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Valréas

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Valréas
Valréas
Panorama sur la ville et massif de la Lance.
Blason de Valréas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan
(siège)
Maire
Mandat
Patrick Adrien
2020-2026
Code postal 84600
Code commune 84138
Démographie
Gentilé Valréassiens
Population
municipale
9 346 hab. (2021 en évolution de −1,54 % par rapport à 2015)
Densité 161 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 06″ nord, 4° 59′ 28″ est
Altitude 276 m
Min. 180 m
Max. 530 m
Superficie 57,97 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Valréas
(ville isolée)
Aire d'attraction Valréas
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Valréas
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Valréas
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Valréas
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Valréas
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Valréas
Liens
Site web valreas.net

Valréas (prononcé : [valʁeas]) est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants, au nombre de 9 426 en 2018, sont appelés les Valréassiens.

Géographie

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Avec les trois autres communes du canton (Grillon, Richerenches et Visan), Valréas constitue une enclave du département de Vaucluse dans celui de la Drôme et de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. L'ensemble des quatre communes porte le nom d'enclave des papes.

Localisation

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Valréas est située à 15 km à l'ouest de Nyons, 34 km au nord-est d'Orange, 37 km au sud-est de Montélimar, 45 km au nord de Carpentras et 66 km au nord-est d'Avignon.

Accès et transports

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Depuis le 2 juillet 2024, une navette électrique parcourt les rues de Valréas pour faciliter l’accès à notre centre-ville pour les habitants des zones périphériques [2]

Gratuite, elle est en service du mardi au samedi, de 9h à 13h et de 15h à 18h.

Une ligne unique comprend 9 arrêts : Gare routière / 12 cours Charles de Gaulle / Parking Place de la mairie / Parking Hôpital / Jardin Pied Vaurias / Les Coustouyes / Avenue Meynard / chemin des Estimeurs Est (sortie piétonne lotissement Fanfinette le bas) / chemin des Estimeurs Est (sortie lotissement Le Jardin des clés) / Aire de Camping-car / 7 route de Nyons / Place Cardinal Maury (cinéma) / Retour Gare routière

La commune est accessible uniquement par voie routière. Les routes principales mènent à Nyons, Montélimar et Orange.

Valréas est desservie par le réseau d'autocars départemental qui dessert également de multiples communes alentour. Elle est aussi reliée à Montélimar par des bus du service TER de la SNCF, en correspondance avec les TGV. La ville fut pourtant desservie durant 60 ans, par une ligne de chemin de fer, la ligne de Pierrelatte à Nyons, fermée depuis 1951. Une ligne régulière de bus relie Montélimar, dans la Drôme à Valréas et Nyons avec trois à quatre aller-retours quotidiens (Bus départementaux, ligne X71, TER Auvergne-Rhône-Alpes par autocar).

Cars Region Auvergne-Rhône-Alpes

ZOU! Region SUD

L'aérodrome de Valréas - Visan est situé à 8 km au sud-ouest.

Commune située dans les Baronnies à une altitude moyenne de 245 mètres, la vieille ville est située sur une petite colline qui borde la Coronne. La majeure partie du territoire est occupée par une plaine alluvionnaire fertile, qui s'étend d'est en ouest, parsemée par quelques collines sédimentaires. Ces dernières s'élèvent généralement d'une cinquantaine de mètres au maximum au-dessus de la plaine environnante. On note un relief plus accidenté et boisé sur la partie sud, sud-est de la commune, aux alentours de la côte de Vinsobres avec une altitude maximale qui atteint les 532 mètres au lieu-dit Mourre de Broche.

Hydrographie et les eaux souterraines

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Le territoire fait partie du bassin versant du Lez, puisqu'un de ces affluents, la Coronne, traverse la commune[5].

On compte en plus quelques ruisseaux, parfois saisonniers, tous affluents de la Coronne : le ruisseau du Merdari, le Grand Vallat, au nord le Rieussec, au sud-ouest le Talobre et un lac (privé) au nord-est.

