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Marcé

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Marcé
Marcé
Le bourg depuis la peupleraie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe
Maire
Mandat
Marc Soreau
2023-2026
Code postal 49140
Code commune 49188
Démographie
Gentilé Marcéen
Population
municipale
850 hab. (2021 en évolution de +0,83 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 34′ 51″ nord, 0° 19′ 30″ ouest
Altitude 33 m
Min. 32 m
Max. 97 m
Superficie 21,09 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Angers-6
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Marcé
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Marcé
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Marcé
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Marcé

Marcé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, à proximité de la ville de Seiches-sur-le-Loir.

Géographie

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Localisation

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Commune angevine du Baugeois, Marcé se situe à l'est de Seiches-sur-le-Loir, sur la route D 109, Cheviré le Rouge - Seiches sur le Loir[1].

Topographie, relief et géologie

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Son territoire se trouve sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[2].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 653 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1999 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records MARCE (49) - alt : 53 m 47° 33′ 42″ N, 0° 19′ 00″ O
Statistiques établies sur la période 1999-2010 - Records établis sur la période du 01-03-1999 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,9 2,1 3,7 5,7 9,3 12,4 13,7 13,5 10,7 8,7 4,7 1,7 7,4
Température moyenne (°C) 5 6 8,3 11,1 14,6 18,3 19,6 19,4 16,5 13 8,2 4,9 12,1
Température maximale moyenne (°C) 8 9,8 12,9 16,4 19,9 24,2 25,5 25,2 22,3 17,3 11,7 8,1 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−10,3
07.01.09
−13,8
12.02.12
−11,3
01.03.05
−4,8
06.04.21
−1,5
06.05.19
2,3
01.06.06
5,5
10.07.04
4,6
21.08.14
1,3
29.09.07
−3,2
26.10.10
−6,8
30.11.10
−9,5
17.12.09
−13,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
16,2
24.01.16
21,8
27.02.19
25
30.03.21
29
30.04.05
32
27.05.05
39,4
29.06.19
41,1
23.07.19
39,5
10.08.03
35,4
14.09.20
30,3
02.10.11
22
07.11.15
18,5
07.12.00
41,1
2019
Précipitations (mm) 64,5 48,4 58,4 53,7 53,2 36,4 65,4 47,3 49,2 79,7 72,4 74,6 703,2
Source : « Fiche 49188001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , Marcé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,8 %), prairies (22,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), forêts (12,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), zones urbanisées (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Parochia de Marce en 1142, Marceium en 1269[15],[16].

Préhistoire et Antiquité

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On signale comme cromlech celtique l’entassement d’une douzaine de grosses pierres près de la métairie de Rocherieux ; mais nul dolmen n’existe sur le territoire, malgré toute indication contraire. Existence inexpliquée d’antiques retranchements aux Blés et aux Fossés (remparts de terre, dénommés Fossés des Romains)[15].

Origine de Marcé

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Le fief paraît avoir fait partie au XVIIIe siècle et depuis de longues années du comté de Durtal. On voit résider sur la paroisse, dès les premières années du XVIIe siècle de nombreuses familles de potiers, celles des Taveau, des Roger, des Nouchet, des Chevaliers et des Godin.

L’église dédiée à saint Martin de Tours : la nef est lambrissée, le cœur seulement voûté en pierre (XIVe), avec deux chapelles de la Vierge et de saint Gilles (XVIe). Cette dernière est parée de ses croix de consécration. On y consacre les statues de saint Sébastien et de la Vierge, provenant de l’abbaye de Chaloché (situé derrière l’aéroport sur la commune de Chaumont), ainsi que les reliques de saint André, qui en furent apportées avec leur châsse d’argent, par arrêté du département du , malgré les réclamations des paroissiens de Chaumont d’Anjou. Il s’agissait surtout de s’approprier la foire importante qui s’y tenait à l’abbaye le jour de la fête.
Aucun titre trouvé sur l’origine de la construction de l’église, qui datent sans doute du XIIe siècle[15].

