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Jupille-sur-Meuse

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Jupille-sur-Meuse
Jupille-sur-Meuse
La brasserie Piedbœuf
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Liège Province de Liège
Arrondissement Liège
Commune Liège
Code postal 4020
Zone téléphonique 04
Démographie
Gentilé Jupillois(e)[1]
Population 10 741 hab. (01/01/2020)
Densité 1 855 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 38′ nord, 5° 37′ est
Superficie 579 ha = 5,79 km2
Localisation
Localisation de Jupille-sur-Meuse
Jupille-sur-Meuse au sein de la commune de Liège.
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Jupille-sur-Meuse
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Jupille-sur-Meuse

Jupille-sur-Meuse (en wallon liégeois Djoupèye), Jupille jusqu'en 1963, est une section de la ville belge de Liège située en Région wallonne dans la province de Liège.

C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.

Déjà cité comme villa romaine sur la Voie des Ardennes, c'est un des lieux possibles de la naissance de Charlemagne et de son père Pépin le Bref.

C'est dans cette localité que se trouve la brasserie Piedbœuf (groupe AB InBev), fabriquant la bière de marque Jupiler.

Étymologie

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  • Iovis villa > