonnes
S,
:i,
1,
D, B,
Ti,
Les Juifs
D, S,
r,
Il
n'y a
que
pour
le
:
f,
lorsqu'il
garde l'aspiration,
conserve la prononciation
se
et lorsqu'il a
un Daguesch,
la lettre
il
prononce p.
Le Daguesch
ex.
fort
nb^tt?.
L Daguesch
doux.
ou un Scheva mobile.
Par
suite,
Daguesch doux:
1 lorsqu'elle
de phrase, ex.
1)
r^'Ci^'i^ berst
La prononciation de
Scheva simple.
De
2'^
la lecture
de Thebreu.
25
de phrase,
se
lorsque dans
le
courant d'un
membre
elle
aprs
un autre qui
i^'^S
r"'ri5';;i
hersU hra
cra).
le
lorsque dans
coi-ps
ou
la fin
suit
un
malM (mon
qtalt (tu
as tu)
]":,
Fatai, ex.
Il
TTr smaat
a
une
pers.
Ti
(toi),
Dr,
Daguesch quand il
fort.
Le Daguesch
(il
est fort
ou doublant:
voyelle
est
limmd
il
quand
ensemble
(Daguesch
ex.
n'^'L'ir
rnah-ttb
(combien bon).
Le Daguesch
les
fort ne se
met que
ex.
trs
rarement dans
vayyeh
fut, et
il
arriva).
Bemarque.
Pour
reconnatre
si
le
Daguesch
le
est
doux ou
doux
l^'n
fort, il suffit
Daguesch
et
le
[dseti],
est
presque
toujours
Scheva
midbr
doute
T',
a parl).
DaiUeurs
le
ne
peut
exister que
pour
", r, s, T,
m.
Daguesch,
Les
le
gutturales
(.
6)
ne
prennent
jamais
le
Resch
rarement (voir
cependant ci-dessus
IV.
de voyelle se contracte
Le Nnn surtout
26
aime
yinpl'^
De
s'assimiler,
njl';
la lecture de l'hbreu.
ex.
(il
PS"]
yippl
(il
totnbera)
pour
bs!";
yiqqaJi
pre^idra) pour
npb\
est
y.
Le Mappiq
(p^^Q,
g'W
allonge)
un point
final,
prononcer
le
comme
li
non
aspire, ex.
maJch (son
roi,
arsh par
terre.
transcrire
lettre les
les
mil'Ms,
T^l?
'assr.
vv-
--/It-.
-7
-:/
VT'-/
"T/
TT'/
T/
5.
De
la distinction
long) et
du
le
(.
2)
sert reprsenter le
Kamets
( long)
et le
Kamets chatouph
la
(o bref).
le
moyen
serait
coimaissance
interrogeant
parfaite
de la langue hbraque.
Ainsi,
Jcol
en
(tout) vient
de V2 Ml.
vident que le
-_-
venant
Kamets
de
chatouph.
utile
donner quelques
signe
On
est
peut faire
suivi
ici
trois hypothses:
ou bien
le
-;-
S'il
est suivi
De
sots-entoidu
(o bref),
,
la lecture
de l'hbreu.
27
soit implicite,
il
accompagn d'un
petite
accent
ou
du Mtheg
{^t*.
mteg,
frein)
ligne
Dans
le
le
premier exemple,
il
le
dans
second
est
sons- entendu
le
le troisime,
renferm dans
Daguescli du Nun.
Mais avec
hyeth'.,
"''^r^
le
Mtheg:
^t^^^
(elle
c'te),
se
prononce
ma lmmli
II.
(pourquoi).
est
S'il
compos ou chateph,
il
prononcer chatouph (o bref) toutes les fois que ce Scheva est un Chateph Jcamets , ex. ""^ mohort
doit
se
(le
lendemain)'^ ib^B
m.
S'il
est suivi
se
prononce
chatouph (o bref):
1 Si
ex.
cette
voyelle
est
^fb^S po'ollci
(ton uvre).
rgle.
Kamets
B'^lT'lg
parait
qodshn
de
l'ip
Dans
derniers cas, le
est toujours
accompagn du Mtheg.
11. 4").
comme pour
,^22n
,a-;7;'
,'?)nTy> j'^'yot
jT^yat ,n'::T
^nj-ar ,^ir7p
28
lettres hbraques.
Chapitre Second.
Des proprits des lettres hbraques.
I.
Les
consonnes
hbraques,
le
considres
sous
le
gutturales
labiales
....
1,
i5,
n, n,
1,
""^
3?,
(^nn.^ 'aMJid).
(l^^2 hiimaf).
2.
3.
2,
-'^?
, S,
^?
:,
:,
palatales
linguales
P? (p5"*5 gikaq).
4.
5.
t:, b,
1,
n, (nsb''l datlnt).
'
dentales
ou
sifflantes
D,
t?,
(l??T
zassas).
(l)
qui,
Dans
des
ce
tableau
ne
figure
il
pas
le
Hescli
est
soumis, se rapproche
mais
qui,
en ralit,
part.
la xjrononciation
aspires,
savoir:
2,
^,
"!,
D,
r, (n2":J3 he-
gadkefat).
2.
mobiles et qiiiescentes.
On
son produit
par
le
elles appartiennent.
Or
et
les
quatre suivantes:
^?
% % Oin^
'eliev),
et
ne se prononcent pas:
spcialement
dans ce
Nous
gutturales
traiterons
et
des
les
proprits
des
des quiescentes,
dont
rgles sont
(.
d'une
21 et
30
et suiv.\
lettres hbraques.
29
6.
Des gutturales.
le
1^
Daguesch
fart^):
ex.
pour
j^:?!!
le
la
voyelle prcdente,
lia^'ayin;
iid;)
h'ayin
pour
de
yvjr^
ymr
\il
n'a4<'^
iji'mr.
la
Cet
allongement
le
voyelle
est
ordinairement
omis devant
trinn
et le n,
,
ex.
C^hri liahds
dit
On
alors
que
la
un
Daguesch
implicite.
2 Lorsqu'elles
devait tre
si ce devait tre un non pas toujours, mais souvent, si ce un Scheva quiescent Dans le changement du
Y'^
semble prfrer
le
trois
,
le
ex.
bbl^ 'ekl
{mange),
Dpn halm
{frappe),
Z'^''m
hmissim {cinquante),
nahlh
^']V 'd
{ornement).
On
trouve
ydaH
fin
{je sais),
{torrent).
et y, lorsqu'elles sont la
d'un
mot
a.
et
sans voyelle,
la
ex.
du son
on
la
Si
donc
a,
voyelle
change en
tjismo
;
TOXOI yisma'
{il
entendra), pour
y\3. hie.
yic']
2?52 hilla'
la
englouti)
pour
la
4^ Lorsque
voyelle
qui
prcde
arrive
gutturale ne
certaines
peut
pas
tre
change,
(ce
qui
dans
un demi-Patacli qui
a que le
le
se
prononce
trs
rapidement avant
Il
au dessous -d'elle.
n'y
H
bien
et le
T\
1) Il serait
difficile
dans
la
prononciation
le
30
ce
lettres hbraques.
demi-Fataci,
tj'^n
appel
Patach
fiirtif,
ex.
^^^pn
rqa
(firmament),
Betnarque.
furtif sont
Les
trois
Chateph
(.
3 B) et
le
Patach
employs pour
se
des gutturales.
5
Le
Itescli
qu'il
ex.
t[*iS
hrh
a heni) pour
tj'^.a
hirrek.
"i^Ji
Il
prcd
du Patach,
i5n;;i
ex.
hmar
a rendu amer)
i'^.'ji
vayyar
(et il vit)
pour
vayyir
7.
Des quiescentes.
les
On
^?
'^?
croit
*^y
assez
gnralement que
quatre lettres
^y
^^^
^^^^ autrefois,
de voyelles.
elles
qm
voyelles:
on
les
subsister
cependant
Les voyelles
ont
Les voyelles
et i sont
i5,
celles
du son
celles
le
du son
et
ou sont homognes
du \
Il
en rsulte
tableau suivant:
Voyelles brves.
i<
Voyelles longues.
A
\
JE
I
^
[
Kamets 4-Tsr
'' Chirek gadol
i
-^ Patach
jE
U
[
Sgol
-
-^ Chirek qaton
Ou
I.
()
Cholem Schoureq
lettres
i,
Kamets chatouph
(u)
\
^,
Ou
Kibbouts.
Les
n,
1,
hcV
(il
est venu),
n^S
est
savveh
(ordonne)-.,
dans
lili^b
V^
lettres hbraques.
31
Tsr,
le
et
le
a rendu bon)
premier
second en
ChireJc.
Quand
voyelle
les
lettres
fc,
l,
1,
^^
sont
affectes
'i']p
d'une
ou d'un
ScJieva,
elles
qayin
{Cain)y
inn
lidar (orner).
ces
A
ment
gne,
"i'^Sl
mmes
quiescentes.
IL
Une
a^]?
qam
(voix)
(se lever),
bn (parmi).
Si la quiescente est
ex.
omise, la voyelle
s'appelle
dfectivement crite,
CJiireJc
bp
ql
pour
'l)'^'p.
Le
ment
gadol (long)
^b
l
est
crit,
ex.
( moi).
le
%
ex.
ex.
Ty^ra
mt un
(et
mot
un
et
former
voyelles
une
syllabe,
'jl^
hn
fils).
Les
IIL
la
pleinement
.
crites
sont
ordinairement
msa
Le Cholem
dfectif s'crit
il
tantt
au-dessus de
ex.
consonne laquelle
sert
de
voyelle,
la
11 db
(ours)j
consonne suivante,
ni
ex. Wp"^
il
n'est
prcd, ni
2^
se
il
est
immdiatement
"ji^
il
'vn (pch).
a sous lui une autre
se
prononce v quand
51
voyelle, ex.
Vav doubl
avec le
il
mme
toujours
signe
^,
faut
que
le
Vav
doubl a
sous lui
une
lui-
le
Schoureq voyeUe
32
lettres hbraques.
mme
(ils
ont
que
la voyelle Schoureq;
n^!?*;
yesavvJi
(il
or-
Vav affecte du rsulte que^ de deux ^^ qui se D'o il Baguesch fort. suivent immdiatement^ le premier est un Vav daguessecond mi Sclionreq. ex. ^'IS"! yesavv (ils elle et le
donnera),
ce
^
mme
est
la
consonne
ordmmefront).
le
Clwletn ( long)
diacritique
sei-t
2^oi7t
du Sin
du
Schin.
ce sujet:
1^
Lorsque
le
t?
accompagne de
critique
sa
voyelle,
le
du
un Clwlem. en
soi-te
qu'il
smnr (gardien).
't,
se
Choient se
il
trouve
et
le
point diacritique
ex.
GE"**;
gauche,
foulera
3
os,
yirpos
{il
aux
Si le
n'a
la
consonne prcdente
la fois
le "C
pas de voyelle,
le
point servira
nrr
niosli
1,
(Mdise).
et n'a
gauche
pas
du Sin
et
CJiolem,
il
s,
ex.
'^Vt
T^T^'s,
{parce que).
Des Accents
et
de la Pause.
33
dans
Aprs
la
Tlod
se fait entendre
y, ex. "^n
prononciation
hyil
(ils
comme
la
consonne
hmj
(vivant),
Vil
taient),
(natimi),
^IIS. 'clny
riod
de
devant
le suffixe
de la d^^ pers.
sing. attach
un nom
lv (vers
lui)-^
^^:^
hnv
(ses fils).
Kemarqiie.
Psaumes, Prophtes),
(Chroniques,
et l'criture pileine
dans
etc.).
Esdras, Nhmie,
i^p^ irr:)
M^n-r^
CT
yT^ ^'^T;
IT
rpi
lis n;?^
">^"J?;
";::r
T^n
Le 8^
l'exception
ici
du Chateph kamets
Nous
le
citons
comme rsum
"Si?
"i-in
^3
bis
*'r:fT
on^b?
I
tisi
V
iT
nisbi?^
T
..
""^^^pb
D-iii
(Voir surtout
ci -aprs
.15, l'Exercice de
lecture.)
Chapitre Troisime.
Des Accents
. 8.
et
de la Pause.
Des Accents.
des signes
placs
soit
Les
soit
accents
sont
au-dessus,
Ils
Chabot, Granim.
dition.
34
1
I^es
Accents et de la Pause.
la syllabe tonique,
dterminer
la
sq)aratiou
dans la phrase.^)
I.
signes
du
ton.
mme
se
placent
ordinairement
sur la
dernire syllabe, rarement et par exception sur Favantdernire, jamais sur l'antpnultime.
Tous les mots hbreux ont un accent tonique. Quand un mot n'a qu'un accent, c'est toujours Vaccent tonique. Quand un mot est muni de deux (et mme parfois de
trois) accents, c'est le dernier qui indique le
ton princi-
Quand
d'en has),
Gramest
mairiens appellent
ex.
{p^b^l chald.
l'accent
nn'n^)
quand
mot
ac-
centu MiVl
(b3?':pp
On
connaissance
de la langue qui doit alors indiquer la syllabe tonique. L'accent sert quelquefois faire distinguer le sens
ils
bn
signifie en nous.
comme
signes de ponctuation.
A Torigine, ils servaient de notes musicales pour la rcitamodule de la Bible dans les synagogues. 2) Nous avons indiqu la syllabe tonique dans cet ouvrage quand nous l'avons par l'un ou l'autre de ces deux signes *, jug ncessaire.
V)
tion
Des Accents
et de la Pause.
35
disjmic'Afs (subdiviss
la
en majeurs
exister
et
indiquent
sparation
qui
doit
entre
phrases et les
membres de
phrase.
les
comme
la con-
le
substantif,
du verbe avec
sujet, etc.
La
assez
un systme
n'est
ingnieux,
mais
dont
la
connaissance
pas
Parmi
les trente
deux accents
et
les
usits en hbreu,
nous ne
les
savoir,
cinq premiers
canjcnictifs.
A.
1.
Accents disjonctifs.
sillq,
Le SiUouq (p-^0
(;)
fin)
soptlt
toujours
suivi
nomms
du
verset).
Il
se
Il
trouve
est
Ja
fin
de
Bible.
reprsent
par
mme
signe
que
le
Mtheg
les confondre,
parce que
le Sillouq
ha ares
UAthnach
des
il
dans
en
Je
milieu
parties;
versets
qui
sont
toujours
diviss
ex.
deux
C"^nbi5 'lhm
(Dieu).
3.
Le MerJca-mahpak
qui,
ainsi
que TAthnach
et virgule.
36
Il
I^es
Accents et de la Pause.
les
Livres
xjqtiqiies
(Psaumes,
Job, Proverbes);
verset,
ex.
il
employ avec
(^impies).
celui-ci
dans un
mme
z^'f'":
4.
se
il
met au dessus
se place la
ex.
est
donc suprieur
et postpos,
7"'p"
rqa'
5. 6.
(firmament).
Le Zaqeph qaton ,
ex.
Miy\ vbh
'^^"^""^
(et le vide).
Le
ZaqepjJi
gadol
ex.
lehabdl
(pour
sparer).
7.
Le Tiphcha
ex.
cmnmen-
cement).
Le Behia -^, point plus gros que le CJiolem: il en diffre en ce que celui-ci se met l'extrmit de la lettre, tandis que le Behia se met au milieu et se place un peu plus haut que le Cliolem. Le Rebia rpond
8.
et
virgule.
Il
annonce souvent
(et la terre).
T"i$?7*
vehars
B.
1.
Accents conjonctifs.
ex.
2.
3.
4.
5.
Le Le Le Le Le
MerJca
Moimach
hra
(il
cra).
Mahpak Qadma
Darga
hn (parmi).
, ,
ex.
ex.
^t;>"
J5"'^i
A
qui
(r^r^
la thorie
avec
mfg,
lui
beaucoup
de
rappoTt,
ainsi
c'est
le
Mcthey
pour
"'Ilir!
frein).
On
appelle
verticale,
qu'on
place la gauche
la
d'une voyelle,
prononant,
ex.
seb
(tu seras
assise).
Il
se
met sur
Des Accents
qu'elles soient
ainsi
et
de la Pause.
il
37
contrebalance
l'accent
Kamets du Kamets
et T^ri somrli
cJiatouph, ex.
smerh
(elle
a gard)
{garde).
(.5.1.)"
lie)
Le Maqqeph ou trait d'union (?,|5^ maqqf, ce qui est un trait horizontal plac au haut de la ligne
deux mots:
il
entre
sert
viter
le
concours de deux
le
seulement
trouver
sur
le
mot
ex. bi^nisiv^'^^''^^
JcoUht-yisr'l (toute
maison
d'Isral).
.9.
De
la Pause.
On
lieu
membre
de phrase.
et qui tiennent
sur le dernier
sur le
qui,
de la Bible, VAthnach
et
le
Merlia-mahpalc
pour
ainsi
dire
Les accents
influent
cits
disjonctifs
majeurs
sont
les
seuls
qui
sur
les
voyelles.
(.
plus
haut
8.
La pause produit
1
a tu\
:n')'Q
pause
Y^..'^.
blSp^
qtal; ^)2
mayim
(eaux), la
pause
la
myim\
2
Si
le
'rs (terre), la
pause
i^'^. 'cirs.
mot
si
plac
la
dernire syllabe et
immdiatement prcd
38
d'un ScJieva
attire
^j:?
Des syllabes.
mobile,
ce
Scheva
se
lui l'accent,
ex.
^r" 'immek
le
pour
'immeM] ^2t
3^ Si, la place
du Scheva,
en Sgol,
mot
avait primitivele
ment
ne
se
Scheva
lide
changerait
la
pas
place
mais
et
la
voyelle
reparatrait
du Scheva
deviendrait voyelle
longue, ex. '^bt:p qtl (ils ont tu) pour ^bi:> qtel, mis lui-mme pour ^rJ]> qtahr, ^'^^p? yiqtol (ils tueront) pour "^bt:]:"^ yiqtel, mis lui-mme pour '^'bbp'^ yiqtht 4*^ Le Scheva compos se change naturellement en la
voyelle
qui a
ex.
servi
"^rb?
'
le
former
et qui
devient longue
'
la ixiuse,
n (moi), la pause
"^ZiJ
n-^
"'bn Iwl
Lecture
et transcription.
Ti:
"^"ibTi:
i52
'^"^'r *^^:!'
"'t^" ^'?^i^^n
nTi2-''i?
(Juges 13.6.)
fb
"i'^5-;-i^p
iTS^'-ri?;-
Chapitre Quatrime.
Des syllabes.
.
10.
De
la distinction
des syllabes.
Une
runion
syllabe se
compose
le
plus ordinairement de la
d'une consonne et
d'une voyelle.
Une
finir
syUabe,
par
b'ois
Elle
ne
une
a
L'Aleph
(il
initial
dit).
comme
dans Ti 'mor
Des syllabes.
39
A.
l''
Il
j a trois sortes de syllabes: Les syllabes ouvertes qui se terminent par une
lettre quiescente,
voyelle
{il
ou une
ex. ib l ( lui),
iT]?
qr^
a appel).
2 Les
syllabes
fermes
qui
se
rm
(haut),
bE?]? qittl
mis pour
le
bl? Ipp
(^7
En
crivant
entirement
aigu ne diffre
le
JDaguescli
fort n'est
qu'une
simple ahhrviation.
B.
Le
soit compos,
ne
suffit
pas
dite:
du Patach furtif
il
La consonne sous
Il
laquelle
se
rencontre
peut
se
selon
que
le
Dans
le
premier
cas,
le
Scheva appartient
T\
la
mme
tal ta
b'^
j5
Dans
(tuez) y
'\*i2S._
les
deux autres
ne mcin
cas,
il
appartient la
ex.
n:':?
mme
b]?
qet lenh
(fidle).
comme
par
exemple
np
^.-IjlJ
B*:;
^"nab
pour
-^T lab.
