Nozay (Loire-Atlantique)

commune française du département de la Loire-Atlantique

Nozay est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. La commune fait partie de la Bretagne Historique, situé en Pays Nantais, un des pays traditionnels de Bretagne et de la circonscription ecclésiastique et civile dite archidiaconé de la Mée.

Nozay
Nozay (Loire-Atlantique)
Mairie de Nozay.
Blason de Nozay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes de Nozay
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Claude Provost
2020-2026
Code postal 44170
Code commune 44113
Démographie
Gentilé Nozéens
Population
municipale
4 228 hab. (2021 en évolution de +3,45 % par rapport à 2015)
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 55″ nord, 1° 37′ 26″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 96 m
Superficie 57,7 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Nozay
(ville isolée)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Nozay
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Nozay
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Nozay
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Nozay
Liens
Site web http://www.nozay44.fr/

Territoire rural de 5 770 hectares, Nozay a longtemps vu son économie s'articuler autour de l'agriculture : commerce de bétail et de blé, fabrication artisanale de textile. Au début du XXe siècle, grâce au chemin de fer, l'extraction de pierre de schiste et de minerais de fer et de cassitérite va dynamiser la commune. De nos jours, les sphères d'influence économique de Nantes et de Rennes animent le commerce et l'artisanat local.

Géographie

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Situation de la commune de Nozay dans le département de la Loire-Atlantique.

Nozay est située au nord du département de la Loire-Atlantique, à 40 km de Nantes et 60 km de Rennes, le long de la voie express reliant ces deux villes.

Les communes limitrophes sont Jans, Marsac-sur-Don, Vay, Puceul, Abbaretz et Treffieux.

  Marsac-sur-Don Jans Treffieux  
Vay N Abbaretz
O    Nozay    E
S
La Grigonnais Puceul

Relief et hydrographie

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Le Don à Beaujouet.
 
Carte du relief des environs de Nozay.

Le territoire de Nozay s'étale en pente douce vers l'est. On passe ainsi de 91 mètres à l'ouest de la commune au lieu-dit Le Haut-Mérel à 28 mètres au Bois-Hubert à l'est. Si la ville en elle-même (au centre d'une moitié gauche du territoire) et la limite sud de la commune ont une moyenne de 50 mètres, la frontière septentrionale a été érodée par la rivière du Don, qui s'écoule dans des terrains d'une hauteur moyenne de 25 mètres. Le reste du paysage est légèrement vallonné, portant de petites collines, telles la butte de Limerdin ou celle de Moque-souris, constituant les restes de l'axe central des reliefs du Massif armoricain breton. Le territoire nozéen est irrigué par plusieurs petits ruisseaux. À l'ouest, les rus des Rochettes, de la Briandrie, de Jouvence (lequel traverse la ville) rejoignent les ruisseaux des Hunières et de la Villate. Ces derniers se rejoignent à Ville-au-Chef en compagnie de ceux de la Mare de l'Aune et de Cétrais, venant respectivement de l'est et du sud. Toutes ces confluences prennent le chemin du Don par le ruisseau du Sauzignac. Le Don se jette dans la Vilaine. Au sud-ouest, les ruisseaux de Créviac et de la Source du Fresne se jettent dans un affluent de l’Isac à Puceul[1].

Géologie

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Affleurement de schiste à la Ville-au-chef.

Les sous-sols de la commune font partie de la Bretagne centrale ou domaine centre-armoricain, de formation datée d'environ 370 millions d'années. Ils sont sédimentaires et reposent sur un socle de grès armoricain[2]. Le sous-sol est presque entièrement formé de différentes sortes de schistes. L'un de ces schistes, de type sub-ardoisier, bleu-noir et relativement dur, contient de la tourmaline ou du mica ; c'est celui que l'on a longtemps appelé « pierre verte », de nos jours « pierre bleue », et largement utilisé pour la construction dans le pays. L'autre, le plus abondant, est un méta-argilite gris-blanc, qui s'altère rapidement en donnant une argile argentée. Un filon de quartz stannifère de 8 kilomètres traverse la commune d'est en ouest. On trouve également une poche de granit au village de Gatine, et un gisement de kaolin au Petit-Perray[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 775 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Blain à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 837,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Agriculture

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Le paysage est à dominante rurale, propice à la culture fourragère (herbe) et céréalière (blé), sur la grande partie est de la commune grâce à une bonne qualité des sols. La plupart de ces exploitations agricoles sont spécialisées dans l'élevage bovin et la production laitière.

