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1999, Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series IIA - Earth and Planetary Science
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Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series IIA - Earth and Planetary Science, 1997
Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series IIA - Earth and Planetary Science, 1998
Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series IIA - Earth and Planetary Science, 1999
Reponse aux commentaires de H. Rouvier et al. ii la note Tectonique en radeaux au toit d'un ((glacier de set)) sous-marin albien de Tunisie du Nord-Ouest : exemple du secteur minier de Gueurn Halfaya
Réponse aux propos de M. Quentin Leplat sur moi dans sa publication du 9/03/24. (Fecha del documento: Sábado 9 de Marzo de 2024).
Dans une note ajoutée à sa remarquable édition de la correspondance de Guy Patin, Loïc Capron avance quelques objections à l'égard de l'attribution du Theophrastus redivivus au médecin parisien, en regrettant qu'« à ce jour (12 juillet 2020), dans les deux autres articles où il a développé sa supposition sur l'auteur du Theophrastus redivivus, G. Mori [n'ait] pas pris la peine de réfuter systématiquement et catégoriquement mes quatre contre-arguments » (note 38 à la lettre de Patin à Charles Spon du 13 avril 1657). J'essaie de répondre brièvement ici aux «quatre contre-arguments» de Loïc Capron, qu'il a fina-lement rendus publics, en me permettant de leur répondre aussi publiquement. Les voici: 1. Fort absorbé par sa pratique et ses enseignements médicaux (au Collège de France et à la Fa-culté), et par sa correspondance, Patin n'avait ni le loisir ni la compétence requis pour écrite une telle somme théologique et philosophique (à laquelle il n'a jamais fait la moindre allusion, même oblique, dans ses écrits). 2. Même s'il a souvent montré ses inclinations vers le jansénisme et le calvinisme, Patin n'a jamais renié le christianisme et a toujours parlé de l'athéisme avec un mépris mêlé d'effroi. 3. Charles Spon, destinataire de la présente lettre du 13 avril 1657 [contenant une anecdote sur l'incrédulité de Richelieu à l'égard du Purgatoire, que raconte aussi l'auteur du Theophrastus], avait fort bien pu la faire lire au petit cercle de ses amis lyonnais, auquel appartenait notamment le R.P. Théophile Raynaud (v. note [8], lettre 71), théologien jésuite prolifique, volontiers fulmi-nant et hétérodoxe. J'ai particulièrement pensé à lui parce que le Theophrastus redivius se conclut sur cette profession de foi aussi bizarre que loyolitique, intitulée Ad fideles et vere sapientes reli-gionis christianae sectatores[Adresse aux fidèles et vraiment sages sectateurs de la religion chré-tienne] (page 1090) : Si qui forte nobis arma argumentorum quae in prooemio huiusce operis postulavimus, subministra-verit ; eiusmodi auxilio tuti adversùs impiorum conatus non firmiores quidem in fide erimus, cui nul-lum praeter divinum, necessarium est auxilium : sed fortiores et ad illos oppugnandos audaciores efficiemur ; ut pote fide et ratione naturali, id est, divino et humano subsidio, adversus solam natu-ralem et humanam rationem, decertaturi simus ad maiorem Dei gloriam et ad infidelium confusio-nem. Soli Deo laus, honor et gloria. Finis. [Si quelqu'un nous a peut-être fourni les armes des arguments, que nous avons demandés dans le Prooemium {a} de cet ouvrage, et si ce secours nous a protégés contre les entreprises des im-pies, nous serons certes plus solides dans la foi, qui n'a besoin d'aucun secours autre que celui de Dieu ; mais nous serons rendus plus forts et plus audacieux pour les attaquer puisque, bien sûr, par la foi et par la raison naturelle, c'est-à-dire par le soutien divin et humain, nous allons mener le combat décisif contre le raisonnement naturel et humain, pour la plus grande gloire de
Bulletin d'histoire politique, vol. 28, no 2, 2020
Liens vers la réplique de Maxime Dagenais et Julien Mauduit: https://www.erudit.org/fr/revues/bhp/2020-v28-n2-bhp05433/1070811ar/
2009
Réplique au texte «Abstention, nouveau péché capital» DÉBUT DU TEXTE Le texte de Francis Dupuis-Déri a suscité un débat au sein du comité de rédaction de Liberté*, qui ne partage pas son point de vue sur cette question de l’abstentionnisme. Le comité a pourtant tenu à ce qu’il soit entendu. Car il croit, en s’inspirant ici de Kant, que l’usage public de la raison doit toujours avoir les coudées franches, c’est- à-dire qu’il ne doit être soumis à aucune forme de censure. Ainsi doit-on pouvoir tout dire, tout critiquer, déballer toutes ses pensées, jusqu’aux plus inconvenantes, devant le public lecteur, qui en débattra. Pour citer Kant dans le texte : « J’entends par usage public de notre propre raison celui que l’on en fait comme savant devant l’ensemble du public qui lit*. » Pour Kant, l’usage public de la raison (contrairement à son usage privé*) doit être libre de toute contrainte. Mais Kant ajoute ceci de très important, qui a pu en troubler plus d’un : « Raisonnez tant que vous voudrez et sur les sujets qu’il vous plaira, mais obéissez * ! » POUR LA SUITE, LIRE LE TEXTE
Gynécologie Obstétrique & Fertilité, 2008
Article original Formation chirurgicale au bloc opératoire : enquête d'opinion auprès des praticiens et des internes en gynécologie-obstétrique Surgery training of gynecologic residents: Master and student in the operating room du Pr-Robert-Debré, 30029 Nîmes, France Reçu le 5 septembre 2007 ; accepté le 26 novembre 2007 Disponible sur Internet le 1 février 2008
Akadem, 2021
Les normes de composition littéraires auxquelles nous sommes habituéscomme lecteurs de romans, d'essais ou de « documents »se révèlent parfois très éloignées de celles qui paraissent avoir présidé à la rédaction de la Torah. Ou pour le dire autrement : certaines lectures saintes éveillent parfois en nous un sentiment de troublante étrangeté. Cette distance n'est peut-être que celle qui nous sépare inéluctablement du contexte d'émergence du texte que nous sommes en train de lire. Qu'avons-nous de commun, au fond, avec celles et ceux qui ont produit ou transmis ces cinq livres, avec celles et ceux qui en furent les premiers destinataires et les premiers récepteurs ? Leur langue n'est pas la nôtre. Leurs univers n'est pas le nôtre. Historiquement, socialement, culturellement, la Bible nous vient d'un ailleurs non seulement étrange mais aussi, à bien des égards, étranger. Le fait que certains et certaines d'entre nous croientet ils ont bien le droit de le croireque la Torah nous vient de Dieu par l'entremise de Moïse, ne change rien à l'affaire. Admettons que la valeur et la vérité du message qui nous a été transmis par ce biais ne s'érodent jamais. Admettons que son sens jamais ne se perd. Admettons que quels que soient le moment de l'histoire et le lieu où ils le lisent, tout homme, toute femme soient toujours, de quelque manière, les contemporains de Celuile Saint béni soit-Ilqui leur parle. Admettons même, ce qui est peut-être folie, que les derniers lecteurs de ce texte en perçoivent les leçons mieux que leurs prédécesseurs du simple fait qu'ils s'appuient justement sur une tradition pluriséculaire d'interprétation qui a contribué à faire émerger ces leçons, à les élucider, à en actualiser la portée. Admettons que, si nous ne sommes, à cet égard, que des nains juchés sur les épaules de géants, du seul fait de l'altitude où nous sommes de fait installés, nous voyons plus et plus loin qu'eux.
HumaNetten, 2016
COLOM, Guillem (2014): "La Revolución militar posindustrial", Revista de Estudios Sociales, nº 50, pp. 113-126
DergiPark (Istanbul University), 2017
Water Resources Management, 2019
ChemInform, 2012
Microsystem Technologies-micro-and Nanosystems-information Storage and Processing Systems, 1995
Journal of Arabic Literature, 2012
Zeitschrift für Physikalische Chemie, 2020