:Dbi:r rr
,av,tbs
40
Des
syllabes.
.11.
l""
syllabe.
Les syllabes
qu'elles
soient
accentues
i'is
cra).
Elles
brves ;
cas,
des voyelles
(.
noms
7ia'
se'gols
48),
tels
que
'i:!
ar (enfant): devant un
ex. ""biH;^
y*emr
dira).
au commencement, soit la
(reine),
fin des
mots, ex.
nsi:^
mall'h
icr
'scT)
{gazon), S'^^
vayysob
{et il revint).
Cependant
longues
elles
accentues;
ce
"'ih'^
didjr {parole).
ou
Quand
les
syllabes
cette
finales
accentues
tre
prennent une
voyelle brve,
le Sgol,
voyelle ne peut
seltm {paule).
que
le
Patacli
ex.
r5r
imm
On
smmh
trouve
rarement
dsigne
a long, lorsqu'il
fait partie
zkerh
(elle
se
souvient)]
o bref,
pas
la
fois
finale
et
accentue),
ex.
piti de moi),
rrpT
zoh-cih (souviens-toi).
ici
La prsence
(. 5. L).
du Mtheg indique
que
Des
syllabes.
41
12.
Hi-gle gnrale.
des change-
ments de voyelles
tonique.
a)
Si
par
suite
d'un
l'accent
commencement
dhr {parole),
m:'"!5 ge*^^'^
force vers
S'ii^'n
syllabe
accentue ^ ex.
"IS*^
dehrhn
(grande)-^
(pcn'oles)'^
"b"::
dlh
(ils
Idmad
a appris),
lmed
mit appris). b)
Si^
le
commenceex.
T)?;;
ment du mot,
ylJc (il
voyelles
de la fin s'ahrgmit.
il
ira), jVtl
vayyelk (et
alla).
c)
les voyelles,
ex-
n'affectent
ont
ordinairement lieu
Ainsi
le
entre
se
voyelles
mme
en
classe.
Kamets peut
le
quefois
en
Sgo)'.^
Tsr
en
(quelquefois
Les
V
sig)'^
2*^
Quand une
il
lve), D]^;"
vayyqom
(mon
(et
il
se leva).
Quand une
^tb
syllabe ouverte se
change en syllabe
livre)-^
ferme, ex.
sfr (livre),
^*tz
sifri
"C"p
qds (saintet),
3*^
Quand une syUabe ferme avec voyelle longue se ex. c:? 'm (peuple), '^'r amm (mon peuple)-^ 2i\ cm (mre), ^llt^, 'immi (ma mre); "p'n
change en syllabe aigu,
^
'
hq
(statut),
'^pn
huqqhn
(statuts).
l'accent
42
brves,
ex.
I^6s syllabes.
yit"iy^r'^l'b'?
'
aJ-lxol-dehar-psd
(dans
tonte
espce de lorvaricaUon).
Quand une
syllabe ferme
devient
ouverte
par
suite
"n
a
liar
{montagne), n^^i
Mrim
(montagnes)-^
2
et
Quand une
la lettre
que
ex.
a bni) au lieu de
voyelle
ex.
i;"^2
birrk.
3^
Quand une
homogne,
brve
se
rencontre avec
cra) pour
sa
quiescente
bara
ibiJ:'::
(il
i5'i2;
l'emr.
(.
9.
Comme
nous l'avons
dit
1)
la
pause
est
De
la
I.
On
vite
on
syllabe,
ex.
by
yigl
fait
b;\7
yigl
(il
manifestera).
Sgoh.,
La
Si
la
"i>:
voyelle auxiliaire
est
ordinairement un
de
l la classe si la
sgols (. 48).
voyelle
ordinairement
un Patach:
ainsi
na'r
fait "it:
na'ar (enfant).
quiescibles
Les
ex.
lettres
^^T.
n.
D'aprs
rgle
prcdente,
deux Schevas ne
Des syllabes.
1''
43
le
Si
ce
sont
premier se
";;n~
change
ordinairement
ex.
dihr
{paroles de)
pour
'^'^n'^
2" Si le second
le
Scheva
compos ou
Cliatep)h (. 3. B.),
la
voyelle
brve
leekl
"'^^!^ holwl
pour
'"<r;2
hehol.
Cependant quelquefois
ex.
lirn^
gardent
le
Scheva simple,
yahsob
le
pensera)
corn-
Quelquefois aussi
Sclieva
et la voyelle brve se
Le
Sclieva
devant
le
Sclieva
simple,
se
change en
ya'amd
Tjpys
se
tiendront debout),
pour
^"^^"^
ya'nid:
comme une
se suivent
qu'ils
exception ces
rgles,
cas
o deux Schevas
d'un
mot,
immdiatement
appartiennent
dans deux
le
milieu
parce
le
syllabes
diffrentes,
premier
ex.
des
deux
tant
quiescent et
{ils tueront).
Vautre mobile
(. 10. B.),
^;"J p"
yiq tel
in.
Trs
souvent
le
Sclieva
simple
se
change
en
Kamets devant une syllabe accentue, ex. tribut), pour ^b (lemas)\ ntpb lbtali {en
n"jnb
lehtali.
pour
lY.
Les
accents
peuvent aussi
faire
apparatre de
(. 9).
14.
De
on
re-
une
des vovelles
de
ce
mot,
en sorte
44
que
le
J^'^i^
syllabes.
le
temps employ
le
mme. Voici
1 Si le
mot
reoit
une voyelle,
cette
l'accent
tonique
ordinairement
sur
voyelle.
Alors pour
faciliter la
prononciation, on
la racine et
^'l
appartenant
ex.
on
la
SIT
sm (nom),
sem
{mon
la
nom)'-^
^.zt
Dans
voyelle
la flexion
des
noms
(.
de
la
premire
syllabe
qui
s'elide,
ex.
^2'^
dbr (parole),
^I^^V lebhi
i'":^"
(mon cur).
la
Dans
flexion
des
verbes,
c'est
ordinairement
ex.
bt:]?,
la
fm.
tu)-.,
bt3p
qtl (tuant),
^Pt:]:':
plur. 2"^V9P
qtelm;
pbp": yiqtl
(il
tuera),
le
le
Comme
Tsr et
on
le
voit,
Kamets
2"^
et
les
Ts' de
et le
la
1'^
syllabe s'lident
ordinairement dans
de la
noms,
Patach,
le Cliolem
ment dans
on ne
la
les verbes.
7. Il),
tonique, ainsi
ItiqtiMh (elle
b^upH
Idqt'il
(il
a fait
tuer)
fait
nb^icpr!
fait tuer).
2'
Les allongements qui commencent p>ar une conordinairement disparatre aucune voyelle,
(il
sonne, ne font
ainsi
tu)'^
de btp qtal
de
ibp"]
yicptl
tuera),
on a nzbbpn tiqtlnh
(vos
(elles
tueront)'.,
de
Bnrjp
qetaltm
tu).
avez tu)
on a
m'avez
Ces allongements
commenant par une consonne, n'attirent pas ordinairement eux l'accent tonique: c'est la raison pour laquelle
ils
Des
3 Si
le
syllabes.
45
du
se
nom
change en
qaton, ex.
SD^";::'^
dehrhn
(j)aroles),
dbrlim
mis
pour
DD"'"l'vf
delrkm.
15.
Exercice de lecture.
os'
yeh
fnirt
sadday
,tout puissant
!r
II.
'El
soit
:avez dit
qui
Dieu
'or
vayeh
vous plait
.lumire et a t
niafs
lumire
n
'et kol
wsMJi
vehabra'}
.ses
tnbres toutes
relitk
et chassez
:de
mon me
les
veux
me
46
Des
syllabes.
hadm
dans
lo
heM leM
en vous
lien
'M 'Al
.sdt'q
rhomme
non
tsa'
C'est
pourquoi
.justice
nv
l'humble
keroh
M
parce que
j'ai
hthti
vous sauverez
mis
ma
confiance
Hofinn
^:2n
.hk hsJib
VI.
'
selon
la
Ayez
de de
piti
.en
vous
se
confiant
grandeur
moi
vesa
tel
liasd'k
Jtattofdy Mcol
.mes
pchs
tous
et
pardonnez
s
votre
'Asr
^ITTi?
bont
ney
ri:
(est)
ha
(dont)
VIL
pardonne
'
l'homme
vehy
Bienheureux
:pasa
sr
celui,
qui
et
malheur
.rasa
:1a
prvarication
nst
'lM
l taluisob
j'ai
lev
^v-^^ nrnp,
.l'iniquit
!vnotJi4
pedennh
dlivrez-la
'
:nafs
.ses
iniquits
valisok
de
toutes
:mon
me
:raJimk
lh
n'^'5r t
t
Mesok
?iirr
tm r
'
n^rn'
-:
*v
-: i-
IX.
et
ne permettez
pas
vos misricordes
sur eUe
Etendez
48
3
P"'i'52iJ
Des syllabes.
'mrt]
la
prsence
de
raccent tonique
Athnach, de
soit
mme que le Iltheg, empche que le Kamets un Kamets cliatouph (. 5. L). De plus, le Scheva du Resch est quiescent parce qu'il vient aprs une voyelle
(. 3.
A.
II. 4").
Enfin,
Daguesch du Thav
4
'n*;
est
(. 4. I.
est
mobile,
(. 3.
mot
A.
I.
1);
riod
(.
7.
de aiireJc
^o
qu'il se
VI).
le
^y-,^1^
vayeM\
Scheva de
est
pour "n^";
or,
Scheva
se
trouvant au commencement
(. 3.
d'un
mot
est
II.
ncessairement mobile
1
i^s
A.
I.
l*^).
le dernier H est quiescent, ^"'^'r liarn-mi'^ parce qu'il Test toujours la fin d'un mot, quand il n'est
pas affect du
Mappiq
le
(. 4.
V).
Nous avons
le
ajout
un
la
n dans
qui
est
la transcription,
parce que
Daguesch
euj^lionique
dans
Nun
IL
prononciation
(. 4.
Dans
^52
sans
de
vayelle
"rr
^'iTE:
'rn;
les
quiescents.
YI).
Scheva du Ph
signe
(. 3.
A.
II.
P).
le
4^
est
veliabriah le
furtif,
4^^).
Heth
ce
un PatacJi Heth (. 6.
c'est
pourquoi
se
prononce avant
par
mots sont
lis
le
De
plus, le
Maqqeph Kamets
Des syllabes.
49
parce qu'il
est
du Caph
6^*
est
un Kamets
le
chatouinli
plac
(. 12. I. 2'^).
nsirn hosMh'^
parce
il
Kamets du Heth
suivi
cliatoupli,
(.
qu'il
est
d'un
5.
L); d'o
(. 4. I. 3").
rsulte
que
le
Daguesch du Caph
est
doux
Le point
plac dans le
est le
Mappiq,
son aspiration.
m.
que
2*^
1^
"jS
_2Jew,
le
Daguesch du P
est doux,
parce
celui-ci se
rriP
(. 4. 1. 1).
le
fm't,
parce
qu'il
ne
se
le
mettent
Daguescli doux
il
au milieu du mot,
voyelle brve (. 4.
qu'il se
est
IL
1'*).
Enfin, le
trouve la
fin
du mot.
(.
7. I).
3" i'^riirT'.kr
me
rehotJi',
le
Scheva du Resch
est
af-
mohile.
fecte,
le
est vrai,
non
l'accent tonique.
De
et
riod
est quiescent,
il
de Scheva,
se trouve aprs
sont quiescents.
voyelle longue
Le premier, parce
le
prcd d'une
et le
second
mot
(. 3.
A. H.
4*^
et 2").
On
crire
le
Scheva
sous
le
Daleth,
quoique
final,
'
Adnyx
il
du mot,
ni de Sgol, ni de
2''
CJiirelc
Yl).
n^5r taggkdi:
qu'il
le
Daguesch du
Thav
4
est
doux,
celui
parce
se
Chabot, CTramm.
4^ ditiou.
50
du
D^s
syllabes.
Ghimel au contraire
il
est
fort,
parce que^
plac au
milieu du mot,
(. 4.
se
IL
1^).
De
plus,
c'est
est
un Patach
furtif,
pourquoi
se
prononce avant ce
dont
hemagel'^ des
deux Schevas,
celui
du An
est quiescent (. 3. A.
(. 3.
H.
1) et celui
du Ghimel
est mobile
A.
I.
3).
est
prcd de Tsr
(.
7.
yi).
V.
2"^
l*^
^r,ri"05 btht'^
voyez
Pny^)^.
(I.
3,
ci-dessus).
1!^'awav;
(.
7.
le
il
Yav
terminant
le
le
mot
L),
n'est
ni
Schoureq.
3^ ?f|"r;in Mselib-bk'^ le
termine
le
mot. Pour
s'crit
le
Beth
le
ajout,
voyez
licC
rn-^ia
H.
1".
Le Scheva
dans
Ca})h final
(. 3. A.).
De
le
plus,
Beth empche
Kamets,
VL
1" 'DIm
wnnn:
le
Heth
un Kamets chatouph
parce que le Daguesch du Xun renferme implicitement un Scheva (. 5. I). 2*^ Dans iCffii. vescV et :"r&5t2Tj hatt'ty, l'Aleph est
quiescent,
(. 7. I).
De
plus,
dans
latt'ty,
il
l'Iod est
la fin
d'un mot,
ne se trouve prcd ni de
7.
ni de Sgol, ni de Chirel (.
VI).
VIII.
i'^niii^?
'
vntJi'^ le
premier
"i,
tant prcd
est
il
mis pour
n'est
(.
7.
in.
2*^);
le
second
i,
au contraire,
que
sert
le
Nun
III.
qui prcde,
il
n'tant
ni
de voyelle ni
.
de
Scheva,
7.
lui
(.
1.)
Des
1^ 1\W2
critique
(.
7.
syllabes.
51
it
melr.
l)j
le
point de la droite du
est dia-
(.
celui
V.
1);
^ni
point du
de ChoJem
iD
et de 2^oint diacritique et
(. 7.
V.
4"^);
on doit
alors prononcer
s.
X. ri^p qaiTh]
fort
et
le
point du
Vav
qu'il
est
est
un JDaguesch
affect
le
d'une
en
le
est de
mme pour
mot
Yav
est affect
du Patach
est mobile
IV)/"
1''
XI.
\!'^5i^
'yehelu-^
le
Scheva de l'Iod
voyelle
est
du P
d'un
est
clmtouph,
parce
qu'elle
1).
suivie
autre
un Kamets Kamets
est
cliatouph (. 5.
m.
XII.
1 n:ri"C meoliolh'^
cliatouj)li,
la voyelle de l'Aleph
un Kamets
kamets
2"
parce
qu'il
est
suivi
du Cliateph
(. 5. II.) et la
haqedshu'^
le
Qoph
devrait
avoir
se
un
Bayaesch
dans
les
fort,
mais ordinairement
celui-ci
ne
met pas
Or, dans
(. 4. II).
A.
I.
4^).
"C
Voir ci-dessus
sert
5".
De
plus, le
point
qui
est
sur le
la fois
et
de 2)oint dia-
consonne prcdente;
3'').
(.
7.
V.
4*
Seconde
Partie.
traiterons:
les
du Pronom:
les
pronoms personnels
en hbreu,
la partie
servent,
en
hbreu, fonner
diffrentes flexions
est,
du Verbe.
fondamentale
2 du Verhe qui
du discours.
3**
du Nom:
la
plupart des
noms hbreux
drivent
du Verbe.
4^"
des Partieides.
Chapitre Premier.
Du Pronom.
.
16.
Du Pronom
dmonstratif.
avec
Sing
ceci y
cela.
fm. m^T,
avec
l'article
riTr
celle-ci,
celle-l,
et
commun
Plu]
ceux-ci,
choses-l.
H5i?n (b^in)
celles-l,
ces choses-ci;
ceux-l,
ces
L'article
tratif,
le
pronom dmons-
ex.
nri
tu
(es) cpt
homme.
Du Pronom.
Les formes
les
^1, IT^
53
deux genres, au
relatif,
sing.
de
ex.
ou nT^rj masc,
et
du
au
moyen
ex. "t'^
celui-ci;
17.
Du Pronom
interrogatif.
"^"a
Le pronom
interrogatif est
devant un mot qui commence par n, H, y^ ex. T''^^ n^ qu'a-tu fait? 2 n'a devant un Maqqeph suivi du JDaguescli euplwnique Quelquefois (. 4. IL 2''), ex. r'Ti' quel est son nom? XV se joint au mot suivant, et alors le r s'assimile la
lieu
Au
de np, on crit:
1"
"52
lettre
initiale
que cela?
.
18.
Du Pronom
est
la
relatif.
It'^f,
Le pronom
invariable et
relatif
particule
qui,
que,
nombres.
Quelquefois la forme
lettre suivante est
^'^H'?
:
employe,
'^t^.-
^"^H!^
q^fi
seront,
pour
que
On
ex.
"^rip^lp
je
ms
suis leve.
19.
Du Pronom
personnel
I.
(et possessif).
Paradigme
Le pronom personnel
de tout autre {p^'onom
est
un mot
il
isol
et
distinct
isol),
ou bien
s'ajoute au verbe,
54
au
Du Pronom.
nom
et
quelquefois
mme
suffixe).
Le pronom
nri^
tu.
isol
exprime
Nominatif,
ex.
^:i
je,
Le
ce
suffixe
du nmn dsigne
le
Giitif du pronom, ou
possessif,
ex.
ni5
qui est la
mme
chose ^
le
pronom
mon
a
})re.
Le
IpB
il
suffixe
ex.
visit,
On
diffre
nom
trs peu du suffixe du verbe et seulement la V^ personne. Le pronom personnel isol a trois personnes: la V^ est du genre commun, la 2*^ et la 3^ ont les deux genres.
Singulier.
1.
(
Pluriel.
comm.
masc.
Ifm.
^DbiJ
,^:i5 je.
T -
(^P^^)
P^
tu.
"
[
vous.
p"^n
masc.
1
il,
lui-
mme, celui-l.
elle,
mmes,
in
ceux-l.
elles,
elles-
p^n
fm.
\
elle-
[nsn,
\
mme,
celle-l.
mmes,
la
celles-l.
Le
vient
pronoms de
,r.i5
2" personne
d'un
Nun
assimil :nr^
,ani{
pour nr:^
autrefois de
Le pronom de
3 pers
sing.
masc. i^n
il
tait
commun
le
est
employ
souvent dans
chapitres du
Pentateuque pour
des
(.
masculin
et le fminin.
Nous ne parlerons
Bemarque.
i'ndfinis,
pronoms personnels
2Q)
et
suffixes qu'aux
Yerbe
du
la
Nom
(. 47).
La langue hbraque
n'a pas de
pronoms
suppler
61).
Du
Verbe.
55
Chapitre Second.
Du
.
Verbe.
20.
De
la
cette
rgle
et
En
hbreu,
le
verbe
apparat
ordinairement
sous
KaP)
b2|?
2 Niphal
3 Pil
bi:p52
bap
bigp
4 Puai
5 Hiphil
6 Hophal
7
"^'Ppn
'^'^P^
Hithpal
dire lger,
Kal bp veut
toute modification.
Les
autres
formes
appeles
graves
ou
composes
ment de
fication
causalit,
la
2"^
des
lettres
radicales,
ou l'addition de
la signi-
quelques lettres
serriles.
primitive
d'intensit,
ou de
ou de
d'une
rcipiocit,
ces foi-mes
comme
en
faut
effet
manire
gnrale et
si
rgulire
qu'il
les
considrer
comme
de simples drivations de la
racine.
1) Il serait plus rgulier d'crire Qal, Nipl al PVl, etc., mais nous prfrons consei-ver les expressions adoptes jusqu' prsent dans la plupart des grammaires et des dictionnaires.
.
56
1^^^
Verbe.
nom du
verbe brs
a fait, qui servait autrefois de paradigme ou exemple pour toutes les conjugaisons. Mais comme la 2^^ lettre de
''^^^
(. 6),
on
emploie aujourd'hui
verbe bi:p
il
tu,
rgulier dans
nom
etc.
qu'elle
avait
dans
le
paradigme primitif:
'*?:,
PTE,
Les Grammairiens
iu|^,
se servent aujourd'hui
du paradigme
mais
comme
forme Kal.
Un
trs petit
nombre de
verbes,
comme ^p visiter sont usits dans les sept formes; quelques uns mme ne le sont que dans Pil, ou Hiphil,
ou Hithpal, (voir
Il
les
a quatre
et le
modes en hbreu:
le
V Infinitif
Il
Participe.
Prtrit^) et le Futur.
n'y
Les verbes hbreux n'ont galement que deux nombres, le Singulier' et le Pluriel.
Ils
la
3^ personnes ont
l'autre
pour
le
Fminin.
pour
personne.
les
verbes par
font
modes,
les
temps,
les
personnes,
etc.,
se
au
1) Il serait
plus exact de
dire.-
incmnpM; pour le participe, temps continu. En effet, en hbreu, le prtrit marque une action passe et entirement termine; le futur une action qui se fait au moment
et le participe
auquel on pense
se
faire
se fait et continue
clans
les
cet ouvrage
est
bon de conserver
termes admis
Du
Verbe.
57
commence-
moyen
ment ou
jyrforniantes
de la racine du verbe.
On
appelle
et
celles
qu'on
met
le
au
commencement,
fin.
nom
de caractristiques,
quand
elles servent
le
comme
Il
Nun
de Nipbal,
de Hiphil,
etc.
y a
ces
afformantes, except
Cj}
et "ir,
laissent l'accent
du
radical
restent
invariables.
Les autres
'^
-r*,
^es dernires,
la
changent en Scheva
(.
22. III).
Nous
Du
Des Des
verbe rgulier.
Art
IL
verhes gutturaux.
verhes irrguliers.
Art. III.
Art.
I.
Du verbe
tuer:
rgulier.
II j.
(Ti^'^
paradigme
Nous
1*^
traiterons:
la
De
Des
2'^ 3''
De
21.
les suffixes.
De
la conjugaison
du verbe
rgulier.
La
racine ordinairement
tril itre
modes
se
primitifs.
Selon
le
elle
prononce en
a presque toujours
un Kamets
58
et la 2"^
Du
Yerbe.
un Patach, quelquefois un Tsr, plus rarement un Cholem, ex. T'i tuer, ^ns tre lourd, fj]? tre petit. Selon le 2 mode^ la racine prend un ScJieva sous
la
1^^
un
Cliolem, quelquefois
un
Or de
crte
Il
ces
deux modes^
il
le
premier exprime
l'ide con-
du verbe dont
reprsente l'action
comme
accomplie.
Le
rpond
ces
2^
mode exprime
l'ide
abstraite
du verbe
et
22.
A. Flexion
du mode concret
forme
{Prtrit et JParticipe).
Xous avons
concrte avait
le
dit
que
Nous
est tuant
=
=
il
tu. -;-,
donne:
ee
tu.
La mme
^Pt2j5
ils
^,
donne:
ont
tu.
sont tuant
ils
ou
elles
Restait
la
et
du radical
np.^
p|^
'^r\:i^
les
la suite
et l'on a:
blijP
rj]:
bi:^: bi?]:
T^'p^
apb?
jr^:
'.:!|:
bi^p
= = = = = =
^^r^^ /^"
(comm.)
3rb^p
avons tu (comm.).
Du
Verbe.
59
mode
3me
concret
gji^g
en commenant par la
pj.g
q^i
ge^.^
Sing.3m.
T^'p^ il
a tu
tu
Plur.Bc.
'^T'2
Us ont tu
vous avez
2m.
2f.
le.
jn">3)?
^<
tts
2f.
1
e.
]^T^'>_
^*'?i:;?
tu-
vb'O'i
tu as tu
tu.
nous avmis
tu.
'^nlpbg/ai
Bemarques sur Je Prtrit et Je Participe. Le mode concret exprimant Faction du verbe comme accomplie rpond notre Prt'it. IL Ce n'est pas sans raison que les pronoms se
I.
le
radical.
moment o
lieu.
parle,
est
ce
qui
doit
exprim en premier
LLL L'abbrviation des voyelles la sing. l"5t:j? elle a tu, ainsi qu'aux 2^ et
2rrH2p,
lP*"t:)?
3^
pers.
fm.
plur.
3^^ pers.
elles
^bt:j5
Us ou
ont tu,
fait
tuer
car
mais dans Hiphil, on trouve nb^"jpn, (^H^ Chirek gadol pileinement crit garde le
l'accent.
dernires syllabes de
Hiphil
ex. P??)]?
le
dictionnaire,
non pas
mais la S^ pers. sing. masc. du Prtrit Kal. Les lexicographes font une exception en e'crivant l'Infinitif les verbes An-Vav ( 36). Pour abrger nous indiquerons souvent le sens du verbe par l'Infinitif franais.
rinfinitif,
60
tu
I>u Verbe.
as
massacr.
Ainsi,
dans ce cas,
la voyelle
de la
dernire syllabe de la racine est un Patach dans les Prt, des sept fonnes.
V.
la
le
forme
concrte
du
verbe rgulier
il
faut
rapporter
un nom
cerhal
qu un
mode
Il
de verbe proprement
a
deux formes:
active
1^
Tune
la
1"^^
aprs
radicale
d'un
Tsr aprs
la
2,
ex.
bpp
tuant'.,
tue.
Le
du
a
Part.
Nipbal
se
forme de
masc.
il
Prt, en allongeant le
t tu,
'"^'^f^l
Patach en Kamets,
r^p:
tu.
construit
auquel
on
prpose
un
12.
Quand
r'^'Jpr
et Hitlipal,
H, c--d en Hiphil,
le
'C
Hophal
ex.
prend sa voyelle,
Puai
et
tuer.
pt^ssifs (Niphal,
Hophal)
dernire radicale.
et
ils
leur pluriel
se dclinent
comme
les
noms
(.
substantifs et adjectifs et
et 45.)
de mme.
44
Shigidier.
Pluriel.
Masculin
f
Fminin
nrL:p
^'T^'^V.
Masc.
a^V^:p
'^^T'^?,
Fm.
actif
r^^ tuant
bi:p: tu
rrjp
nbi:p:
nirjp
rib^uip
^'^'^V.r
\passif b^i:p tu
Niphal
Pil
nb-Dps
r\':i^'^'
2"^r-'p;
Pispr massacrant
nb^pt!
::":ip^
" -'^PP
'""'-"^K^
Puai
rDp-c massacr
^V^P"'?
^"'^^K^
Du
Verbe.
61
Pluriel
Singulier.
Masculin
Hiphil
Fminin
T^T^'^'
Masculin
Fminin
nib^PipTQ
r 12)513
"^25p5^
ordonnant
de tuer
^'^'^'
W^Ttip^
"''^^?^
Hophal
m'donn
tre tu
'"'V^l?''^
^'^'^PP'^.
ribpprr.
23.
Flexion du
mode
abstrait
{Infinitifs
I^npratif Futur),
dans sa fonne abstraite, a t
Le
1
radical du verbe ,
trois
employ de
manires diffrentes:
il
n'exprimait que
le
tuer: seulement
comme
ou par rapport
quelqu'un
comme
le
tuer
de moi,
ou d'une manire
avons donc:
devenu
Nous
^^
Infinitif absolu
Infinitif construit
^^^
**bp le tuer de
2"
La forme
abstraite
le
primitive
"^"Jp
fut
encore
commandement; ainsi on disait en parlant quelqu'un: faire cela pour fais cela. Employe en ce sens la forme b3p dut subir quelques
flexions
pour exprimer
nombre
des
On
a eu:
bbp
ibi:]?
tiie
2f
Plur. 2 m.
2f
npp
Q2
S*'
I^u Verbe.
Enfin
la
mme
du
forme en
que
se ferait
pronoms
encore
n'tait
personnels
tant
sing.
du
plur.
servit
pas
qu'il
encore.
Seulement
comme
n'y
pronom personnel
verbe doit
ici
qui
dans
le
mode
concret suivait le
le prcder.
Sing.Sm.
3/1
b'12'p'i il
tuera.
Phir.
'^T^'^Ustueroni
n':'':'2i'^'r\
elles tueront.
^'^"^?^
tu tueras (fm.).
rsZ':i''irvoustuere0(l).
c.
Futur.
I L'Inf
constr.
que
IL L'Impratif n'est
pas une exception relle
est
autre
chose
que
l'Inf.
constr.
b^'L2]:p?j
L'Impratif n'a
qu'une personne ,
la
2""^
aux deux
nombres.
Dans
manque.
les
et
Hopbal l'Impratif
Le
les
13.
a,
trouve
et
^
ici
affoi-mantes ^-r
alors
arrive
suite
de
le
au
commencement
se
mot,
c'est
pourquoi
qui
est
premier Scheva
change
en Giirk qaton
sa
pour
^'<t:|p.
On
se sert
la 3^^ pers.
de
l'Impratif
Du
Verbe.
63
afformantes.
V
a)
Toutes
les
prformantes
elles-
mmes un
affecte
ScJieva mobile.
l'Inf.
Quand
d'une
constr.
la
voyelle,
le
Scheva,
sera massacr.
b)
Quand
l'Inf.
constr.
la
dpourvue de voyelle,
Quand
les
arrive
et
il
Niphal
b'^Iprn
tu,
Fut.
bu?)^':
sera
Inf.
Hiph.
il
fera tuer.
la
d)
est
la
1"
pers. sing., le
Chateph de
prformante
en rapport avec
foimantes du Futur.
correspondant,
l'fc^
On
(. 13.
en Hithpal
bc5pni$ je
je serai
me
provoqu
tuer.
2"
a)
Pour
du Futur
ne
il
devant
s'lide, fait
ils
affermantes ^-^ et
qu'elle
dente
ex.
moins
ils
Viap":
^b^p?
tueront'^
mais en Hiphil
b'^^Jpt!
fait ^b^tp^
feront
tuer:,
b) devant l'afformante
n:
la
voyelle prcdente ne
elles
feront
tuer-.,
^4
c)
I>u Verbe.
ayec un sens diffrent^ savoir: au sing. la 2^ pers. masc. et la 3 pers. fm.: V'^pPj veut dire tu tueras (masc.)
et elle tuera:
au plur.
la
2^ et la
elles
3^^ pers.
fm. nr'pb^r
c'est
le
tueront:
con-
et
la
pause un
Nun
para-
fouleront,
aux
pieds.
24.
Du Vav
Var
et
conversif.
le
il
On doime au
tuera,
''^'^'^^?.
Prtrit le sens du
Futur
et
au Futur
ex.
bi:;>"
un Vav,
s'appelle
1^^^'-
^^ ^^^
le
ces
deux temps.
il
Prtrit
reoit
et
un Scheva; devant
suivi
Futur
fort.
il
prend
un Fataeh
toujours
le
est
d'un
JDaguesch
Presque
le
Vav
(et).
conversif renfenne
en
mme temps
c'est
sens copulatif
Le
Vav
si
conversif fait
rgulirement
pour-
dernire
(.
il
il
syllabe,
11. 2").
elle
est
voyelle brve
Ex.: l^X"'
parlera
"i^'^]
et il
parla.
et
il
nb^
2"
la
l'^^
mourra
T'^^i
(vayymof)
la
la
mourut.
H
pers.
paragogique.
plur.;
et
Au
Futur,
1"
pers. sing. et
pers.
n-;-.
l'Impratif,
sing.
masc.
sont
quelquefois
appelle
allonges
de la finale
attirant
Ce
qu'on
1)
paragogique,
fig.
lui
l'accent
Faragoye (augmentation)
ou d'une
.syllabe la fin
lettre
d'un mot.
Du
tonique,
fait
Verbe.
65
pour
de
bi:|>y,
"iwT
mais
au
Fut.
Hiph.
ni^DTSi
je
rappellerai,
se
souvenir.
Le
Fut. paragogique
ont
le
sens passif.
la
forme
ex.
"ib garde,
rr^rir (somrh)
lve-toi,
Il
Hlp
Futur apocope.
existe,
Futur apocope.
que dans
la
Dans
le
forme Hiphil,
il
ppp^
tuer.
qu'il
ordonne de
se
tuer,
pour
b"^t:p*
ordonnera de
Ce Futur
(.
trouve
36,
Rem.
dans
I) et
dans
(. 39, 4^).
^Impratif
ex.
apocope
se
rencontre
les
la
foime
verbes
b (. 39, 5^),
tuer.
25.
rgulier.
Cette fonne
elle
exprime
le
l'ide
fondamentale du verbe:
ordinairement
sens transitif.
ont un Tsr ou un Cholem sous la 2 radicale ont plutt le sens intransitif (. 21).
V
Prt,
les
se
conjuguent au
'f^l^l;
comme r^p,
qui
">"^'|,
^^i^
verbes
ont un
CJwlem
le
gardent devant
les af-
rV^^p, etc.
2""
Au
Fut.,
Inf
le
t
constr.
et
Impr.
des
le
verbes in-
transitifs, le
Tsr et
hbr.
Cholem se changent
plus souvent
5
Chabot. Gramm.
dition.
66
en Fatath,
il
I>u Verbe.
ex.
b'j5
tre
grand,
7"^^;
il
sera grand,
"J^p"]
sera petit
terminaisons, l'une
coupera,
sera court
3'^
Le Participe
"jup.
Niphal.
l""
La
caractristique
de
Niphal
est
la
syllabe
:"
Au
<7
Prt,
et
au Part.,
il
seulement: bt:p:
le
t tu,
l
bup:
tu-^
rinf
et
l'Lnpr.,
reparat et le
tre
s'assimiJe la
consonne suivante:
le
'":pn
tu pour btppsri-,
au Fut.
il
^t^p*;
sera
tu pour
2*^
Niphal exprime:
a) d'abord
un sens
rflchi,
ex.
"Tir
garder, ^*l se
un sens de
(avec quelqu'un)-,
c)
ex.
nps
visiter,
^ps:
tre visit.
Pil et Puai.
L Le
massacr.
V Au
radicale
et
Prt,
il
prend un
la
les
Cliirk
un Tsr sous
ex.
2^.
Toutefois ce Tsr se
r.**3p
l'Inf
constr.
le
et
dans
dent,
il
conserve
Du un Patack sous
crera.
3''
Verbe.
">^]:
67
b^t"^'
il
la
V^
ex.
massacrer,
massa-
Les prformantes
du Fut.
prennent un Scheva
On
la
perdre.
Quelques
Il
conserve
le
le
Daguesch
fort dans la
2" radicale:
ce
qui
distingue c'est la
vocalisation
j:??ws
La V^ Kamets
II.
1**
radicale
cliatoupTi.
prend un Kibbouts,
trs
rarement un
radicale
est
La
voyelle
broj:
de
la
2^
tre
massacr.
un sens un sens
frquentatif,
ex.
"^s compter,
ns eVm-
2*^
Hiphil
I.
et
Hophal.
insr entre la 2^ et la 3
tuer.
prfix au radical et
radicale, ex.
1"
et
'"'^'P]:^
un
'-7-
il
a fait
Au
n
Prt, le
il
rimpr.
est
Part, le
le
Patach que
2''
'"""PP"
fera tuer,
cent en
abs.
dans toute
la conjugaison,
except llnf
est
quiescent en
Tsr.
consonne et
il
temps,
r^bl^pn tu
elles
feront tuer. 5*
68
Du
Verbe.
Il
a,
comme
lui,
un n devant la racine. De mme que Puai il se disLe l prend un tingue par une Tocalisation plus sourde. Kamets cliatouph ou plus rarement un Kihhouts: la voyelle de la 2^ radicale est toujours un Patach, ex. Hipliil Tf^Pirn il a jet en avant, Hophal "v:" ou 1[yt,T^ il a t
jet en avant, de Tfbr.
II.
Hiphil a proprement
le sens causatif
de Kal, c--d
que
l'ide qu'il
exprime
est: faire
Kal
tre saint,
rendre saint,
sanctifier; )')2t
Hithpal.
I.
rr.
s'est
tu lui-mme.
Au
Fut. le
se tuera.
La 2^
la
syllabe a toujours
radicale est
un Fataeh.
sifflantes C, 2, W,
te,
3^ Si la
le
1'^
une des
de
syllabe
caractristique
"^l'ar
de Hithpal se met
de,
ex.
pour
"l'Errj.
le
"J,
Et
^
si
de plus la
radicale est
un
il
t,
non seulement
transforme en
se
pour
p^Stan qui
4*^
est
la
Si
radicale
est
"I,
t:
ou r,
le
n de
"in^n
la
caractristique
purifier.
s'assimile,
ex.
nnp
le
purifier,
se
5 la
De mme que
dans Pil,
dernire syllabe
en Sgol.
IL Hithpal exprime:
V
^Iprn
Du
2
le
Verbe.
ex.
rifcj'^rr
69
se
sens
rciproque,
regarder l'un
trs
rarement
le
n^Prn
c^re ouMi,
de
riDTC oublier.
Analyser
le
les
la
personne,
pers.
plur.
fm. Fut.
massacrer mit.
Z'^'T1^'^, '^^1^-; arj'^-nn, b'^'n^',
"in-n
^i>6,
_2)Her.
ilis'i,
lan, ^i^'n,
i-il*!,
ipnir;,
la-'?,
i?^-^^,
^"i:an':^
"ibT,
:7
nDT 5e souvenir. -T
-|-'3Tt3,
niDT, n-iDT, n:^DT, n^DT, rnDT, :-t7 :-t7 a:7 :rr/ ,wt7
-r
nnSTt.
of jw^er.
irt"
n72in, /
;
rr(?er.
^rn-ctt,
rr
rr^sm - .
^^)2X, ... 7
onn'att?:, ..._.. 7
rprir, t a v
n-i^r^, t v
; :
^-ibcn, /
:
26.
Du
IJ Accusatif du
le
verbe actif
s'exprime
suivi
soit
par
signe
ir,i5
r.i?
("n^,
il
du
ou
suffixe^
ex.
T'p^
Va
soit
par
le
prmimn
^inb';:p
immdiatement au verbe,
ex.
Cette
que
la premire.
Les formes
suffixes.
prennent
et
les
rflchie
Hithpal ne
reoit jamais.
7()
Du
A.
Verbe.
Des
suffixes verbaux.
Sing.
1.
O? ), ^2
- (^^-)
?,
(^3 )
**io?.
fm. \l
.^
?,
1^,
?f
n,
i^i.
tf-, ty1,
,
toi
i (is),
fm.
^
^n,
in
T V
ri,
^n
(^s )
/w?.
^'If.
n, T /
DD,
-D,
.
n n
T
7
,
(!i3 ) V T V /
eZk
nous.
r(ms.
Plur.
1.
corn. ^:,
^: ^: (^3)
fm.
a>
*)?
"\l
(m.
'^^^
VOUS.
a, _,
jn; an,
a, 3, a, iia a-, i^
,
eux.
elles.
1
pe^'soyinels.
Comme
se
on
le
pronoms
peuvent
une
comme
^2^r,
comme
"^.
"D,
euplionique:
vous
a tus (ci-aprs C.
1"
voyelle,
3).
se
des
(^:
suffixes
^bap)
ils
2^ Les
formes
qui
se
"^r'^af
("*
-r
'^V?)
^^
^^^'^
^''^'
B.
les
verbes pour
les
premiers
les
regardent
les
consonnes
ont
pour but
d'viter
consonnances
dsagrables
que
produiraient
certaines
3^
p.
72
I>u Verbe.
apprendre.
Les personnes
masc. en
^,
plur. fm. en n:
prennent
la teiininaison
Il
ex.
'=lbt2p
au lieu de ljVup.
en est de
mme
c)
Infinitif.