Voies de communication et transports

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Réseau routier

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La commune de Nozay est traversée par plusieurs routes départementales[10], dont :

Sa position géographique stratégique situe Nozay au carrefour de grandes agglomérations (30 minutes de Nantes, 45 min de Rennes, 20 min de Châteaubriant)[10].

Transports en commun

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Le réseau d'autocars Aléop, géré par la région des Pays de la Loire, permet de relier Nozay au reste de la Loire-Atlantique[11]. Nozay ne possède plus de gare depuis 1970[Note 1]. Les aéroports les plus proches de Nozay sont ceux de Rennes - Saint-Jacques et de Nantes Atlantique, qui proposent des vols réguliers intérieurs et internationaux.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Nozay est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nozay[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,6 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), prairies (11 %), forêts (4,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), zones urbanisées (3,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous la forme Noziacum en 1072[18],[19] et 1123[20],[21], Nozeyum en 1145[18], Nozauym en 1287[18] et Nouzay en 1453[19].

Probablement du latin nucetum « lieu planté de noyers » (comprendre gallo-roman NUCETU), basé sur nux « noix », devenu NUC- + suffixe -ETU, devenu -ei, -oi en langue d'oïl, -iacum doit être une fausse latinisation de l'ancien suffixe d'oïl -ei, -oi (< latin -etum)[21].

Nozay possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Nozai selon l'écriture ABCD[22], ou Nôzaï ou Nôza selon l'écriture MOGA. Ces deux graphies reflètent les deux variantes relevées : [nozaj] et [noza][23].

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Nozieg[24].

Histoire et Patrimoine

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Histoire

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L'occupation du territoire nozéen est attestée dès la préhistoire par la découverte de plusieurs haches en pierre polie, et par l'érection du menhir de Couëbrac[25].

À l'époque romaine on a fabriqué de 6 000 à 9 000 tonnes de bronze, près des mines et des exploitations anciennes de cassitérite d'Abbaretz et Nozay. Vers -1200, -725, des hommes avaient déjà exploité ce sol pour la fabrication du bronze et vers -150, les Vénètes, venus par les côtes atlantiques proches, faisaient du commerce avec les Grecs et les Carthaginois.

La découverte au XIXe siècle d'un torque en or et de monnaies romaines affirme l'activité des celtes et gallo-romains à l'époque antique, notamment celle de petits ateliers d'extraction et de travail de minerai d'étain et de fer[26].

À la suite de l'évangélisation du pays nantais au début du Moyen Âge, une communauté chrétienne se fixe sur un site qui deviendra le bourg de Nozay (nommé de nos jours le Vieux-Bourg), et où les sépultures d'un cimetière mérovingien ont été découvertes au XIXe siècle[27].

Nozay apparait la première fois en 1123, sous le nom de Noziacum. La paroisse fait alors partie des biens des évêques de Nantes depuis au moins 986[28]. Elle est donnée par la suite, parmi de nombreuses autres terres, à des nobles du pays nantais, afin de gagner leur appui dans les luttes entre évêques et comtes de Nantes.

 
Hôtel du Grand Monarque.

Au Moyen Âge, la plus grande partie de la paroisse de Nozay appartient à plusieurs petites seigneuries (dont la Croix-Merhan, Rozabonnet, Peret, la Touche, etc.), toutes vassales du seigneur de Nozay. Du XIIe au XIVe siècle, les seigneurs de Nozay sont les membres de la famille Le Bœuf, puis du XIVe au XVe siècle de la famille de Rieux. En ville, prospère une communauté de bourgeois et de marchands, qui se fait bâtir de nombreux hôtels en pierre de taille[29], alors que l'église Saint-Pierre-aux-Liens du Vieux-Bourg s'agrandit successivement, au rythme de l'accroissement de la population.

