Fontgombault

commune française du département de l'Indre

Fontgombault est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Fontgombault
Fontgombault
La mairie en 2011.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Le Blanc
Intercommunalité Communauté de communes Brenne - Val de Creuse
Maire
Mandat
Philippe Confolant
2020-2026
Code postal 36220
Code commune 36076
Démographie
Gentilé Fontgombaldiens
Population
municipale
256 hab. (2021 en évolution de +3,64 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 40′ 30″ nord, 0° 59′ 10″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 136 m
Superficie 10,58 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Le Blanc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Blanc
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fontgombault
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fontgombault
Géolocalisation sur la carte : Indre
Voir sur la carte topographique de l'Indre
Fontgombault
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Fontgombault
Liens
Site web fontgombault.com

Géographie

modifier

Localisation

modifier

La commune est située dans l'ouest[1] du département, dans la région naturelle du Blancois, au sein du parc naturel régional de la Brenne.

Les communes limitrophes[1] sont : Sauzelles (2 km), Preuilly-la-Ville (3 km), Lurais (4 km), Pouligny-Saint-Pierre (4 km) et Mérigny (7 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Le Blanc (7 km), Châteauroux (56 km), La Châtre (77 km) et Issoudun (82 km).

 
Localisation de la commune de Fontgombault

Hameaux et lieux-dits

modifier

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : les Cloîtres, les Berthommières, les Auzannes, les Ageasses, la Toltière et Villebernier[2].

Géologie et hydrographie

modifier

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Creuse[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 741 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Blanc à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

modifier

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 3, 43, 62, 95 et 950[10].

La ligne de Port-de-Piles à Argenton-sur-Creuse passait par le territoire communal, une gare desservait la commune. Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares de Châtellerault[10] (42 km) et Argenton-sur-Creuse[10] (47 km).

Fontgombault est desservie par la ligne P du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 70 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de la Brenne[2], par la voie verte des Vallées[2] et par le sentier Rive Gauche, Rive Droite : les coteaux calcaires de la vallée de la Creuse, itinéraire fléché de 11 km, dont le départ est situé au pied du pont, sur la rive gauche de la Creuse et par le Chemin des Roches, chemin de 5 km, qui part du centre du bourg.

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Fontgombault est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,8 %), zones agricoles hétérogènes (33 %), forêts (25,4 %), zones urbanisées (2,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

modifier

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 171 169
Résidences principales 52,6 % 63,3 %
Résidences secondaires 33,9 % 38,2 %
Logements vacants 13,4 % 8,5 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 79,1 % 75 %

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune de Fontgombault est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels

modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999 et 2016[20],[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fontgombault.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 54,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 174 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 160 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques

modifier

La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 2] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[24].

Toponymie

modifier

Fontgombault tire son nom de l'ermite Gombaud[25]. Celui-ci, comme dit la légende, était un personnage de haut lignage que le dégoût des vanités du monde avait poussé à embrasser une vie de prières et de pénitences.

Ses habitants sont appelés les Fontgombaldiens[26].

Histoire

modifier

Des traces de vie humaine[25], datant de plusieurs millénaires avant notre ère, ont été retrouvées sur ce territoire. Des quantités de silex taillés ou polis, remontant au Paléolithique[25] ou au Néolithique, y ont été découverts.

Plusieurs pièces[25] romaines d'or et d'argent ainsi que des débris de tuiles et deux meubles retrouvés dans les dépendances de l'abbaye, attesteraient de l'existence de quelques maisons datant de l'époque gallo-romaine[25].

Sur la rive droite de la Creuse, il existait une voie romaine reliant Tours au Blanc, via Tournon-Saint-Martin[25] et qui correspondrait sensiblement à l'emplacement de l'ancienne voie ferrée même si le tracé n'est pas exactement connu à ce jour. Le site d'un lieu de culte gallo-romain a été mis au jour en 1987, par deux archéologues. L'architecture particulière de ce temple pouvait faire penser à un petit château.

L'ermite Gombaud[25] s'installa au Xe siècle dans une étroite cellule dans le roc. Il s'appropria les eaux de la fontaine[25] qui coulait au pied du rocher. Cette source[25] est toujours utilisée pour alimenter en eau potable les habitants de la commune et se situe au niveau du déversoir sur la rive gauche de la Creuse. Sieur Gombaud fut le premier à mener une vie religieuse en ces parages. Il mourut au bord de la Creuse après l'an 1023.

L'histoire du bourg de Fontgombault est ensuite liée à la présence et au développement de l'abbaye bénédictine. Les premières maisons du bourg[25] et la chapelle romane Saint-Jacques[25], furent construites peu après l'installation du monastère bénédictin, fondé en 1091, par Pierre de l’Étoile[25].

Jusqu'au milieu du XXe siècle les habitants du village vivaient essentiellement d'agriculture et d'élevage. La population était très sédentaire et ne se déplaçait pratiquement jamais. Le chemin de fer arriva pourtant à la fin du XIXe siècle et fut inauguré en 1886[25]. Le chemin de fer fonctionnera jusqu'en 1970 environ où il cessera complètement d'exister à cause de la généralisation des automobiles et des transports routiers.

