Papers by jean luc Bourbon
Comment s'aider de l'art pour la recherche historique? Décryptage de tableaux du 19e siècle repré... more Comment s'aider de l'art pour la recherche historique? Décryptage de tableaux du 19e siècle représentant le château de Meyras, dit de Ventadour
Indice C modifié 2024 10 04, 2024
Cet inventaire a été établi à partir de livres, articles de revues, cartes et photos se rapportan... more Cet inventaire a été établi à partir de livres, articles de revues, cartes et photos se rapportant à l'histoire du château de Meyras.
Version revue et actualisée de travaux commencés en 2009, corrigée avec de nouvelles informations... more Version revue et actualisée de travaux commencés en 2009, corrigée avec de nouvelles informations cet été 2022. Explication des chemins médiévaux autour du château, étude des ruines à l'aide de documents picturaux du 19e siècle, interrogations sur un souterrain à Ventadour, recherche de postes avancés.
Drafts by jean luc Bourbon
Le château de Meyras dit de Ventadour La recherche des origines Relecture du cartulaire de Saint-... more Le château de Meyras dit de Ventadour La recherche des origines Relecture du cartulaire de Saint-Chaffre autour du château de Meyras
Hypothèses bâti et datation chateau de meyras dit de Ventadour version 01/06/23
Jamais je n'aurai la prétention de détenir l'histoire de Ventadour. L'étude du bâti est une scien... more Jamais je n'aurai la prétention de détenir l'histoire de Ventadour. L'étude du bâti est une science difficile et inexacte, et qui a beaucoup évolué depuis les années 1980. Un nouvel indice, l'emploi des nouvelles technologies de datation, les fouilles minutieuses, peuvent faire basculer les idées reçues basées sur le style architectural. Certains ont une vision fugace d'une évolution, fruit de leur observation, d'autres creuseront toujours plus loin et détruiront les hypothèses précédentes avec une trouvaille, un souvenir, quelque chose qu'eux auront vu, auront lu, ou auront compris, et vous pas…. Je ne suis ni archéologue, ni historien. J'essaie de comprendre l'évolution du château, comment, et pourquoi. Cette vision que je vous livre n'engage que moi et mes séjours au château depuis 1974, mes réflexions, mes lectures dans les livres et sur le "Net". Certains sont mieux placés géographiquement que moi et pourraient étudier chaque jour sur place… Alors, qu'ils ne m'en veuillent pas, et s'ils réfutent mes idées, qu'ils prennent le temps d'exposer les leurs, ou… simplement d'en discuter avec moi. Je précise encore une fois que ces lignes qui vont suivre n'engagent que moi. Certaines de mes idées, de mes conclusions, sont ou seront partagées par le nombre, d'autres pourront provoquer la moquerie. Je justifierai ce qui va suivre avant tout par une étude raisonnée, "longue et mûrie", ajoutant à ma connaissance propre du bâtiment (pas toujours parfaite, je le reconnais) ma réflexion intime, mes lectures, et l'écoute des autres. Ce dernier point étant peut-être le plus important : l'échange est la clé de la connaissance… En l'attente d'analyses de mortiers, de fouilles là où on le peut encore, nous en serons tous, les uns et les autres, à émettre des hypothèses, car en l'absence de documents indiscutables, nul ne détient la vérité sur les débuts de Ventadour. Non… Personne! Cette longue réflexion est destinée à tous les anciens acteurs du chantier de Ventadour, dont je fais partie, dont le rêve est est de connaître l'évolution, l'histoire profonde du site… Ces lignes ont été écrites en pensant à mon épouse, que j'ai rencontrée il y bien longtemps maintenant au château de Ventadour. Il serait malvenu de ma part de ne pas citer et remercier Pierre-Yves Laffont et Franck Bréchon, historiens de l'Ardèche, qui par leurs écrits ont dessillé mes yeux. J'ai écrit aussi ce texte pour Diane Lortiois, Philippe Denis, Claude Haudebourg, Franco Iannucci, Damien Baderou, Philippe Champanhet, Evie Lanthelme, Clément Bonnefoi, bénévoles du chantier des années 70 aux années 2020, qui se sont eux aussi penchés sur l'étude du monument. Leurs relevés sur place, leurs écrits ou observations m'ont amené à revoir certains points que je n'avais pas envisagés. Il sera fait allusion à leurs travaux ou remarques dans ces pages. Bien que nous ne soyons pas toujours d'accord, reconnaissons-le, leurs avis sont pertinents et méritent toute mon attention. …Et bien entendu, il faut avoir une pensée pour les milliers de jeunes, dont j'ai fait partie, qui se relaient depuis 1969 à transpirer pour sortir le site de son oubli.
rectification avril 23
De nouvelles pièces ont été portées à ma connaissance, aussi il faut rectifier ce passage surlign... more De nouvelles pièces ont été portées à ma connaissance, aussi il faut rectifier ce passage surligné Ces modifications portent sur les informations de la page 9 Extrait de la page 9…
Ajout numéro 2 (rectifié), 2023
De nouvelles pièces ont été portées à ma connaissance, aussi il faut rectifier la date éventuelle... more De nouvelles pièces ont été portées à ma connaissance, aussi il faut rectifier la date éventuelle de la disparition du pont "originel" du Pourtalou. Ces modifications portent sur les informations de la page 40 Extrait de la page 40… Avec un pont de pierre à deux piles… Mon nouveau cahier des charges devient le suivant… Des départs de piles reculés vers la rive pour être en eaux "lentes" en cas de crue, une hauteur de l'arche à 4-5 m du niveau de la rivière en eaux basses, soit la cote 305, ce pour limiter la longueur et le coût de l'ouvrage. Les pieds des piles devront être à sec aux beaux jours pour permettre l'inspection et la maintenance de la maçonnerie. Surplombant le confluent, on y trouve le château sous l'appellation : Chau de Meyras. Remarquez le château de Hautségure sous le nom : La Ségure. Sur la carte sont représentés les ponts de la Taillade (ancien nom du pont du Réjus) sur le Lignon, et celui du Barutel sur l'Ardèche. Le pont du Barutel de 1667 n'est pas le pont qui est actuellement visible, il a été reconstruit récemment. Les ponts de Labeaume et du Rolandy n'y figurent bien sûr pas, puisqu'ils ont été achevés respectivement en 1737 et en 1762. N'y figure pas non plus la "planche" citée en 1714 qui précédait le pont de Labeaume. Cette "planche" sera donc bâtie entre 1667 et 1714. Mais le pont du Pourtalou non plus! Ce pont a donc été emporté par une crue entre 1626 (mention de Serge Dahoui dans son livre "Ventadour", 1973, imprimerie de Monserrat) et 1667 (plan du service historique de la Marine, Vincennes, recueil 5H, 12, carte 97). Ce ne peut plus être, au niveau des crues répertoriées, que celle du 3 septembre 1644.
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