Papers by Emilija Milanov

Adolescents are being increasingly exposed to the influence of the media (television, music/music... more Adolescents are being increasingly exposed to the influence of the media (television, music/music videos, Internet etc.) every day. Even though the media can provide an educative role for the youths, researchers nowadays are primarily focused on the negative aspects of the influence of exposure to the media, particularly its effects on the age of adolescents' sexual initiation, risky sexual behavior, sexual attitudes/beliefs, pregnancy etc. The following review includes 5 studies that examined the effects of different medias on adolescents' sexual behavior and attitudes. Although the results provided important information about these effects, given the fact that the reviewed studies were conducted under different circumstances and with different variables, a firm conclusion cannot be drawn in order to clarify the extent to which the sexual media influences adolescents' sexual behavior and attitudes.
Addiction to various substances (nicotine, alcohol, marijuana) is an increasing threat for young ... more Addiction to various substances (nicotine, alcohol, marijuana) is an increasing threat for young people nowadays. With the outburst of social networks that act as an addictive behaviour propaganda, and with larger groups of peers as they enter high school or college, adolescents are tempted on a daily basis to try or start using one of these substances. The following 4 studies provide data on a total of 8,638 adolescents' addictive behavior, such as smoking, drinking alcohol and marijuana use. According to the results in all of the 4 studies, peers have a strong influence on adolescents' addictive behavior (promoting and encouraging smoking, drinking and marijuana use) and parents' regard and monitoring, have a protective role.
Thesis Chapters by Emilija Milanov

Comment procédons-nous pour apprendre les mots d’une langue que nous ne connaissons pas ? Quels s... more Comment procédons-nous pour apprendre les mots d’une langue que nous ne connaissons pas ? Quels sont les indices les plus utiles lors de leur encodage en vue de leur mémorisation et de leur utilisation ultérieures?
Cette recherche vise à expliquer comment on mémorise des mots nouveaux en fonction de notre familiarité avec leur langue d’appartenance, mais aussi à comprendre comment nous arrivons à créer des liens sémantiques entre les équivalents de traduction dans notre mémoire en utilisant les images qui leur correspondent.
Les participants ont été divisés en deux groupes en fonction des langues d’appartenance des mots qu’ils devaient mémoriser: l’anglais, une langue déjà connue à des niveaux divers par les participants, et le serbe, langue non familière. Les deux groupes effectuent 6 phases d’apprentissage, parmi lesquelles deux sont constituées du seul mot étranger (anglais ou serbe), deux sont constituées de ces mêmes mots avec leur traduction respective en français et deux qui relient les mots et les images qui correspondent à leur signification.
La mémoire des mots est ensuite évaluée au moyen d’épreuves de reconnaissance, de rappel indicé et de rappel libre.
Les résultats révèlent des performances significativement meilleures pour le groupe anglais, ainsi qu’une supériorité en performances dans la reconnaissance sur le rappel. Nous les interprétons à la lumière de modèles de développement de la mémoire bilingue (modèle hiérarchique révisé, modèle subordonné)
Mots clés : Mémoire bilingue, Equivalents de traduction, codage verbal/ imagé, apprentissage de mots nouveaux, reconnaissance, rappel

Que fait-on exactement sur les réseaux sociaux ? Quelles sont nos habitudes et quels facteurs inf... more Que fait-on exactement sur les réseaux sociaux ? Quelles sont nos habitudes et quels facteurs influencent la nature de notre utilisation, autrement dit notre engagement dans les nouveaux médias ?
Cette recherche vise à déceler les raisons de cet engagement, s’il existe un lien entre notre personnalité (y compris celle perceptible sur les médias) et l’utilisation que nous faisons de ces mêmes médias en fonction de notre culture d’origine, notamment lorsque certains contenus sont présentés dans une langue étrangère et partagés avec d’autres.
Pour étudier l’engagement dans les réseaux sociaux, le rôle des langues et de la personnalité, nous avons construit un outil évaluatif, comportant un questionnaire et une phase test, présentés de manière informatisée (en ligne) et anonyme et travaillé sur deux populations de langues et de cultures différentes.
80 participants ont été divisés en deux groupes en fonction de leur nationalité (Français vs. Serbe/Macédonien) et en fonction de la langue du test (français pour les Français et l’anglais pour le groupe Serbe/Macédonien). Les deux groupes ont répondu d’abord un questionnaire en ligne, censé mesurer 1) leur personnalité (niveau d’extraversion) 2) leur degré d’engagement sur les réseaux sociaux (actif vs passif) et 3) leur niveau de fluence et de pratique de la langue anglaise (auto-évaluation). La deuxième phase de l’évaluation (phase test) est ensuite présentée sous la forme de 45 images ou illustrations diverses, réparties en 3 sous-sections : La compréhension des images, l’utilisation et l’implication, ainsi que le ressenti personnel. Nous avons comparé les performances aux deux phases de l’étude afin de tester l’influence des 3 variables du questionnaire sur l’engagement et l’utilisation des réseaux sociaux des participants.
Les résultats révèlent une influence du niveau de langue et du degré d’extraversion qui semblent de bons indicateurs de l’utilisation et l’engagement des individus dans les réseaux sociaux pour les deux populations étudiées. Il s’est avéré également que le niveau auto-évalué d’anglais des participants (la langue utilisée pour présenter les images et les citations dans la phase test pour les deux populations) a eu des effets significatifs sur leurs performances dans les trois parties de la phase test (compréhension, utilisation et implication personnelle). Le fait d’avoir plus de confiance en soi concernant ses performances langagières en L2 a également influencé, non seulement la compréhension des images et citations présentées, mais aussi la perception et l’appréciation de ces mêmes contenus (souhait de les partager, ainsi qu’une implication personnelle forte envers les contenus présentés).
Mots clés : Réseaux sociaux, Utilisation des médias, Engagement, Langues (anglais, français, serbe), Personnalité (extraversion).
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Thesis Chapters by Emilija Milanov
Cette recherche vise à expliquer comment on mémorise des mots nouveaux en fonction de notre familiarité avec leur langue d’appartenance, mais aussi à comprendre comment nous arrivons à créer des liens sémantiques entre les équivalents de traduction dans notre mémoire en utilisant les images qui leur correspondent.
Les participants ont été divisés en deux groupes en fonction des langues d’appartenance des mots qu’ils devaient mémoriser: l’anglais, une langue déjà connue à des niveaux divers par les participants, et le serbe, langue non familière. Les deux groupes effectuent 6 phases d’apprentissage, parmi lesquelles deux sont constituées du seul mot étranger (anglais ou serbe), deux sont constituées de ces mêmes mots avec leur traduction respective en français et deux qui relient les mots et les images qui correspondent à leur signification.
La mémoire des mots est ensuite évaluée au moyen d’épreuves de reconnaissance, de rappel indicé et de rappel libre.
Les résultats révèlent des performances significativement meilleures pour le groupe anglais, ainsi qu’une supériorité en performances dans la reconnaissance sur le rappel. Nous les interprétons à la lumière de modèles de développement de la mémoire bilingue (modèle hiérarchique révisé, modèle subordonné)
Mots clés : Mémoire bilingue, Equivalents de traduction, codage verbal/ imagé, apprentissage de mots nouveaux, reconnaissance, rappel
Cette recherche vise à déceler les raisons de cet engagement, s’il existe un lien entre notre personnalité (y compris celle perceptible sur les médias) et l’utilisation que nous faisons de ces mêmes médias en fonction de notre culture d’origine, notamment lorsque certains contenus sont présentés dans une langue étrangère et partagés avec d’autres.
Pour étudier l’engagement dans les réseaux sociaux, le rôle des langues et de la personnalité, nous avons construit un outil évaluatif, comportant un questionnaire et une phase test, présentés de manière informatisée (en ligne) et anonyme et travaillé sur deux populations de langues et de cultures différentes.
80 participants ont été divisés en deux groupes en fonction de leur nationalité (Français vs. Serbe/Macédonien) et en fonction de la langue du test (français pour les Français et l’anglais pour le groupe Serbe/Macédonien). Les deux groupes ont répondu d’abord un questionnaire en ligne, censé mesurer 1) leur personnalité (niveau d’extraversion) 2) leur degré d’engagement sur les réseaux sociaux (actif vs passif) et 3) leur niveau de fluence et de pratique de la langue anglaise (auto-évaluation). La deuxième phase de l’évaluation (phase test) est ensuite présentée sous la forme de 45 images ou illustrations diverses, réparties en 3 sous-sections : La compréhension des images, l’utilisation et l’implication, ainsi que le ressenti personnel. Nous avons comparé les performances aux deux phases de l’étude afin de tester l’influence des 3 variables du questionnaire sur l’engagement et l’utilisation des réseaux sociaux des participants.
