Videos by Gaetan Brulotte
Interview par Laurence Grenier. Réalisation: Guy Beaubien. Production: Paris Television Center.
... more Interview par Laurence Grenier. Réalisation: Guy Beaubien. Production: Paris Television Center.
L'auteur répond aux questions de L. Grenier sur son recueil de nouvelles que la critique a unanimement bien reçu. Voir www.gbrulotte.com, Onglet: Livres, puis Contagion du réel. 8 views
Papers by Gaetan Brulotte
Marguerite Yourcenar à la lettre / Marguerite Yourcenar, Lettres à ses amis et quelques autres, édition établie, annotée et présentée par Michèle Sarde et Joseph Brami, Paris, Gallimard, 1995, 717 pages. / Michèle Sarde, Vous, Marguerite Yourcenar. La passion et ses masques, Paris, Robert Laffont... Liberte, 1995
Sollers : Vers une esthétique existentiellePhilippe Sollers, La Fête à Venise, roman, Paris, Gallimard, 1991, 239 pages. Philippe Sollers, Théorie des exceptions, Folio/Essais, 1986, 310 pages. Philippe Sollers, Portrait du joueur, Folio, 1984, 345 pagesPhilippe Sollers, La Fête à Venise, roman, ... Liberte, 1991
Ateliers d'écriture littéraire, 2013
Liberte, 1990
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y ... more Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
University of Toronto Quarterly, Nov 1, 2022
Cet article cherche à cerner les représentations du corps dans l’œuvre de l’écrivain états-unien ... more Cet article cherche à cerner les représentations du corps dans l’œuvre de l’écrivain états-unien contemporain Paul Auster, à partir d’un échantillon de ses romans, et à voir ce que cette image du corps peut dire de la société dont l’auteur est issu. Les catégories d’analyse retenues sont celles que l’anthropologue français David Le Breton a élaborées dans ses ouvrages : 1) les techniques du corps qui sont le produit d’une somme d’apprentissages centrés sur des habiletés particulières, comme la marche, l’écriture, la sexualité, les sports, les arts et métiers ; 2) la gestuelle d’interaction qui concerne les mises en jeu du corps lors des rencontres avec les autres (comme dans l’échange verbal), lesquelles rencontres s’accompagnent de multiples signes corporels tels les mimiques, le rire, le regard, les gestes, les postures, la distance d’interaction, etc. ; 3) l’expression des émotions qui renvoie, dans une société donnée, aux façons d’exprimer l’ensemble des sentiments et des émotions, tels que la jalousie, la pudeur, la colère, car le corps soutient des messages émotionnels ; 4) la socialité infracorporelle qui englobe tout le domaine de la sensorialité ; 5) la socialité corporelle d’inconduite qui réfère à tous les gestes associés à l’« anormalité », comme ceux de la folie ou de la maladie.
Contemporary French and Francophone Studies, 2020
Gaetan Brulotte : Betty Rojtman, pour le benefice du public, pouvez-vous retracer votre parcours ... more Gaetan Brulotte : Betty Rojtman, pour le benefice du public, pouvez-vous retracer votre parcours litteraire ou philosophique ?Betty Rojtman : C’est bien un grand projet en peu de temps ! Je suis d’...
Aspects du roman au XXe siècle. Jean-Yves Tadié, Le Roman au XXe siècle, Paris, Belfond, 1990, 230 pages. Jean-Yves Tadié, Le Roman au XXe siècle, Paris, Belfond, 1990, 230 pages Liberte, 1991
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y ... more Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
University of Toronto Quarterly, 2009
... En guise de pierre posée sur le chemin de cette quête de la beauté, il donne en 2007 son Carn... more ... En guise de pierre posée sur le chemin de cette quête de la beauté, il donne en 2007 son Carnet d'un écrivain intitulé Île était une fois, qui est comme une sorte de prolongement du Château de sable ... Gaëtan Brulotte, Department of World Languages, University of South Florida. ...
