Seijin Gesui est un jeune mangaka amateur. Il partage son temps entre l'écriture et le dessin de ses œuvres, et son petit boulot de livreur de journaux. De nature introvertie, ses journées se suivent et se ressemblent jusqu'à la visite d'une fan du nom de Megumi Saitô. Subjuguée par l'un de ses mangas, elle tenait absolument à faire sa rencontre. L'histoire serait simple s'il ne s'agissait que d'une simple groupie, mais Seijin découvre rapidement que vivre est un combat de tous les jours pour Megumi...
I find myself very conflicted about this book. On the one hand, more representation of neuro-divergent people is important, and this does that. On the other hand, it leans into a couple of harmful stereotypes about ASD, such as that autistic people are violent*, when that link has been disproven time and again. It probably is important to note that I'm not on the spectrum and so this book doesn't reflect any of my own lived experiences on that front, which may give the manga a very different feel to others.
*Caveat: she absolutely comes from an abusive household, which may have more to do with it than her autism. That means this issue could be resolved in a later volume, with violence as a learned behavior...although the ways in which she's violent in this book would still give me pause.
Entre une personne sur le spectre autistique qui est dépeinte comme une fille totalement à côté de ses pompes qu'elle en devient suicidaire et dépressive et que du coup cette fille va débarquer chez l'auteur de son manga préféré comme ça au calme et va s'installer chez lui (elle ne connait même pas son prénom pour info), après avoir trouvé son appart' via une photo qu'il a posté sur son blog (parce que vous savez les personnes sur le spectre ont des obsessions etc alors vrai mais bon...)... Et un mec qui va, en voulant l'aider dans sa dépression et son envie de suicide, la faire dvlper une dépendance accrue envers lui... (Syndrome du sauveur lol) En fait, traiter la dépression et le suicide c'est important (par ailleurs les pensées du gars quand il essaie de la sauver sont je trouve vraiment bien) mais l'associer au spectre autistique comme c'est fait dans ce manga, vraiment si on ne connait pas un minimum l'autisme baaaaah ça peut être hyper problématique parce que tu te fais une idée des personnes sur le spectre vraiment atroce... Et je dis pas ça parce que le livre se veut expliquer le spectre autistique avec des pages explicatives donc vouloir faire découvrir le spectre (très bien je salue la volonté) mais avec un personnage qui a d'autres problématiques psychologiques graves et non liées forcément au spectre baaaah ça fausse l'image négativement... J'espère être claire et pas trop fouillie mais ce livre m'a profondément révolté...
Yokoi’s original manga are unappreciated, save one or two lone fans who buy them. One day, Saito shows up on his doorstep to introduce herself as one of those fans. Saito’s way of interacting with the world is very unique and simultaneously not very happy. Together, however, they might be forming a very different sort of odd couple.
Content warnings abound for this book, which tackles suicide, bullying, mental health stigma, physical abuse, mental abuse, emotional abuse, animal cruelty, and discussions of rape. Suffice it to say, this book is a lot.
It’s also fascinating. I did a little digging into Asperger’s (the title of this book in Japan explicitly references it) and while I don’t know that Saito is a textbook case, I don’t know enough to say she isn’t, either. Certainly she’s got mental health issues either way and they definitely don’t shy away from how bleak they are.
Saito is a person who basically has nothing and never expects to have anything. Her history is one of family abusing her for being difficult to live with, classmates pretending she doesn’t exist, and finally her dropping out of school. When she makes an attempt on her life (clearly not her first), the rationale behind why is utterly heartbreaking.
What I like about this book is that it doesn’t paint Saito as some kind of misunderstood savant or gentle soul. She is a mess (somewhat not through her own fault - it’s implied that the system has not exactly saved the day here) and she lashes out in some very, very bad ways because she simply can’t deal with her emotions and all the baggage she’s built up.
I’ve mentioned elsewhere, but I used to suffer very bad emotional dysregulation because of my ADHD, and the portrayal of Saito here reminds me a lot of that, except way worse. Her panic attacks and ways of thinking of things that “regular” people can’t necessarily relate to are portrayed very, very well.
Then there’s Yokoi, who ends up being comparatively normal, even though these two are just being compared on a sliding scale. Yokoi works a dead-end job to support his original manga that barely anybody likes and he even offsets that by drawing pornography.