Cours d'eau sur la commune ou à son aval :

  • rivière le Lez,
  • rivière la Coronne,
  • ravins de Rialle, de Croupis, de la Coquette, de Saint-Pierre, de Pinet, de la Boissière, des Saffres, de la font du loup, de Barri, du Saule, du Verdon,
  • ruisseaux du Pègue, le Merdari, le Rieussec, le Grand Vallat, la Courbellière, le Talobre, l'Hérin, Petit Talobre,
  • la raille de Saint-Vincent,
  • Vallat des bruyères.

Les risques d'inondations sont présents dans certains quartiers (N.b : le Mistral) qui peuvent être exposés en cas de crues exceptionnelles.

La communauté de communes de l'Enclave des Papes a dans ses compétences la gestion de l'hydraulique, c'est-à-dire des ouvrages hydrauliques, cours d'eau, etc.

Communes limitrophes

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Carte de Valréas.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 822 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 3,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Taulignan », sur la commune de Taulignan à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 842,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −11,4 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Statistiques 1991-2020 et records TAULIGNAN (26) - alt. : 257 m, lat : 44°25'48"N, lon : 4°59'23"E
Records établis sur la période du 01-11-1993 au 06-01-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,9 2 4,5 6,9 10,6 14,2 16,4 16,3 13 9,9 5,5 2,6 8,7
Température moyenne (°C) 5,8 6,5 9,8 12,6 16,6 20,8 23,3 23 18,7 14,8 9,6 6,4 14
Température maximale moyenne (°C) 9,7 10,9 15 18,3 22,7 27,5 30,3 29,6 24,5 19,7 13,6 10,3 19,3
Record de froid (°C)
date du record
−6,9
26.01.00
−11,4
05.02.12
−9
02.03.05
−1,8
14.04.1998
2,4
01.05.17
7,3
15.06.08
8,9
11.07.07
7,7
30.08.1998
4,8
30.09.1995
−1
26.10.03
−5,3
27.11.10
−8,2
20.12.09
−11,4
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
21,7
10.01.15
23,6
23.02.20
26,9
18.03.1997
29,5
24.04.07
32,5
31.05.01
39,2
28.06.19
39,2
22.07.19
41,5
06.08.03
35,5
16.09.19
29,3
03.10.11
23
06.11.15
19,3
16.12.15
41,5
2003
Précipitations (mm) 67 46,1 47,8 75,6 74,2 46,3 47,2 62,6 96,9 103,4 115,9 59,4 842,4
Source : « Fiche 26348001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
9,7
1,9
67
 
 
 
10,9
2
46,1
 
 
 
15
4,5
47,8
 
 
 
18,3
6,9
75,6
 
 
 
22,7
10,6
74,2
 
 
 
27,5
14,2
46,3
 
 
 
30,3
16,4
47,2
 
 
 
29,6
16,3
62,6
 
 
 
24,5
13
96,9
 
 
 
19,7
9,9
103,4
 
 
 
13,6
5,5
115,9
 
 
 
10,3
2,6
59,4
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Valleriaz en 1110[13]; Valrias au XVIIIe siècle (Vauriàs en graphie occitane classique ou Vaurias en norme mistralienne ou provençal), francisé par la suite en Vaulréas ou Vauréas pour prendre son appellation actuelle au XIXe siècle.

Il s'agit d'une formation toponymique latine ou romane en -acium[13], suffixe latin qui a régulièrement abouti à la terminaison -as propre au midi. Il est précédé du nom de personne latin Valerius[13]. Une autre explication est possible selon une évolution phonétique complexe à partir du nom de personne Valerianus pris absolument, d'où un *Valerianos devenu *Val(e)ria(n)s, écrit Valréas[14].

Préhistoire et Antiquité

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Quelques fragments de sculpture et quelques tombes font penser qu'une activité humaine, peut-être gallo-romaine, aurait eu lieu. L'origine de Valréas remonterait au début de l'empire de Charlemagne vers le IXe siècle, ou un certain Valère dut installer son domaine sur les bords de la Coronne.