À l'époque moderne, Nozay est marquée par le développement de la seigneurie de la Touche, qui sous l'influence première de Pierre Piraud, secrétaire du baron de Châteaubriant, rachète au XVIe siècle de nombreuses petites seigneuries nozéennes, et se constitue un domaine rassemblant une grande partie de la paroisse. Il reste cependant toujours vassal de la seigneurie de Nozay, qui elle, passe en 1532 aux mains des familles de Montmorency, puis de Bourbon-Condé en 1632, toutes deux barons de Châteaubriant[30]. Économiquement, à la fin du XVIIe siècle, Nozay est réputée pour ses tanneries, ses fabriques d'étoffes, et ses foires.

Le règlement du évoque des toiles dénommées "beurières", tissées dans les régions de Nozay et de Fougeray[31].

À partir de 1830, l'histoire locale est fortement marquée par l'agronome alsacien Jules Rieffel, fondateur de l'école nationale d'agriculture de Grand-Jouan[32].

En 1882, Louis Davy redécouvre la cassitérite (oxyde d'étain) dans la région d'Abbaretz et Nozay. Mais ce n'est qu'en 1920 que la Société nantaise des minerais (SNMO) ouvre un puits qu'elle referme en 1926, puis rouvre en 1952 et referme en 1957. Elle emploiera jusqu'à 350 mineurs.

Après 1900, Nozay est connue pour ses carrières d'où l'on extrait du schiste appelé « pierre bleue », et du minerai de fer et d'étain. En raison des deux guerres mondiales et de la désertification des campagnes, la population nozéenne va progressivement décliner, puis repartir à la hausse à partir de 1990 jusqu'à atteindre de nos jours les 4 000 habitants.

Seigneurs de Nozay

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Héraldique

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  Blasonnement :
De gueules à la croix d'or cantonnée de quatre lionceaux du même.
Commentaires : Armes de la famille de Nozay (Armorial de Guy Le Borgne – 1668). Blason (délibération municipale du ) enregistré le .

Jusqu'en 1971, la commune de Nozay ne possédait pas d'armoiries. En septembre 1971, le Comité d'Héraldique Urbaine en prit conscience lors de la préparation de la publication du premier recueil des armoiries officielles de la Loire-Atlantique. La commune chargea donc les Archives départementales d'effectuer des recherches. La référence à la famille de "Nozay", dont les armoiries sont : de gueules à la croix d'or, cantonné de 4 lionceaux de même, fut choisie. Le conseil municipal de Nozay vota l'adoption de ces armoiries le , armoiries enregistrées ensuite le par la Commission d'héraldique urbaine.

 

Mais en réalité, et malgré l'homonymie, les membres de la famille de Nozay, qui furent seigneurs de Villemort et de Lyé en Poitou, n'ont jamais possédé aucune terre à Nozay. On considère comme premier seigneur de Nozay Briant Le Bœuf, seigneur des terres de Nozay, d'Issé et de Fougeray au XIIIe siècle. Les armoiries des Le Bœuf, de gueules à un bœuf passant, regardant d'or, la queue entre les jambes remontant en pal et fourchée, sont aujourd'hui celles de la commune d'Issé, et apparaissent sur celles de Grand-Fougeray.

Patrimoine communal

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Patrimoine civil

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La commune compte trois monuments historiques :

Nozay possède en outre un patrimoine bâti très riche :

  • une douzaine de manoirs datés du XVe au XVIIe siècle, disséminés dans la campagne nozéenne ;
  • plusieurs châteaux : La Touche, La Pinsonnais, L'Angle, Rieffeland, GrandJouan, la Blanchardière, Créviac ;
  • les rues Alexis Letourneau et rue Saint Jean, qui cachent derrière leurs façades des logis pour la plupart des XVIe et XVIIe siècles, avec tourelles d'escalier en pierre et pigeonniers ;
  • plusieurs anciennes carrières d'extraction de schiste, dont celle réhabilitée de la carrière du Parc[36] ;
  • un petit patrimoine composé de puits, fours à pain, haies de palis en schiste bleu.

Patrimoine religieux

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Outre l'église Saint-Pierre-aux-Liens, réalisée par l'architecte Bougoin au XIXe siècle, Nozay porte un petit patrimoine religieux d'intérêt tels de nombreux calvaires, chapelles (Limerdin, Guerry), ou tombeaux et caveaux sculptés du cimetière local.

La chapelle de Limerdin
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La chapelle a été construite en 1840 par Jules Rieffel. La chapelle a d'abord servi pour aux élèves et aux employés de l'école d'agriculture qui se trouvait sur le domaine de Grandjouan et que Jules Rieffel dirigeait. La chapelle est également un lieu de sépulture. Une campagne de financement participatif est lancée en 2019 pour restaurer la chapelle[37].

Patrimoine oral

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Il existe plusieurs légendes traditionnelles sur Nozay. La plus connue est sans doute celle de la « légende de la Croix-Merhan » : l'histoire du fermier de la Croix-Merhan, qui jadis, pour débarrasser ses terres des serpents qui les infestaient, fit appel à un sorcier ; mais qui ne respectant pas le contrat passé avec lui, mourut sous les crocs d'un serpent[38].

Personnalités liées à la commune

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Ancienne école d'agriculture de Grand-Jouan.

Politique et administration

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La commune de Nozay (ancien chef-lieu du canton de Nozay) fait partie du canton de Guémené-Penfao, composante de la sixième circonscription de la Loire-Atlantique, dans la région des Pays de la Loire.

Tendances politiques et résultats

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Le décompte des votes du 1er tour de l'élection présidentielle 2012 a révélé à Nozay un taux d'abstention de 14,46 %[39], très en dessous du taux national[40]. Les électeurs nozéens ont principalement voté pour François Hollande (29,84 %), Nicolas Sarkozy (29,66 %), Marine Le Pen (13,46 %), François Bayrou (12,06 %) et Jean-Luc Mélenchon (8,46 %)[39]. François Hollande obtient un score un peu supérieur au niveau national, Nicolas Sarkozy 2,5 % de moins[40]. Cette tendance se confirme au second tour, car pour une abstention toujours inférieure à celle du pays entier, Nozay vote majoritairement pour François Hollande (52,49 %), devant Nicolas Sarkozy (47,51 %)[39].

Le député de la circonscription législative dont dépend Nozay est Yves Daniel (du Parti socialiste), élu lors des élections législatives de 2012. Les conseillers départementaux du canton sont, depuis mars 2015, Anne-Sophie Douet et Yannick Bigaud (Union de la Droite), élus avec 50,05 % des voix devant Viviane Lopez et Gilles Philippot (DVG), ce dernier conseiller général sortant[41].

Administration municipale

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Mairie de Nozay.

Le conseil municipal compte 27 élus. Le maire, Jean-Claude Provost, est entouré de 7 adjoints. Parmi les autres conseillers municipaux, 15 font partie de la majorité et 4 de l'opposition. Tous ces élus se répartissent le travail au sein d'une douzaine de commissions et délégations[42].

Maires de Nozay

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1944 janvier 1970 Joseph Ferré
(1901-1982)
UDSR Ingénieur agronome et exploitant agricole, syndicaliste
Conseiller général de Nozay (1945 → 1951)
Démissionnaire
février 1970 mars 1989 Jean Guyon[Note 4]
(1934-2003)
DVD Arboriculteur
Conseiller régional des Pays de la Loire (1973 → 1998)
Conseiller général de Nozay (1970 → 2003)
Président du SIVOM de la Région de Nozay (1977 → 1989)
Suppléant du député Xavier Hunault (1973 → 1986)
mars 1989 juin 1995 Paul Lognoné[44]
(1934-2017)
DVG Médecin généraliste
Vice-président du SIVOM de la Région de Nozay
juin 1995 juin 2004 Christian de Grandmaison[Note 5]
(1936-2004)
UDF Consultant, ancien entrepreneur
Conseiller régional des Pays de la Loire (2001 → 2004)
Président de la CC de la Région de Nozay (1995 → 2004)
Décédé en fonction
juillet 2004 mars 2014 Thérèse Avril[Note 6] NC-DVD Enseignante retraitée
mars 2014 En cours
(au 8 février 2022)
Jean-Claude Provost[Note 7] DVD Animateur de région
Conseiller départemental de Guémené-Penfao (2021 → )
Vice-président de la CC de Nozay