En 1887[25] fut construite une école mixte à côté de la mairie, puis en 1910 arriva le premier téléphone public.

En 1931[25] fut installé un réseau de distribution d'énergie électrique, puis en 1937[25] des canalisations pour l'adduction d'eau et en 1957[25] un réseau d'égout.

La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton de Tournon-Saint-Martin.

Politique et administration

modifier

La commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton du Blanc, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Brenne - Val de Creuse[13].

Elle dispose d'une agence postale communale[27] et d'un syndicat d'initiative[28].

Les moines de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault, dont deux sont conseillers municipaux lors du mandat 2008-2014, représentent une part importante de l'électorat, expliquant l'arrivée de Christine Boutin en tête de l'élection présidentielle française de 2002 avec 29,9 % des suffrages dans la commune. Lors de l'élection présidentielle française de 2012, Nicolas Sarkozy récolte 40 % des voix au premier tour suivi de Marine Le Pen avec 17,17 % des voix. Son maire actuel, Jacques Tissier, s'est illustré publiquement en 2012 et 2013 en déclarant ne pas vouloir marier des homosexuels[29],[30]. Le conseil municipal délibère en ce sens le et menace de démissionner si l'on force un membre du conseil municipal à célébrer un mariage entre deux personnes de même sexe. Un conseiller vote contre, deux démissionnent[31]. Devant le refus du conseil municipal de retirer cette délibération estimée par certaines illégale, le préfet de l'Indre dépose le , un recours en annulation devant le tribunal administratif d'Orléans[32]. Le , le tribunal administratif de Limoges a annulé cette délibération prise par le conseil municipal. La justice administrative a estimé que cette délibération adoptée le , violait le « principe de neutralité du service public » et a en particulier rejeté les arguments de l’avocat de la commune, MeCyrille Dutheil-de-la-Rochère, cousin de Ludovine de La Rochère, présidente de la Manif pour tous, estimant que le document n’était pas « un vœu » mais bien « une déclaration d’intention ».

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1977[33],[34],[35] [Note 3],[36] Jacques Tissier DVD[37] Retraité
vacant ? ?
[38] En cours Philippe Confolant ? Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

En 2021, la commune comptait 256 habitants[Note 4], en évolution de +3,64 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
495380365369392411368390428
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
600569713781813420462450401
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
383357411395481452488472324
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
333324310267310283271269252
2017 2021 - - - - - - -
249256-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

modifier

La commune dépend de la circonscription académique du Blanc.

Manifestations culturelles et festivités

modifier

Équipement culturel

modifier

Fontgombault possède un swin golf, sport proche du golf inventé en France et reconnu par la Fédération française de golf. Le swin golf de Fontgombault possède neuf trous de difficultés différentes. Le circuit comporte des lignes droites atteignant parfois 200 mètres, des courbes pouvant aller jusqu'à 90° et de légères pentes.

Médias

modifier

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Économie

modifier

La commune se situe dans l’aire urbaine du Blanc, dans la zone d’emploi du Blanc et dans le bassin de vie du Blanc[13].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Pouligny-saint-pierre[45] et Sainte-maure-de-touraine[46].

Culture locale et patrimoine

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Bibliographie

modifier

Chatel de Brancion (Laurence) [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 143-146, notice de Patrick Grosjean.

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

 

Les coordonnées de cet article :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  3. Démission.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b c et d « Fontgombault » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Fontgombault et Le Blanc », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Blanc », sur la commune du Blanc - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Le Blanc », sur la commune du Blanc - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b c et d « Fontgombault », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  13. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Fontgombault ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Blanc », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Comparateur de territoire : Commune de Fontgombault (36076) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Fontgombault », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. a b c d e f g h i j k l m n o p et q Site de la commune de Fontgombault : L'histoire du village, consulté le 4 juin 2016.
  26. « Nom des habitants des communes françaises, Fontgombault », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  27. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  28. Site de Berry Province, consulté le 5 février 2013.
  29. Sylvain Mouillard, « Fontgombault, le village où le maire refuse de marier les homos », Libération,‎ (lire en ligne).
  30. « Mariage pour tous : les indignés de Fontgombault », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
  31. Sarah Delattre, Siné mensuel : Deux village [sic] sous influences, coll. « 28 », , p. 10 (NOTE : il n'existe pas de no 28 en février 2013).[réf. nécessaire].
  32. Agence France-Presse, « La justice administrative saisie du refus d'une mairie de l'Indre de marier les couples homos », sur lagazettedescommunes.com, (consulté le ).
  33. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  34. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  36. « Fontgombault : démission du maire, Jacques Tissier », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
  37. Site du Monde.fr : Fontgombault, consulté le 21 septembre 2016.
  38. « Fontgombault : Philippe Confolant élu maire », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  44. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  45. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Pouligny-Saint-Pierre, consulté le 15 août 2014.
  46. « Sainte-maure-de-touraine », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité, consulté le 19 février 2018.
  47. « Berry Roman: en Berry: ma campagne a du style, Berry province.com », p. 28.