C'est la jonction de ce grand domaine, érigé sur la butte sur laquelle est construite la ville actuelle, avec un prieuré dédié à saint Vincent rattaché à l'abbaye de Cruas, qui donna naissance au premier bourg.

Au XIIIe siècle, les seigneurs de Ripert construisirent le château (Castrum Riperti) qui devint le fief des barons de Montauban-Mévouillon.

Le , mercredi de la semaine sainte, une petite chrétienne est trouvée morte à Valréas. Cela donne lieu à l'une des premières accusations de « crime rituel » contre les juifs[15]. Des Juifs de Valréas sont immédiatement arrêtés, torturés et brûlés sur le bûcher. Par la suite, d'autres Juifs de la région sont, eux aussi, persécutés et il faut l'intervention du pape Innocent IV pour arrêter cette flambée d'antijudaïsme[16]. En 1298, l'inquisiteur Guillaume de Saint-Marcel fait rédiger à Valréas des statuts principalement dirigés contre les prêteurs florentins, juifs et lombards et les vaudois[17],[18],[19].

En 1317, le pape Jean XXII achète Valréas à Humbert de Montauban et la place sous l’autorité des États du Saint-Siège. Benoît XII fonde la Judicature du Haut-Comtat en 1334 et y rattache Valréas. Les papes souhaitant étendre leurs possessions vers le nord, ils rachètent d'autres villes (Visan, Bouchet, Rousset) et échangent Grillon contre leurs possessions à Montélimar. Cependant, jusqu'en 1658, ces territoires formeront une enclave du Comtat dans le Dauphiné, l'enclave des papes.

Entre 1349 et 1351, le noble Guillaume Molleti, juge de Forcalquier (1344), fut juge et viguier de Valréas[20], juge criminel et des causes majeures du Comtat Venaissin de 1351 à 1358[21].

Renaissance et période classique

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En 1562, la ville est prise et pillée par le baron des Adrets et ses défenseurs sont massacrés[22]. Les troupes catholiques du comte de Suze vinrent à la rescousse de la ville. Les troubles religieux se poursuivirent pendant près d'un quart de siècle jusqu'en 1586 avec la pacification du duc d'Épernon.

À la Renaissance et au XVIIe siècle, de superbes hôtels particuliers ou remaniements d'édifices plus anciens ornent Valréas : hôtel d'Inguimbert, hôtel de Villeneuve (détruit), hôtel de Simiane...

En 1658, la communauté de Valréas, devant les innombrables tracasseries de la douane française, rachète au comte de Suze le passage de Barbaras (situé au sud-est de Bouchet, alors comprise dans l'enclave)[23]. Cependant, malgré les démarches auprès de la cour du roi et auprès de Rome, l'incorporation effective de ce passage dans le Comtat fut longtemps contrariée pour des raisons politiques[23], malgré la reconnaissance de l'achat par maitre Jacques André, notaire apostolique et royal[23].

Période moderne

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Possessions pontificales, Avignon et le Comtat Venaissin furent rattachés à la France le . Le , ces territoires formèrent deux nouveaux districts, Avignon dans les Bouches-du-Rhône et Carpentras dans la Drôme.

Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

En 1800, il y eut modification des limites départementales, Suze-la-Rousse étant rattachée à la Drôme, ce qui eut pour conséquence l'enclavement du canton vauclusien de Valréas, devenu dès lors l'Enclave des Papes.

Usine de cartonnage Henry Merson.
Cartonnage Ulysse Coste et Cie.

Vers 1840, Ferdinand Revoul crée le cartonnage à Valréas pour satisfaire la demande de Meynard, un sériciculteur valréassien.

Dieulefit et Valréas ne possédaient pas l'électricité en 1888. Pour faciliter l'artisanat et l'industrie locales (poterie et cartonnerie), ces deux villes décidèrent l'implantation d'une usine électrique. Ce fut le Lez, rivière coulant à cinq kilomètres de Dieulefit, qui fut choisi pour fournir la force hydraulique. En avril de cette année, la société Lombard-Gerin et Cie, de Lyon, fut chargée de l'éclairage des deux villes. Pour ce faire, elle acheta un ancien moulin à Béconne afin d'y implanter une usine. Par contrat, il était prévu 115 lampes d'éclairage à Dieulefit et 230 à Valréas. Ce qui fut fait le [24].

