Papers by Mamouda Férikouop
FSJP/UD, Sep 17, 2010
RESUME
La présente étude met en évidence la manière dont un pays en développement comme le Ca... more RESUME
La présente étude met en évidence la manière dont un pays en développement comme le Cameroun met en œuvre les instruments juridiques internationaux relatifs à la lutte contre le terrorisme alors même que, sans forcément être à l’abri de ce fléau planétaire, il n’en est pas directement victime sous ses formes et ses manifestations contemporaines tant sur son territoire qu’à l’extérieur.
L’interrogation majeure qui structure cette analyse est celle de savoir si le Cameroun se conforme de manière satisfaisante à ses engagements internationaux en matière de lutte contre le terrorisme compte tenu de sa situation économique. Pour y répondre, l’on analyse au préalable l’action individuelle de coopération qui fait ressortir un net dynamisme du cadre normatif, opérationnel et institutionnel domestique. Ce dynamisme s’observe à travers la coexistence du générique et du spécifique, du direct et de l’indirect, du général et du particulier dans l’émergence du dispositif national de lutte antiterroriste. L’on analyse ensuite la diversité des formes de coopération, d’actions collectives et concertées de lutte antiterroriste dans lequel se meut le Cameroun tant sur le plan multilatéral que sur le plan bilatéral.
La réponse est qu’en dépit de la subsistance et de la prépondérance des mécanismes classiques d’application des instruments juridiques internationaux relatifs à la lutte antiterroriste, le Cameroun s’aligne progressivement sur les exigences internationales pertinentes. Le Cameroun ne fait donc pas partie des Etats ayant atteint un haut degré de conformité dans la lutte contre le terrorisme. On ne peut pas davantage le classer parmi les Etats réfractaires, encore moins parmi les Etats défaillants dans la lutte internationale contre le terrorisme. Il en est ainsi parce que la lutte efficace contre le terrorisme implique une amélioration progressive à la fois qualitative et quantitative des moyens matériels, humains et techniques indispensables. Ce qui suppose la mobilisation d’importants moyens budgétaires dont ne dispose pas nécessairement l’Etat au regard de sa situation économique vulnérable. Le Cameroun devra principalement trouver ces moyens par l’intensification de la coopération internationale contre ce fléau permanent afin de ne pas compromettre les priorités de développement.
Au final, la présente étude souligne les limites de l’approche purement répressive et sécuritaire dans la lutte contre le terrorisme. Elle postule en revanche la nécessaire prise en compte de l’approche sociologique qui envisage quant à elle la lutte contre les causes profondes du terrorisme notamment la pauvreté, la mauvaise gouvernance, le déficit démocratique, l’uniformisation culturelle ou l’ignorance de la diversité culturelle et le chaos social. En s’attaquant à ces problèmes qui entravent la croissance économique, l’Etat prendrait une option sérieuse pour une prévention efficace du terrorisme s’arrimant aux objectifs de développement et éviterait ainsi de planter l’arbre par les feuilles.
ABSTRACT
The present survey puts in evidence the manner of which a country in development as Cameroon puts in application the relative international legal instruments to the struggle against terrorism even if, without being necessarily safe from this global curse, he is not victim directly so much of it in its shapes and its contemporary demonstrations on its territory that outside.
The central questioning that structures this analysis is the one to know if Cameroon conforms itself in a satisfactory manner to its international engagements concerning struggle against terrorism considering its economic situation. To answer there, one analyzes the individual action of cooperation that makes take out again a clean dynamism of the domestic normative, operational and institutional setting beforehand. This dynamism observes itself through the coexistence of the generic and the specific, the direct and the indirect, the general and the individual in the emergence of the national device of antiterrorist struggle. One analyzes the diversity of the shapes of cooperation then, of collective and concerted actions of antiterrorist struggle in which move Cameroon so much on the multilateral plan that on the bilateral plan.
The answer is that in spite of the subsistence and the preponderance of the classic mechanisms of application of the relative international legal instruments to the antiterrorist struggle, Cameroon aligns progressively on the applicable international requirements. Cameroon doesn't make gone therefore of the States having reached a high degree of conformity in the struggle against terrorism. One is not able to more classify it among the recalcitrant States, even less among the faltering States in the international struggle against terrorism. It is some thus because the efficient struggle against terrorism implies a progressive improvement at a time qualitative and quantitative of the indispensable material, human and technical means. What supposes the mobilization of important budgetary means of which doesn't necessarily arrange the state to the look of its vulnerable economic situation. Cameroon should find these means mainly by the intensification of the international cooperation against this permanent curse in order to not to compromise the priorities of development.
To the final, the present survey underlines the limits of the merely repressive and securitary approach in the struggle against terrorism. It applies for on the other hand the necessary takes in account of the sociological approach that considers as for her fights it against the deep reasons of terrorism notably poverty, the bad governance, the democratic deficit, the cultural standardization or the ignorance of the cultural diversity and the social chaos. While tackling these problems that hinder the economic growth, the state would take a serious option for a prevention efficient of terrorism stowing itself to the objectives of development and would avoid to plant the tree by the leaves thus.
Le quotidien camerounais La Nouvelle Expression, Jul 2011
Cet article a été rédigé en réaction à un texte publié par le Dr Eric Mathias OWONA NGUINI intitu... more Cet article a été rédigé en réaction à un texte publié par le Dr Eric Mathias OWONA NGUINI intitulé "Le Professeur MOUANGUE KOBILA, le débat sur l’éligibilité du
président en fonction et le droit des professeurs comme ressource idéologique" paru dans le quotidien Germinal, n° 073 du 29 juin 2011, pp. 10-12. Le présent article montre comment contre la thèse fort argumentée de James MOUANGUE KOBILA en faveur de la validité juridique de la rééligibilité de l’actuel chef de l’Etat, M. OWONA NGUINI semble principalement s’appesantir sur deux des arguments avancés par le premier qu’il tente (mais alors) vainement
de réfuter :D’une part, la question de la non rétroactivité de la révision du 14 avril 2008 dont l’effet
serait d’après M. OWONA NGUINI, d’empêcher l’éligibilité de l’actuel chef de l’Etat ;
D’autre part, la question de l’interprétation psychologique dont il met en doute la
validité et la pertinence et qu’il persiste à confondre avec l’interprétation téléologique.L’on montre que les prises de position (très souvent
hasardeuses) de M. OWONO NGUINI ne sont nullement défendables, d’autant qu’elles ne
résistent pas à l’examen le plus rapide. Ainsi, avant de souligner les vaines tentatives de
réfutation des arguments du Professeur James MOUANGUE KOBILA (II), l’on a fait d’entrée
quelques constats malheureux sur la prose de notre contradicteur qui dissimulent mal une
stratégie de pourrissement de cet important débat (I).
Le nouveau management public introduit de nouvelles façons de considérer les organisations publiq... more Le nouveau management public introduit de nouvelles façons de considérer les organisations publiques. Toutefois, ces changements ne peuvent être pris comme allant de soi lorsque l'on s'intéresse aux bureaucraties professionnelles. L'objectif de cet article est de mieux comprendre les relations entre les professionnels et le management et plus spécifiquement en regard des concepts et des pratiques de responsabilisation.
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La présente étude met en évidence la manière dont un pays en développement comme le Cameroun met en œuvre les instruments juridiques internationaux relatifs à la lutte contre le terrorisme alors même que, sans forcément être à l’abri de ce fléau planétaire, il n’en est pas directement victime sous ses formes et ses manifestations contemporaines tant sur son territoire qu’à l’extérieur.
L’interrogation majeure qui structure cette analyse est celle de savoir si le Cameroun se conforme de manière satisfaisante à ses engagements internationaux en matière de lutte contre le terrorisme compte tenu de sa situation économique. Pour y répondre, l’on analyse au préalable l’action individuelle de coopération qui fait ressortir un net dynamisme du cadre normatif, opérationnel et institutionnel domestique. Ce dynamisme s’observe à travers la coexistence du générique et du spécifique, du direct et de l’indirect, du général et du particulier dans l’émergence du dispositif national de lutte antiterroriste. L’on analyse ensuite la diversité des formes de coopération, d’actions collectives et concertées de lutte antiterroriste dans lequel se meut le Cameroun tant sur le plan multilatéral que sur le plan bilatéral.
La réponse est qu’en dépit de la subsistance et de la prépondérance des mécanismes classiques d’application des instruments juridiques internationaux relatifs à la lutte antiterroriste, le Cameroun s’aligne progressivement sur les exigences internationales pertinentes. Le Cameroun ne fait donc pas partie des Etats ayant atteint un haut degré de conformité dans la lutte contre le terrorisme. On ne peut pas davantage le classer parmi les Etats réfractaires, encore moins parmi les Etats défaillants dans la lutte internationale contre le terrorisme. Il en est ainsi parce que la lutte efficace contre le terrorisme implique une amélioration progressive à la fois qualitative et quantitative des moyens matériels, humains et techniques indispensables. Ce qui suppose la mobilisation d’importants moyens budgétaires dont ne dispose pas nécessairement l’Etat au regard de sa situation économique vulnérable. Le Cameroun devra principalement trouver ces moyens par l’intensification de la coopération internationale contre ce fléau permanent afin de ne pas compromettre les priorités de développement.
Au final, la présente étude souligne les limites de l’approche purement répressive et sécuritaire dans la lutte contre le terrorisme. Elle postule en revanche la nécessaire prise en compte de l’approche sociologique qui envisage quant à elle la lutte contre les causes profondes du terrorisme notamment la pauvreté, la mauvaise gouvernance, le déficit démocratique, l’uniformisation culturelle ou l’ignorance de la diversité culturelle et le chaos social. En s’attaquant à ces problèmes qui entravent la croissance économique, l’Etat prendrait une option sérieuse pour une prévention efficace du terrorisme s’arrimant aux objectifs de développement et éviterait ainsi de planter l’arbre par les feuilles.
ABSTRACT
The present survey puts in evidence the manner of which a country in development as Cameroon puts in application the relative international legal instruments to the struggle against terrorism even if, without being necessarily safe from this global curse, he is not victim directly so much of it in its shapes and its contemporary demonstrations on its territory that outside.
The central questioning that structures this analysis is the one to know if Cameroon conforms itself in a satisfactory manner to its international engagements concerning struggle against terrorism considering its economic situation. To answer there, one analyzes the individual action of cooperation that makes take out again a clean dynamism of the domestic normative, operational and institutional setting beforehand. This dynamism observes itself through the coexistence of the generic and the specific, the direct and the indirect, the general and the individual in the emergence of the national device of antiterrorist struggle. One analyzes the diversity of the shapes of cooperation then, of collective and concerted actions of antiterrorist struggle in which move Cameroon so much on the multilateral plan that on the bilateral plan.
The answer is that in spite of the subsistence and the preponderance of the classic mechanisms of application of the relative international legal instruments to the antiterrorist struggle, Cameroon aligns progressively on the applicable international requirements. Cameroon doesn't make gone therefore of the States having reached a high degree of conformity in the struggle against terrorism. One is not able to more classify it among the recalcitrant States, even less among the faltering States in the international struggle against terrorism. It is some thus because the efficient struggle against terrorism implies a progressive improvement at a time qualitative and quantitative of the indispensable material, human and technical means. What supposes the mobilization of important budgetary means of which doesn't necessarily arrange the state to the look of its vulnerable economic situation. Cameroon should find these means mainly by the intensification of the international cooperation against this permanent curse in order to not to compromise the priorities of development.