En
la
le
le
Kal,
l'Inf.
constr.
1'^
radicale et
un
ScJieva sous la 2 et
reoit tantt
ex.
""bt?]?
suffixe
du
nom
et tantt le suffixe
^^^oi.
du verbe,
En
comme au
Futur.
d)
Impratif
la
Dans Kal
Les formes
ment.
et
Pil.
2 pers.
les.
masc. ressemble
j^'^Pp
e)
Participe.
de Pil perdent leur Tser
liabiter.
et
final,
C.
De
1"*
une
je
voyelle,
on ajoute
tus.
simplement
suffixe
suffixe, ex.
DD*^r;p'[:p
vous ai
par
le
moyen
Prt., et
Kamets
tuera.
ou un Patach au
et
l'Impr.,
ex.
^bSp
3^
il
il
au
me
Cependant
suff.
la
pers.
sing.
-f
du Prt,
se joint
mais ce Sgol
n'est ici
qu'une voyelle
Du
Verbe.
le
73
et qui
Scheva
pour
cette
Les
suffixes
T\,
ar^
"jd
s'unissent
au verbe au
si
moyen du Scheva
dernire
tus,
mobile,
est
ou du Chateph patach
ex.
la
radicale
une gutturale,
D2p:p
il
T\nbl il
fa
envoy.
ex.
vous a
A
p
la p)<^iise ce
^^
Scheva mobile
se
change en Sgol,
4''
?]'?>?
^'^ ^we.
(. 39),
Dans
les
le
final
et
la
les suffixes,
5*^
m'a exauc.
et
:
On
insre
assez
souvent au Futur,
seulement
un
appel
Nun
Ce
Nun
s'assimile la
ex.
lettre
^s'?::]:'^
Daguesch,
pour ^nrJp';
il
le
tuera.
De
l'ad-
dition de ce
1.
Nun
V
^3 (pour
"'^r-^,
''r-.)-
23.
1.
plur.
.1 (pour ^s (pour
^:).
'!"::),
^::.^r)-
ns
(pour
n:
).
^S (pour
Analyser
les
verbes suivants:
nn2
Y
t:
:
crire.
':./
'
'
^pE
^*^5^fer.
^:"]p2,
-nnpsn, rnnpe,
^in^r-pir,
'^'P^':,
^t garder,
1) Epenthse, fig. de granim. qui consiste insrer une ou une syllabe cm milieu cVun mot.
lettre
74
Art. IL
Du
Verbe.
On
des
radicales.
quatre
gutturales
Ils
i^
n n ^ ou un
"\
parmi leurs
par
la diffrence
la
2^ ou la
3^ place.
.27.
Des verbes de
la
Y^ gutturale.
(y/l'y tre
Ces
subissent
vantes:
l*'
verbes
rguliers
les
dans Pil,
les
Puai
et
Hithpal,
sui-
dans
autres foimes
modifications
Lorsque
la
temps
et des personnes,
un
r,
mais
Cliatepli sgol
avec
^",
se
se tiendra debout,
^r^: pour
l'TZ
il
t tabli.
le
Quelquefois
Sclieva
change en
la
voyelle
brve
le
Scheva aurait du
risrjl^
pour l^n^
dsirera,
pour
mditera.
3*^
Lorsque
elle
la gutturale se
Scheva,
perd son
Sclieva
dans
il
la
plur.
^"1)2^;:
t tablie.
Cependant on
l'Impr.,
comme au
verbe rgulier:
Du
4" Lorsque
la
Verbe.
75
tre
et
gutturale
l'Inf.,
doit
double
par un
Daguesch, savoir^
ce redoublement ne
l'Impr.
au Fut. Niphal,
est
pouvant avoir
voyelle
lieu,
compens par
Tsr,
Vallongemmt de
ex. ^^2^;;
il
la
de la prformante en
sera
e'tahli.
Bemarque.
nent
^'?.*V.
et i;'"
tre font,
simjole,
il
pour H^n^
vivre,
etc.
il
vivra;
sera;
Tii'^rib
pour
(voir le
dictionnaire).
28.
Des verbes de
tj":|i
la 2 gutturale.
(pyj crier et
bnir:
paradigme lY.)
o
il
Ces
daguesclier
verbes
la
sont
irrguliers partout
c--d
faudrait
2^
radicale,
dans
Pil,
Puai
avoir
et
Hitbpal.
1
Sclieva
Toutes
simple,
le
les
elle
fois
que
la
gutturale
doit
un
est
prend un Scheva
ex.
compos qui
ils
toujours
*p"-
Clmteph patacli,
suit
l""
^p?T
de
2"
n
la
ex.
de l
que,
l'Impr.
Kal,
Scheva
simple
radicale
ne
devient
pas
Chirek mais
Patach,
-ir?
choisissez de
nrs
choisir.
Le Cholem de
ex.
l'Impr. et
du Fut. Kal
prfre
se
le
change
Patach
le Prt. Pil
pyT"^
il
au Tsr,
p^T cne,
SH!
a,
il
consol,
de sn:.
les
3^
Quoique
gutturales
prfrent
et
le
son
le
le
ordinairement
et Pil, ex.
i^
pi'T
crier,
anr
il
com-
bnira.
pas leur
2^
prendre de Daguesch
Ce Daguesch
la voyelle
est
ordinairement
prcdente lorsque
76
la
Du
gutturale
il
Verbe.
ex.
est
i^
(ou n),
]^
il
a refus, de
"s)^-^
T\^^tr\
n,
s'est 'bni.
Mais lorsque
yrr.,
'^tyt'q
ou
V, la
ex. iins il
a cmidait de
"!>|.
jouant de pn,
extermina de
.
29.
Des verbes de
(nil envoyer:
la 3^^ gutturale.
paradigme Y.)
des
Il
ne
est
s'agit
Ti
ici
que
i^
verbes
dont
la
dernire
radicale
ou T, car
n'ont
et
des
mots
et
gutturales.
Les irrgularits
que
les
de
et
^"
ces
verbes proviennent de ce
la fin d'un
gutturales
places
a.
mot
et
La 3
Inf.
radicale prend
un Fatach
aux deux
et
et
rinf.
abs.
il
Nipbal
Pil,
ex.
Tr^T envoyer;
Prt.
Hiph. T^l2tT]
2^
a fait entendre.
remplace, dans certains cas, ScJteva,
La
et
2"^ radicale
QwJem
mante
ex.
T.
a) Scheva est
2^ pers.
i'af^or-
mnpir
tu as
envoy pour
lorsque la
coutez.
finale
H,
est
supprime,
ex.
17^ TT
pour
T^*.y*t:
au Fut. Kal
c)
ex.
il
entendra.
au
Fut.
Niphal,
pas
dans
Pil
et
le
verbe
nb""^
n'a
il
ex.
Les foimes
envoyer.
apocopes de l'Impr. et du
conservent
le
Fatach,
ex.
nblii et
le
fit
Du
3^
Verbe.
77
doit
Lorsque
la
la
S'"^
radicale
avoir
simple,
un Scheva devient un
Le Scheva simple de
la
l""^
la 3"" radicale se
change en
Chateph patach:
a)
pers.
plur.
Prt.
Kal
si
l'accent recule
7i^237"1
immdiatement
te
au de l de la gutturale, ex.
nous
connaissons;
b) quand le verbe se joint aux suffixes ", a?,
"jr,
ex.
"nbri, je t'enverrai.
Remarque.
radicales, n'prouvent de
lettre
Dans
"
la
ces
deux
cas,
l'imperfection
le
ne peut prendre
voyelle
Baguesch
Valongement de
les
prcdente.
irrgularits provenant
Sdieva compose.
Exercice (.verbes gutturaux).
nrj abandonner, ^ntrr:, ?SI<r^, St:?^, HTr, nrr: '^IpPj nT^p, BnnTrrr., nn^7;r, r^iiy^, nT5;^i, ^nrr:, ^n^:^^.
a?T
ayyi?,
s'irriter.
2'^5:j;T,
z^t, ayTH,
""a^'j,
"^""^I,
'^'^^<V'.-
Tt
-TSPit',
r-aiBi,
yt^ ^TOT,
n::^^PB:p,
x4.rt.
r"ttttp,
i^'ap,
^'??';?
^:^.^-
IIJ.
changements
que
dans
les
voyelles,
les
proprement
des
l'application des
mais c'est au contraire irrgularits que nous avons exposes dans notre 1"""
,
Partie et surtout au
7.
78
verbes
irrgidiers
Du
Verbe.
Ces
verbes
se
divisent
en
deux
classes:
les
uns
dans
le
leurs
radicales
suivante.
Pour dsigner
Grammairiens
se servent,
comme pour
paradigme
les
diverses formes
du verbe, de l'ancien
br.
ou quiescents
ou quiescents ou
quiescents
lettres t
rit,
B;
17;
ceux qui
le
sont de la
2^,
contractes
b.
ceux qui
le
sont de la 3, contractes
ensuite
l'une
On
joint
des trois
y b
radicale radicale
un un
les
verbes
n.
Nous
Section
I.
Section IL
Des Des
verbes contractes.
verhes quiescents.
Section
I.
On
qu'ils le sont
en E, en y, ou en
30.
t.
(055
VL)
radicale est
un
Ces
verbes
Du
est affect d'une
coijdle,
Verhe.
79
Prt.^ Inf. abs.
c--d.
au
et Part.
1" a)
Dr)15r,
Quand
il
le
doit prendre
un
Sclieva
se retranche
iri^S),
la
ce
qui
l'Inf.
constr.
et
Impr.
Kal, ex.
pour
tra:
b)
lettre
prcd
d'une prcformante
ce
^'assimile
et
la
suivante^
qui
arrive
au Fut. Kal
dans tout
il
rr
pour ITSr
"S";
il
touchera.
et
L'Inf.
constr.
l'Impr.
Patach.
sont ordinairement en
De
retranchement
plus souvent
du
la
:,
et
pour renforcer
est
prend
le
terminaison fminine
r
8. I),
(ou
ex.
r^
Vl
et le
mot
3
Mill (
7t:r.
ryb
planter de
Le
en Cholem, ex.
baisera de pT^!;
PS"^ il
tombera, de pt:.
Remarques.
I.
2^ radicale,
^fr."] il
ex.
abs.
?ii5:
tre
adultre
Fut.
fera
marcher, de
5!n:.
IL Dans
rgles
ripp";,
le
:
le
suit les
mmes
pour
mais
que
le
Fut.
Kal
HJ^')
nj?"^,
Niphal
lesquels
2. le
m. On
les
:
verbes dans
des verbes
et
VIod
mmes
rgles que le
Ces verbes (contractes ^t>) sont peu nombreux pour 2 radicale, ex. 72^ tendre. Prt. Hiph
ri*^ brler, Fut. n^"),
ont
T'^'^.y
Hoph. y^n-,
30
.31.
Du
\'erbe.
V.
\T[II.)
verbes
sont
ceux
qui
ont
les
deux dernires
semblables;
on
les
appelle
verbes
il
contractes
120
entour.
et
la
la
2"
est
V
les
ou d'une voyelle
ex
a
"20
de "li, ^2 de ^IIC,
l'Inf.
sniao de oriin.
les
exception pour
les
trois
abs.
et
deux Part.
Kal
dans lesquels
la
radicales
se
maintiennent, cause de
sparent:
2
n'^'iD,
longiieiir
nnb, n^n.
La
voyelle
de
la
syllabe
qui
demeure
est
or-
dinairement
du rgulirement
se trouver
pour nn,
Inf.
Il
faut excepter:
a) l'Inf.,
au lieu d'un Tsre] ex. ID" pour llOl; b) tous les temps de Hiphil dans lesquels
1-7-
la voyelle
est contracte
3"
Aprs
la
dernire radicale
qu'elle est suivie
les fois
quand
^-7-,
'.
l'afformante
r-;-
commence
par
une
voyelle.
comme
b)
le
redoublement de
la dernire radicale
Kal nio, ^I; quand l'afformante commence par une consonne, r ou :, on intercale entre le radical et l'afformante une
Du
vyelle
Verbe.
81
auxiliaire
qui
Vax quiescent en Cholem Niph. ri20! pour rSO!, pour r^cri, un locl quiescent en Sgol
est
ex. Prt.
un
dans
tous
les
Impratifs
et
les
Futurs,
ex.
Fut.
Kal
npSOr pour
c)
n:ncr.
le
la
2^
voyelle auxiliaire
est
supprime,
ex.
Fut.
Kal
Part.
nfe':,
4''
ins':,
au
^iphal voyelles
la
dans
tout
Hiphil
et
Hophal prennent
des
longues au lieu
que
ouverte
qui
exige
une
voyelle
longue.
La prformante
et
prend, en consquence:
a)
:nb^,
au Prt,
au Part.
Nipli.
non, nor
b)
c)
5''
un Tser au Prt, et Part. HipL Ij, nr. un ScJwureq dans tout Hophal n"^". Dans Pil, Puai et Hithpal, si la 2^ radicale
elle
tait
fois,
nn
serait
fois
C'est
et
pourquoi on
le
n'crit
que deux
radicale
on omet
Daguesch.
La V^
voyelle
Cliolem.
syllabe
de
la
racine
restant
ouverte
la
prend une
est
longue
qui,
contrairement
ainsi
les
rgle,
un
et
On
qui
obtient
se
formes
Fl,
Pal
Hithp'd
nnir.Di-
conjuguent rgulirement:
verbes
et
2310,
3lio,
Quelques
de
cette
classe
douhle^it
leur
et
racine
monosyllabe
,
Hitlipalpet
ex.
'^51:5
rouler,
b^P^rn
se
rouler,
de la
racine pbl
6"
la position
a)
demeure sur
hbr.
H' dition.
le
radical lorsque
6
celui-ci
Chabot, Gramm.
82
reoit
Du
des afformantes
Verbe.
voyelle,
ex.
commen-
ant
l'accent
se
auxiliaire
les
mot
ijscr!.
comme
Kal TT^
le
il
verbe
pille.
ex.
Prt.
Prt. Puai
et qu'ils
soient pills,
32.
r.
Cette classe
et
tenninent en
le
verbe
"jrj il
donne'.
Les premiers n'ont d'autre imperfection que celle !assimiler leur dernire radicale la V^ lettre des affoi-mantes lorsque cette
V^
lettre est
un n,
ainsi TiS
il
a dtruit
fait
tu as dtruit
Le verbe
mile encore sa
P,n;
radicale devant
et
2,
ex. Prt.
Kal
pour
nstiD
tu
as
donn.
La
est
voyelle
du Fut., de
rinf.
constr. et de l'Impr.
1^']
Kal
un
ir. Fut.
pour ^nr.
(.
L'Inf.
constr.,
des verbes is
30.
*"),
comme
r,a,
mais
la
le
forme raccourcie
bt: tomher.
bs;::,
bE:nri?% rEP,
np,
n:':psp,
rr,
np:,
^bt], "'<sr
n]?b prendre.
npt".,
np-":,
W]p^,
n]|r, inp^,
n;^r,
^^ip^l,
nnp, ^npr,
Du
in: do7incr.
]P.:,
Verbe.
83
"PCr:? 1^'^^ 1^^;
"'?^^!-
nnb,
'
"^;;^!,
bbn
?ower.
bb-n-a,
b?n,
V^r.^,
b'^nr,
bbin*:,
V^n^,
Section
en b
II.
A.
cent par
Parmi les verbes quiescents S^ les uns commenmais un i5. D'autres commencent par un
"^
dans
quelques
uns
de
ces
derniers ^
tandis
cet
appartenait
les
primitivement la
racine,
il
que chez
autres,
l
remplace un 1
De
trois
de verbes quiescents t:
'^E.
et
verbes
33.
que lorsque
elle
la
Le plus souvent
est
verbe
se
conjugue
ex.
nTij:
comme
les
verbes
^:T&5^
de
il
V^ gutturale
Mais
les
(. 27),
ceindra.
cinq
verbes
niJ
iTiJ
dire,
bDi<
ma^iger,
"ins
prir y
i
ni^
vmdoir,
mire,
'y^'sr^
ont
il
au
dira.
Fut.
Kal leur
verbes
la
quiescent
en
Cliolem:
le
Ces
ont
ordinairement
^"ai^^,
Fut.
le
Kal en Fatacli,
*
pause
n'ai^'^'l
en Tsr
et
il
et
avec
conversif en
Sgol
dit.
Au
et
l'i^
Fut. Kal,
V^
se
pers.
sing.
l'i^
de la prformante
du
se
radical
contractent
le
en
un
seul.
Voici
comment
conjugue
84
Du
en
CJiolem
ex.
Verbe.
85
et
dans Niphal
et
Hiphil
en Sckoureq dans
Hophal,
n-^TTin,
Hoph. nr^n.
3 L'Iod
l'Inf.
constr.,
f
l'Impr. et au
Fut. Kal,
comme
la
des verbes
(.
30
V a).
^TH.
C'est
et le
pourquoi
Impr.
T
Itt:^
i?
saura; avec
converslf
L'Inf. constr.
Kal prend
sont
la
teiminaison fminine:
j?'j\
nn
^re a55is,
5'^
Les formes
est
toutes
les ex.
fois
que
riod du radical
n;, Inf. abs.
affect
d'une voyelle,
Prt.
Kal
n^i'":^
nil;',
Pil
Puai
yt!_,
Hithp. n^r^rr.
Remarques.
L Certains verbes quiescents
radical: alors la
l's
conservent VIod du
forme
de l'Impr.
et
du Fut.
en PatacJi- la voyelle de la
CJiireJc,
ex.
IC'^'^
possder
lT^,.
Le verbe
les
-fb^
aller
avait
[5^,
c'est
abs.
b;,
Kal,
ex.
formes
Inf.
les
plus
usites
sont drives de
Fut.
1\'t,
Kal
constr.
rob, Impr.
1\b,
Prt.
Hiph.
^^:il.
35.
La
l'^
est quiescent
ex.
It:"'';
pour
yo^^,,
avec
ex.
le
conversif
I'^P^m,
et
en
Tsr dans
le
^
tout Hiphil,
versif
23"';;j.
Prt.
Fut.
in^?"^::,
avec
con-
86
2''
Du
Ils
Verbe.
la
2^^
prennent un 'Pakich
syllabe du Fut.
Kal: n:?^^
Ainsi se conjuguent
'\1D*i
tre droit,
pr
sucer. bb~ se
Ce dernier cepen-
dant
se
conjugue
"ISiw:
dans
Niphal
et
Hophal comme
il
les
verbes 1S:
suit la flexion
y.
A
dont la
un
ou un
^.
Nous
les diviserons
en verbes ^y
.
et
'^y.
36.
*\y
(An-Vav).
eu primitivement pour
2^
T
radicale
un Vav.
en sorte
Dans
que
les
ces verbes le
se trouvent contractes
en une seule.
de la foiTue
si
cette
"'"^p
ex-
cept
le
cas
suivie
d'une
aff'ornmnte
qui
commence par une consonne, ex. Mp, Sniip. Pour faire mieux comprendre les nombreuses
gularits
irr-
de
ces
verbes,
nous indiquerons
le
1,
d'abord les
nous comparerons
dans
ajouterons
un
mot
place
de
l'accent
les
verbes
I.
ir.
le
Vav.
V'
(. 7),
le
est
se
confond avec
l'Inf.
devient quieset
cent en Schoureq
constr.,
l'Impr.
au Fut.
Du
Kal, la
Il
Yerbe.
et
87
plur. Prt. Niphal.
la
3*
V^
et
devient quiescent
Prt.,
Inf.,
en ChoJem
pers.
sing.
plur.
l'Inf.
abs.
Kal.
Ex.
Inf.
constr. et Impr.
Inf.
abs.
ip
le
n'est
pas
ce
accompagn
homogne,
et
disparat:
act.
Prt,
au
Pai-t.
Kal
et
Dp pour lp, Part. act. Dp, Prt. Hophal ap^n. Dans Hiphil le ^ cde le pas la o""
caractristique de cette forme,
"^-^
,
voyelle
ex.
