Papers by DOMINIQUE BARJOT
Publications de l’Institut national d’histoire de l’art eBooks, 2012
Tallandier eBooks, Feb 27, 2020
Éditions de la Sorbonne eBooks, 2010
Troisième groupe européen du secteur des matériaux de construction, Lafarge demeure aujourd’hui e... more Troisième groupe européen du secteur des matériaux de construction, Lafarge demeure aujourd’hui encore le numéro 1 mondial du ciment, à peu près à égalité avec son grand rival suisse Holcim, et le numéro 3 mondial du plâtre, derrière Saint-Gobain et le groupe américain US Gypsum. Il le doit à une internationalisation précoce et à son affirmation comme firme mondiale. Au sein du chiffre d’affaires du groupe Lafarge, l’Amérique du Nord représente une part considérable : Tableau 1 – Répartition ..
Entreprises Et Histoire, 1999
Revue française d'histoire économique, Dec 26, 2022
Revue française d'histoire économique, Jul 1, 2021
Vingtieme Siecle-revue D Histoire, Apr 1, 1994
Barjot Dominique. Mioche Philippe, Jacques Ferry et la sidérurgie française depuis la seconde gue... more Barjot Dominique. Mioche Philippe, Jacques Ferry et la sidérurgie française depuis la seconde guerre mondiale. In: Vingtième Siècle, revue d'histoire, n°42, avril-juin 1994. pp. 144-145
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2017
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2017
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2017
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2018
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2017
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2021
French Historical Studies, Aug 1, 2022
PrécisLes années 1945 à 1973 ont été caractérisées, en France comme dans toute l'Europe occid... more PrécisLes années 1945 à 1973 ont été caractérisées, en France comme dans toute l'Europe occidentale, par une croissance économique exceptionnellement rapide, mais aussi par une intense américanisation. Celle-ci s'est traduite, notamment de 1958 à 1973, par un afflux massif de capitaux privés américains. Mesurer l'ampleur du phénomène suppose de croiser les approches macro- et micro-économiques. De la première, il ressort que les investissements directs américains bénéficièrent de facteurs favorables tant du côté de la demande que de celui de l'offre, d'où des résultats impressionnants. La seconde montre que les multinationales américaines s'intéressaient au marché français, mais que, confrontées à une forte opposition, elles ont dû adapter leurs stratégies, avec un inégal succès. Néanmoins ces investissements directs américains ont eu un effet plutôt positif sur la croissance française, qui explique en partie leur poids toujours important pour l’économie française d'aujourd'hui.The years 1945 to 1973 were characterized, in France as in all of Western Europe, both by exceptionally rapid economic growth and by intense Americanization. This resulted, particularly from 1958 to 1973, in a massive influx of American private capital. Measuring the extent of the phenomenon demands both macro- and microeconomic approaches. Macroeconomic analysis demonstrates that US direct investment benefited from favorable conditions on both the demand and supply sides that produced impressive results. Microeconomic analysis reveals that American multinationals were interested in the French market but that, faced with strong opposition, they adapted their strategies with uneven success. Nevertheless, these American direct investments had a generally positive effect on French growth, which partly explains why they remain significant in the French economy today.
Routledge eBooks, Jun 9, 2022
Presses universitaires de Provence eBooks, 2019
En 1981, le groupe Pechiney-Ugine-Kuhlmann, l’un de nos grands champions nationaux, est au bord d... more En 1981, le groupe Pechiney-Ugine-Kuhlmann, l’un de nos grands champions nationaux, est au bord de la faillite. La nationalisation revele vite ses limites. Les reves industriels s’effacent rapidement devant les realites de la concurrence internationale. Une grande restructuration s’impose afin de repartir sur de nouvelles bases. Elle est l’œuvre de Georges Besse (1927-1986), PDG, homme d’action et veritable sauveur de Pechiney, qu’il recentre sur l’aluminium. Mais un redressement durable s’avere difficile, malgre l’action de Jean Gandois (1930-), nouveau PDG, et l’acquisition d’American National Can (ANC) en 1988. En 1990-93, Pechiney replonge dans la crise, sans vraiment etre prete pour la privatisation realisee fin 1995.
Atelier national de reproduction des thèses eBooks, 2000
Fils de ses oeuvres, F. B. Arles-Dufour, commissaire en soieries, saint-simonien lyonnais - intim... more Fils de ses oeuvres, F. B. Arles-Dufour, commissaire en soieries, saint-simonien lyonnais - intime, puis executeur testamentaire du "Pere Enfantin" -, s'interessa tres tot aux questions economiques et sociales. Servir les interets de "la classe la plus nombreuse et la plus pauvre", tel etait son but. Aussi, ses initiatives furent-elles multiples et opiniâtres dans le domaine de l'instruction primaire et professionnelle (Societe d'Instruction primaire du Rhone, Martiniere, Ecole centrale lyonnaise, Societe d'Enseignement professionnel du Rhone). Anime du feu sacre des grandes choses, membre de la Chambre de commerce de Lyon durant 36 ans , il participa directement a de nombreuses entreprises industrielles et commerciales du XIXe siecle : banques (Banque de Lyon, Banque de France (Lyon), Credit Lyonnais, etc. ), chemins de fer (Paris a Lyon et a la Mediterranee), canal de Suez - avant Lesseps ! -, etc. Avec une perseverance infatigable, il se consacra tres tot a la liberte des echanges. Ami de diverses personnalites economiques et politiques britanniques (Bowring, Cobden, Bright), on le compte parmi les principaux promoteurs du traite de commerce avec l'Angleterre de 1860. Membre du jury de diverses expositions nationales et internationales, il fut notamment secretaire general de la Commission imperiale de l'Exposition universelle de Paris de 1855, presidee par le prince Napoleon. Familier du Palais-Royal et, sans doute, des Tuileries, "sans rien craindre ni attendre du pouvoir" comme il l'ecrivit a l'Empereur le 2 avril 1869, cet homme d'action et de bien, a la forte et originale personnalite, etait Commandeur de l'Ordre imperial de la Legion d'honneur.
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