He comes across as prickly, even as he quickly opens his home up to Saito, though he arguably doesn’t have much choice, and welcomes her in, warts and all, even if doing so for an eighteen year old girl is suspect at best.
Yokoi’s clearly got some issues of his own, the aforementioned inability to relate to a lot of people, his few friends, living in a shack of an apartment. At one point he comes to Saito’s rescue by saying probably the worst thing possible and that’s… yeah… just a guy who isn’t very good at this, though at least he’s trying and that does count for something.
And they start to develop an awkward, difficult relationship. Yokoi’s in for a hell of a journey caring for somebody with the kinds of issues Saito has, though he does make some good strides in caring for her mental health that are very thoughtful of him. It’s interesting that he just takes this on with very little by way of complaint, actually.
Saito is definitely the star of the book, with her unique take on life and the unflinching lens that the story shows it under. They do not pull punches to make her likeable and it’s a testament to the writing that in elaborating on the difficulties she has, I came around to liking her despite her worst tendencies.
And they’re a good pair together. Yokoi gets appreciation and encouragement for his work, Saito gets to feel a little happy now and then. There are some cute moments in between all the problems - the resolution to the shower issue looks as cathartic as it must feel. This isn’t necessarily a story about being blissfully happy, but finding those moments of happiness amidst all the bad things, and sometimes that’s really the best you can hope for.
4 stars. This is certainly not for everybody. This is a raw look at mental health that takes no prisoners and, even if it doesn’t get everything right, it sure touches on a lot of actual problems and presents a more realistic take than I’ve seen in any fictional manga. I’ve heard that a later chapter goes flying off the rails, but I will definitely be there to see it when it happens.
"Une fille atypique" est un bol d'air frais dans un océan de mauvaises ou d'incomplètes représentations de la communauté autiste", dit le bandeau de ce manga. Un bol d'air frais. UN BOL D'AIR FRAIS, sérieusement? Avec une héroïne qui a passé la moitié de son enfance enfermée dans une cage à chien par son père, qui se balade partout avec un cutter pour multiplier les automutilations et les tentatives de suicide? On ne doit vraiment pas avoir la même définition du bol d'air frais. Je comprends bien que Sôhachi Hagimoto est elle, ou lui,-même autiste, et que les TSA sont un spectre trop large pour qu'aucune oeuvre puisse prétendre être représentative de nous tous.tes. L'auteur.ice a donc tout à fait le droit de raconter l'histoire qui lui parle. Mais j'ai profondément détesté ce manga, et malgré la présence d'un avertissement à l'intérieur, j'en veux à l'éditeur d'avoir utilisé cette accroche trompeuse sur sa couverture.
This entire review has been hidden because of spoilers.
As someone who also suffers from panic attacks, I could relate to the female protagonist of this story immensely. This manga is a must read for anyone with or interested in understanding how mental illness, especially anxiety & behavioural conditions, occur.
J’ai ce premier tome qui dort depuis un petit moment maintenant, dans ma pal manga. Cette fois ci il était vraiment temps de le sortir, d’autant plus que le second tome m’attendait lui aussi. J’étais hyper intriguée par ce titre et j’ai vu plusieurs avis négatifs passer. Même si les avis négatifs me titille en quelque sorte, je n’en tiens pas compte et je me fais toujours mon propre avis. Parce qu’au final, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas. Tout le monde peut ne pas aimer quelque chose alors que vous ça serait totalement le contraire et inversement. Faites vous vos propres avis, vous pouvez demander conseil mais si possible forgez vous votre propre opinion, ça serait dommage de passer à côté de quelque chose de chouette sous prétexte qu’on vous a dit que c’était mauvais non?
