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Match de football FC Barcelone - Paris Saint-Germain (2017)

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FC Barcelone – Paris Saint-Germain
La « Remontada »
Image illustrative de l’article Match de football FC Barcelone - Paris Saint-Germain (2017)
Vue aérienne du Camp Nou, lieu ou s’est déroulé l’évènement
Contexte
Compétition Ligue des champions de l'UEFA
Date
Stade Camp Nou
Lieu Barcelone
Drapeau de l'Espagne Espagne
Affluence 96 290 spectateurs
Résultat
FC Barcelone 6 - 1 Paris Saint-Germain
Mi-temps 2 - 0 0
Acteurs majeurs
Buteur(s) FC Barcelone
But inscrit après 3 minutes 3e Suárez
But inscrit après 40 minutes 40e (csc) Kurzawa
But inscrit après 50 minutes 50e (pen.) Messi
But inscrit après 88 minutes 88e But inscrit après 90+1 minutes 90+1e (pen.) Neymar
But inscrit après 90+5 minutes 90+5e Roberto
Paris Saint-Germain
But inscrit après 62 minutes 62e Cavani
Cartons FC Barcelone
Averti après 23 minutes 23e Piqué
Averti après 36 minutes 36e Sergio Busquets
Averti après 61 minutes 61e Rakitić
Averti après 64 minutes 64e Neymar
Averti après 67 minutes 67e Luis Suárez
Paris Saint-Germain
Averti après 5 minutes 5e Matuidi
Averti après 14 minutes 14e Draxler
Averti après 42 minutes 42e Cavani
Averti après 90 minutes 90e Marquinhos
Averti après 90+4 minutes 90+4e Verratti
Arbitrage Deniz Aytekin

Le match FC Barcelone – Paris Saint-Germain du au Camp Nou de Barcelone, également connu sous le nom espagnol de « La Remuntada/Remontada » (La remontée)[1],[2], est un match retour des huitièmes de finale de la Ligue des champions de l'UEFA 2016-2017. Le FC Barcelone, battu 4-0 par le Paris Saint-Germain lors du match aller, sort vainqueur de ces huitièmes de finale en battant le Paris Saint-Germain 6-1 et 6-5 sur l’ensemble des deux matchs pour le FC Barcelone. L'événement constitue un véritable traumatisme pour les supporters du PSG et la remontée la plus importante de l'histoire de la Ligue des Champions[3],[4]. La rencontre est dirigée par l'arbitre allemand Deniz Aytekin, qui sera par la suite critiqué pour sa prestation.

Le match constitue la troisième rencontre entre le Paris Saint-Germain et Barcelone en matchs à élimination directe de la Ligue des champions, le PSG ayant perdu les deux précédentes confrontations lors de la saison 2012-2013 (du fait de la règle des buts à l'extérieur, malgré deux matchs nuls) et de la saison 2014-2015 (avec deux défaites de deux buts d'écart à l'aller comme au retour) en score cumulé.

Phase de groupes

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Les deux équipes se qualifient sans difficultés durant la phase de groupes. Le PSG se qualifie en deuxième position du groupe A après avoir affronté Arsenal, Bâle et avec une avance de 9 points sur le Ludogorets Razgrad, troisième du groupe.

Barcelone se qualifie comme leader du groupe C, loin devant le Borussia Mönchengladbach le Celtic, et même Manchester City, deuxième du groupe, de 6 points.

Match aller

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Le match aller a lieu le au Parc des Princes à Paris. Le PSG sort alors d'une victoire 3-0 à l'extérieur contre Bordeaux en Ligue 1 et Barcelone d'une victoire 6-0 contre le Deportivo Alavés en Liga[5],[6].

Ángel Di María donne l'avantage aux Parisiens après 18 minutes de jeu sur coup franc. Samuel Umtiti (Barcelone) commet une faute. Julian Draxler porte le score à 2–0 avec un tir bas à la 40e minute, assisté de Marco Verratti. Di Maria marque encore à la 55e minute, d'un tir en dehors de la surface de réparation. Edinson Cavani inscrit le dernier but du match à la 72e minute, assurant la victoire 4-0. Barcelone ne réussit qu'un seul tir sur le but pendant le match.

Déroulé du match

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Le Camp Nou avant le coup d'envoi.

Le match retour a lieu le au Camp Nou à Barcelone. Une fois encore, les deux équipes ont gagné leurs matchs de championnats juste avant : Barcelone 5–0 contre Celta de Vigo et le PSG 1–0 contre Nancy[7],[8].

Malgré la lourde défaite de l'équipe locale lors du match aller, 96 290 spectateurs assistent à la rencontre. L'Uruguayen Luis Suárez marque le premier but du match à la 3e minute avant que Thomas Meunier ne puisse dégager le ballon. À la 40e minute, Layvin Kurzawa (PSG) marque un but contre son camp en tentant de bloquer le tir d'Andrés Iniesta. Le troisième but est inscrit à la 50e minute sur un pénalty marqué par Lionel Messi après une faute sur Neymar par Thomas Meunier. Les espoirs de Barcelone sont quasiment réduits à néant avec le but d'Edinson Cavani pour le PSG à la 62e minute, les obligeant à marquer trois buts de plus en raison de la règle des buts extérieurs favorisant désormais le PSG. Neymar marque deux buts dans la phase finale : un coup franc à la 88e minute et un pénalty à la 91e atteignant un score de 5-1. Dans les dernières secondes du match, Neymar centre le ballon dans la surface de réparation et Sergi Roberto inscrit le sixième et dernier but de Barcelone à la 95e minute.

Barcelone remporte ainsi le match 6-1 et se qualifie pour les quarts de finale avec un score cumulé de 6-5. Le score est décrit comme « historique », « incroyable », « miraculeux » par les médias[3],[9],[10], la victoire du FC Barcelone est totale et le match rentre dans la légende.

Le débat sur l'arbitrage

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Lionel Messi et Rafinha.

D’après une partie de l’opinion, la rencontre aurait été marquée par les décisions de l'arbitre allemand Deniz Aytekin. Quelques jours après la rencontre, le PSG, par l’intermédiaire de son président Nasser Al Khelaifi, envoie un courrier à l'UEFA, pour se plaindre de décisions considérées par le club comme douteuses[11]. Parmi les erreurs supposées, certains médias citent :

  • Une main de Javier Mascherano dans la surface à la 11e minute.
  • Une faute de Gerard Piqué sur Edinson Cavani à la 43e minute.
  • Une intervention de l’arbitre de surface pour signaler un penalty après un plongeon de Thomas Meunier dans les pieds de Neymar.
  • Un croc-en-jambe subtil de Mascherano sur Di Maria dans la surface de réparation.
  • La chute de Luis Suarez dans la surface parisienne à la 91e minute après un contact avec Marquinhos.

En mai 2020, une fake news indique que l'UEFA a reconnu des fautes de la part de l'arbitre[12].

L'arbitrage de ce match fut critiqué par une partie de la presse internationale, et notamment par la majorité de la presse parisienne et quelques quotidiens sportifs. Après la rencontre, le PSG porte plainte[13] pour dix erreurs d'arbitrage auprès de l'UEFA, mais cette plainte reste sans suite. Deniz Aytekin est quand même écarté par l’UEFA des grandes affiches européennes, sa réputation ayant été entachée, obtenant seulement quelques matches de poule mineurs de la Ligue des Champions les deux saisons suivantes[13].

Feuille de match

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Huitième de finale retour FC Barcelone 6 - 1 Paris Saint-Germain FC Camp Nou, Barcelone

20:45 (UTC+2)
Suárez But inscrit après 3 minutes 3e
Kurzawa Inscrit contre son camp après 40 minutes 40e (csc)
Messi But inscrit après 50 minutes 50e (pen.)
Neymar But inscrit après 88 minutes 88e But inscrit après 90+1 minutes 90+1e (pen.)
Roberto But inscrit après 90+5 minutes 90+5e
(2 - 0) But inscrit après 62 minutes 62e Cavani Spectateurs : 96 290
Arbitrage : Deniz Aytekin
Rapport