D'^p^.
IL Le paradigme D^p^) a de
commun
avec
le
verbe
no
(.
31):
1^
que que
monosyllabe;
des
voyelles
les
prformantes
ont
longues
Prt.
Niphal
et
Fut.
Hiphil:
un
que devant
les
au
au Prt. Niph.
Hp au Fut. Nij)h.,
defectif,
le
CJwIem plein
le
se
change en CJwem
et
au Fut. Hiph.,
Ckireli gadol se
4^ que Piel,
les
Puai
et
et Hithpel: Diaip,
qui correspondent aux formes Pl, Pal et Hithpl des verbes An-An.
1) Les verbes An-Yav sont toujours cits l'Inf. constr. pour mieux les distinguer des verbes An-An qui au Prt, n'ont,
comme
88
la
2^
Du
radicale,
Verbe.
selon
le
la
rgle
de
foimation
de
Pil,
redoublent la 3 et
Yav
reste
quiescent en Cholem.
^,
en ce que
la
le
Prt.
il
Kal
est
ponctu
et
Kamets:
ChoJem.
ex.
dans
les
intransitifs
est
ponctu Tsr
"iii5
ap,
rr
briller'^
rinf. constr.^
l'Impr.^
le
et
Impr.
D'^p,
i^'is
2^p^,
Fut,
!<in;,
3^
le
conyersif
prend
^P^!;
un Kamets
chatouph.
rarement un Kihhouts:
4*^
rp^;;^
le Part.
act.
les intran-
sitifs
il
5^
change en Schoureq
gadol:
Prt.
quand
6
perd
Hiphil
conserve
le
CJurel'
2'^pv,
Fut. ^p;.
"!>
les
afformantes
"
ex.
"i-^,
n'attirent l'accent
'zp^"^.
que dans
la
forme Hopbal,
n2p^n^ Fut.
sur le radical,
soient suivies
et
Dans les autres formes Faccent reste moins que les afformantes dont il s'agit ne
du
Nun
avec
parag., Fut.
Kal
'j^r'P,
pour
^t".^ri
vous mourrez.
elles
le
Quant aux afformantes commenant par une cmisonne, n'occasionnent un dplacement de l'accent que dans
o
elles
cas
prennent
une
voyelle
auxiliaire.
Cette
dteimine
une
ahhrviation
dans
les
voyelles
du
rii'p:.
Remarques.
I.
Le Fut.
apoc.
Kal prend
la
foime Dp^,
1
avec
conv.
Qp^T
Du
Verbe.
la
89
dernire
syllabe prend
Avec une
un Patach,
s'loigne^',
gutturale
ou un T,
IL Se conjuguent
w|^y
t"0?er,
comme
aip:
n^T
couler,
0^; fir,
r.'^'a
D^^
^re
e7ere,
7*n courir,
etc.
n^:
revenir,
ttJia
/^ro/r /owfe,
et
III. Tous les verbes qui ont un 1 pour 2^ radicale un n pour 3^ radicale ne sont pas quiescents "IIT,
ils
mais
se
(.
conjuguent
39).
comme
les
verbes n'b et
z7
le 1 reste
consonne
a ordonn-^
a expire
la guttu-
espr.
D'autres^
comme
:?ia ?7
V^T,
il
expirera.
37.
^V (A/ti-Iod).
mmes
l'on
rgles
que
remarque
au Prt. Kal,
1'^
outre
"jS,
la
conjugaison analogue
ils
njS,
consiste
"^y,
laisser
quiescent en CliireJc,
nom
les
et
intercaler
afformantes
et
^p3,
2 rinf.
Impr.
et
Fut.
^
Kal, au lieu du
quiescent en Chirelc:
3*^
"i'j:
se
conjuguent
comme
les
verbes
Niph.
Hiph.
"J^nr,
Y.%
Hithpolel
^^'i^rir;.
Remarque.
disputer,
etc.
Se conjuguent
comme
'{'S:
"j'^'l
juge^', i'^i
mme
90
temps
la
Du
la
Verbe.
"^7,
forme 17
et la
forme
comme y
et l^b
passer
C.
b.
les
38.
i'b
{Laned-Aleph).
paradigme X.)
Ces verbes sont soumis, en gnral, aux rgles des verbes de la 3^ gutturale (. 29), except dans les fonnes
l'i^
1"^
dans
la voyelle
pas d' a ffarmante, l'i^ est qukscent de la forme rgulire qui alors de brve
Toutefois
il
devient longue.
comme
Impr.
i5
est
une gutturale
a,
et
il
prfre
Prt.,
et
prend un Kamets, au
Niphal
et
Kal, au Prt.
i^S';,
Hopbal,
i5S"a:.
ex.
^T pour
Xipk
Dans Hopbal
2"^
les
Lorsque
les
commencent
par
une
voyelle,
V^
reste mohile et la
^i^S^r.
:
foime du verbe
est rgulire,
ex. Prt.
3"^
Kal
iT
Lorsque
Ffc^
les
affermantes
commencent
par
une
consonne,
est (piiescent:
en
Kamets au
Tsr
Prt.
du Patacb: Ti^r;
en
au
Prt,
autres
formes:
en Svgol l'Impr.
et
au Fut. de toutes
les
formes:
Devant
les suffixes
ex.
i,
DD,
"jD,
l'fc
reste mohile et
prend
un
Cliatepli patacli,
te trmirrrai. ^^^'Qf je
Du
Verbe.
91
39.
ri'b
(Laned-H).
Si le radical n'a
pas
l
d' /formante,
l'"
primitif dis-
un
en
Kamets
n'^an, etc.:
dans
tous
Prtrits:
nba,
^'^S!^
Inf.
abs:
nba,
etc.
l'ex-
Tsr:
les Impratifs:
nb^^ n'55,
Part.
act.
etc.;
nbji";,
dans
tous
les
Fut.
et
L'Inf.
constr.
fiiba
pour niba.
o
le
Le
Part.
pass.
Kal prsente
la fin
le
seul
cas
l'Iod
primitif se
soit
conserv
du radical,
'^'^b5.
H ne
afformante commenant
par
comme
lettre
quiescente
ChireJc
reoit
les
voyelles suivantes
accentues:
au Prt. Kal:
Cliireh
n">p5, ^ir??.
Tsr ou
au
Prt,
des
autres formes
dont
les
r'^^S,
et r'v^r^y
Hoph.
n'^'p^D-
3" Si le
radical prend
l'Iod
par
une
voyelle,
primitif est
formes o
il
se
change en n,
ex.
"^bj,
^55,
92
fm.
Du
nbh,
plur.
n^'i3i,
Verbe.
Kal
T^T;^':^^,
pour
~T^j Nipli.
4*^
rirr::^:.
Le retranchement de
l'Iod a lieu
Futur apocope.
Dans toutes
bS"]
les
et
pour
IP?"];
n|5\
Mais par
suite de ce retranchement,
on obtient, dans
Hiphil
Kal
et Hiphil,
TT:?^'^
apoc. b^\
C'est
voyelle auxiliaire
Cette
ordinairement
le
si
la
racine a une
si
VIocl est la
dernire lettre, un CJiirek homogne de l'Iod-, si le Vav termine le mot, un Schoii7'eq homogne du Yav; si la lettre finale est un Alepli, le Scheva reste (car ^ tant
il
pour une
:?Tr']
seule voyelle),
ex.
'lTi
bTi
Fut.
n'iy
1
de T\y regarder;
^"0
de
bTl
^t
de n?:^
'l'^t
monter;
nij'^
de
T\")T\
tre;
avec
conv.
de
voir.
5 Impratif apocope.
Il
se
forme en retranchant
apoc.
le
et
son Tsr;
ex.
il
n'est
usit
n'^S,
et
Hithpal,
Impr. Pil
Impr. Hiph.
^"i.ri
yy]
multiplie,
pour
de nS"in
ment pour
est
le
3"'
radicale
un Vav au
Tel
verbe nblT
tre paisible
qui fait
an lieu de
^r^br
j'ai t paisible.
li5:
tre
beau,
in^ tendre et
nh
3^ radicale se
change
Du
en
1,
Verbe.
93
Fut.
ex.
Prt.
il
Hithp.
adora.
i^ririTrr!,
nirni, avec
conv. ^nriT';] et
dire,
:
nr^j:;],
-
n-a^j:,
-
l^nri^n,
- 7
n-j^ tre
7
hm.
"7
np^nb,
T
"nt:^'^,
^it:'^':^
i'^P'^^,
nn^p-'fci,
-ir enfanter, -T
'
nnbin, t:-
ibic, -7
T/^T/
:7
--t7
't:-:/
r^ti mourir,
na, ^na,
^,:-^,
n'a,
n^.^a;;,
r^^b, r^^n,
^'^'^n?; ?p''2n.
^15
a>peer.
^^IPl? ^IP;
^'?.^;
t
f.
nb^ WOWfr.
b::?''i,
7
ibr^^,
n'^5;^,
^??^7
"''??^?
^^'^^7
nibi:?,
7
br\ --t7
nb^^r, y-:-:7
r^b:?n, :-.:/ t
nby, t7
40.
Quelques
cause
de
la
nature
de
leurs
:'b
et
"j;;i
nco":,
Impe'r.
i:;:,
Fut. apoc.
ou
"12^1,
etc.
lV et
b:
iia e>2fm*,
etc.,
Hiph.
monosyllabe,
conjuguent
souvent
"l^lB,
d'aprs
plusieurs
^"^E,
"T^S briser;
niB ^e
4^
fcond,
etc.
Les
verbes
3^
et
ty
forment
quelquefois
un
94
Pilpel au lieu de Fiel,
ex.
r^^^^'^Sp^l
Du
Verbe.
^^
i^
jmur soutenir
rptant les
de
?^r.
5'^
La forme
se
deux
dernires
radicales,
ments qui
"*
mon cur
Dans quelques
TipJiel
cas trs
lieu
b^";;.
une fonme
au
de
fai
enseign marcher de
ces
verbes,
on ne peut donner de
recours
gnrales:
il
faut
avoir
un bon
dic-
tionnaire.
41.
De
la
elles la
Quand aprs
afformantes,
il
une
il
seule,
11.
le
ou
^7,
ou nb.
l*'
Les verbes :s
la la
se recoimaissent la prsence
du
V^ consonne,
"t,
ex.
1D^^_.
Aprs avoir
preformante
il
faut prposer
un
aux
des
deux
et
radicales,
pour trouver
n'approcher.
le
Il
verbe dans
faut tenir
le dictionnaire,
l'on
a W^t
compte
par
ex.
ici
on ne trouve pas
F""
la
lettre
D,
l^*^,
il
prformante, chercher la
*
lettre
'^,
qui se
li*^
conjuguent
f(yrmer (.
comme
30 Rem.
et
les
III).
verbes
:b,
et
l'on
trouve
prformantes
Du
a;;,
fait
Verbe.
95
les
Fut. Hiph.
n'^iri'^;
la
facilement reconnatre
est en t^^Ty x.
les
ITIDI.
34. 2 et
3'').
L'Inf. constr.
Kal
confondre avec
3
verbes
mais on
(.31. 4"
Ils
les reconnat la
ponctuation du Cliolem et au
ex.
Kamets sous
a).
la
prformante,
Impr.
nb,
Fut.
nb^
les
verbes
et
"^y-^
cependant
en diffrent par
le
Daguesch fort
par
la
fondus avec
les
verbes
les
2?2?
(.
Ordinairement
abrges
et Q'^pH-
que
celles
HCm
formes
Hiphil
et
ex.
nb peuvent
doute
au Fut.
apocope.
Mais ce Futur
est ici
reconnat
la voyelle de la
prformante qui
syllabe
un Chireh qaton
ex.
ouverte,
b^lj
W*^
Tous
demment.
les
verbes
de
cet
exercice
ont
t cites jyrc-
,n:n: tt:
7
,rnns
.'c'^y^'' - : 7 1 ;
,^^3nry ..:--:
.niDiit^ t t
,^:nnbTr 7 ^pyi'^ at
,n2n ,inTyn
,aDiDD'^a
96
7
l)u
Nom.
,DbDi^n v:v
,in:7'i
,^:D'^ir:.
,^n?^^
r'^r')?'^^
;^:2?i2ir
?^^^1!?') >^^r'^p.
,^SD-inn
,3r?<j?
^^f'^^^^
^''^r!^^
,'^2^:5'^
;''?^'^P
.nsrp ;ri3!r|^
^^nij^^p
Chapitre Troisime.
Dn Nom.
Nous comprenons dans
stantif et l'Adjectif.
Celui-ci^
quant
la
forme, ne diffre
pas du Substantif.
.
42.
la
De
l'Article.
tait
L'Article
dont
forme primitive
bn,
n'est
^b'En
Il
le
roi
pour ^b^b".
soit
ex.
soit
"in^n la parole,
2^
l
b^,
"hn
le
mois.
H
lt''\T)
devant
3"
1 et h,
la
Vliomme,
nnr
la
n
et
les
devant
ex.
y prononcs sans
les
accent,
toujours devant H,
villes, '
liTrirs
a''?7n
montagnes,
D^ijn TV
4
/a vision.
n H avec Patach
sans Daguesch,
quand
"ib^^^i
il
v a
le
fleuve
Quand
souvent
et
l'article
doit
se
trouver
aprs
,
il
une
des
se
supprime
Du Nom.
l'ai-ticle,
97
S'^^Tna;
"jn^l
ex.
a';'QT3
dans
les
deux pour
"i&!?b
comme
iBr^r.
la pierre
pour l^^iS;
la poussire
pour
ai'^riS
L'article reste
comme aujourcVhn
L'article se place
tifs
les
substanex.
adjectifs et les
pronoms,
^mH celui-l.
43.
De
la drivation des
adjectifs,
noms.
sont ou primitifs
comme
drivs
comme
"^"^t^".
tte.
p'^'ns
juste,
ni^ns justiee,
qui
viennent de pyi
dnominatifs,
tre juste;
soit
d'un
nom
et s'appellent
comme
premier.
r'^rS';^
commencement
verhe.
comme 11" esclave, ou mme qui n'en ont que deux comme ^p fin, sont appels noms nus ou simples. On appelle noms augments
Ceux qui n'ont que
trois radicales
ceux
lettres
j'ai
qui,
i5
avant
ou
"52
aprs
la
racine,
ajoutent une
le
des
n
en
"^
r (contenues dans
mot rrs^i^r.
cru
lui.)
tiques,
ex.
LTn grand
la
foime plus
et ahs.,
ex.
phs
rire,
48).
apparaissent
cei-tains
noms
"jili
moyen
1"
ex.
Les prfixes
seigneur;
ex.
rr^^ir,
sont:
local,
Alepli
ex.
2
?m.
3Iem
nSTt
T/?ffr initial,
Chabot, Gramm.
hbr.
ditiou.
98
Les
n^-ini
affixes
I>u
Nom.
^'^-r
,
sont:
1^ n^,
li,
ex.
n'^.D'pi:
royaume,
issue-^
2"
),
ex. ^S-]:
offrande,
li'^5^ i^erfe;
nombres ordinaux
^^Sl
et les
noms de
second,
^^.ri^ lilreu.
En hbreu
ment parmi
niort,
les
les
mais trs
noms composs se rencontrent rarenoms communs, ex. ^^^isbs mhre de la frquemment parmi les noms x^ropres,
Josaphat,
Pi^I^S
ex.
'SDin'^.
{Jehovali juge)
Qiomme de
Dieu) Gabriel.
.
44.
Du
masoulin et
le fminin.
On
remplace ordinairement
celle-ci et ceci.
Le mascidin n'a pas de terminaison qui lui soit propre. Les noms d'hommes ou de fonctions ^particulires aux hommes, ceux de peuples, de montagnes, de fleuves et de
mois sont ordinairement masc, quelle que
naison, ex.
i^^"!"^
Jrmie, TllT]
Juda
(peuple),
Avril.
Les noms fminins sont ordinairement termins en (aprs une gutturale ^-r), plus rarement en "'-T?
^~
m,
r^-^,
rrrD
tunique.
de provinces, de pays,
areUle.
les
deux genres,
tels
que
de
ICTTD
ni"i
vmt,
esj)rit,
TCfD
me,
etc.
La plupart
ou n-:7
(et
des
noms fminins
une gutturale)^
drivent
leur
ajoute la
terminaison l
"IB
ex.
h<mif,
nn
Le fminin dans
foi-me
les
nii:
adjectifs
et
les
participes se
de
mme,
ex.
it^ habitant,
22. V.)
Du Nom.
.
99
les
45.
Du nombre
dans
noms.
le
11
y a trois nombres
Il
dans les
noms hbreux:
mot
la
A. Singulier.
simple,
ex. "12
reprsente la forme du
"^b hlanc.
plus
ennemi,
jiS'
Il
s'emploie quelquefois
collectivement, ex.
oiseaux,
"ji^S
troupeau.
B.
Pluriel.
1^
Le
la
pluriel
des
a"!^-
noms masculins
(orthogr.
a"*"'.
se
forme en ajoutant
3-^) au singulier,
syllabe
T>1?
dfective
ex.
^
cantique, plur.
Les noms en
plur. D'^iS.
prennent seulement
S, ex.
^13 nation,
roseau, plur.
2^:;?.
Le
pluriel des
noms fminins
se
li
forme en ajoutant
la
),
ex.
H^ main,
plur.
niir
Si le
nom
est
termin au sing. en
^-7-,
ou en n-^
ou en
ri-z-y
ex.
n^n
statut, plur.
nipH;
r":5i5
lettre,
plur. ni"i5i5.
les
C. Duel.
Il
comme
les
yeux,
mains,
Il
etc.
se
forme en ajoutant au
sing. la terminaison
3"^
D''j^
duel
deux mains
Si le
ai"
D'^iai''
un temps de
change
deux jours.
nom
a la terminaison fm.
;:,
elle se
en
n^
qui devient
r^-, parce
qu'elle
est
en syllabe
ouverte, ex.
lvres.
Remarques.
1.
ni,
et
quelques
noms
3i< pre,
plur.
n'^'^ij;
'^..X
100
IL Les noms
mne, plur.
de
Du Nom.
la
Q^'i^:
fvoir le dictionnaire).
46.
De
l'tat construit.
Il
ny
a pas
de cas en hbreu,
sauf
le
gnitif ou
le
nom
sans
ou
avec prposition,
Seigneur:
tt?"'i?"^,
Vhomme] T3?2 par force. Pour exprimer qu'un nom est rgime d'un Hbreux ont une manire qui leur est propre.
mais
le
autre^ les
Le nom
nom
se joindre,
rgi.
pour
rapidement avec
le
nom
rgis-
La forme
nom
tat absolu.
voyelles
et
de consonnes
qu'il affecte.
que
mots
Giangements dans
au
le
voyelles.
Pour former
Vtat
construit
sing.
masc.
et
le
except
ces
Kamets
dans
la dernire syllabe,
deux voyelles
se
changent en Patadt,
et
dans Vavant"in'n-,
in^
ptarole.
tat constr.
IpT
prennent aussi
"ln
le
Chateph au lieu
du Scheva simple,
Toutes
constr., ex.
vestibule,
D^D cheval]
^bij
D^D
le
cheval
du
roi.
La forme
constr.,
ex.
fminfcjl.";
en ti-^
rs*!"^.
l'tat
tat
constr.
Les terminaisons
construit.
f^*^
r^ ne changent pas
l'tat
Du Nom.
S'il
101
syllabe
ils
La
sulte
>-::-,
tei*minaison masc.
le
du pluriel
la
et
celle
il
du
r-
D,
en
pour
ex.
l'tat constr.
du
plur. et
du duel
'^"l'^';
terminaison
a'^n"itD cantiqiies,
'^b'p^.
tat constr.
D?'*^'^ les
deux
disparaissent,
ex.
comme au
tat
de
V avant-dernire syllabe,
iiDC
annes,
constr. niSl.