Fiscalité

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Taux et produits des impôts locaux à Nozay en 2010[45], [46]
Taxe Taux appliqué (part communale) Recettes dégagées en 2010 et en €
Taxe d'habitation (TH) 18,97 % 529 000
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 18,65 % 658 000
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 48,11 % 116 000
Taxe professionnelle (TP) 0,00 % 0
Évolution de l'endettement (en milliers d'€)

Évolution des dépenses d'équipement (en milliers d'€) :

Sécurité, instances judiciaire et administrative

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La gendarmerie de Nozay est basée depuis le XIXe siècle dans sa caserne de la route de Nantes, et consiste de nos jours en une brigade territoriale et un peloton de motards. La Communauté de Brigades de Nozay comprend la brigade de Nozay et la brigade de Derval, dépendant elles-mêmes de la compagnie de Châteaubriant[48]. Nozay dispose d'une caserne de pompiers ; ce Centre d'Intervention Secondaire dépend du Groupement de Blain[49].

La commune dépend de la cour d'appel de Rennes. Pour tous les autres tribunaux et cours (instance, commerce et prud'hommes), Nozay dépend de la juridiction de Nantes. La maison de justice et du droit la plus proche est implantée à Châteaubriant[50].

Intercommunalité

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Nozay est le siège de la Communauté de communes de la région de Nozay, qui regroupe 7 communes, représentant une population d'environ 15 000 habitants en 2012 et une superficie de 27 000 hectares. Le conseil communautaire compte 29 élus, et est présidé par Claire Théveniau, maire de Puceul[51]. Avec la communauté de Communes du Castelbriantais et celle de Derval, la CCRN compose le Pays de Châteaubriant.

Jumelages

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La ville de Nozay est jumelée depuis 1991 avec la ville de Broughton, dans le Lincolnshire, cité de 5 000 habitants du nord-est de l'Angleterre.

Population et société

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Démographie

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Selon le classement établi par l'Insee, Nozay est une ville isolée qui est le centre d'un bassin de vie. Elle fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes[14]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 86 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 14 % dans des zones « très peu denses »[52].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].

En 2021, la commune comptait 4 228 habitants[Note 8], en évolution de +3,45 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0512 0301 7242 2162 6782 7583 0023 0373 369
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 4393 6923 8053 7913 8574 1544 1574 1703 978
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 9664 0684 1403 7083 5283 5093 3383 3824 631
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 3493 2423 2373 1583 0503 1563 4973 5813 835
2015 2020 2021 - - - - - -
4 0874 2164 228------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 006 hommes pour 2 167 femmes, soit un taux de 51,93 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[57]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,9 
6,5 
75-89 ans
10,8 
14,9 
60-74 ans
14,6 
19,4 
45-59 ans
17,8 
19,9 
30-44 ans
20,0 
17,5 
15-29 ans
14,4 
20,9 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage[58]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
75-89 ans
8,6 
15,1 
60-74 ans
16,4 
19,4 
45-59 ans
18,8 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Enseignement

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Nozay dépend de l'académie de Nantes. En 2014, la ville recensait 1 500 élèves. La commune compte deux écoles maternelles et élémentaires publiques, une école privée maternelle et élémentaire, deux collèges (un privé[59], et un public[60]). Les collégiens peuvent ensuite s'inscrire dans les lycées de Nantes, Blain, Châteaubriant et Redon. La commune possède aussi un centre de Formation en agro-équipement et un Centre de Formation Professionnelle Pour Adultes (CFPPA)[61].

