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Utilisateur:Ruyblas13/Brouillon/Georges Roux (historien)

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Modèle:Infobox historien

Cita bloc pour site Cherré, Jublains, Allonnes et autres

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  • ">Robert Turcan, « Livres offerts. », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 146e année, no 3,‎ , page 1040 (lire en ligne, consulté le )


Ainsi que le mettent en perspective Jean-Louis Bruneaux et Patrice Arcellin, pour cette époque et pour cette zone de la Gaule Chevelue :

« Aujourd'hui, l'Armorique et ses marges se caractérisent à la fois par la relative rareté des ensembles cultuels collectifs (ceux des Sept-Perthuis à Saint-Malo et de Tronoën à Saint-Jean-Trolimon, ou encore de Nalliers et Aubigné-Racan, étant pour l'heure exceptionnels) et, parallèlement, par la multiplicité des manifestations de rituels domestiques ou à échelle locale, privés ou publics, et de vestiges commémoratifs révélés au sein de contextes domestiques ou funéraires. »

— Jean-Louis Bruneaux, Patrice Arcellin et al., , Cultes et , p. 77.

Documentation, notes et cita bloc histoire de Candes

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Le « 13e apôtre », aurait laissé un legs, sous la forme d'une « patena metallochrystallino » (ou patène de serpentine) et gardée, pendant la période gallo-romaine, au cœur du vicus de la petite agglomération martinienne. L'objet sacré avait, pour vertue première, le pouvoir de guérison des « infirmes qui la demandaient avec foi. ». Par ailleurs, le Saint Patron Martinien, aurait également donner en héritage à l'église de Saint Martin, celle qu'il avait fondé à Candes, une patène, de couleur bleue, et qui possédait, selon Grégoire de Tours

« [...] la vertu agit sur ceux qui ont des frissons. »

— Grégoire de Tours, "De Vertitubis Sancti Martini.

,[3]

Infobox civilisation de Sumer =

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Étrusques, Etruci[a] et « Τυρρηνοί » ou Tyrrhēnoi[b]
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Brouillon/Georges Roux (historien)
Sarcophage des Époux[c]

Période Du VIIIe siècle av. J.-C. au Ier siècle av. J.-C. (âge du fer européen)[5]
Ethnie Lydiens ; villanoviens[d] ; phrygiens ; Tyrrhéniens ; et peuples de la mer
Langue(s) Étrusque
Religion Polythéiste, cosmogonite et « De divinatione »[7]
Villes principales Arezzo ; Bologne / Festina ; Capoue ; Chiusi ; Caere ; Cortone ; Fiesole ; Orvieto (« Volsinies ») ; « Pufluna »[e] Tarquinia ; Vetulonia ; Volterra ; Vulci[f]
Région d'origine Étrurie[11],[12],[13]
Région actuelle Essentiellement l'actuel territoire de la Toscane[14]; la totalité de la plaine du Pô ; côte orientale de la Corse ; et quelques comptoirs dans la partie orientale de la Sicile, sur la côte du Latium et en Campanie septentrionale, et également sur le pourtour bassin méditerranéen occidentale[g]
Rois/monarques Notamment les monarches appartenant à la dynasties des Tarquins[h] ; « Arruns » dit le Vieux[i] ; « Larth Porsnna » ; Tarchon et Tyrrhenus[j] ; Mézence

[k] ; « Vel Saties » ; « Thefarie Velanias »[l] ; Lars Tolumnius[m],[25] ; « Thybris »[26],[27],[n] ; la dynastie des « Cilnii »[o] ; la dynastie des Spurinna[p] ; et la dynastie des « Tolumnii »[q]

Frontière D'Ouest en Est et du Nord au Sud : ligures ; celtes d'Italie[r] ; vénètes ; rhètes ; sardes ; falisques ; latins ; ombriens ; sabins et picéniens (essentiellement la tribu des vestins)[37],[38],[39]

civilisation sumerienne

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Sumer
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Brouillon/Georges Roux (historien)
Vestiges du temple sumérien de Zibliya. Sanctuaire attribué à l'époque tardive (2 800 - 2300 av. J.-C.)