Bemarqiie.
l'tat
construit; plusieurs
les
changements
dans
.
qu'ils
le
L'tat construit
est indiqu
dictionnaire.
47.
Du nom
(Paradigme XIV.)
Quand
le
pronom
suffixe se joint
il
au nom,
il
s'attache
prend
la signification
du pronom possessif
(.
19).
On
ferme
exercent
forte
sur les
voyelles du
nom:
ce sont DD,
DP,
)Ti.
le
verbe
de
(. 2'd. C.)
les
qui
ont
une
voyelle
liaison
s'attachent
pronoms aux
ex.
noms
leur
se joignent
C"2
ennemi de IS,
P
se
Avec un nom
Vtat
singulier,
"JD
joignent
construit
du nom,
ex.
nD'^S'n
votre
102
parole; les
suff.
Du Nom.
lgers
demandent
'^'il"
tre
prcds de
la
ma
parole.
un nom
Vtat
construit
lgers
du nom,
vos p^arohs;
ex.
"^"ini
les
suffixes
se joignent
Ytat absolu,
mes
Xmroles.
Ordinairement
donnent
les diffrentes
noms,
soit
48.
Des noms
sgols.
existe
une
classe
la
de
noms
se
trilitres
qui,
drivs
immdiatement de
racine,
un
une
C'est
le
pourquoi
plus
on
ajoute une
auxiliaire
qui
est
souvent
un
Sgol.
Celle-ci
donne de
la force la voyelle
de l'avant-dernire syllabe
On
saintet,
qu'on appelle
le
sgoles.
Mais ds que
primitive
reparat
nom
le
ponctuation de
la
forme
La
la 3^
pour une
seule voyelle.
C'est pour-
voyelle
auxiliaire
ex.
devient Sclieva;
"'2b^
sous une
gutturale,
livre,
Scheva compos,
mon
roi,
ilp smi
Du Nom.
L'tat absolu
103
la
2^
radicale
un
de
la voyelle
a*^::'^!?,
Q'^I^P,
Q*^"!^*.
Au
pied,
duel le
les
mot reprend
deux pieds.
sa
forme
'oSyyr\
A Y tat construit
reparat^ ex. ^D^'a^
du plur.
lgers,
et
du
duel, la
ici le
forme pn'imitive
est mo?)7e).
"*":??; ^"!^=>
(mais
les
Scheva
Avec
Avec
les
suffixes
noms
sgols
prennent
rois.
noms
sgols
prennent
Bemarque.
d'irrgularits.
le
Les
sgols
offrent
un grand nombre
remplacent
gutturale,
Sgol par
un Patach,
n2
ternit;
n en
^,
ex.
49.
Des
l,
lettres paragogiques.
Les
trois lettres
nom
elles
sont
alors
quiescentes
en
leur
voyelle
homogne.
La terminaison
ce
T'\~
(n paragogiqu)
ne prend
pas
Vaccent,
qui
la
distingue de la terminaison du
l^tr^X
la
maison.
la
Cette ancienne
le
et
prend alors
le
Babylone.
nom
elle
de
local,
ex.
l'^hS
Quelquefois
indique
direction
vers
un endroit,
2''
ex.
La teiminaison
''Obib'a
paragogique) s'attache de
pleine de jugement
que dans
le
style potique
ou solennel.
104
3^
Du
^^om.
La terminaison
(l
animaux de
la
te)re.
50.
Noms
^Sb?,
irrguliers.
^ns;^,
lger
"^nij,
avec grave
frre,
ex.
'^^2^^ DD'^ni.
2
sufp.
HJ
tat
constr.
""Ht,
^n^^
suff.
plur.
plur.
U^T]^,
1.
avec
^Hi,
lg.
^n{,
Iiriij.
avec grave
pers.
3 pers.
ninij
suff.
plur.
ni^ri<
ou
ninj5.
4^
12?'^^
Jumime, a
le plur.
du
nom
ir.t'if^,
auquel on joint
constr.
les suff.
graves plur.
suff.
le
5^
avec
comme
plur. C^r:,
et.
constr. ^tz.
6
constr.
7
ril2ij
servante,
garde
le
r;
au plur.
riir.'ai5,
et.
i",ilti^.
rr^a
"ja
maison,
/97s, et.
et.
constr. r""?,
plur.
""ja
8
plur.
constr.
"a ou
/?7s
3*'?3,
et.
^:2, ton
^?3,
etc.,
9^
suff.
na
"ri,
10"
on
comme
'^'C\
2^ et
3^
tat constr.
S-'br.
^'S'^r.
"^"ir.
ville,
plur.
et.
''"7,
tat constr.
"^,
mB
tD^^^
bouche,
constr.
avec
suff.
^E
ma
tj'^.
16"
tte,
plur. C^t^";
(voir le dictionnaire).
Du Nom.
.51.
105
Noms
de nombre.
L Nombres cardmux.
stantifs^
un
jour,
masculin.
tat absolu
"^rj^
fminin,
tat construit tat ahs. tat constr.
r.ny:
'^^^
^'H^
ex.
Il est
^"""
in;?
Le nombre 2
est
un substantif
abstrait:
dualit,
tat constr.
tat constr.
La chose compte
forme
' appositimi
,
est
ex.
le
a^^n
ou
a'^ji
a"^"?;
deux
montagnes, ou aprs
a'iaa
nombre mis Vtat construit, ex. ': fZewa; /?75, mot mot dualit de fds. De 3 10, les noms de nombre sont des noms abstraits
dit
il
(comme on
taine).
en latin
est
trias, decas;
Mais
remarquer que
du genre fminin
foime fmi-
Forme masculine
avec les subst. fminins.
tat ahs.
3.
Forme fminine
avec les subst. masculins.
tat abs.
tat comtr.
tat constr.
106
Du Nom.
19,
les
De 11 comme il suit:
noms
de
nombre
s'expriment
Masculin.
11.
Fminin.
-
^13^1
:!
"
:
nntt?:r
12.
-l'a:?]
rntyl
De 13
nombre
au masculin
devant
"i
jTBiT.
13.
14.
"li?
npir
^itT wbt
nitsy rsni?,
D"'1tD5'.
ywy ^?2ni?
etc.
jusqu' 19.
De 30
des units.
30.
le
pluriel
n^wbi
70. a-'irni
80.
-^:bT
90.
n^ytv.
40. a^?2^>*
Toutes
fm.
elles,
ces
seule
forme sans
et
comme mots
Vav
se
et
tantt aprs.
le
Les units
par
copidatif qui
signifie
ex.
D"':?S"C*|
T'ar|
septante et cinq.
Cent:
nij'S,
Deux
se
cents:
(duel).
le
foiment
en
ajoutant
pluriel
aux units de
l'tat constr.
tbw
trois cents.
Mille:
t\0^,
ment en ajoutant
ex.
a^f'^^
r"i73"ii5
aux units de
constr.
masc,
quatre mille.
Dix
Des Particules.
107
IL Nombres rdiiiaux.
De
Ute,
10.
Premier
(de W^'^
commencement) fm.
niCb").
second
troisime
"'^''^'s?
septime
"'^'Q'
huitime
neuvitne
'^:?"'n"i
quatrim
'^y^tVi
"^"j"^^?
''IBttn
^llt
cinquime
sixime
dixime
se
forme en ajoutant au
fminin
un
tiers.
Chapitre Quatrime.
Des Particules.
le
nom
de
Particules,
les
Conjonctions et
les Inter-
52.
Des Adverbes.
et ren-
verbe
tre,
ex. "i^^
il
ne pas,
encore;
voici;
^^^'^ P(^s;
^i^y
encore,
^s'iiy
reste
ici,
ici
(proprement
oi
voici),
""H je suis
oii
me
"^
oit,
y^
est-il?
sont-ils?
suffixe
du verbe
qui
souvent avec
le
Nun
penthtique.
T\
2
s'unit
ex.
La
comme
b<bn.
est-ce-que
... ne
pas?
Devant
les
consonnes
108
Des
Particules.
munies d'un
avez-vmis
ScJieva mobile,
ri
se
change en n
se joint
ex.
SP^'ln
entendu?
Souvent
les ex.
elle
ex.
ces
mmes
est-ce
coiyidatif,
n:?^^
Devant
gutturales,
le
m
si,
interrogatif
prend ou un Fatacli,
si
D^H
est-ce
que
ou un
Se'gol
les
est-ce
que moi?
.
53.
Des Prpositions.
spardbles.
(Paradigme XY.)
mencement
ticules.
Il
de.'^)
elles
ont
un genre, un nombre, un
sans, b^ vers,
"i^sb
construit,
reoivent les
aprs,
nr
a^ec, etc.
r.5
La
devant
prposition
avec, se
change en
Pi^
(pour
le
n:i5)
que
signe
(^''^),
r.i
moi.
les
Quand
elles
toi,
tantt
vous.
nonce au
42, ex.
DD^ en
Dans
plonasme
le
l'a
style potique,
3,
.
3,
b,
ex.
(voir paradigme
XV.)
54.
De
copidatif.
1)
En
ejffet
pour unir
les
le
et les
^^T^,
ils
rempla72 note.)
cent par "^^N; c'est pourquoi les prpositions places devant Hin%
Des Particules.
quelque
109
le
manire que
ce
soit,
on emploie
Vav
affect
Ce Vav a
elle
genre de liaison
Quant
nous
1
sa ponctuation,
avons
dj
parl,
et
en outre
le
Vav
se
change en
1,
les labiales 1,
)2,
ex.
";
351
^t
ainsi,
bbp^
et
tous,
tfb'C^
et
roi.
Devant
"^niT
il
le
Vav prend
la
Chirek,
ex.
"^T]^)
et il sera
pour
mal.
Quand
le
prend
^T bien
et
dans
le dictionnaire.
changent en conjonctions;
"'S
mme
"j:?^
17 jusqu'
.
ce
que,
""^
2^(^^'^
^tc.
55.
Des Interjections.
proprement
dites
Outre
^"^n,
les
interjections
H^,
rifli,
y a encore d'autres espces de mots qui deviennent interjections parce qu'on les prononce avec vivacit,
il
ex,
""
Les particules
i5:
et ^S je vous prie
donnent
la
phrase
56.
Moyen
lettres
mot hbreu.
Les
hbraques peuvent se diviser en lettres
radicales et en lettres serviles.
la racine, ce
";
c " i p 1
t.
le
sens de la racine.
les
mieux
faire
on
n5Di,
nr,
'jr'^i?.
110
Les
cales'^
Be
lettres
les
rinvestigation de la racine.
serviles
peuvent bien
tre
aussi
radi-
mais
lettres
radicales ne
serviles.
Les
lettres
serviles
faciles
retenir
ne
la
racine^
il
nent ncessairement
la racine^ ex.
aussi appartenir
y a quelque
s'en tenir
Pour rsoudre
cette difficult
est
bon de
II
L
que
elles
si
y a des lettres
elles
de la racine.
Ce sont
b
les lettres
i5
n b
r
'?
(tsbb).
et
ou de, ex.
Le
n'est servile
Il
que dans
le cas
il
remplace
le relatif TCfc?.
mot
et
ordinairement
la lettre
n'est servile
comme
prcfor-
au Futur,
ex. bbpi^
,
btj^i^
je serai
'j">'^
tu:,
et
comme
prosthtique
ex.
de
juger, dominer.
avant ou aprs
la racine.
Si elles sont
n r
n (n2:bn).
De
l'investigation de la racine.
111
mis avant
la racine:
.
"^"CTCr!
est-ce que
a fait
tuer.
tuerai,
local mSIi
m^'::^ reine.
par
'mis avant:
terre,
terminaison du fminin
nom
sition
n^T'
autel,
13
abrg
de ^r prpo-
'D'^yy'
des deux.
marque
ennemis, du duel
noms
1"^
D'^-7-
'^'j^
les
deux mains.
Pt2pl5 il
tu,
prformante
plur.
tuerons.
suffixe
),
),
a tus, paragogique
'j''pS^r}
f attacheras,
moi.
"{p,
du
nom
cmnme
DD,
suff.
Q512"
ai'ec
) -f-^;-, wws.
,
tf-^;
jS
en
bbpn
^t*
tueras.
de.
soit
avant,
'^
ce
sont
et
1,
avant la racine:
prformante du Fut. bbp"; il tuera. entre les radicales: caractristique de Hipliil entre 2
et 3" radicale b'^Pipr.
//
^
I
/^a^Y ^//er.
aprs la racine:
l
sufi".
1"
pers.
'^iln
mon
/9/6?
fils,
para-
gogique (rare)
"^^S
de.
112
avant
la
^^
l'investigation de la racine.
racine:
copulatif
Trn?ni
i^'^pl!!
^t
il
le
serpmtj
conversif
et
appela.
1 {
aprs la racine:
paragogique
i
(rare)
iri*|n
hte
pour n^H;
Les prfixes
tant
enlevs,
il
fils.
ou
suffixes
s'est
41).
Dans ce dernier cas, il faut pour trouver la racine, ajouter un n la fin du mot, et un : ou plus rarement un au commencemeyit.
"^
S'il
Il faut
ou ou
^i
au commencement
au milieu
la 2^ radicale
SE,
Il
*.
II
ou
>
iy,
"'T.
ou n
la fin
H b.
yy.
ou doubler
La connaissance
tre supple.
de ces
Troisime Partie.
De
L'hbreu n'a pas
occidentales.
la
Syntaxe.
longues priodes de nos langues
est trs simple;
les
Sa syntaxe
nous exposerons
seulement
les rgles
Chapitre Premier.
Du Pronom.
.
57.
Du Pronom
personnel.
Les pronoms
tre,
Le pronom isol renferme assez souvent le verbe x. SDn i^^n DS lui 7nhne aussi (est) sage. Quelquefois on rpte aprs le suffixe le pronom isol,
de donner plus d'nergie l'expression, ex.
^'^
afin
Drjb^
le
Qd'::
tien.
Le suffixe se met quelquefois par plonasme, immdiatement avant le nom, ex. '^;7 itC! Vime de lui, du
])aresseux.
Les
possessifs,
suffixes
du
nom
qui
ou
Le contexte
distinguer.
Chabot, Gramra.
hbr.
4*"
dition.
114
Du Pronom.
Les Datifs moi,
toi,
etc.
paraissent quelquefois
"'j"b
va-t-en.
Du Pronom
dmonstratif.
la 3 pers. joint
si
Le pronom personnel de
stantifs
avec des
ces sub-
ont
Tai-ticle,
il
le
prend
aussi,
ex.
i^^nn ai'^S
en ce jour.
le
relatif
surtout
Itt
dans
les
livres
potiques:
ex.
HT
"fi^^
in
in ^rr^
fc^^M
laquelle tu habites.
employ dmonstrativement,
i^i
le
sens
de hil-
m^ne, ex.
b^rl
le
Seigneur lui-mme.
signifient
le
mme,
ce.
ex.
mme
temps, i^nri
ni'*?! ce
jour-l.
Du Pronom
interrogatif
interrogatif.
Le
pronom
T\)2
s'emploie
quelquefois
TJ21^"a.
joint
aussi
les
locu-
tions
riia"17
suivantes:
rn^b pourquoi?
etc.
^;o?/r quelle
cause?
jusques quand?
Il
se joint
aussi
aux
adjectifs: bi"5"ni2
combien grand?
60.
Du Pronom
mme
les
relatif.
Il
ce,
pronom
lieu,
celui,
celle,
etc.
mots
temxis,
devant
iTi?
l^"^
dire;
"^^^ ^j'^r^iini
"iT^b
celui,
ceux qui;
"iTJ'Q
depuis
(le
(le
lieu) o, etc.
pronoms
et
sigiii-
Du
iication
relative.
Verbe.
lui,
115
ib Itti? auquel:
Ainsi ib
de l,
zt
sei-t
l,
2C
"nri5
o;
a^r
2^ nr^
Gnitif:
d'o, etc.
et
irb5
joint
aux prpositions
aux
suffixes
exprimer
Datif: ib
lequel,
(7^77^5
iTiJ lli
dmit
l'oreille;
nrs qui, arib 'i5 auxquels; Accusatif: ini zr^ ' lesquels; Ablatif: ia ' (7aws lequel; a2^.;<3
'i^
'
'i5
duquel.
13,
ils
etc.,
y a souvent des mots intercals entre ""iTTi^ et i"?, ex. nn-^nttf;^ -,ri< ynijn 7a ferre, (7ws laquelle
ont habit.
.
61.
Le xyronom
et Hithpal,
rflchi
le
ou par
de la 3 pers., ou enfin
les ex.
y^iVi
par
mots C
"":?'"!
03:7 os,
etc.,
V^T)
se
nourrissaient eux-mmes,
^S:
}kb
je ne
Chacun se rend par l^i^^, fm. Ti^: quelcj^u'un par 1D^ ou D"i:; quelque chose par nn^"?2 et nr'i^r: l'un, l'autre par HT ou "ni5 rpt, ou bien par ""i suivi de
rj
frre
ou de
5";^
compagnon.
Chapitre Second.
Du
.
Verbe.
62.
De
a
l'emploi
du
Prtrit.^)
le
Le
Prtrit
ordinairement
mme
sens que le
la
temps de
et
narra-
1)
Ce que
les
Futur en
116
tion.^)
Il
Du
Verbe.
le
Flus-quc-pmfait
ex.
J'^V
liomme dans la
terre de
'^^*
^""^
i57
^^
2/
c^^'ciH
^<^
Jehavali n'avait
pas encore
Il
fait pleuvoir.
a le sens
de VImpayfait et du Flus-qiie-pmf. du
Subjonctif dans
si
les
phrases conditionnelles,
^r":!")
^f::
ex.
^Sri"
^'^
^.'?
nous fussions
Ze
a'iD 5^
-T^^in
fcb'^b
laiss de survivants,
il
indique
un
tat
qui
dure,
principalement
dans
les
phrases
etc.)
ex.
^27 ni2K
^b'a
f^nn
Tjrr
le
paresseux
dit:
le
63.
De
l'emploi
du Futur.
aussi
ex.
Le Futur exprime ordinairement Vavenir. Il s'emploie pour le Prsent, surtout dans les sentences morales, ni^"*"] la crainte du Seigneur augmente a'^p^ q">pin
(Ti'ill'^^
les jours.
Ti{
alors
le
et Z'I'Z
le
t!5
Futur
est
mis pour
Prtrit,
^in"]
"i^'j']
Seigneur.
Le Futur
pratif-):
les
"^ttz
il
tient
sert
commandements,
afin
prires,
etc.,
ex.
"^-.nn ^T):
prisse
le
que je
te
bnisse:
i^'nbj^
Di"^
"5i"'
i^i'nsn*]
que votre
ser-
1)
des HelDreux
2}
24).
Du
.
Verbe.
117
64.
se
De
On
versifs
sert
Le Futur
sens
les
il
que
le
Prtrit peut
62),
il
cependant
a t parl
le
prcdemment.
premier verbe
se
C'est
pourquoi
Prtrit,
dans
la
narration
met au
Le
(.
Prtrit conversif
prend tous
les sens
du Futur,
V Im-
le Subjonctif et
pratif
comme
il
la
continuation
tre
avec lequel
doit
en con-
et il arrivera
et recueille.
dans
jour; ^SOXI
|5
np prends pour
toi
65.
et
du
Le Futur
ex.
ioit
lV:pl?
me
ta terre!
4'')
Le Futur
ou dfendre,
le
apocopt (. 39,
lib
"'i'^.
ex.
que la lumire
il
souvent avec
et il rvla.
Vav
mourut; b^^
66.
De
avec
L'Inf.