To the final, the present survey underlines the limits of the merely repressive and securitary approach in the struggle against terrorism. It applies for on the other hand the necessary takes in account of the sociological approach that considers as for her fights it against the deep reasons of terrorism notably poverty, the bad governance, the democratic deficit, the cultural standardization or the ignorance of the cultural diversity and the social chaos. While tackling these problems that hinder the economic growth, the state would take a serious option for a prevention efficient of terrorism stowing itself to the objectives of development and would avoid to plant the tree by the leaves thus.
président en fonction et le droit des professeurs comme ressource idéologique" paru dans le quotidien Germinal, n° 073 du 29 juin 2011, pp. 10-12. Le présent article montre comment contre la thèse fort argumentée de James MOUANGUE KOBILA en faveur de la validité juridique de la rééligibilité de l’actuel chef de l’Etat, M. OWONA NGUINI semble principalement s’appesantir sur deux des arguments avancés par le premier qu’il tente (mais alors) vainement
de réfuter :D’une part, la question de la non rétroactivité de la révision du 14 avril 2008 dont l’effet
serait d’après M. OWONA NGUINI, d’empêcher l’éligibilité de l’actuel chef de l’Etat ;
D’autre part, la question de l’interprétation psychologique dont il met en doute la
validité et la pertinence et qu’il persiste à confondre avec l’interprétation téléologique.L’on montre que les prises de position (très souvent
hasardeuses) de M. OWONO NGUINI ne sont nullement défendables, d’autant qu’elles ne
résistent pas à l’examen le plus rapide. Ainsi, avant de souligner les vaines tentatives de
réfutation des arguments du Professeur James MOUANGUE KOBILA (II), l’on a fait d’entrée
quelques constats malheureux sur la prose de notre contradicteur qui dissimulent mal une
stratégie de pourrissement de cet important débat (I).
La présente étude met en évidence la manière dont un pays en développement comme le Cameroun met en œuvre les instruments juridiques internationaux relatifs à la lutte contre le terrorisme alors même que, sans forcément être à l’abri de ce fléau planétaire, il n’en est pas directement victime sous ses formes et ses manifestations contemporaines tant sur son territoire qu’à l’extérieur.
L’interrogation majeure qui structure cette analyse est celle de savoir si le Cameroun se conforme de manière satisfaisante à ses engagements internationaux en matière de lutte contre le terrorisme compte tenu de sa situation économique. Pour y répondre, l’on analyse au préalable l’action individuelle de coopération qui fait ressortir un net dynamisme du cadre normatif, opérationnel et institutionnel domestique. Ce dynamisme s’observe à travers la coexistence du générique et du spécifique, du direct et de l’indirect, du général et du particulier dans l’émergence du dispositif national de lutte antiterroriste. L’on analyse ensuite la diversité des formes de coopération, d’actions collectives et concertées de lutte antiterroriste dans lequel se meut le Cameroun tant sur le plan multilatéral que sur le plan bilatéral.
La réponse est qu’en dépit de la subsistance et de la prépondérance des mécanismes classiques d’application des instruments juridiques internationaux relatifs à la lutte antiterroriste, le Cameroun s’aligne progressivement sur les exigences internationales pertinentes. Le Cameroun ne fait donc pas partie des Etats ayant atteint un haut degré de conformité dans la lutte contre le terrorisme. On ne peut pas davantage le classer parmi les Etats réfractaires, encore moins parmi les Etats défaillants dans la lutte internationale contre le terrorisme. Il en est ainsi parce que la lutte efficace contre le terrorisme implique une amélioration progressive à la fois qualitative et quantitative des moyens matériels, humains et techniques indispensables. Ce qui suppose la mobilisation d’importants moyens budgétaires dont ne dispose pas nécessairement l’Etat au regard de sa situation économique vulnérable. Le Cameroun devra principalement trouver ces moyens par l’intensification de la coopération internationale contre ce fléau permanent afin de ne pas compromettre les priorités de développement.