Dans ce premier tome, Seijin Gesui est un jeune mangaka amateur. Il partage son temps entre l’écriture et le dessin de ses oeuvres, et son petit boulot de livreur de journaux. De nature introvertie, ses journées se suivent et se ressemblent jusqu’à la visite d’une fan du nom de Megumi Saitô. Subjuguée par l’un de ses mangas, elle tenait absolument à faire sa rencontre. L’histoire serait simple s’il ne s’agissait que d’une simple groupie, mais Seijin découvre rapidement que vivre est un combat de tous les jours pour Megumi…
Ce que j’ai vraiment apprécié dans cette histoire, ce sont les thèmes abordés. Ce sont des choses dont il faut parler et que l’on ne voit que bien trop peu malheureusement. Dans ce manga, on rencontre Megumi sui souffre de troubles autistiques et psychologiques. Comme le titre l’indique, ça la rend atypique. Elle a des réactions que l’on ne comprend pas forcément toujours, elle a des façon de faire propre à elle même, comme par exemple lorsqu’elle lave ses chaussures il lui faut 45min sinon ce n’est pas bien fait etc. J’ai vraiment apprécié voir ces thèmes abordés finalement. En plus de ça, elle souffre de profonde dépression avec des idées plus que noires.. Elle parle beaucoup de suicide, elle se mutile etc. Ce n’est pas une histoire très joyeuse dans le fond. Mais on a une petite touche d’humour qui relève un peu le tout. J’ai beaucoup aimé Megumi, son histoire m’a littéralement brisé le coeur.. Elle m’a fait tellement de peine. J’aime beaucoup Seijin également, lui est plutôt déconcerté par l’arrivée de Megumi dans sa vie. En même temps, je pense que l’on serait dans sa situation, on le serait également. Puis petit à petit il apprend à la connaître et se montre même être une véritable aide pour cette dernière. J’aime beaucoup ce duo, la relation qui se créer entre les deux, tout en douceur, tout en patience, Seijin apprend à connaître Megumi, à gérer ses crises, il essaye de lui trouver des petites choses pour l’aider du mieux qu’il peut. Et c’était vraiment plus que chouette.
Je suis impatiente de découvrir le second tome. Surtout quand on voit de quelle façon ce premier opus se termine. Pardon mais clairement je n’ai pas pu m’empêcher de mourir de rire devant la révélation que Seijin va faire! C’était beaucoup beaucoup trop drôle pour le coup! Même Megumi est complètement perturbée par ça. J’aime les thèmes abordés, l’histoire est bien plus intéressante de cette façon je trouve. Et puis, les troubles ou encore les crises sont parfaitement bien traités et amenés, je ne suis pas une spécialiste dans ce domaine mais pour moi, j’ai trouvé que c’était vraiment bien fait, peut être que je me trompe. Je m’ne vais de ce pas dévorer le second tome!
First of all, no this doesn't "perpetuate harmful stereotypes about people with autism" for featuring a woman with autism who is violent. Just because a book contains a character with two traits does not mean those traits are in some sort of causal relationship. Saitou can be violent, and has autism. However, she also has glasses. OMG IS ASPER KANOJO SAYING ALL AUTISTS HAVE GLASSES!?!?!11!?
Here's the thing, most of the main characters, outside of just a few, have *something* going on with them. Yokoi, the male main character, is stated to have some form of agoraphobia. It's also relatively obvious that he is on the ASD spectrum as well, just never got tested. Many other characters (minor spoilers, but nothing specific) also show complexities.
One thing that many people, here and on other manga websites, don't understand is that this manga shows a wide variety of neurodivergant people. And, like literally every other type of people, there are good and bad neurodivergant people. Not every ASD person is going to be a shining beacon of purity and decentness for you to gawk at. Not every ASD person is going to be sexist, but some will be. Not every ASD is going to be a thief, but some will be.
I was delaying my review, as I wanted to read a bit more of this before I judge it. I have seen some comments with people expressing concerns about The manga also deals with potentially very upsetting themes, such as intense bullying, abuse and suicide.
I am...so baffled by this manga and even more baffled as to why it has such high ratings. I keep seeing other reviews that say that it's an excellent portrayal of an autistic woman but good god no it is not! It's painfully obvious that Saito is extremely mentally unwell, but nothing about her behavior reads as autism. She reads as perhaps manic depressive or having OCD or even a mixture of both, but nothing that says autism. Saito is portrayed as very mentally unstable, with the biggest red flag being that she digitally stalked Yokoi and traveled over 8 hours to hunt him down. She is also portrayed as a violent and at times a pretty nasty person. I understand she's shown to have had an extremely traumatic childhood, but that doesn't excuse her behavior. Having trauma doesn't automatically mean you're going to be violent to everyone else, be it another person or an animal. Also, I wouldn't say I like how the story tries to make it seem like the "relationship" between Saito and Yokoi is something romantic because they're both loner types. A relationship is also a strong word when it's basically Saito just forcing herself into Yokoi's life and refusing to leave.
Also...what the hell was that ending? Was that supposed to be funny? It wasn't. It was weird as hell.
The preview of this book intrigued me and I’m so glad I took a chance on it.
This is an unusual manga about two awkward, social outcasts who meet under atypical circumstances.
Yokoi is a mangaka who pays the bills as a newspaper boy and earns spending money through erotic manga. His real passion is his OW, but no one buys those.
One day, his doorbell rings and an unusual woman is there claiming to be his fan (of his OW). She ends up staying with him for a few days, and they form an awkward kind of friendship.
Saito is mentally ill and was abused by her parents as a child, and she’s definitely not like “other people,” but that’s part of why she is so enamored with Yokoi’s work, since it portrays people and scenarios she can finally relate to.
Although the story deals with some heavy subjects (like abuse and suicide), it ultimately is about the relationship between the too. Yokoi is a really kind person who wants to keep Saito safe even when they don’t know each other well.
I found I couldn’t put the manga down. I definitely recommend it (even if it ended in a kind of awkward way).
Flipant molt fort amb aquesta història de només dos personatges i una premissa força senzilla. L'il·lustrador Yokoi, un jove poc sociable, malviu tot sol a Tòquio repartint diaris i dibuixant manga. Els seus doujinshis tenen força èxit, mentre que les seves obres originals passen sense pena ni glòria. Un bon dia se li presenta a casa la Saitou, una noia força estranya que és una gran fan de les seves històries. A partir d'aquí veiem com neix una relació entre tots dos protagonistes, que acaben convivint, però que sorprenentment s'entenen a la perfecció perquè han patit situacions similars. Anem descobrint amb comptagotes el passat de la Saitou, una vida de maltractaments i traumes infantils, ansietat, depressió, autolesions, intents de suïcidi i un possible trastorn mental (que pel títol de la sèrie deduïm que és síndrome d'Asperger, tot i que no s'especifica). Una lectura intrigant i magnètica, que m'ha descol·locat i no sé quin rumb prendrà!
He's a mangaka who pays the bills cranking out steamy doujinshi. His original stuff just doesn't gain any attention... until it does. A young woman shows up on the doorstep of his tiny apartment, claiming that his personal work has changed her life. She feels seen. But she's not your typical fangirl.
This was an unusual one and should probably come with trigger warnings. Saito has baggage and issues and trauma. (And she's still in high school.) But he faces her without flinching and does what he can to make her feel safe in his home. Yokoi's calm and patience is uncommon... and admirable. In a way, I felt like this story is a tutorial of sorts, giving readers the tools needed to be there for atypical friends or family members.
Absolutely the single best depiction of an autistic character I've ever read. I feel seen by this manga in a way that hurts, and in a way that feels cathartic, and I care about the characters depicted so so so much. For someone on the spectrum myself, I constantly felt a deep sense of understanding exactly what the characters meant.
Saito is often abrupt and blunt and seemingly says thing without reason. But she does have her reasons. Always. The manga is really respectful of the fact that she has her own internal logic that she follows, even if it's not immediatly obvious.
There is one thing she's wrong about though. Stories with happy endings are worth it, and she's going to be okay.
On m'avait prévenu à la sortie de ce manga que la représentation autistique était (au mieux) discutable, mais je voulais me faire mon propre avis. Je n'ai donc pas vraiment été déçu en le lisant.
On est loin du bol d'air frais, et cette 4è de couverture trahit les lecteurices. Il aurait suffit de la pour mettre en avant que ce livre parle davantage du fait que les neuroatypiques sont plus à même de développer des relations toxiques, ou de la difficulté de gérer les symptômes au quotidien, autant pour les concerné.e.s que leurs proches.
helpppp the volume really ended with a dialogue about 💨🫙. 😭
Overall Id say I liked it however I will need to read more to really have an opinion on if the characters are good autistic rep or not (for now I want to say yes but people are talking about how Megumi being violent is bad rep which I can understand even if I personally think it was made clear enough that it's more about how trauma affects someone autistic than a "autistic people are violent" so I want to see more of how the author tackles it).
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An amazing glimpse into people dealing with mental illness. The "Atypical Girl" is on the spectrum, and has been looking for help all her life, and finally finds it.
It's a pretty powerful manga that only gets more powerful each volume. Love blooms, but it is slow going as he, who has issues himself, helps her find a will to keep living.
Not for me. I don't know what I was expecting but it wasn't this. A darker manga with acts of self harm, violence, and animal abuse, plus small slivers of hentai. A young woman with serious issues enters the life of a struggling manga artist, and he seems like he's gonna save her from herself. Too gloomy for me.
Interesting start, but I feel there's a slight fetishizing autistic woman, with a quirky woman just showing up to a virgin man's apartment door. That said, this isn't glorifying autism or making it a quirky trait. My Atypical Girl shows the social struggles and behaviors of an autistic woman as an adult.
Llegue a este manga por una imagen y me encontré con una pareja de lo más inusual, pero que de una extraña manera funciona. Es mi primer acercamiento a algunos de los temas que esta historia trata, como por ejemplo, el día a día de una persona que sufre ansiedad junto con ataques de pánico entre otras cuestiones. Puede que por eso en este caso comprenda mejor al protagonista masculino y las cuestiones que a él le competen. Seguiré leyendo los demás volúmenes para ver como avanza la historia.
I am autistic. This is not good representation. The girl is violent and unstable. I don't think it should've been published. She kicks dogs and kids if they get too close. Note: I like that she stares. Sometimes autistic eye contact can be overwhelming!
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I NEED A DOCTOR !! (1) Saijin Gesui est un asocial qui vit en se contentant des miettes...
Il a dessiné un manga et un jour une fille sonne à sa porte pour lui annoncer qu'elle est une fan, et qu'elle l'a imprimé car il n'existait qu'en version dématérialisé.
Cette fille semble un peu "extrême" elle aussi, elle a fait 12h de route rien que pour rencontre Saijin. Elle s'appelle Megumi Saitô. Le véritable nom de Saijin est "Taku Yokoi"
J'ai failli verser une larme avec les événements autour de la page 54.
On a compris le principal : Megumi est vraiment unique !!
Megumi a une crise d'angoisse/panique et prend ses médicaments qui font effet en 30min (comme dans la vraie vie!).
Mas la jeune femme malgré elle va finalement finir par se faire apprécier de son idole.
Une fille atypique c'est une fille fragile et attachante.
En bref____ Un peu "Stan", Megumi s'incruste chez son idole, un auteur de manga nommé "Taku Yoroi" forte et fragile à la fois, il va l'adopter et prendre soin d'elle...
Positif____ J'ai jamais lu quelque chose sur le même thème! Ca se lit facilement. Touchant!
Négatif____ On à peine à y croire face à un personnage si "atypique" on finir par accepter ça comme une Licence... ____ Phoenix ++
Je m'attendais clairement à mieux vu les éloges sur le bandeau. La fille TSA est quand même stéréotypée et c'est très sexualisé. J'apprécie les textes informatifs qui expliquent bien les caractéristiques du TSA mais à part ça l'histoire est malaisante, c'est traité de façon maladroite, bref un personnage féminin concerné par le TSA écrit par un homme japonais. Pas de quoi révolutionner la représentation des femmes autistes comme le laissait prétendre le résumé. Les dessins sont bofs, les proportions sont fausses, les poses sont malaisantes : volontairement sexualisées ou juste maladroites ? Elle fait une crise de panique et elle se tient le sein quoi. Ça penche vers le ecchi et je trouve ça déplacé pour un manga qui se veut informatif sur le sujet de l'autisme chez les femmes. Lisez bien les trigger warning avant d'entamer votre lecture, d'ailleurs ils auraient pu inclure le lien d'un site ou le numéro de téléphone d'une association au lieu de juste dire "faites vous aider" mais passons. Une lecture décevante.
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Pire représentation autiste, je me sens hyper insultée.
TRIGGER WARNING
Une meif autiste qui donne des coup de pied à des chiens, qui tappe des gens dans des lieux publiques parce qu'elle a fait meltdown et dis que son fantasme c'est le viol, et qui a été enfermée dans une cage à chien toute son enfance parce que son père était intolérant à l'autisme. Non vrmt c'est trop catastrophique et aussi elle se balade avec un cutter pour se mutiler et essayer de se suicider toutes les 2 pages, non c'est trop, Pire représentation du TSA
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