^Q-ammaticale
reste
de la phrase, ex.
eaux taient
1)
^<'ai<^1
^r^-l
et
il
arriva,
ou
dit;
ce
le
rcit a
quelque liaison
118
Il
I>u Verbe.
se
trouve quelquefois
la
fin
ex. n^i"^?!
v2^nr:
lui servira
est
surtout au
Prt,
et
ressortir Tide
du
verbe^ ex.
ri'D
mourras certainement
fois
la ex.
continuation
ou
i^s;:^
la
et
tat,
et
nil
i^is;
(le
corbeau)
sortit allant
venant.
Quelquefois
tre
le
temps qu'exprime
le
llnf.
absolu,
2i*"ri
doit
"*iiD7
expliqu
par
contexte;
ex.
T3ltj
.67.
L'Inf.
De
construit
il
grammaticalement avec
C'est
la
phrase dont
fait partie.
un vritable substantif
de cas,
Il
etc.
s'emploie
"!?.^^'
comme
^37;^ t^:-.
substantif
je sais
fa
Vetat
absolu,
ta.
ex.
^jH^'j^
et
^r^?1
(ton
demeure,
sortie
ton
entre
demeurer,
Ytat
comme
n!p"En
par
substantif
il
construit,
v]DiJ?l
r:?
xb
n'est j)as
temps de rassemble)'
il
btail
(du tre
rassembl).
le
Prcd de prpositions,
fini
doit se traduire
ex.
DlsJ'^.S'l^
verbe
et
lorsqu'ils
furent
crs
tre
cr
d'eux),
iS^TTT^
La
pour
lettre
prfixe
devant
llnf
constr.
etc.,
rpond
ri^V:;
ex.
quelquefois
ex.
elle
donne
^^'
l'Inf
le
sens
du
Participe prsent,
"^ra^^
Le
12
Du
Verbe.
ex.
i^iaia
119
^'IS'bs "150
entre.
s'ils
maison
Les
est
expriment l'Accusatif
le
se
Gnitif
s'ils
se
rapportent au
suffixes
Dans
dans
le
premier
cas,
on
se sert des
du verbe
^^isn]?
et
le
Par exemple
si
mon
le
68.
De
l'emploi
du
Participe.
Le Participe plus encore que l'Inf. se rapproche du nom: quelquefois il devient mme substantif, ex. nyh
pasteur (le paissant).
Il
se
met
Vtat cistruit,
(les
ex. T^r^2
Jiahitent ta
Il
iS""'
maison
habitant ta maison).
fini,
ex.
in; un
^D55
i<X^
rib^'^M
Accompagn de
sens de se mettre
,
M^ri
tre,
il
donne
1"^
phrase
le
commencer,
(et
il
ex.
n:!
une
"in*|l
et il se
ville
fut btissant
ville).
Les
manire
crateur:
suffixes
s'ajoutent
ex.
au
Participe
de
la
mme
mon
sens.
qu'
ces
l'Infinitif,
^DTCS^
crant moi;
le
^i"^
mme
69.
De
du Verbe.
si)
Le Pronom
hbreu:
1
cm
(en Italien
s'exprime en
par
la
construction passive,
invoquer'.,
ex.
i5"i]5b
bn^n
Ti
alors on
commena
3^
2 par la
et
pers.
sing.
on
dit
Joseph]
on annona Sanl]
"
120
I>u Verbe.
ex.
HiCir i^inrri^p
on n'ira
pas
de
ly
toi).
^jy^S
n:?
La
(^il
du Prt,
ex.
"^nil
et
et
du Futur s'emploie
il
souvent impersonnellement,
brla lui)
il
arriva, ib Tin
est
On
trouve
cette
ex.
forme impersonnelle,
'^M*)
mme
des
t".i"ib5l2
qu'il
La forme masculine
plus usite
personnes
et
beaucoup
remplace
que
la
foime fminine,
t^''n^
elle
la
70.
Du
Sont considrs
comme
en hbreu et gouvernent
V Accusatif,
a.
les
s'asseoir, habiter,
demeurer;
b. aller,
c.
venir, se mouvoir;
d. vtir,
e.
dpouiller;
abonder ou manquer.
et
rt27
rpondre
T\ri
commander sont
lui
aussi
actifs:
rpondre () quelqu'un.
^lE
ib
il
(^PP^^^^
prend aprs
(il
une prposition,
ex. 551 p
a appel lui
a cri
lui).
ex.
ramener.
ex.
D:?n"r5
'lizb
il
le
On
il
faut
mouvement,
^^V^H Cette
souill sa
couronne (en
la jetant)
par
terre.
Du Nom.
construction qui runit deux significations dans
le
121
seul
verbe exprim, se
nomme
est le
prgnante.
Ce
n'est,
comme
on
le
Lorsqu'un verbe
met quelquefois le second au futur, ex nsriJ; ^r^V i^b, je ne sais pas flatter (je ne sais pas comment je flatterai).
Chapitre Troisime.
Da Nom.
.71.
L'article
se
De
l'Article.
supprime
devant
suffixe,
un nom qui
parce que ce
est
est
Ytat construit
ou suivi d'un
nom
maison du
Les
roi.
adjectifs
et le
pronom dmonstratif HT
le
joints
ex.
"^isn
l'article,
prennent aussi,
peuple.
l'ar-
lorsque
le
r^3
bilSn
la
grande maison du
L'article
il
les
noms
p^'Op'es:
se trouve
noms communs correspondants, ex. li^^fH le Liban le mont blanc), M^^"*n Rama (le lieu lev).
L'article a quelquefois le sens dmonstratif,
surtout
dans ai^sr
cette fois,
zi'^i
72.
Du Nombre dans
Noms.
Le fminin remplace ordinairement le neutre ex. ^Pbi^ir Tin!?! j'ai demand une chose (mmm). des Latins, Unam (unum) petii a Domino, banc (boc) requiram.
Nota.
122
Les Hbreux^
pluriel
les
Du Nom.
par
respect^
se
servent
souvent du
C'est
en
parlant
ce
que
d'ex-
grammairiens appellent
Ainsi
le
de
majest ou
le
ceUence.
D'^tinp
le
D'^ipi^
(les
dieux)
dsigne
vrai Dieu;
Seigneur^),
un matre,
etc.^)
Un
a"'n^5'2
D^SpT
vieillesse.
a^^Hi
misricorde,
3*^35
face, etc.
Le
singulier des
noms
de peuples^ prcd de
les
l'article,
Jhusens.
le
nom
D^liS
corre-
ex.
bs gen-
De
ex.
l'Apposition et de la Rptition
est
la
du Nom.
Ytat
'i'i^'l
Apposition
iDS
runion de deux
noms
argent,
absolu,
a^^rri:
Q'^'^SS
deux
talents
(d')
(des
paroles,
des
con-
solations).
1)
le
nom
propre de Dieu
ils le
remplaaient
Massortes
mT^.
pourquoi
sous le
les
mot
mot
Mais
Scheva compos est devenu Scheva simple, parce que l'Iod n'est pas une lettre gutturale. Si le mot Mirr^ est dj joint avec "'a^x, les Juifs lisent: Admy Elliim, et pour cette raison les voyelles
de
D'^n'^<
sont places sous nirr, ex. n^n": ^snx ^-ax nb, lisez kh
'mar 'adny 'elMm. La vraie ponctuation du nom de Dieu aujourd'hui perdue, semble avoir t primitivement ^1^.^^ (Futur de "irj, forme usite dans Faramen, mais rare en hbreu et mise pour ii'^T^ tre) il sera ou il est, c--d ternel. 2) Le pluriel de majest, ayant la signification du singulier,
veut
ordinairement
le
verbe
au singulier,
ex.
"'!7'px
"^S {au
Du Nom.
123
deux
Cette
En
ou
hbreu un
nom
ou sans Yav
tiiiita
copulatif.
la multiplicit,
ex.
rii"ii?3
(des puits,
des
la
totalit,
l'universalit,
ex.
l'^'tSs
TC'^if!
(homme
par
homme)
3^ la
tous les
hommes
ex.
-^
distribution,
IJi^SS "^'^23
un matin)
ex.
Vav
pi?
(un
de poids.
.
74.
De
suivi
l'Adjectif.
Si
le
un
adjectif est
met ordinairement
de forme.
beau
moyen
homme,
g de
bT^
les
seigneur,
allis;
"ja
fils,
ex.
T^lt n^^-i^
a^l^;?
Abraham
tait (fils)
cent ans.^)
Le
pluriel
au singulier,
ex.
ntp
D'^^yt
un matre
adjectifs
et
dur.
les participes se
Avec
les
collectifs,
les
mettent au pluriel,
T""'.^^'^^"
^"'^"-
ex.
U^D2 yiSti'b'S
(est)
le
toute la te^re
pleura;
nombreux
signification
x)euple de la
tefrre.
1)
Outre
la
la
le
fils
mot
de
in-
dique souvent
b"n-*|2
dpendance , V origine,
ex. Je
la force
La
pour dire un homme fort; fdius iniquitatis pour vir iniquus. de Tyr est appele fle de Ja mer, parce qu'elle tirait toutes ses richesses de son commerce maritime; les rabbins appelville
fils
lent le vinaigre
du vm;
etc.
124
.
Du Nom.
75.
Du
Comparatif et du Superlatif.
L'adjectif,
en hbreu
comme
la
en
franais,
ne subit
et
formation du Comparatif
du Superlatif
la
prposition
l'a,
"a
que
l'on place
comme
prfixe
devant
^b'E'
le
nom
roi (sage
signifie
en comparaison du
aussi
roi).
Cette
ex.
construction
T
quelquefois
difficile
trop,
DSr nrpl
^':'^y
pour
ma
Le Superlatif
1
X^'^^i
se
en plaant
l'article
l'adjectif,
ex.
i5^n T\y\
ajoutant la particule
1^.12
mauvais mauvais,
pluriel,
4^ en rptant le
ex. D'^i^i
nom
et
en
le
mettant au
de Dieu:
bnn
la plus
grande vanit;
D'^ibi,
noms
^''^lj
^r?
ex-
"0'"''^
"^^^
arhres du Seigneur,
c--d
trs levs.
.
76.
Des
Noms
de nombre.
(^.
Le nombre un
51).
se
l'tat
devant
le
substantif;
l'tat
le
absolu
devant
substantif;
l'tat
absolu aprs
Des Particules.
substantif^
trois jours.
125
ninb ou T^^bt
2*^12^
ex.
a'^'52^
^'t^'tc
ou
Z^T^
Les units
se
construisent
substantifs pluriels.
sing. le
et
nom
de
la
chose
elles
le
prcdent,
au pluriel quand
nombres
^'n
composs de
^'i^^
quinze coudes;
njir six cents et
U^^W
un
le
D'^b'^i?
an.
Quelquefois
nom
se
chaque nombre en
petits
plus
ex.
nombres
r^zw
et
au
n^:t
rnr-^,
a-^'^.tes'^
n:t
r^a^i
127 ans.
Chapitre Quatrime.
Des Particules.
.77.
Nota.
Des Adverbes.
les
diffrents sens
et
bb5.
Le premier
le
ngation simple,
l'ide
b<b
ex.
tjb;;
ikb il
n'ira
pas ;
second
renfei-me
de dfense, ex.
sert
i^b
'^bl^'bi?
Cependant
aussi
tu oie
exprimer une
interdiction
prendras pas.
n'affirme pas,
comme
ex.
en
latin,
l'^fe?
comme
pour
la
en grec,
i^b ?1P2
rponse non.
Il
n'y
pas
de
la
rponse affirmative
oui,
on rpte
la
paix
Us
126
.
Des Particules.
78.
Des Prpositions.
peuvent
"ini^'Q
Plusieurs
prpositions
b^t
se
trouver
runies
ensemble,
dessous,
ex.
de
dessus,
'">5'a
d'aprs,
rnnia de
appartient
uyi2 d'auprs,
d'entre, etc.
Il
Des Conjonctions.
conjonctives
'\7'2
Dans
souvent
les
locutions
ainsi
une
est
partie
est
retranche,
):^\^)
ou II^
souvent mis
pour
^,ri|:
25^
si.
plac
ex-
^1"^^r, Di?
renferme une
Y'^.^ti
affir-
mation, ex.
....
VO
Di?
~b
r;;J7P
certainement
pays sera
toi.
80.
Du
Qeri et du Kethib.
en
Les Massortes,
variantes
tout
admettant pour
le
texte
de la Bible la leon traditionnelle, voulurent insrer les qui leur semblaient fondes;
le
ils
n'osrent pas
ils
changer
la
texte lui-mme.
C'est
pourquoi
ont crit
la page), les
consonnes
de la variante propose et
lui appai-tiennent sous les
consonnes du texte.
tre
Les conlues
sonnes places
la
avec
La
doit tre
ce
("^"ip
chald. ce qui
(2^T\'2
de
i5"ip)
et la leon
du texte Kethib
qui est
crit,
de iro).
Le mot auquel
s'applique la
1) Ce retranchement des conjonctions a souvent pour but de donner plus d'nergie la phrase, ex. cnb i'.bpx "^s? *?25< ils d-
vorent
ils
dvoreraient
du pain.
Des Particules.
variante est surmont d'un petit cercle
127
risque
faut
ou d'une
ast-
et la variante est
et suivie
^-ip
lire
du terme
rj^
"^^p,
mbyn
nfpr3.
donc au verset 15
Le plus souvent
lettres,
que
les
cependant
manires^
les
trois
car
petit
cercle
indique ou un
mot
superflu, ou un mot omis, ou enfin un mot crit d'une manire inexacte. La premire erreur se note la marge
par
les
"^Ip
i^?"i
l^r^S crit
mais non
l'^r;.?
lire; la
'^^.p
deuxime par
lire
mmes mots
crit; p.
intervertis
b<bl
quoique
lettre
non
la troisime
par
le seul
mot
"^"ip
ou sa
initiale
Les
ou
trois
pour
'f::5)
"ir'ir^l
quelqu'un; ^^
(et le
M pour
iin"]
JehovaJt]
pour
com-
plment)
.81.
et le reste.
L'usage de
de Sabbat^
existait
(Voir Act.
XV,
21.)
pourquoi
le
Pentateuque a t
grandes
une
pour chaque
sabbat.
Il
y a
les
et
les
petites parachot.
lettre
CCO
(1^ lettre
de rin^D division).
le
nom du
premier
d'elles: la
T-''^_ifi
V^
nomme
9).
n-'ina (Gen.
"
I, 1),
la
2^ nb nilbir,
"
(Gen. VI,
Les petites
par un
t)
se divisent en
et en
(nn^P),
128
I^Gs Particules.
un D
(il12^nD).
Pour
les premires,
on commence une
suffit qu'il
que pour
la
les
secondes
ligne,
il
ait
mme
qui se trouve
comme
in-
mot
suivant.
sens.
On
des signes
chaque page du
Paradigmes.
Chabot, Gramm.
hbr.
4*^^
dition.
130
L Pronoms
personnels.
I.
Pronoms
Pronoms
isols.
Sing. 1 comyn,
tract
'^DiJ,
'^p'bi coyi-
la
Pause
iJ^'
2 m.
nr.fc
(r!i5)
la'
s
Pause
nriEj
fn^
7)1.
b^^n
il
3f. b^^n
elle.
Flur.
1.
comm. ^DH?^
nous.
vous.
2f.
i^if:,
njny:
^^s.
3/:
lj,
nsh
e?/e5.
I.
Pronoms personnels.
131
personnels.^)
(Accusatif).]
Suffixes
du
Nom
\
(Gnitif).
B. Avec
Nun
A.
Du Nom
singulier,
B. Du
Nom
pluriel.
epenthtique.
^2
^5
"^3
.Iv
Tj
^,
la
fi^v^
de
toi,
Pause ^ -
de
ton, ta.
toi,
tet
^3-7-, ^3
^n, 1;
i
'in^l
J
de
lui.
i^-o-n*-^
de lui, ses.
(ri)
son, sa.
ns
'
"
J'e??e, ses.
d'elle,
son, sa.
ns
^2
^3
-^
(7e
nous, notre.
l"
c7e tous,
nos.
3?
Je vous, votre.
Je
i;ot(S;
t'c^s.
an*!
.'
"
'
>
(Z'e^a;,
leur.
[,\ d'eux,
leurs.
P;
dans
l'T;
1-r
d'elles, leur.
10"^ ~:r
d'elles, leurs.
le style
IL
Verbe
rgulier.
133
Fiel,
massacrer.
134
in. Verbe de la
V^
gutturale.
m.
Terli)e
de la 1" gutturale.
136
V. Verbe de la 3 gutturale.
V.
Verbe de
la
3*^
gutturale.
13'
3 gutturale.
138
P-Nun.
YII.
139
rr
140
YIII.
VIII.
141
coutracte An-
142
IX. A.
IX. A. Yer]}e
Kal.
An-Tay.
Hiplil.
Boplial.
Trt
Sing. 3 m.
3/1
rrap
n^ipD
niisipp
np^pn
ii^^pn
2 m.
2/:
le.
'ap ??p
ni^^pp
*iriii2^p3
mi^^pq
'r.i^^'pn
^^"^p^
i^ipp-^n
Fhir. 3
c.
iiap
lips
iap^.n
2 m.
2f, le.
Inf.
absolu,
Mp
jMp
^i^^p
antops nnia^pn
DP:^p^n
inwpD
iDi'b^pj
irii'a''pn
in^p^n
is'p^in
'^si^^pH
construit
B.
143
14-4
X.
Fret
X.
XI.
148
XII.
et irrgulier.
149
150
XIII.
suffixes.
Xni. Terbe
1.
rgulier
3. Sing.
Sing.
2. Sing.
2. Sing.
f.
comm.
m.
m.
^"^
':5-jp
T^rop
yjup
.^
|
of.
^Dn'fjp
x-r,r^?
5n?i:5
^^^^^|
2/:
*^:'^r\r'p
'^nrp
^^'^^)?
r??H?)?
^^''^VP
';"^i
le.
P??/r.
""^^ii??
T'^V^p
c.
^Hbpp
le.
"^^Vuip
j^2rjp ^^n^srjp
s(/f.
du Nom.
?pp
i^pp
Im^r. Kal
'^D?I2p
^^p?
^'l'p";
fr^p^
^!^??p
Fit
Kal
Sing. 3 m.
"^sb^'Op?
'iHrop-)
3m.avecNounpenth.
Plur. 3 m.
^srjp"]
"^S^rp^
^^'^'^p":
^a^tap")
"^'^Hp?
^n^pip':
Prt Pil
1)
'S^iap
^bc)p
^bop
ibp
jDas
usites
XIII.
suffixes.
151
avec suffixes.
3. Sing.
f.
1.
Plur.
2.
Plur.
2.
Pur.
f.
3.
Plur.
3.
Plur,
f.
comm.
lf^Dp
m.
m.
3?^?
'si?^?.
'^^i?
l'^^P
nri'5t3|?
^3n'5i2p
???^?
1?0?9P
pPj?
^3P!<p
n'^nlpr!!?
^s^'nrji?
D'^nbrip
rn^up
rri^TPp
iiptpp
n^nrjp
n^ib-p
^aVrop
DD"'n?t:]?
a^'^ir)]?
'jD''ri:5t3;p
Q''!i?t2]?
l?^'^"::]?
a^btip
n^bt:)?
^3?'j?
BjiDb:!?
I?''-?"^.!?
""'-*?^?
I^^^^?
npij?
???)?
1???)?
'^^?
ir^p
^35t?
a;?'95
p-jp^
-^
is^isp"
aDptap*^
"DZJOp"'
D:5t:p">
ns^tp-
^sbtp-:
_
ap^brp':
_
'{?^bt3p':
_
Dibrip-j
_
?bpp:
1??P
nbpp":
^V^Dp-)
ti:?)p
lDjtP
D??E)p
1???P
??P
un
trait.
152
du Nom.
singulier.
A.
Nom
invariable
Masculin.
153
suffixes.
avec suffixes.
Suffixes
du
Nom
pluriel.
Masculin.
Singulier.