Période fin du IVe millénaire av. J.-C. et cours du IIIe millénaire av. J.-C.: la période d'Uruk finale (v. 3 400 - 3100 av. J.-C.) ;
la période des dynasties archaïques (v. 2 900 - 2340 av. J.-C.) ;
l'empire d'Akkad (v. 2 340 - 2190 av. J.-C.) ;
et la troisième dynastie d'Ur (v. 2 112 - 2004 av. J.-C.).
Ethnie Sumériens
Langue(s) Sumérien ; akkadien
Religion Hénothéisme
Villes principales Ur ; Nippur ; Eridu ; Lagash ; Uruk ; Girsu ; Shuruppak ; Adab ; Umma ; Zabalam
Région d'origine Sud de la Mésopotamie
Région actuelle Delta du Tigre et de l'Euphrate / Irak
Rois/monarques Gilgamesh ; Lugal-zagesi ; Enmebaragesi ; Sargon d'Akkad ; Enshakushana ; Naram-Sin d'Akkad ; Gudea ; Ur-Nammu ; Shulgi.
Frontière L'Akkadie, au Nord ; le golfe Persique au Sud ; l'Élam, à l'Est ; désert syro-arabe, à l'Ouest.

Objets et artéfacts mis au jour

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Biblio Saint-Martin de Tours

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Carrias Michel. Martin de Tours, seize siècles après sa mort. In: Revue d'histoire de l'Église de France, tome 83, n°211, 1997. pp. 435-443. DOI : 10.3406/rhef.1997.1290 [1]

    • Ewig Eugen. Le culte de saint Martin à l'époque franque. In: Revue d'histoire de l'Église de France, tome 47, n°144, 1961. pp. 1-18. DOI : 10.3406/rhef.1961.3264 [2]
    • Hervé Christèle. Les mots de l'urbain dans l'œuvre de Grégoire de Tours / Urban words found in the work by Gregory of Tours . In: Revue archéologique du Centre de la France, tome 42, 2003. pp. 217-225. DOI : 10.3406/racf.2003.2938 [3]

>,[40] et Sulpice Sévère mentionne ce lieu à plusieurs reprises[40]. >,[41]. [42]; à partir du second millénaire, ils poursuivent parfois leur voyage vers Saint-Jacques-de-Compostelle[Bas 1].

Le char d'apparat

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Il s'agit d'un char dit de parade de type hallstattien en bronze manufacturé par technique de laminage qui se présente sous forme de pièces détachées lors de sa découverte ; il est par la suite reconstitué et restauré au musée archéologique de Côme. Il est muni de quatre roues identiques, constituées de bronze, de chêne et de fer, dont une seule est retrouvée intacte, à contrario des 3 autres, découvertes dans état fragmentaire et qui ont fait l'objet d'une restauration. Le diamètre des roues mesure 96 cm. En outre, ces dernières possèdent chacune dix rayons boyautés en bronze. Par ailleurs, on constate que les roues du char sont cerclées de fer. Les analyses et études de Luigi Peronne et de son équipe ont déterminé que les roues s'en trouvaient renforcées et bien plus résistantes lors de leur usage[43],[44],[45],[46],[45],[47]. Les autres pièces du char sont également ouvragées en bronze laminé et par ailleurs ornementées (notamment les balustrades et la caisse du véhicule). En outre, ladite caisse du char possède une taille conséquente en regard des aux autres éléments[48],[44],[46],[46]. Cette dernière renferme une urne cinéraire, lors de sa découverte [48],[43],[45],[46]. Le véhicule de parade présente également une lame travaillée au moyen d'une technique dite au repoussé[N 1],[49],[50]. On estime que le char de la sépulture III/1928 de Ca'Morta, aurait été manufacturé dans un atelier de charronnier autochtone et par conséquent, localisé à proximité du lieu de la découverte[47],[49].