FC Barcelone

Paris Saint-Germain
GK 01 Drapeau de l'Allemagne Marc-André ter Stegen
RB 12 Drapeau du Brésil Rafinha Remplacé après 76 minutes 76e
CB 14 Drapeau de l'Argentine Javier Mascherano
CB 03 Drapeau de l'Espagne Gerard Piqué Averti après 23 minutes 23e
LB 23 Drapeau de la France Samuel Umtiti
CM 05 Drapeau de l'Espagne Sergio Busquets Averti après 36 minutes 36e
RM 04 Drapeau de la Croatie Ivan Rakitić Averti après 61 minutes 61e Remplacé après 84 minutes 84e
LM 08 Drapeau de l'Espagne Andrés Iniesta (c) Remplacé après 65 minutes 65e
RF 10 Drapeau de l'Argentine Lionel Messi
CF 09 Drapeau de l'Uruguay Luis Suárez Averti après 67 minutes 67e
LF 11 Drapeau du Brésil Neymar Averti après 64 minutes 64e
Remplaçants :
GK 13 Drapeau des Pays-Bas Jasper Cillessen
DF 20 Drapeau de l'Espagne Sergi Roberto Entré après 76 minutes 76e 
DF 18 Drapeau de l'Espagne Jordi Alba
DF 19 Drapeau de la France Lucas Digne
MF 21 Drapeau du Portugal André Gomes Entré après 84 minutes 84e 
MF 07 Drapeau de la Turquie Arda Turan Entré après 65 minutes 65e 
FW 17 Drapeau de l'Espagne Paco Alcácer
Entraîneur :
Drapeau de l'Espagne Luis Enrique
GK 01 Drapeau de l'Allemagne Kevin Trapp
RB 12 Drapeau de la Belgique Thomas Meunier Remplacé après 90+3 minutes 90+3e
CB 05 Drapeau du Brésil Marquinhos Averti après 90 minutes 90e
CB 02 Drapeau du Brésil Thiago Silva (c)
LB 20 Drapeau de la France Layvin Kurzawa
RDM0 25 Drapeau de la France Adrien Rabiot
LDM 14 Drapeau de la France Blaise Matuidi Averti après 5 minutes 5e
RAM 07 Drapeau du Brésil Lucas Remplacé après 55 minutes 55e
CAM 06 Drapeau de l'Italie Marco Verratti Averti après 90+4 minutes 90+4e
LAM 23 Drapeau de l'Allemagne Julian Draxler Averti après 14 minutes 14e Remplacé après 75 minutes 75e
ST 09 Drapeau de l'Uruguay Edinson Cavani Averti après 42 minutes 42e
Remplaçants :
GK 16 Drapeau de la France Alphonse Areola
DF 03 Drapeau de la France Presnel Kimpembe
DF 19 Drapeau de la Côte d'Ivoire Serge Aurier Entré après 75 minutes 75e 
MF 04 Drapeau de la Pologne Grzegorz Krychowiak Entré après 90+3 minutes 90+3e 
MF 21 Drapeau de la France Hatem Ben Arfa
MF 10 Drapeau de l'Argentine Javier Pastore
MF 11 Drapeau de l'Argentine Ángel Di María Entré après 55 minutes 55e 
Entraîneur :
Drapeau de l'Espagne Unai Emery

Statistiques

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Statistiques globales[14]
Statistiques Barcelone Paris Saint-Germain
Buts inscrits 6 1
Nombre total de tirs 17 7
Tirs cadrés 7 3
Arrêts 2 2
Possession de balle 65% 35%
Corners 6 4
Fautes commises 16 25
Hors-jeux 3 5
Cartons jaunes 5 5
Cartons rouges 0 0

Conséquences

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Déjà employé en Espagne depuis les années 1950 dans le domaine du football, le terme espagnol Remontada (signifiant remontée) franchit les Pyrénées et s'inscrit durablement dans le vocabulaire sportif français, employé principalement par les médias spécialisés pour désigner ce match mais également toute possibilité future d'inverser une situation défavorable, y compris dans d'autres disciplines que le football. Au lendemain de cette rencontre, au milieu des éloges en faveur de Barcelone, de nombreuses critiques se sont fait jour sur l'incapacité du Paris Saint-Germain à faire face à la pression et à s'accrocher à l'avance globale acquise au match aller[15],[16].

Deux mois après le match, le Paris Saint-Germain termine deuxième du championnat de France derrière l'AS Monaco, au terme d'une saison manquée (aucune victoire à l'aller comme au retour contre ses concurrents directs au classement, Monaco et Nice contre lesquels le PSG concède le nul à domicile et deux défaites 3-1 à l'extérieur). Depuis le rachat du club par Qatar Sports Investments, c'est la deuxième fois que le PSG ne remporte pas la compétition (après Montpellier lors de la saison 2011-2012). Il remportera néanmoins les deux coupes nationales que sont la Coupe de la Ligue et la Coupe de France.

