Sepmeries

commune française du département du Nord

Sepmeries est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Sepmeries
Sepmeries
La mairie de Sepmeries.
Blason de Sepmeries
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mormal
Maire
Mandat
Thierry Soszynski
2020-2026
Code postal 59269
Code commune 59565
Démographie
Population
municipale
649 hab. (2021 en évolution de −4,84 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 01″ nord, 3° 33′ 53″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 106 m
Superficie 5,99 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Artres
(ville-centre)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Sepmeries
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Sepmeries
Liens
Site web site officiel [1]

Géographie

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Sepmeries se trouve administrativement dans l'Avesnois et historiquement dans le Hainaut. Le village est situé entre Le Quesnoy (à 7 km) et Valenciennes (à 12 km).

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Sepmeries
Artres Maresches
Vendegies-sur-Écaillon   Villers-Pol
Bermerain Ruesnes

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Hirondelle ou Escaut et le ruisseau des Préelles[1],[2],[Carte 1].

 
Réseau hydrographique de Sepmeries.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[3].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 767 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sepmeries est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Artres[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), prairies (19,8 %), zones urbanisées (7,5 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Étymologie

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  • XIIe siècle : « Semeriis », « Sepmeries » ;
  • XIVe siècle : « Semeries » ;
  • XVIIe siècle : « Semmeries », « Semmerie » ;
  • XVIIIe siècle : « Sepmeries », « Semeries », « Semerie ».

Histoire

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Antiquité

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Les premiers peuplements de Sepmeries sont inconnus mais deux hypothèses sont possibles : les Romains ou les Vikings :

À l'époque romaine (fin du IIIe siècle), une voie romaine relie Bagacum (Bavay) à Camaracum (Cambrai). Connue sous le nom de ‘'Chaussée Brunehaut'', celle-ci traverse le territoire actuel de Sepmeries. Une voie secondaire relie Hermoniacum (Bermerain) à Fanum Martis (Famars).

Pour alimenter Famars en eau, un aqueduc romain traversait Sepmeries.

Lors de fouilles ont été découverts, une partie de l'aqueduc, des objets divers, des monnaies, des tessons, un habitat en torchis, des céramiques[16].

Moyen Âge

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Au IXe siècle, les guerriers Vikings, à bord de leurs drakkars, se trouvent dans l'impossibilité de remonter le cours de l'Escaut par manque d'un tirant d'eau suffisant. Ils vont se disperser et peupler la région.

D'autre part, en 2004, une motte castrale du haut Moyen Âge a été trouvée[17]. Ces vestiges sont les plus anciens témoins de la présence d'une seigneurie au Xe siècle.

Du XIe siècle à la fin du Moyen Âge

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Auteur du Miroir des nobles de Hesbaye, le chroniqueur liégeois Jacques de Hemricourt (1333-1403) mentionne « l'importante seigneurie de Semeries (orthographe à cette époque), relevant du comte de Hainaut… ». Durant le Moyen Âge, Sepmeries a donc appartenu à de puissants seigneurs et dames.

En 1069, Amaury[18], puissant seigneur du Cambrésis et de l'Artois, est seigneur de Croisilles et Semeries (orthographe du village à cette époque).

En 1141, l'évêque de Cambrai donne l'autel de Semeriis à l'abbaye Saint-Jean-Baptiste de Valenciennes, ce qui est confirmé par le pape Alexandre III dans une bulle écrite en 1173[19].

Les seigneurs au XIIIe siècle font partie des familles nobles de Roisin[20] et de Lallaing[21].

Suivent au XIVe siècle des Lallaing[22], Beaumont[21] et Chabot[23].

Arrivent ensuite jusqu'à la fin du Moyen Âge (1453) des Turck[24], Chabot[25], Arnemuyden (famille de la comtesse du Hainaut)[26] puis les Trazegnies[26] .

Époque moderne

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Pour Sepmeries, elle va de la fin du Moyen Âge au dernier seigneur de Sepmeries

Plusieurs seigneurs de la famille de Trazegnies sont retrouvés dont Robert de Trazegnies (1464-1550)[27]. Leur succèdent les François (Severin, Philippe, Philippe (1610-1677), Charles Philippe ( ?-1683), Marie-Anne (1654-1693) sont retrouvés[28]. Séverin François, seigneur de Sepmeries, a été pendant 40 ans lieutenant du grand bailli du Hainaut. Lors des troubles qui ont affecté la ville de Mons, il a tenté de contrôler le peuple, mais après avoir subi plusieurs mauvais traitements, a été chassé de la ville avec son fils. Philippe François, son petit-fils, natif de Mons, seigneur de Sepmeries et de Quévelon (Quiévelon?), bénéficie le de lettres d'anoblissement données à Bruxelles[29]. Marie-Anne François devient en 1683 la dernière dame connue de Sepmeries. Elle est la fondatrice de la Sainte et Noble Famille de Lille (communauté de jeunes filles nobles, de père et de mère déchus de biens). Cette maison ferme à la Révolution, ses pensionnaires sont conduites à l'Hôpital général. Le bâtiment reçoit l'Hospice Stappaert en 1884. Par testament, toutes les possessions de Marie-Anne de François vont appartenir à la Sainte et Noble Famille de Lille et donc à partir de la Révolution aux Hospices de Lille.

Divers administrateurs deviennent par la suite Seigneurs de Sepmeries.

Les derniers seigneurs appartiennent à la famille des Cossée :

  • Charles Antoine Dieudonné Cossée (1701-1753) repose dans la cathédrale Saint Wandru de Mons, tout comme
  • Bonne Charles Eléonore Cossée (1732-1765).
  • Charles Bonaventure Cossée (1759-1817) est le dernier seigneur de Sepmeries[30]

Depuis 1789

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À partir de la Révolution, il n'y a plus de seigneurie à Sepmeries.

La commune est maintenant administrée par un maire, le premier étant Hippolyte Lecerf.

 : une éolienne de 43 tonnes (rotor + 3 pales) est montée sur Sepmeries.

Politique et administration

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Situation administrative

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La commune de Sepmeries se situe dans le département du Nord et fait partie de la région Hauts-de-France. Bien qu'elle soit plus proche de Valenciennes (à 12 km), elle appartient à l'arrondissement et au canton d'Avesnes-sur-Helpe (à 37 km).

Maire de 1802 à 1807 : Lecerf[31],[32].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1707 1724 Pierre REGNIER    
         
1838 1843 Sylvain BRUYERE    
1843 1852 Constant DERVILLERS    
1852 1860 Benoist BANTEGNIES    
1860 1870 Charles WALLERAND    
1870 1881 Placide DERVILLERS    
1881 1884 Jean-Baptiste WALLERAND    
1884 1896 Placide DERVILLERS    
1896 1912 Valéry DUPIRE    
1912 1919 Hippolyte DURIEUX   Maire pendant la grande guerre 1914-1918
1919 1936 Dieudonné DERVILLERS    
1937 1945 Irénée BOUCHEZ    
1945 1947 Léon LEFAUX    
1947 1959 Etienne LEFAUX    
1959 Mars 1983 Georges DURIEUX    
Mars 1983 mars 1993 Jean-Claude BEAUVOIS    
Mars 1993 mars 2001[33] Michel VERCHAIN    
Mars 2001 mars 2014 Gérard DOURIEZ    
Mars 2014 mai 2020 Jean-José CIR[33],[34]   Cadre retraité
Mai 2020 En cours Thierry SOSZYNSKI   (suite élection du 15 mars 2020)

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 649 habitants[Note 4], en évolution de −4,84 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400453534649772786791855873
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
891884900911872852842781803
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
830836815663660650609646615
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
578593587562489523548555677
2018 2021 - - - - - - -
653649-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 314 hommes pour 339 femmes, soit un taux de 51,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
0,6 
5,1 
75-89 ans
6,8 
14,6 
60-74 ans
12,7 
20,1 
45-59 ans
15,9 
26,8 
30-44 ans
25,4 
13,1 
15-29 ans
13,6 
19,1 
0-14 ans
25,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • La mairie de 1868.
  • Le monument aux morts ; autrefois un monument aux morts de soldats allemands existait, mais il a été supprimé.
  • L'église Saint-Côme et Saint-Damien du XIXe construite en 1874-1875 en lieu et place de la vieille église détruite en 1874 car trop vétuste pour être réhabilitée ; dans l'église une statue de saint Nicolas (vers 1600) classée au titre objet.
  • L'ancien Hôtel des Seigneurs de Sepmeries, classé monument historique.
  • Sont également classés : les bâtiments de l'ancienne brasserie Dervilers qui a fonctionné d'avant 1888 à 1914 et ceux de la brasserie coopérative, qui, ouverte en 1913, n'a fonctionné qu'une seule fois.

Personnalités liées à la commune

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  • Michel Bernard (1931 - 2019), ancien international français d'athlétisme y est né.

Héraldique

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Les armes de Sepmeries se blasonnent ainsi : D'azur à la croix ancrée d'argent, cantonnée de quatre étoiles à six rais du même.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Artres comprend trois villes-centres (Artres, Maresches et Sepmeries).
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Sepmeries » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « le ruisseau des Préelles »
  2. « Fiche communale de Sepmeries », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  3. « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Sepmeries et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Artres », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sepmeries ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Carte archéologique de la Gaule – le Nord sous la direction de Roland Delmaire.
  17. Procès-verbal du Préfet de Région du dans lequel notamment le conservateur régional de l'archéologie écrit ‘'Le diagnostic archéologique a révélé la présence de vestiges liés à la présence d'une occupation de type seigneuriale du Xe siècle.
  18. Jean Le Carpentier Histoire de Cambrai et du Cambrésis tome 1.
  19. AdN Miroeus tome 2.
  20. AdN Abbayes de Fontenelle et de Saint Jean de Valenciennes.
  21. a et b AdN Abbaye Saint Jean de Valenciennes.
  22. AdN Abbaye Saint Jean de Valenciennes et Chambre des Comptes de Lille.
  23. Cartulaire des Comtes du Hainaut tome 2.
  24. Jacques de Hemricourt.
  25. Cartulaire des Comtes du Hainaut tome 5.
  26. a et b Plumet – les Seigneurs de Trazegnies au Moyen Âge.
  27. Plumet – les Seigneurs de Trazegnies au Moyen Âge et archives personnelles de Olivier de Trazegnies XIe Marquis de Trazegnies.
  28. AdN Maison de la Noble Famille de Lille.
  29. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 217, lire en ligne
  30. AdN Abbaye d'Anchin et la Belgique héraldique.
  31. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
  32. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 150-151 (images 180-181)..
  33. a et b « Sepmeries: Jean-José Cir, ancien premier adjoint, candidat pour «dynamiser le village» », La Voix du Nord, édition Maubeuge et ses environs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « À Sepmeries, une équipe jeune et motivée, au service de la population », L'Observateur de l'Avesnois, no 19461,‎ , p. 31 (ISSN 0183-8415).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sepmeries (59565) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).