Les résultats révèlent une influence du niveau de langue et du degré d’extraversion qui semblent de bons indicateurs de l’utilisation et l’engagement des individus dans les réseaux sociaux pour les deux populations étudiées. Il s’est avéré également que le niveau auto-évalué d’anglais des participants (la langue utilisée pour présenter les images et les citations dans la phase test pour les deux populations) a eu des effets significatifs sur leurs performances dans les trois parties de la phase test (compréhension, utilisation et implication personnelle). Le fait d’avoir plus de confiance en soi concernant ses performances langagières en L2 a également influencé, non seulement la compréhension des images et citations présentées, mais aussi la perception et l’appréciation de ces mêmes contenus (souhait de les partager, ainsi qu’une implication personnelle forte envers les contenus présentés).
Mots clés : Réseaux sociaux, Utilisation des médias, Engagement, Langues (anglais, français, serbe), Personnalité (extraversion).
Cette recherche vise à expliquer comment on mémorise des mots nouveaux en fonction de notre familiarité avec leur langue d’appartenance, mais aussi à comprendre comment nous arrivons à créer des liens sémantiques entre les équivalents de traduction dans notre mémoire en utilisant les images qui leur correspondent.
Les participants ont été divisés en deux groupes en fonction des langues d’appartenance des mots qu’ils devaient mémoriser: l’anglais, une langue déjà connue à des niveaux divers par les participants, et le serbe, langue non familière. Les deux groupes effectuent 6 phases d’apprentissage, parmi lesquelles deux sont constituées du seul mot étranger (anglais ou serbe), deux sont constituées de ces mêmes mots avec leur traduction respective en français et deux qui relient les mots et les images qui correspondent à leur signification.
La mémoire des mots est ensuite évaluée au moyen d’épreuves de reconnaissance, de rappel indicé et de rappel libre.
Les résultats révèlent des performances significativement meilleures pour le groupe anglais, ainsi qu’une supériorité en performances dans la reconnaissance sur le rappel. Nous les interprétons à la lumière de modèles de développement de la mémoire bilingue (modèle hiérarchique révisé, modèle subordonné)
Mots clés : Mémoire bilingue, Equivalents de traduction, codage verbal/ imagé, apprentissage de mots nouveaux, reconnaissance, rappel
Cette recherche vise à déceler les raisons de cet engagement, s’il existe un lien entre notre personnalité (y compris celle perceptible sur les médias) et l’utilisation que nous faisons de ces mêmes médias en fonction de notre culture d’origine, notamment lorsque certains contenus sont présentés dans une langue étrangère et partagés avec d’autres.
Pour étudier l’engagement dans les réseaux sociaux, le rôle des langues et de la personnalité, nous avons construit un outil évaluatif, comportant un questionnaire et une phase test, présentés de manière informatisée (en ligne) et anonyme et travaillé sur deux populations de langues et de cultures différentes.
80 participants ont été divisés en deux groupes en fonction de leur nationalité (Français vs. Serbe/Macédonien) et en fonction de la langue du test (français pour les Français et l’anglais pour le groupe Serbe/Macédonien). Les deux groupes ont répondu d’abord un questionnaire en ligne, censé mesurer 1) leur personnalité (niveau d’extraversion) 2) leur degré d’engagement sur les réseaux sociaux (actif vs passif) et 3) leur niveau de fluence et de pratique de la langue anglaise (auto-évaluation). La deuxième phase de l’évaluation (phase test) est ensuite présentée sous la forme de 45 images ou illustrations diverses, réparties en 3 sous-sections : La compréhension des images, l’utilisation et l’implication, ainsi que le ressenti personnel. Nous avons comparé les performances aux deux phases de l’étude afin de tester l’influence des 3 variables du questionnaire sur l’engagement et l’utilisation des réseaux sociaux des participants.
Les résultats révèlent une influence du niveau de langue et du degré d’extraversion qui semblent de bons indicateurs de l’utilisation et l’engagement des individus dans les réseaux sociaux pour les deux populations étudiées. Il s’est avéré également que le niveau auto-évalué d’anglais des participants (la langue utilisée pour présenter les images et les citations dans la phase test pour les deux populations) a eu des effets significatifs sur leurs performances dans les trois parties de la phase test (compréhension, utilisation et implication personnelle). Le fait d’avoir plus de confiance en soi concernant ses performances langagières en L2 a également influencé, non seulement la compréhension des images et citations présentées, mais aussi la perception et l’appréciation de ces mêmes contenus (souhait de les partager, ainsi qu’une implication personnelle forte envers les contenus présentés).
Mots clés : Réseaux sociaux, Utilisation des médias, Engagement, Langues (anglais, français, serbe), Personnalité (extraversion).