Nozay dispose d'un hôpital local avec un secteur personnes âgées. Celui-ci comprend la maison de retraite La Chesnaie avec 71 logements individuels, et une unité de soins de longue durée d'une capacité d'accueil de 32 lits[62]. Un Pôle Médico-Social (PMS) regroupant une quarantaine de professionnels médico-sociaux a ouvert ses portes en [63].

Culture

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Nozay dispose d'un cinéma, d'une bibliothèque intercommunale, d'un office de tourisme, de plusieurs salles municipales pour l'organisation de réunions ou de fêtes, et d'un cybercentre pour le public désireux de se familiariser avec l'informatique. Marché le jeudi matin et samedi matin[64]. À destination des jeunes, la commune bénéficie d'une Résidence Jeunes pouvant loger jusqu'à 37 jeunes travailleurs, d'un centre socio-culturel (La Mano), d'un Relais Petite Enfance (RAM), d'un Multi-Accueil pour les enfants (Le Manège Enchanté)[65]. Le secteur associatif est très actif, avec 65 associations, tant professionnelles, que scolaires, culturelles, sportives, pour les loisirs, ou pour les services (comme la Croix-Rouge, les Restos du cœur)[66].

 
Jardin public.

La salle des sports de La Chesnaie dispose d'une grande salle accueillant la pratique de nombreux sports, d'un grand mur d'escalade, d'une salle consacrée aux arts martiaux (judo, aikido, karaté), et d'une salle de remise en forme. Le football est pratiqué sur deux stades communaux, le BMX sur le terrain de Moque-Souris, le tennis sur courts intérieurs et extérieurs, l'athlétisme sur le stade de la route d'Abbaretz. La commune dispose aussi d'une piscine découverte, d'un skate-park et d'un minigolf sur le site des Étangs, ainsi que du site du jardin public pour la détente des nozéens. De nombreux clubs sportifs existent, outre ceux évoqués au-dessus : handball, basket-ball, badminton, tennis de table, gymnastique, randonnée, danse, tai-chi-chuan, volley-loisir, moto-cross, VTT[67].

Médias

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En plus des journaux quotidiens régionaux (Ouest-France et Presse-Océan), il existe deux hebdomadaires : L'Éclaireur[68] et La Mée[69], tandis que la mairie édite une lettre d'information municipale (le Flash-Infos). Sur Internet, on trouve une web télé de pays : Pulceo[70], et un site d'informations du Pays de Châteaubriant, Châteaubriant Actualités[71], alors que Radio Château sur 99.7 FM est la station de radio locale.

 
Église Saint-Pierre-aux-Liens.

Nozay compte un lieu de culte consacré à la pratique de la religion catholique : l'église Saint Pierre-aux-Liens. Le territoire de la commune fait partie de la paroisse Saint Clair en Pays Nozéen, membre de la zone pastorale de Châteaubriant, qui dépend du diocèse de Nantes (province ecclésiastique de Rennes)[72].

Économie-Logement

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Formation et revenus de la population

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En 2006, la part des Nozéens (non-scolarisés) ayant un diplôme supérieur au baccalauréat est de 27,6 %, pour 28,5 % ayant un CAP ou un BEP. 19,2 % de ces Nozéens n'ont aucun diplôme. En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 883 , pour un impôt moyen de 413 . À cette date, 58,2 % des actifs nozéens travaillaient dans le département hors de la commune, dont 6,1 % en Ille-et-Vilaine[73].

En 2006, 2 192 Nozéens étaient considérés comme actifs, c'est-à-dire ayant entre 15 et 64 ans. Les actifs ayant un emploi représentaient 69 % de la population et 25 % étaient comptabilisés comme inactifs (retraités, étudiants, et autres)[73]. La même année, l'Insee recense 131 chômeurs, ce qui donne un taux de chômage de 6 % pour la commune[73] contre 9 % pour le département[74].