Au final, la présente étude souligne les limites de l’approche purement répressive et sécuritaire dans la lutte contre le terrorisme. Elle postule en revanche la nécessaire prise en compte de l’approche sociologique qui envisage quant à elle la lutte contre les causes profondes du terrorisme notamment la pauvreté, la mauvaise gouvernance, le déficit démocratique, l’uniformisation culturelle ou l’ignorance de la diversité culturelle et le chaos social. En s’attaquant à ces problèmes qui entravent la croissance économique, l’Etat prendrait une option sérieuse pour une prévention efficace du terrorisme s’arrimant aux objectifs de développement et éviterait ainsi de planter l’arbre par les feuilles.
ABSTRACT
The present survey puts in evidence the manner of which a country in development as Cameroon puts in application the relative international legal instruments to the struggle against terrorism even if, without being necessarily safe from this global curse, he is not victim directly so much of it in its shapes and its contemporary demonstrations on its territory that outside.
The central questioning that structures this analysis is the one to know if Cameroon conforms itself in a satisfactory manner to its international engagements concerning struggle against terrorism considering its economic situation. To answer there, one analyzes the individual action of cooperation that makes take out again a clean dynamism of the domestic normative, operational and institutional setting beforehand. This dynamism observes itself through the coexistence of the generic and the specific, the direct and the indirect, the general and the individual in the emergence of the national device of antiterrorist struggle. One analyzes the diversity of the shapes of cooperation then, of collective and concerted actions of antiterrorist struggle in which move Cameroon so much on the multilateral plan that on the bilateral plan.
The answer is that in spite of the subsistence and the preponderance of the classic mechanisms of application of the relative international legal instruments to the antiterrorist struggle, Cameroon aligns progressively on the applicable international requirements. Cameroon doesn't make gone therefore of the States having reached a high degree of conformity in the struggle against terrorism. One is not able to more classify it among the recalcitrant States, even less among the faltering States in the international struggle against terrorism. It is some thus because the efficient struggle against terrorism implies a progressive improvement at a time qualitative and quantitative of the indispensable material, human and technical means. What supposes the mobilization of important budgetary means of which doesn't necessarily arrange the state to the look of its vulnerable economic situation. Cameroon should find these means mainly by the intensification of the international cooperation against this permanent curse in order to not to compromise the priorities of development.
To the final, the present survey underlines the limits of the merely repressive and securitary approach in the struggle against terrorism. It applies for on the other hand the necessary takes in account of the sociological approach that considers as for her fights it against the deep reasons of terrorism notably poverty, the bad governance, the democratic deficit, the cultural standardization or the ignorance of the cultural diversity and the social chaos. While tackling these problems that hinder the economic growth, the state would take a serious option for a prevention efficient of terrorism stowing itself to the objectives of development and would avoid to plant the tree by the leaves thus.
président en fonction et le droit des professeurs comme ressource idéologique" paru dans le quotidien Germinal, n° 073 du 29 juin 2011, pp. 10-12. Le présent article montre comment contre la thèse fort argumentée de James MOUANGUE KOBILA en faveur de la validité juridique de la rééligibilité de l’actuel chef de l’Etat, M. OWONA NGUINI semble principalement s’appesantir sur deux des arguments avancés par le premier qu’il tente (mais alors) vainement
de réfuter :D’une part, la question de la non rétroactivité de la révision du 14 avril 2008 dont l’effet
serait d’après M. OWONA NGUINI, d’empêcher l’éligibilité de l’actuel chef de l’Etat ;
D’autre part, la question de l’interprétation psychologique dont il met en doute la
validité et la pertinence et qu’il persiste à confondre avec l’interprétation téléologique.L’on montre que les prises de position (très souvent
hasardeuses) de M. OWONO NGUINI ne sont nullement défendables, d’autant qu’elles ne
résistent pas à l’examen le plus rapide. Ainsi, avant de souligner les vaines tentatives de
réfutation des arguments du Professeur James MOUANGUE KOBILA (II), l’on a fait d’entrée
quelques constats malheureux sur la prose de notre contradicteur qui dissimulent mal une
stratégie de pourrissement de cet important débat (I).