Fichier:Étrusques - Rome (1900)(14595660238).JPG
Urne cinéraire anthropomorphe avec boucles d'oreille en bronze. Artéfact étrusque attribué au milieu du VIIe siècle av. J.-C..

Le kylix est identifié comme étant d'origine attique[44] par le professeur Raffaelle Carlo De Marinis[51]. Il s'agit d'un calice en bronze décoré par incision au moyen d'une spatule de type dit à figures rouges[N 2]. Ce kylix semble être le seul et unique exemplaire attesté en contexte funéraire sur le territoire golaseccien. Sa composition, après analyse de fragment, se révèle être homogène. Non répertorié au cours des premières fouilles de 1928, celui-ci ayant été retrouvé seul en durant un autre chantier, il permet d'établir avec certitude une datation plus précise de la tombe et sa sépulture ; on assigne ainsi à la période de Golasecca III le mobilier archéologique funéraire[48],[44].

Casque de type Negau de la tombe de Ca'Morta - III/1928

Il s'agit d'un casque de type Negau[N 3],[52],[53]. Cet élément d'armure en bronze appartenant à la période Golasecca III, mis au jour dans la tombe à incinération — dite Tombe III/1928 de la nécropole de Ca'Morta — à Côme, en Lombardie. Cet artéfact archéologique est ouvragé en bronze à partir d'une technique de laminage par superposition de feuilles de tôle martelées. Le casque a une forme circulaire à sa base, tandis que son sommet présente un aspect conique[52],[53]. Le casque présente une hauteur totale d'environ 17 cm et sa partie inférieure, affecte un diamètre de 21,3 cm. Certaines feuilles de bronze recouvrant la partie médiane du couvre-chef ont été corrodées et il n'en demeure que des vestiges, voire résidus partiels[54],[53]. Il est exposé au Museo Civico Archeologico Paolo Giovio, de Côme. D'autre part, on met en évidence que la pièce d'armure retrouvée incorporée à la fosse de la sépulture III/1928 de Ca'Morta, est très probablement issue d'un atelier métallurgique de type étrusque. En l'expertise chronologique permet d'accréditer et d'assigner la datation de l'objet aux environs du milieu du VIIIe siècle av. J.-C.[52],[53].

L'urne funéraire

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Il s'agit d'un artéfact de type biconique, réalisé bronze laminé et muni d'un couvercle constitué d'un matériau identique. L'ouvrage métallique renferme les restes de la personne défunte, lesquels sont sous forme de cendres. En outre, celui-ci mesure 30 cm de circonférence sur son ouverture et présente deux ébréchures dans sa partie supérieure. L'urne elle-même est sise dans la caisse du char funéraire cultuel[48],[55],[56]. Le vase cinéraire présente un style et une morphologie propre à la culture de Golasecca type GIIB / GIIIA1. Cette période de la région environnante du Sud du lac de Côme[N 4] semble faire intégralement usage de rites funéraires par incinération de la personne défunte. Plus particulièrement le pôle Côme/nécropole de Ca'Morta acquiert dès le milieu du VIe siècle av. J.-C., une remarquable activité de production d'urnes dites biconiques[N 5] héritage artisanale de l'Étrurie[56],[55] ,[57].

D'autre part, le contenant cinéraire affecte des motifs ornementaux en hachures pratiqués au moyen d'une spatule par procédé d'incise à chaud du matériau métallique[56],[55],[58].