L'usine de Béconne avait utilisé l'infrastructure du moulin dont le canal de dérivation qui drainait l'eau dans un réservoir de 13 000 m3, créant ainsi une chute d'une hauteur de 25 mètres. Ce qui permit d'actionner deux turbines d'une puissance de 45 kW qui tournaient à 180 tr/min. Elles étaient reliées à une ligne électrique, l'une pour Dieulefit, l'autre pour Valréas[24].

En 1897, la ligne de chemin de fer Nyons-Pierrelatte atteint la ville et Valréas en profite pour développer son industrie et devient ainsi la capitale mondiale du cartonnage.

Période contemporaine

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Cave coopérative des vignerons de Valréas.
Le 5 avril 1916, la 5e section des élèves-officiers, composée d'artilleurs et de fantassins, posant devant Notre-Dame-de-Nazareth.

Durant la Première Guerre mondiale, au cours de l'année 1916, la ville reçut un centre d'instruction pour les élèves-officiers de différentes armes.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le , 53 résistants sont exécutés (Mur des fusillés)[25]. Leurs corps seront emmenés dans la chapelle des Pénitents blancs.

L'hôpital de Valréas a été un lieu de sauvetage de Juifs durant la Seconde Guerre mondiale[26].

La commune a été décorée, le 11 novembre 1948, de la Croix de guerre 1939-1945[27].

Héraldique

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Blason de Valréas

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

« D'azur aux deux clefs adossées d'argent, accompagnées en abîme d'un croissant du même. »[28]

Devise : salva re, claves regat deus (l'état étant sauf, que Dieu prenne les clefs)

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Maire en 1920 ? Marius Durand Rad. Négociant
Conseiller général du canton de Valréas (1919 → 1923)
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1953 1974 Jules Niel Rad. Conseiller général du canton de Valréas (1945 → 1974)
Président du conseil général de Vaucluse (1951 → 1970)
1974 mars 1989 Jean Duffard PS Conseiller général du canton de Valréas (1976 → 1988)
mars 1989 mars 2005 Thierry Mariani RPR puis UMP Député de la 4e circonscription de Vaucluse (1993 → 2010)
Conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (1992 → 1993 puis 2004 → 2015)
Conseiller général du canton de Valréas (1988 → 2001)
mars 2005 mars 2008 Nadège Savajols UMP  
mars 2008 mars 2014 Guy Morin DVD Huissier de justice
mars 2014 2026 Patrick Adrien LR Gérant de société retraité
Président de la CC Enclave des Papes-Pays de Grignan (2016 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Valréas est le chef-lieu du canton de Valréas et fait partie de la communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan.

Revenus de la population et fiscalité

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L'imposition des ménages et des entreprises à Valréas en 2009[29]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 9,87 % 0,00 % 7,55 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 20,78 % 0,00 % 10,20 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 45,20 % 0,00 % 28,96 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 21,68 % 13,00 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[30]).

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 21 999 , ce qui plaçait Valréas au 27 977e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[31].

En 2013, seulement 45,4 % des ménages sont imposables[32].

Budget et fiscalité 2016

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En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[33] :

  • total des produits de fonctionnement : 10 027 000 , soit 1 023  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 9 019 000 , soit 920  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 2 185 000 , soit 223  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 2 135 000 , soit 218  par habitant.
  • endettement : 7 654 000 , soit 781  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 11,08 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 23,34 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,74 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 16 757 [34].

Valréas est jumelée avec trois villes :

Le comité de jumelage de Valréas a la charge de gérer et animer ces trois jumelages.