Stéphane Guy qui commentait le match pour Canal+ est victime de moqueries notamment sur les réseaux sociaux à la suite de sa déclaration : « En face, c'est pas Gijón, c'est pas Valladolid, c'est le Paris Saint Germain ». Le journaliste sportif citait ainsi deux équipes du championnat d'Espagne considérées comme moyennes que le Barça a pour habitude de vaincre facilement, et signifiait qu'avec son effectif plus étoffé, le PSG était déjà qualifié. Le dénouement de la double confrontation lui vaudra d'être régulièrement chambré sur la toile par les téléspectateurs et passionnés de football.

De son côté, le FC Barcelone a de nouveau subi une lourde défaite lors du match aller à l'extérieur, perdant cette fois 3-0 contre la Juventus Turin lors des quarts de finale[17]. Cependant, les Catalans ont été incapables de rééditer leur performance du tour précédent et s'arrêtent aux portes du dernier carré après un match nul 0-0 à domicile lors du match retour. Les coéquipiers de Lionel Messi terminent eux aussi deuxièmes de leur championnat. Tenant du titre en Ligue des Champions, le Real Madrid se succède à lui-même au palmarès de la plus prestigieuse compétition européenne interclubs, et remporte également le championnat d'Espagne. À l'intersaison, le joueur brésilien Neymar quitte le FC Barcelone pour rejoindre le Paris Saint-Germain. Il s'agit par ailleurs du transfert le plus cher de l'histoire à ce jour (222 millions d'euros).

Après la rencontre, des rumeurs ont circulé quant à une possible rétrogradation de l'arbitre allemand de la rencontre, Deniz Aytekin, de son statut par l'instance dirigeante en raison de certaines des décisions qu'il a prises pendant le match, en particulier l'attribution du deuxième pénalty de Barcelone[18]. Des analyses ultérieures ont suggéré que le Paris Saint-Germain aurait réussi à se qualifier en score cumulé si la VAR avait été utilisée[19]. Ce dernier n'a plus été retenu par l'UEFA pour arbitrer un match de phase finale de la Ligue des Champions au cours des éditions 2017-2018, 2018-2019 et 2019-2020 de la compétition[20].

Consciente du fiasco que constitue ce match, la direction du club parisien recrutera Neymar Jr. et Kylian Mbappe pour la somme de 402 millions d’euros lors du mercato estival.

Retrouvailles

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En huitièmes de finale de la Ligue des champions 2020-2021, Barcelone et le Paris Saint-Germain s'affronteront à nouveau, cette fois dans des circonstances différentes[21]. Un point de discussion majeur dans les médias a été la réunion de Neymar avec son ancien club. Mais ce dernier, blessé aux adducteurs[22], n'aura pas pu disputer ni le match aller, ni le match retour[23].

Malgré une situation financière et sportive délicate depuis de longs mois, Barcelone est considéré comme favori de la double confrontation, que ce soit à l'aller ou au retour. Toutefois lors de la première manche, au Camp Nou, le Paris Saint-Germain s’impose à la surprise générale 4 buts à 1 grâce à un triplé de Kylian Mbappé[24]. Mais le spectre d'un nouveau retournement de situation lors du match retour, le 10 mars au Parc des Princes, alimente les conversations au point d’impacter les joueurs et dirigeants parisiens[25]. La première mi-temps est quasiment à sens unique et les Parisiens ont du mal à se montrer dangereux. Finalement le Barça manque d’efficacité et ne parvient pas à concrétiser sa domination. Le match se solde par un match nul (1-1), qualifiant ainsi le Paris Saint-Germain pour les quarts de finale[26].