Répartition des emplois par domaines d'activité en 2006

  Agriculture Industrie-construction Tertiaire Dont commerce Dont services
Nozay 8 % 25,4 % 66,6 % 9,9 % 12,5 %
Moyenne nationale 3,48 % 15,40 % 6,45 % 13,32 % 61,40 %
Sources des données : Insee[73].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006

  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d'entreprise
Cadres, professions
intellectuelles
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Nozay 6,3 % 6,5 % 9,4 % 21,8 % 30,8 % 25,2 %
Moyenne Nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 %
Sources des données : Insee[73].

Entreprises, commerces, exploitations agricoles

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En 2006, Nozay comptait 183 établissements actifs, dont 19 dans l'industrie, 18 dans la construction, 28 dans le commerce et 118 dans les services ; l'industrie étant dominée par l'agroalimentaire et la plasturgie[75]. Concernant les exploitations agricoles, 51 étaient recensées en 2008, exploitant 3 665 hectares agricoles, et la moitié étaient spécialisées dans la production de lait de vache[76].

Logement

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Nozay comptait 1 629 logements en 2006, d'après une étude de l'Insee. Les résidences principales représentaient 90,8 % des logements, réparties à 83 % en maisons individuelles et à 16,6 % en appartements. Après n'avoir augmenté que de 20 % entre 1968 et 1990, le nombre de résidences principales bondissait de 30 % en une quinzaine d'années. Dans le même temps, le nombre de résidences secondaires diminuait de moitié ; ces deux données traduisant l'essor démographique de la commune. De fait, Nozay a vu entre 1975 et 2006 la construction de plusieurs lotissements, de taille modeste, mais qui conjugués aux maisons neuves individuelles, représentaient alors 30 % du parc résidentiel. Les constructions antérieures à 1949 représentaient quant à elles 50 % du parc, majoritairement de vieilles bâtisses en pierre de pays. En 2006, la plupart des habitations possédaient 5 pièces ou plus (42,8 %), celles avec 3 ou 4 pièces atteignaient cumulées 46 % ; les petits logements étaient donc peu nombreux. Nozay possède par conséquent des logements de taille importante du fait de la réhabilitation en logements d'anciennes fermes, et du fait d'un espace immobilier non restreint, permettant de grandes constructions. Enfin, 68 % des résidents nozéens étaient propriétaires de leur logement en 2006, et depuis des périodes supérieures à 20 ans[77].

Notes et références

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  1. Construite en 1880, cette halte sur la ligne Saint-Nazaire-Châteaubriant-Laval-Paris était une gare marchande et de voyageurs.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Jean Guyon est réélu en 1971, 1977 et 1983.
  5. Christian de Grandmaison est réélu en 2001.
  6. Thérèse Avril est réélue en 2008.
  7. Jean-Claude Provost est réélu en 2020
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
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  3. « Géologie des Pays de Loire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Site du BRGM (consulté le ).
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  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Nozay et Blain », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Blain », sur la commune de Blain - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Blain », sur la commune de Blain - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a et b « Voies routières, métro, tramway, bus, covoiturage »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Site du Pays de Châteaubriant (consulté le ).
  11. « Plan Aléop », sur aleop.paysdelaloire.fr (consulté le ).
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  13. « Unité urbaine 2020 de Nozay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  19. a et b (br) Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, Le Relecq-Kerhuon, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 128
  20. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
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  27. Alcide Leroux, « Découverte de tombeaux mérovingiens à Nozay », Bulletin de la Société archéologique de Nantes, t. XXII, 1883, p. 198 à 203.
  28. Dom Morice, Preuves pour l'histoire de la Bretagne, t. 1, p. 547.
  29. Documents pour l'histoire de Nozay au Moyen Âge, textes de Michel Nassiet, édition Collège du Patis Jourdeau, 1986, Bibliothèque des Archives départementales 44.
  30. E. de Cornulier. Généalogie de la maison de Cornulier, Nantes, 1863.
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  32. René Bourrigaud, « Aimé Antoine Richard Jules François Rieffel », in Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 31, p. 3208.
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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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