Au , Valréas est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valréas[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[36],[37]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valréas, dont elle est la commune-centre[Note 3],[37]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[38],[39].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (62,5 %), forêts (16,1 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), zones urbanisées (7 %), terres arables (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 9 346 habitants[Note 4], en évolution de −1,54 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 6403 3273 6153 6354 3484 2774 5694 6904 713
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 8644 9014 7224 6754 7054 8084 8915 0325 429
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5 4085 5355 4164 8084 7374 8374 7655 1695 629
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6 5597 8868 4588 7219 0699 4259 7329 7719 545
2017 2021 - - - - - - -
9 4229 346-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Premier centre français de l'industrie du cartonnage, celle-ci a longtemps été la principale source d'emploi de Valréas et des communes alentour.

Apparu à Valréas dès les débuts de l'ère industrielle au XIXe siècle, le cartonnage n'a cessé de se développer au XXe siècle jusque dans les années 1990.

Au début du XIXe siècle, les magnaneries étaient nombreuses dans la région. Les magnaniers pratiquaient la sériciculture et éduquaient les vers à soie (Bombyx du mûrier) en provenance d'Asie. La famille Meynard et d'autres magnaniers se plaignirent de l'état détérioré dans lequel leur parvenaient les œufs du bombyx après ce long voyage. C'est alors que Ferdinand Revoul qui, selon la « légende locale », était un ami du sériciculteur Meynard, fabriqua une boîte en carton percée de petits trous et rigide, garantissant à la fois la ventilation et la protection de « la graine », c'est ainsi qu'on appelait les œufs de papillon. C'est la naissance de la boîte à courants d'air. Dès l'année 1840, sa légende est faite. Le nom de Meynard retentissait partout dans la région valréassienne et résonne encore aujourd'hui, placé au rang des grands inventeurs de Valréas.

La culture du mûrier et l'élevage du ver à soie existaient à Valréas depuis le XVIe siècle et c'est de cette conjoncture - mûrier, ver à soie et boîte à courants d'air - que naît le cartonnage[45].

Sur le déclin, cette activité reste présente sur la commune même si elle est moins active que par le passé.

[[Fédération française des stations vertes de vacances et des villages de neige|Station verte de vacances[Quoi ?]]].

Pour son hébergement touristique, la ville dispose d'hôtels, de gîtes, de chambres d'hôtes et d'un camping. La ville dispose également de nombreux restaurants de spécialités variées (provençale, italienne, vietnamienne...)

Agriculture

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La viticulture est la première activité agricole de la commune et de la région. De tradition viticole remontant au Moyen Âge, la commune est située au sein de plusieurs appellations d'origine contrôlée (A.O.C) : côtes-du-rhône, côtes-du-rhône villages et coteaux du Tricastin. La cave coopérative de la Gaillarde est la principale cave viticole de la commune, mais on compte pas moins d'une vingtaine de vignerons qui possèdent leur propre caveau. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément le label vin de pays de la Principauté d'Orange.

Autre activité agricole importante, la culture et la distillerie du lavandin qui représente pas moins de 500 hectares de cultures à l'échelle de l'enclave des Papes.

Le terroir riche et varié de la commune permet également la présence de multiples autres cultures : l'huile d'olive et l'olive noire de Nyons (AOC), l'élevage d'agneau, la production fromagère avec le Picodon (AOC), la culture du blé dur, la production fruitière (abricot, melon, cerise) et légumière (asperge).

Le grand marché de Valréas se tient tous les mercredis en matinée. Les 80 étals se trouvent dans la partie est du centre-ville et sur le sud boulevard circulaire. Ils proposent fruits et légumes, viande de boucherie, charcuterie, produits locaux et du terroir, vêtements, ustensiles divers, meubles, jouets, fleurs et plantes. Le nombre d'étals et les produits alimentaires varient en fonction des saisons[46].

Il est couplé avec le petit marché du samedi qui se tient aussi le matin. Il ne comprend que 10 étals installés sur le cours Jean Jaurès, au sud-ouest du tour de ville. Ce marché propose fruits, légumes, fleurs et plantes[47].

Le marché aux truffes qui a lieu le mercredi matin est le troisième du département de Vaucluse en termes de quantité, derrière les marchés de Richerenches, le plus important d'Europe, et celui de Carpentras, qui fixe les cours au niveau national. Du début novembre à la fin mars, les dix exposants qui proposent leurs truffes se retrouvent cours Jean-Jaurès, au rond-point du Monument-aux-Morts[48].