Les deux clubs se retrouvent également en quart de finale de l'édition 2023-2024. Le FC Barcelone remporte le match aller au Parc des Princes (3-2) et le PSG, légèrement favori avant la rencontre, se retrouve alors dans une situation délicate. Le match retour débute mal pour le PSG Menée 1-0 a la 12eme minute (4-2 score cumulé) Les Franciliens réussissent cependant l'exploit de renverser le scénario en marquant 4 buts et en s'imposant 6-4 au cumulé, gagnant sur le même score que 3 ans auparavant en Catalogne (4-1), alors que les coéquipiers de Kylian Mbappé (double buteur au retour, dont un penalty) ne s'étaient jamais qualifiés après avoir perdu le match aller à domicile en phase à élimination directe de la C1 sous l'ère qatarie. De plus, pour la première fois, un club français réussit à se qualifier pour le tour suivant en phase à élimination directe d'une compétition européenne, après avoir perdu le match aller à domicile. Le match retour n'a toutefois pas eu lieu au Camp Nou comme auparavant, mais au stade olympique Lluís-Companys (en raison des travaux de rénovation de l'enceinte barcelonaise).

Notes et références

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  1. (ca) « La remuntada », El País Catalunya, .
  2. (es) « La remontada ‘escuece’ en Madrid », Mundo Deportivo,
  3. a et b (en) « Barcelona 6 PSG 1: Miracle at the Nou Camp as Barca complete greatest ever European comeback », Daily Telegraph, (consulté le ).
  4. (en) « Europe's biggest second-leg comebacks », UEFA,‎ (lire en ligne).
  5. (en) « Bordeaux 0–3 Paris Saint-Germain », BBC Sport, .
  6. (en) « Alavés 0–6 Barcelona – Match Report & Highlights », Sky Sports, .
  7. « Barcelona 5–0 Celta Vigo », BBC Sport,
  8. « PSG v Nancy Match Report », Goal.com,
  9. « Champions League 2017: Barcelona routs Paris Saint-Germain 6–1 in astonishing comeback », sur CNN, (consulté le )
  10. « Barcelona shatter PSG as Sergi Roberto caps incredible 6–1 comeback win », sur The Guardian, (consulté le )
  11. RMC SPORT, « Le PSG s'est plaint de l'arbitrage auprès de l'UEFA après Barça-PSG », sur RMC SPORT (consulté le )
  12. RMC SPORT, « PSG: une fake news ressurgit sur l'arbitre de la remontada », sur RMC SPORT (consulté le ).
  13. a et b (es) « Desde el polémico Barça-PSG, la UEFA no confía en Aytekin », sur AS.com, (consulté le ).
  14. « Full Time Report - Round of 16 2nd leg - Wednesday 8 March 2017 - Camp Nou - Barcelona », sur UEFA.com, Union of European Football Associations, (consulté le )
  15. « Barcelona makes history with 6–1 comeback win over PSG », sur Al Jazeera, (consulté le )
  16. « PSG's blind panic vs Barca revealed by shocking passing stat », sur Goal, (consulté le )
  17. « Full Time Summary Quarter-finals 1st Leg – Juventus v Barcelona » [PDF], sur UEFA.org, Union of European Football Associations, (consulté le )
  18. « Barcelona v PSG referee facing UEFA demotion », sur Goal, (consulté le )
  19. « Le VAR aurait sauvé le PSG de la remontada du Barça en Ligue des champions en 2017 », sur L'Équipe (consulté le )
  20. « deniz aytekin/profil », sur transfermarkt.fr (consulté le )
  21. (en) « Barcelona to face Paris Saint-Germain in Champions League last 16 », sur Barca Blaugranes,
  22. (en) « Neymar and Barca never quite the same since 2017 split », Reuters,‎ (lire en ligne)
  23. « PSG : à peine remis de blessure, un autre problème se dessine pour Neymar », sur Onze Mondial, (consulté le )
  24. « Mbappe 'happy' at PSG after Barcelona hat trick », sur ESPN.com, (consulté le )
  25. « Diallo (PSG) « soûlé » par la remontada », sur beIN SPORTS France (consulté le )
  26. (en-GB) Paul Doyle, « PSG 1-1 Barcelona (agg: 5-2): Champions League – as it happened », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le )

Bibliographie

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  • Fabric De Cheverny, Remontada : Le Debrief, Amphora, , 140 p. (ISBN 978-2-7576-0367-3 et 2-7576-0367-1).
  • Damien Degorre et Arnaud Hermant, PSG la remontada n'aura plus lieu, Marabout, (ISBN 978-2-501-12500-0 et 2-501-12500-2).
  • Fabrice de Cheverny, La REMONTADA, la plus grosse escroquerie de l'histoire du football, Chailly-en-Gâtinais, Fabrice de Cheverny, , 96 p. (ISBN 978-2-9563421-0-6).