University of Toronto Quarterly, 2006
University of Toronto Quarterly, 2010
University of Toronto Quarterly, 2011
University of Toronto Quarterly, 2008
Façon d’entrer dans la complexité d’une société par l’entremise d’un individu, la biographie est ... more Façon d’entrer dans la complexité d’une société par l’entremise d’un individu, la biographie est un genre incertain entre fiction et vérité, récit et narration, littérature et paralittérature. Dans Approches de la biographie, à travers neuf études par des universitaires et des praticiens, des points de vue complémentaires et fort intéressants émergent. Lucie Robert retrace une brève histoire du genre au Québec. Outre les formes brèves primitives que sont l’éloge (primauté aux vertus sur l’action) et le portrait, exercice de rhétorique répandu au XIX siècle, les premières biographies sont dans la lignée des «Vies » exemplaires de l’Antiquité et relèvent de l’hagiographie avec, notamment, celles de Marguerite d’Youville, Marguerite Bourgeois, Jeanne Mance, Jeanne Le Ber, qui servent à renforcer les assises du discours religieux dominant du Canada français d’alors. Le Québec d’antan connaı̂t quelques biographies littéraires, mais fort peu – l’écrivain étant le grand absent – et quelques biographies politiques du style « l’homme et son temps », qui montrent l’influence d’un être sur la vie de ses contemporains. La biographie moderne, elle, animée d’une plus grande conscience scientifique, intègre les recherches de l’historiographie et procède plus de l’événement auquel le « biographé » est lié, que de l’intérêt de sa vie ou de sa personnalité (« biographé » comme on l’appelle, mais je préférerais « biographié » pour ma part, sur le modèle d’ « autographié »). À cette forme s’oppose la biographie populaire qui renoue avec le genre des Vies en ce qu’elle privilégie le type sur l’existence singulière en racontant l’aventure des vedettes du sport, du spectacle ou du monde des affaires. Le dernier avatar est l’hypobiographie (Lyotard), c’est-à-dire une biographie hypothétique, forme hybride entre roman et biographie où le ludisme l’emporte souvent sur la vérité des faits. Les biographies romancées forment depuis une dizaine d’années une part importante des publications dans ce genre. sciences humaines 543
University of Toronto Quarterly, 2012
des dédicataires canadiens-anglais, dont le cas de Peter Dwyer dans Le salut de l’Irlande. Le « h... more des dédicataires canadiens-anglais, dont le cas de Peter Dwyer dans Le salut de l’Irlande. Le « hors Québec » de Ferron ne se limite pas aux espaces canadiens, mais est également ouvert aux autres continents. Il est ainsi question de l’interprétation que fait Ferron des discours de décolonisation du « Third World » et de leur influence sur le mouvement social et politique du Québec des années 1960 (Alexis Lachaı̂ne). Pour Ferron, le Québec n’entre pas entièrement dans ce mouvement de décolonisation, dans le discours qu’ont notamment proposé Frantz Fanon et Albert Memmi, parce qu’il ne s’agit pas d’un peuple colonisé, mais « demi-colonisé ». Cette condition de « demi-colonisé », explique le regretté Pierre L’Hérault, modifie le rapport à l’Europe (particulièrement avec la France, l’Angleterre et Rome), qui s’en trouve décentrée au profit d’un Québec qui s’impose comme centre. Enfin, Betty Bednarski parle de la Pologne imaginaire de Ferron, seul lieu outremer qu’il a visité. Finalement, certains articles présentent la perception que peut avoir le « hors Québec » de Jacques Ferron. Herménégilde Chiasson trace le « portrait virtuel » de Ferron en quinze esquisses, alors que Annette Hayward propose une lecture de la pièce Le Don Juan chrétien qu’elle a mise en scène, au début de sa carrière à l’Université Queen’s, sous forme de spectacle de marionnettes. En raison du succès de cette pièce sur le campus de l’université, raconte Hayward, les artisans du spectacle ont été invités à faire une autre représentation au pénitencier à sécurité maximum de Millhaven. Dans un cours article, Jane Koustas, qui interprétait le