Le presbytère occupe l’ancienne cure, reconstruite en 1778-1779, vendue nationalement le 14 messidor an IV () et rachetée par la commune en 1819[15].

Le cimetière, au centre et dans la principale rue du bourg (actuelle place Barbel), à l’angle du chemin de la Chapelle-Saint-Laud, jusqu’en 1812, a été transféré sur un terrain acquis le [15].

Mairie et écoles

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Mairie avec école de garçons, dans la maison de la Suardière, acquise le . École de filles dans une maison acquise le [15].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
1801   Louis Lablée    
1811   Maurice Grout    
1815   François Grout    
1821   Louis-René Poterit    
1826   Dallière    
1830   Moysant    
1840   J.-P. Mauboussin    
1852   Charles Gaignard de la Ranloue    
1881   François Bretault    
1908   Louis Thuau    
1935   René Châtelain    
1945   Jean-Baptiste Chatelain    
1947   Henri Réthoré    
juin 1995 juin 2023 Patrice Daviau[18],[19] PCF  
juin 2023 En cours
(au 27 juin 2023)
Marc Soreau[20]    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes Anjou Loir et Sarthe, elle-même membre du syndicat mixte Pôle métropolitain Loire Angers.

Population et société

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Démographie

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Démographie avant la Révolution

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  • 217 feux, 980 habitants en 1720 (un feu = une famille) ;
  • 260 feux en 1788 ;
  • 1118 habitants en 1790 ;
  • 1094 habitants en 1831 ;
  • 1091 habitants en 1841 ;
  • 1067 habitants en 1851 ;
  • 1047 habitants en 1861 ;
  • 1019 habitants en 1866 ;
  • 937 habitants en 1872[15].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 850 habitants[Note 5], en évolution de +0,83 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0061 0591 0901 0311 0941 0791 0911 1001 067
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0261 0471 019937879876891896808
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
805814785702676701685679720
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
582547526593619637805853844
2018 2021 - - - - - - -
840850-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 417 hommes pour 423 femmes, soit un taux de 50,36 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,9 
4,3 
75-89 ans
4,0 
14,9 
60-74 ans
14,7 
23,5 
45-59 ans
22,7 
18,7 
30-44 ans
18,7 
16,8 
15-29 ans
17,3 
21,1 
0-14 ans
21,7 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Sur 72 établissements présents sur la commune à fin 2010, 31 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 46 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[27]. Trois en plus tard, en 2013, sur 53 établissements, 25 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 49 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[28].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monuments historiques

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Autres bâtiments

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  • Chapelle saint Léonard ;
  • Château et chapelle de Princé XVIe siècle ;
  • Château de la Souchardière XIXe siècle ;
  • Lavoirs XIXe siècle ;
  • Maison de maître, la Gautraie XVIe siècle ;
  • Vestiges du manoir de Singé XVe siècle ;
  • Presbytère XVIIIe siècle ;
  • Usine de chaux, le Fourneau (SC).

Autres lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 407-408.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 588-589.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. IGN et BRGM, Géoportail Marcé (49), consulté le 17 septembre 2012.
  2. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Fiche du Poste 49188001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Marcé »..
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c d e f et g Célestin Port 1876, p. 588-589 — Informations sur Marcé publiées entre 1874 et 1878 par Célestin Port (archiviste de Maine-et-Loire).
  16. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 103.
  17. Célestin Port 1978, p. 408, liste des maires jusqu'en 1977.
  18. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 19 avril 2014.
  19. « Marcé. Les conseillers ont élu le maire et les adjoints », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  20. « Marcé. Marc Soreau nouveau maire de la commune », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marcé (49188) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  27. Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49), consultées le 20 avril 2013.
  28. Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49188), consultées le 20 juillet 2016.
  29. « Eglise », notice no PA00109166, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.