Culture et patrimoine

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L'on trouve en centre ville un cinéma[49] avec deux salles, un théâtre[50], un musée (musée du cartonnage et de l'imprimerie). Animations estivales (fêtes costumées de la Nuit du Petit Saint-Jean, corso de la Lavande, etc.).

Lors des journées du patrimoine, plusieurs monuments sont à visiter.

Patrimoine civil

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  • Hôtel de Simiane (XVIe siècle, Renaissance), actuel hôtel de ville. La partie du château construite sur la place Aristide-Briand a été construite à partir de 1639 pour Louis II de Simiane (mort en 1654)[51], seigneur de Truchenu, Sèderon, Chalançon, marquis d'Esparron en 1651, par le maître maçon de Cavaillon, Bernard Moureau, sur les plans de l'architecte avignonnais François de Royers de La Valfenière (1575-1667). Le décor d'une des salles célèbre son mariage avec Louise de Montaynard le .

Son petit-fils, Louis III de Simiane (mort le ), seigneur de Truchenu, Chalançon, marquis d'Esparron, dit le marquis de Simiane, qui avait épousé le Pauline de Grignan, petite-fille de la marquise de Sévigné, y naquit. Il a été lieutenant-général du gouvernement de Provence en 1715.

Patrimoine religieux

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Cette église comprend des orgues classés monuments historiques[61].
Le chemin de croix a été réalisé par le peintre Jean-Louis Ploix.

Enseignement

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Établissements d'enseignements[66] :

  • École Jules-Ferry
  • École Marcel-Pagnol
  • École Saint-Gabriel (privé)
  • École Calandreta (école en occitan - ouverture en septembre 2020)[67],[68]
  • Collège Vallis Aeria
  • Collège privé Saint-Gabriel
  • Lycée général privé Saint-Gabriel
  • Lycée professionnel européen Ferdinand-Revoul
  • Lycée agricole privé Saint-Dominique

Le territoire de la commune possède diverses installations sportives (gymnase du Vignarès, gymnase du groupe scolaire Marcel-Pagnol, stade et gymnase du lycée Revoul, Parc des sports - stade Albert-Adrien, stade de moto-ball des Plans, piscine et gymnase municipaux, boulodrome couvert, tennis, etc.) ainsi que des sentiers balisés de randonnée (dont le passage du chemin de grande randonnée (GR) 9 et le circuit des Bornes Papales).

Le a eu lieu le départ de la 14e étape du Tour de France 1998 reliant Valréas à Grenoble et Valréas est la ville départ de la 15e étape la reliant à Villard-de-Lans lors du Tour de France 2004.

Le , Valréas est ville étape de la sixième étape du Tour cycliste féminin international de l'Ardèche 2020.

La commune dispose d'un centre hospitalier, de pharmacies et de divers médecins.