personnage de Jérôme, raconte son expérience lors de cette mise en scène de la pièce de Ferron. Le livre se termine par un article de Ray Ellenwood sur la présence du Parti Rhinocéros, dont Ferron a été l’un des fondateurs, à Toronto et sur le rôle que ce parti a joué dans le paysage politique à fin des années 1970 et au début des années 1980. Cet excellent ouvrage sur le « hors Québec » de Jacques Ferron est sans contredit un document important pour la lecture de l’œuvre de Ferron. Si l’ensemble des textes est solide et que la richesse des propos est indéniable, il est intéressant de souligner la qualité matérielle qui rend ce livre agréable à consulter : aux textes s’ajoutent effectivement un support visuel, des reproductions de la cartographie ferronienne, des extraits de sa correspondance et diverses photos. (JIMMY THIBEAULT)
University of Toronto Quarterly, 2004
Portraits de femmes fin de siècle / Isabelle de Courtivron, Clara Malraux : Une femme dans le siècle, Éditions de l'Olivier, 1992, 288 pages / Armand Hoog, La Fabulante, Actes Sud, 1992, 182 pages / Sylvie Weil, Les Reines du Luxembourg, Flammarion, 1991, 194 pages Liberte, 1993
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y ... more Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
University of Toronto Quarterly, Sep 1, 1999
Depuis les années 1980, la nouvelle a connu un épanouissement sans précédent dans l'histoire ... more Depuis les années 1980, la nouvelle a connu un épanouissement sans précédent dans l'histoire du Québec et s'est imposée sur la scène littéraire tant par ses recherches formelles que par les renouvellements thématiques qu'elle a proposés. Son évolution au fil des ans a de mieux en mieux coïncidé avec les grands problèmes de la société moderne : la solitude, la fatigue, la dépression, la marginalité sociale, l'absurdité du monde, la non-maîtrise du réel, la montée de l'obscurantisme, la crise du couple, le désir déçu, l'éclatement de la famille, la recherche d'une identité personnelle (plus que collective), les redéfinitions de l'amour et de la relation à autrui, la quête désespérée du bonheur ou d'un sens à la vie. Voilà autant de thèmes qui préoccupent les nouvelliers actuels (puisqu'il faudrait désormais les nommer ainsi) qui ne cessent de s'adapter aux valeurs changeantes du monde actuel pour les décrire ou les critiquer. Nombre de ces auteurs sont des écrivains chevronnés. Plus instruits que jamais (et ils aiment bien le montrer à l'occasion en citant leur culture littéraire et artistique), ils ont de plus en plus le souci des problèmes formels. La nouvelle est désormais au Québec un genre qui a acquis ses lettres de noblesse : les auteurs qui la pratiquent l'assument à fond et ne la considèrent plus comme un exercice d'apprentissage en marge du roman. Au Québec, elle est en passe de devenir un genre majeur. Il faudra cependant que les éditeurs s'adaptent à cette émergence et qu'ils apprennent à mieux comprendre la ferveur créatrice que les auteurs y mettent.
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L'auteur répond aux questions de L. Grenier sur son recueil de nouvelles que la critique a unanimement bien reçu. Voir www.gbrulotte.com, Onglet: Livres, puis Contagion du réel.
Papers by Gaetan Brulotte
L'auteur répond aux questions de L. Grenier sur son recueil de nouvelles que la critique a unanimement bien reçu. Voir www.gbrulotte.com, Onglet: Livres, puis Contagion du réel.
"This study shows an intellectual affinity between the Romanian critic and the Quebec writer who questions the relationship between living and writing in the contemporary world. The conviction that through literature man can "thwart his precariousness", the ironic distance, the sense of humor, the spirit of openness to renewal animate both of them. This affinity facilitates access to the intention of the writer recognized as "amphitryon". (…) Faithful to herself and the work that she comments upon, Margareta Gyurcsik also invites us to share what Brulotte calls 'the subtleties of language and spirit'. “ Elena GHITA