^O^D
Pluriel.
mes chevaux
(chevaux de moi)
tes
tes
^D'^DIO
vaux de nous)
aD"'D^D vos chevaux
"D'^D^D
T'^D^D
j'^OlO
chevaux chevaux
vos chevaux
chevaux
Fminin.
Singulier.
"^riio^O
Pluriel.
mes
cavales
(cavales de moi)
'?'^nic^D
de nous)
tes cavales
J'^niD^D tes
cavales
leurs cavales
154
XV.
I
03
Ce
<!
<!
K
=
Zl
->\J
J
-\J
-^U
_r.
^U ^M -u
:U
-L
_::f
_ir .-u
hU*
_*-.
-U
Cf
Cl
-vj
hU hW
t^
E5'
ri
_jr.
_j^.
"Lr
"U hu hu
=U
CJ
E5^
_r. C*
_r,
CJ*
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^'
c
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Ei
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_r. -U
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55
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ivx*
ivxt
a/*
=55'
.\jf
>\J'
.^
=55
iK
j55
55
55
55
Analyse grammaticale.
^^1
156
Analyse grammaticale.
.toutes ses
uvres
bnis
JhoYa
:sa
Bnissez
.JhoTa
.mon me
(vous)
domination
dans
Bnissez
le
Seigneur,
toutes
ses
uvres,
mon me,
bnis le
Analyse
?fn3
l)nir.
-"^
^^"^i?
P^i's-
avoir
recevoir le Resch.
totalit de,
nin^
nom
du Seigneur.
?3,
"is la
nom
l'tat constr.,
mis pour
a
cause du
Maqcieplt.
'^i?^
compos
racine
nom
plur.
lui.
masc.
il
de
la
n^
fait]
en passant au
1
de
nom
plur. fm.,
au moins pour
la tenniu^,p
naison,
lever,
du
sing.
masc. Sip^
lieu,
se
tenir
dans wi endroit
sing.
de la racine
"inb''C
se
compos
1^
de
TOTlZ'yi,
nom. fm.
du
suffixe
i
constr.
de l'absolu
TClttlIl
(. 46); 2'
de
lui.
sa louange
toujours
,en tout
temps
Jhova
dans
Je bnirai
ma
bouche.
Je bnirai
le
toujours dans
ma bouche
1''^
Analyse
'^^^.^'^,
P^i'S-
Le pu
Kamets
du Beth
recevoir le Resch.
Analyse grammaticale.
157
24, 2^.
in|nr;i,
compos
de
nom. fm.
b'|n
signifie
sing.
louer.
Pil
Le H final a t chang en Le Daguesch du Lamed com2*^ du compos 1*" de 3; 2" de HB Le H a disparu devant le
pense l'autre
Lamed
lui.
noms
suffixe
de
"^fn,
bouche,
nom
irrg.
(. 50).
les
doux
entendront
,mon me
se louera
En Jhova
rjouiront.
et se
Mon me
le
2).
Analyse
^jili^ln
la
nin^3
place
comme
y avait
3 pers.
1*^
qui est
lui-mme pour
Le Patach
ittl me,
du Scbeva.
48), de la
3"^
^^tTSi
compos
de
nom
sgol
(.
2^
du
de
suffixe
^r de moi.
2/'aC.
Fut.
TJy
Kal de
la
^2?'1'^
S"*!??
nom. masc.
exaucer.
plur.
du
sing.
se
racine
njy rpondre,
2^-^.
forme
en
ajoutant
se
se trouve
3^^
IH'aip'*;
niis
le
pour
in'iJ'^'],
pers.
Kal de
TVdt:
ton et
est
le
rraiJ?*])
du
Patach
(. 9,
Ce Futur
(.
et celui
pour
le
Subjonctif
^3).
158
itti
Analyse grammaticale.
Analyse granimaticale.
159
fut.
Kal
de
"icn
2
(.
21),
les
verb.
neut.
pour
cent.
radicale.
La
le
gutturale
n qui
devrait avoir
un
Scheva compos a
ce
Le Kamets qui
C remplace un Patach,
cause
verset et
du Sillouq qui fait pause (. 9, 1'^). dans les deux suivants, le futur
(. 63).
Dans
a le sens
du prsent
,il
me
fera
reposer
verdure
Dans
le
des
parcs
de
.il
me
conduira
repos
Il
me me
fait
conduit sur
(id. 2).
Analyse
de
ribj:,
2'',
^iii5?2
cause du
(. 4,
1^^).
qui
suit,
(. 13,
il
un Daguescb doux
'^rs'^a".;?
me
de
"j^in
avec
(.
"'"a
eaux
plur.
de a:^
plur.
50,
le
me
r.n^rr
repos,
de nn^:r, le
pour
sing.,
car ce
nom
straite (. 72).
(. 72).
Eaux
il
^??.ri;i
Pil,
avec
Kal.
sufF.
P^
dans
n'est
Le Daguesch
la
il
caractristique
de
Pil,
radicale,
gutturale et
vant
et
(. 6,
l'').
160
Analyse grammaticale.
dans
les sentiers de
il
me conduira
.
il
restaurera
Mon me
la justice
cause de son
nom nom
il
Il
soutient
mon
courage;
il
me
Analyse
(.
48) avec
pers.
il
suf.
pers.
fut.
sing.
l^ni^
(.
restaurera,
II, 4).
sing.
masc.
Plel de :iW
36,
'^sns;^
me
le
conduira,
1^
JiriJ
avec
suff.
pers.
La
3^
radicale
disparu
devant
de,
suffixe (.
26
C, 4).
'^^5yttn
dans
les sentiers
tat
constr.
plur.
de
?5^'a.
La
gutt.
V prend
"j^^b
le
cause
du
suff.
prposition compose
(. 78).
"i'ai
son nom, de
subst. masc. et
Livre
de Samuel.
Chapitre
rniif-i/?
bri"'
ikb
nin? rjnn
'-^r^i
"P"PP5 ^^"^
^':>t\
a-a
a'^nb^ 151
^r55^p-i^5 T T
n^iC'^i V
^>
rinp-^2 T T IT
"^rin
^-^^^^
V
^byb^
y^^^ 5 T TI
13
'^by
15^1
"^b
rx-;p
^s
^::r\
np&^*n
"l'asti
^b?"byt
:
f'r] i^":p
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n^r-;
-ai?
n^ni n^r ^b
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^by
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-aysD
i'n;!^
>i"^,p':]
n^rn'::!
"i^t;
r-.:'!^^,
^^t^
10
''^T'^t
niaipra
bifi^'ot
nsipn
ycT 'S
b^t^rr
-:pi<'^!
=rz
1) Quand on connatra bien notre Grammaire lmentaii-e, on pourra facilement comprendre les trois chapitres de la Bible que nous plaons ici. On y trouvera les mots les plus usuels et l'application des principales rgles de la Syntaxe. Le traducteur
pom-ra
sacre.
ensuite
lire
avec
fruit
des
ouvrages
plus
complets et
hbr.
i.*"
dition.
11
162
I.
Sam.
III,
12-21.
Jonas
I,
1-7.
'ri';ani
13
n??']
bnn i^^n"^^
'^ri"l5'7
""?"'^?
^^
^"'^.^"^^
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"^by
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15
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Dji:?-^?'
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"
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T.-
Sb^.iaip-nif
^b?
i^np'ji
16
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^isri iiab^i
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V -
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17
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T T
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a''"in'^ri-b3"n b^^i2i
n;ri
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r-nn^i bi^^^
bijs-iiprb?
"'^!f?':i
19
20
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S^sr-i^bi
2?n5
'^^y
?)0^5
-in'ijsi
21
ibia
:!i;;n^b
>5'^n:b
b^^ti
li2r^s
"^.iita-n?'']
bb^^if-b^t
nin';
nb;\r^?
nbn nnnb
nirr;
Livre de Jonas.
Chapitre
?|b
I.
X
%^']'i
D^p 2
Dns'n
sib^b
:'^:b
nnbj-^^s
r\^by
"^^Bbis
i^n]?^
nbinan
-r^irri
n^ps-bij
Dp'^i
213^1
is^ Ti^^
nin^
nw-^'nn
ninnb
nsi".
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T -
rr
T :
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-:
..
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nstj'^i S
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T
^ns-^p-bi^ ii'^ -t :v
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Bip ann: ^r
7
l'abttJa
"ib
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ni.p^i
iipi^^:i
"^bix
T?'^?"'^^
t^i^
ny-in
nib^is
nb">B2i
inj'i-b^
Jonas
I,
816.
Ruth
I,
15.
163
---:
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16
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Livre de Euth/)
Chapitre
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I.
N
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1)
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le texte
n*
164
Ruth
I,
622.
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nrbD r^n^^irn rnv, "^br: arri 22 ^b"^:'?; rbnm onb rp3 ^^3 n-cri^ n^^iiD "^itsts t y
:
J"
at
j-
rr-^bbn
Lexique
donnant
le sens des
les trois
chapitres prcdents.
T|5^^?i<
"iSj
(qui
a Dieu pour
n.
roi)
prir.
si
Elimlec,
si
pr.
Les noms
ils
^h^H
ne pas,
par hasard;
propres
en
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XJ<
Comme
ne
inx un,
fm.
nm.
avec
prf.
"nt aprs,
le
con-
pi
"^"nx,
d'auprs
veg).
't
de
(hinter
etwas
ex mre. DX si (qqf.
les
n;!^!
IX
serments.)
"l^X tre
id.
y^X
se
Hithp.
tre
confirm
pron.
b'^Nt
pers.).
lat. vir;
dans.
homme,
quelqu'un,
^rix dire.
'^i^'ioi^,
chacun.
prie, lat.
quseso, quaesumus.
vers,
dans,
(le
ad, in;
que,
ipbx constr.
"i^x
je, moi.
^Tpx
bx vers
lieu)
Ui3X
homme,
pi.
C^rrx.
c--d. o.
!i^3X vaisseau.
bx Dieu (qui
rribx
est tout-puissant).
le
^n'nx
|'i"ix
Ephraten.
'p^iX
vrai
arche; nin?n
l'arche
d'alliance.
166
ynx
n-^'x
Lexique.
terre;
^^'"i^
par
terre.
et.
b'iii
sort., pi.
ni?nii.
femme,
riii'is,
lat.
mulier,
constr.
pi.
avec suff.
"^H'^^X;
ni"i;:.
C5
reJat.; ^^i<'2 selon
u;~'n"^ o.
l'ace.
mme,
aussi, ensemble.
*i)rx qui,
que
que,
comme;
chez,
"^n-j
parole, chose,
suff. "PSi
avec moi.
pn^ nbn
2 dans, par, selon, lat. in; *'"iJ*? dans (le lieu) que, c-d. o.
55'i'
s'attacher, s'unir.
porte.
2??- e'^^
constr.
Tr.r\':n.
D"!
"j-l
sang,
n. pr.
Dan.
^NS
(puits
du jurement)
aller;
n.
71*^^
voie, chemin.
pr. Bersabe.
STS
entrer,
arriver,
"1?
'D
leur
n
(^7, 0) l6, la, les; gqf. avec sens dmonstratif, ex. si*n ce
nrxia
d'elles,
hbr.
jusqu'au
jusqu'
entrer
c--d.
entre.
"pa et
r,^2
"2
comprendi-e.
nuit.
maison, famille.
(n,
ti)
ce que?
Nvii et X'^n _pron. pers.
rfim tre,
arriver,
Za*.
accidit,
avec
evenit.
>3'^n temple.
T(^!7
1?
fils,
aller.
Impr.
(sans
T^'?.
"ijrz
matin,
n-ns fuir.
^da compos de ?,
"."r?
Daguesch
'|ni
fort)
^oitr
louez Jhova.
et
du
>
proii.
1re pers.
nn, de
cause
suff.
^-r
cause de moi.
cela.
"Tb'r?
'72
fut.
cnn
voici.
tre
mu.
avec
si//f'.
cujus causa,
r,2 fille.
|Di
'^r'7
voici, voil,
':3n
me
bna tre
grand,
gi*andir;
piia
\i
^
de
5) 3
grand,
-r5 habiter, demeurer.
"i
sens,
plus souvent
et.
Lexique.
n3'> (colombe) Jouas n. pr.
hb"^
r\^
1137
et
nsit
prcni.
dni,
celui-ci.
ib;^
n^.'r
pouvoir.
fils,
naj immoler,
sacrifier;
sacri-
enfant,
rac.
"?*
en-
fice, victime.
r,?I
fanter.
c:"
mer.
p5J
*,;rt
tre vieux;
vieillard.
'S^
i<^'^
St"
Hithp. s'arrter,
prcieux, rare.
nx"]';'
njT"
Xj^ craindre,
crainte.
nr.
(le
chef
1"^ descendre.
ns*!;^ ct, d^Z. S'^ra'n^ eY. constr.
b^n
jifri
cesser.
"rs"!^ intrieur,
partie la plus
vision, rvlation.
55 r ouvrir, Si.
^r?l
bnn commencer.
et
basse.
"^^y^":
(combattant
n.
de
Dieu)
^"0 ^^ commenant
commencement
c--d.
en
Isral
pr.
de
Jacob,
de
finissant hebr.
peuple et de royaume.
'd'^
puis le
^\'^^,
la
fin,
compltement.
^t^ habiter.
"m
ramer.
riTO
s'afiTaiblir,
s'obscurir;
Pi.
envoyer, jeter.
?at.
rprimander, punir.
"ins Pi. et Hi. cacher.
avant que,
priusquam;
pas encore.
-?3 totalit,
universalit,
quisque.
D2" beau-frre;
n'ils!
"i|^
riTiS"
belle-sur.
n^3 n|5
>55
Pi. achever.
bru.
jpZ.
sn^ savoir.
rTnin". (lou roc.
rbs
"E3
Kilion. w. ^r.
nin": Jhova.
ni"
jour.
expi.
168
Lexique.
m^'HTa vision, rac.
nx"
voir.
du grondif latin.
n^ amer
adj.
nuit,
avec
n parag.
de
T|?7.
rf?';^
quso.
pendant la
nuit.
<^n3
prophte.
B^?'.
nrb
inf. constr.
^5^
*nj;
annoncer, indiquer.
faire des
j^;Z.
vux, promettre
nn:
n'il'^D
D"*;? vux.
Nivtv.
nive;
LXX.
d'o? de
ra
'5<
o?
quoi?
adverh. com-
fra,
_^ron.
interrog.
enfant, jeune
homme.
jeter, con-
7af.
quid?
^^n's
b""!?"
ment?
25^112
rsTp
pourquoi?
avec
sulst. quel.
part. Ni.
<7e
ytiS, frquent,
(ex ptre)
Moab
n. pr.
abondant.
US.?
"^^xi^a
me,
pour
r*'
la vie,
c--d.
qqn.).
cause de la
'fisrr
"ri
Mahlon
n. pu:
^.3
mort (de
lampe,
briller.
cause de qui?
lumire,
rac.
1^3
"i^
pi.
souvent
7?
-g
prfixes, de,
rtr; lever, prendi-e, porter.
pu:
|r^:
baiser, embrasser.
donner
{voir la
Gramm.).
ouvrage,
lat.
opus, negotium.
n2'2
J9Z.
nyo
tre
agit
violemment;
mi:?,
^^D tempte.
n^-SD vaisseau.
n^2 se reposer.
s^5p
et.
constr.
"^^^
sein,
en-
trailles.
<^^ trouver.
^ns serviteur. V
V
Qip^
"n^
'l'^n:?
hbreu.
se renfermer.
Mara
n.
pr
ISS
M.
Lexique.
169
1? jUBqu ;
ce que.
-ittJK
'n?
jusqu'
bbs sonner,
lat.
tinter.
in
'lis
pch, crime.
*n5j
enterrer, ensevelir.
bip voix.
susciter.
b^P
n"^:?
ville.
lat.
super,
allger.
"l'^^p
fi<'np
adversu?.
nbr monter. T T
"^^5 n.
pr. Hli.
S*"p s''approcher.
c?, B5 peuple.
n5 avec, auprs;
l'ies
avec moi.
se tenir debout; cesser de.
(sitifi'
na
nx";;
voir; ^. apparatre.
n:s rpondre
qqn, c--d.
'P&ys
^e ^) contre
Sj
affliger.
M. j)r.
Orpha
cn'^i
Ni. doiTiiir
d'un
sommeil
profond.
in*'^
'i'n
fm.
n'i;? dix.
{suivi
courir, se hter.
n. pr.
lat.
n-n Ruth
5iB insister, supplier (avec
5.)
op""!?
'n
vide;
vacu.
n:B
jjZ.
cre
"'jSb
face, visage;
avec
de;
lat.
ami, compagnon.
prep.
en prsence
conspectu;
at'ec
suff. "^rs?
devant moi.
GSE coup, pas; nnt ers une fois; n?Ea B?E? comme auparavant;
ante.
ni?B regarder, visiter.
^:'B
lat.
jam
it
ut
t'^'
voyez
K'si;;.
champ, pays.
rcompense, prix, salaire.
orge,
jj?.
^3'y25
nre
prnr*?:
s'^'^ir^'.
170
Lexique.
nrd anne;
*ixd Ni. rester, tre laiss.
0731^
pi. aip'ij.
et.
c.
deux
et.
constr. \y:^;
^n*'^;
fem.
52d
D^rn^j
nombre
juger
le
"'d briser.
"i^r le
Tout -Puissant
Dieu
::s'i'
juger; z^z;^ri
1:3^3 le
puissant).
1*'d reyenii-, retourner.
25d
nb'ij
se
couclier,
tre
dormir.
Silo n. pr.
nid - T pnd
servir.
pour
la
ci
'3
fois.
adv.
lieu,
l;
;
avec,
parag.
et;
M 52^
hbrosme
commencer,
ni^n esprance, rac. rr;? att-endre, esprer,
nom.
pr. Samuel.
les cieux.
l'oreille.
5H;!i^UJ n.
a^p^
nr
tn/*.
cov^tr.
de 1^3.
En vente dans
NOVUM TESTAMENTUM
GEAECE ET LATINE.
TEXTUM GRAECUM RECENSUIT, LATINUM EX TULGATA YERSIONE
CLEMENTINA ADRINXIT, BREVES CAPITULORUM INSCRIPTIONES ET LOCOS PARALLELOS ADDIDIT
EMDERICUS BRANDSCHEID,
GYMNASU HADAMARIENSIS OLIM COSRECTOR.
>
PE OB AT
ONE E E
V.
AECH 5
P.
FE
40.
M.
Fr. 6.25.
Les plus rcentes ditions critiques- du texte grec du Nouveau Testament, publies par Tischendorf et Westcott-Hort, ne peuvent devenir d'un usage courant chez les catholiques, entre autres motifs parce que des passages importants (tels que les derniers versets de saint Marc, l'pisode de la femme adultre) que le Concile de Trente a dclars canoniques, y sont omis ou regards comme douteux. Et pourtant les catholiques, plus encore que les protestants, ont cur de possder dans toute sa puret le texte sacr que Westcott et Hort pensent avoir rtabli, quelques versets prs, absolument tel que le lisaient les premiers chrtiens. C^est pour rpondre ce besoin que Brandscheid a publi une nouvelle dition du Nouveau Testament qui rpond la fois toutes les exigences de la critique et de Vortliodoxie. Dans ce but, il a mis profit toutes les donnes, rsultant des travaux de Lachmann, Tregelles, Tischendorf, Westcott et Hort, qu'on peut regarder comme acquises la science, mais sans en accepter les erreurs qui doivent tre mises sur le compte de la prcipitation ou du parti pris. Ce qui augmente la valeur et l'utilit de cette dition, trs bien imprime, c'est qu'elle reproduit en regard du texte grec le texte de la Vulgate d'aprs l'dition de Yercellone (1861). Chaque chapitre est prcd d'un court sommaire en langue latine. ..."
. . .
janvier 1895.)
FRIBOURG EN BRISGAU.
B.
HERDER,
LIBRAIRE-DITEUR PONTIFICAL.
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Universit
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