Écologie et recyclage

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La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de l'Enclave des Papes.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. horaires de ligne X71/D36
  2. horaire de ligne de bus 45
  3. Horaire de ligne 36
  4. horaire ligne 3
  5. L'eau dans la commune
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Valréas et Taulignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Taulignan », sur la commune de Taulignan - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Taulignan », sur la commune de Taulignan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, rééd. Guénégaud, 1979, p. 698a
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Génève, 1990, p. 683, n° 11535 (lire en ligne sur Google Livres) [1]
  15. (en) « Blood accusation », sur Jewish Encyclopedia.
  16. Frédéric Chartrain, « La présence juive en Dauphiné au Moyen Âge », sur Centre pour la Communication Scientifique Directe (consulté le ).
  17. Jacques Chiffoleau, « Vie et mort de l’hérésie en Provence et dans la vallée du Rhône du début du XIIIe au début du XIVe siècle », Cahiers de Fanjeaux, vol. 20, no 1,‎ , p. 73–94 (lire en ligne, consulté le )
  18. Étienne Anheim, Philippe Bernardi, Maëlle Ramage et Valérie Theis, « La notion de libri statutorum: « tribut philologique » ou réalité documentaire? Les statuts communaux du Moyen Âge conservés pour l’actuel département de Vaucluse », Mélanges de l’École française de Rome - Moyen Âge, nos 126-2,‎ (ISSN 1123-9883, DOI 10.4000/mefrm.2133, lire en ligne, consulté le ).
  19. Arnaud Fossier, Le bureau des âmes : Écritures et pratiques administratives de la pénitencerie apostolique (XIIIe – XIVe siècle), Rome, Publications de l’École française de Rome, coll. « Bibliothèque des Écoles françaises d’Athènes et de Rome » (no 378), (ISBN 978-2-7283-1286-3 et 978-2-7283-1287-0, DOI 10.4000/books.efr.38420, lire en ligne).
  20. Faure, Étude sur l'administration, p. 193.
  21. ibid.p. 187.
  22. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne)., p. 233.
  23. a b et c Jean Pagnol, Valréas et "l'enclave des papes" tome 1, Aubenas, Lienhart, , 297 p..
  24. a et b Usine électrique Dieulefit-Valréas à Beconne 1888
  25. Les fusillés du 12 juin 1944
  26. « Hôpital-de-Valréas », sur ajpn.org (consulté le ).
  27. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
  28. Armorial des Communes de Vaucluse (Conseil Général du Vaucluse).
  29. « Impôts locaux à Valréas », taxes.com.
  30. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  31. « Revenus fiscaux localisés des ménages-Année 2010 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  32. « Comparateur de territoires−Commune de Valréas (84138) | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  33. Les comptes de la commune de 2010 à 2016
  34. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  35. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  36. « Unité urbaine 2020 de Valréas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  37. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Valréas ».
  38. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valréas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  39. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Nicolas L. (1987) : Les cartonnages de Valréas. Thèse sous la direction de C. Bromberger. Aix-Marseille.
  46. Grand marché de Valréas
  47. Petit marché de Valréas
  48. Marché aux truffes de Valréas
  49. Cinéma le Rex
  50. Théâtre du Rond Point
  51. Généalogie des Simiane - branche des Truchenu
  52. Donjon ou Tour Ripert (XIIe siècle)
  53. « Couvent de Cordeliers », notice no IA00127871, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. « Ancien couvent des Cordeliers », notice no PA00082193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « fortification d'agglomération : tour de Tivoli, porte du Marché, porte de la Recluse, porte du Berteuil, porte Saint-Antoine, porte Saint-Jean, porte du Portalet », notice no IA00127729, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. Lavoir et fontaine
  57. Monument aux morts : Conflits commémorés 1914-1918 ; Indochine (46-54) : AFN-Algérie (54-62)
  58. élevé vers 1446 par la famille Claret de Truchenu, ancêtres des Simiane
  59. « Église Notre-Dame-de-Nazareth », notice no PA00082194, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. Église Notre-Dame de Nazareth
  61. « Orgue », notice no PM84001160, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, « Buffet d'orgue », notice no PM84000724, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et « Partie instrumentale de l'orgue », notice no PM84000616, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  62. Le restaurant « Au Délice de Provence », implanté au cœur de l'enclave des papes à Valréas, a été aménagé dans l’ancienne synagogue du XVIe siècle
  63. Notice no PA00082193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. Couvent des Cordeliers
  65. Le musée du Cartonnage et de l'Imprimerie
  66. Établissements d'enseignements
  67. (oc) « Vauriàs: una nòva calandreta : Serà la 65a escòla associativa en occitan del país e la 3a de Provença », Jornalet, Barcelone, Associacion entara Difusion d'Occitània en Catalonha (ADÒC),‎ (ISSN 2385-4510, OCLC 1090728591, lire en ligne).
  68. Christine Noblot, « Une calandreta doit ouvrir à la rentrée scolaire », Le Dauphiné libéré,‎ (ISSN 0220-8261, lire en ligne).
  69. Doyenné de Vaison-la-Romaine - Valréas
  70. Temple de Valréas
  71. Temple protestant

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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