Les objets d'apparat

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La pendeloque

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Une pendeloque[N 6] affectant une richesse matériel et technologique conséquente a été extraite des couches sédimentaires de la fosse mortuaire. Les analyses des propriétés physiques et chimiques des matériaux constituant l'objet d'ornement, indiquent de manière univoque qu'il est ouvragé d'or et d'argent[59],[55],[56],[60]. L'artéfact d'apparat procède d'un style de type étrusques[56],[55] ; on objecte toutefois que sa mise-en-œuvre soit purement locale[55],[61]. Par ailleurs, ce dernier est pourvu d'un sceau, orné de motifs affectants des formes en circonvolution et de type étrusque[56],[59],[55]. Outre ce bijou remarquable, la sépulture a également délivré d'autres objets d'apparat, tels que des armilles[N 7] manufacturés en bronze laminé, ainsi que des boucles d'oreilles munies de perle[62],[63],[55],[56],[60].

Les bracelets et colliers

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En sus du pendentif, les différentes équipes d'archéologues ayant fouillés le caveau funéraire de Cà'Morta, ont mis au jour différents objets d'apparat. On a ainsi identifier de nombreux bracelets de cheville et de bras de type serpentiforme [N 8]. Les chercheurs ont également répertorié d'amples colliers manifestement ouvragés en bronze et procédant d'une riche conception artisanale et technique[62],[63].

Les autres objets de l'instrumentum funéraire

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La documentation archéologique du mobilier funéraire de la fosse golaseccienne a également fournit une abondante quantité d'objets d'importations étrusque, grecque, hallstatto-orientale et italique. Globalement, ces artéfacts archéologiques aspectent une opulence significative de part leur haute qualité d'ouvrage et de technicité artisanale, mais aussi en regard des matériaux ayant servi à leur mise-en-œuvre. Parmi ces offrandes mortuaires, on distingue ainsi une phiale étrusque ouvragée en or[64],[53] ; de nombreuses fibules en bronze arquées à pied large et spiralé de typologie archéologique appartenant à la culture hallstatto-orientale dite de Schnabelkanne (de) ; des œnochoés et diverses vaisselles d'importation gréco-archaïsantes[62],[65] ; un disque en bronze travaillé par une technique dite au repoussé, dont la partie extérieure est ornementée[48],[62],[63].

Par ailleurs, la tombe nord-italienne contenait un stamnos en bronze. Ce dernier, identifié comme étant d'origine étrusque thyrénien, aspecte des motifs dits à figures rouges et dont l'usage, compte-tenu du contexte chrono-culturel de la tombe de Ca'Morta, pourrait s'apparenter à celui d'une urne funéraire[66],[62],[63]. D'autre part, le caveau funéraire a produit une abondante vaissellerie. On a ainsi identifier divers morceaux/éléments de poteries en sculpture incisée[62],[63]. Les archéologues ont également répertorier une large situle en bronze munie d'un couvercle provenant d'un atelier golaseccien, à motif poinçonné —  on a mis au jour un couvercle identique à celui-ci au sein de la tombe de Trezzo sull'Adda et que l'on a attribué VIe siècle av. J.-C.. Cet élément suggère une mise-en-œuvre identique des deux artefacts. Ceci permettrait d'appréhender une origine manufacturière commune[67] datée de la période Golasecca 2b,[62],[63].

En outre, la fosse présentait de nombreuse occurrences de tessons de céramiques italiques issues de la Grande Grèce décorées de type figurations noires[48],[62],[63]. Enfin, les archéologues ont également identifié et répertorié un large bassin étrusque ouvragé en bronze laminé. La partie supérieure de celui-ci affecte une forme dite à rebord. Il a été déterminé que le récipient d'ablutions rituelles et le couvercle stamnoïde également découvert dans la tombe de Cà'Morta, constitueraient les deux parties d'un seul et même objet. De facto, les deux éléments procèdent d'un concept manufacturier identique. De surcroît, ces derniers manifestent de tailles et de formes permettant de les adapter l'un à l'autre[68],[62],[63].

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  43. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées museo
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  53. a b c d et e Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées lorrecicolani143
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  60. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées patricebrun81
  61. Lorre et Cicolani 2009, p. 48
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  63. a b c d e f g et h Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées lorrecicolani67
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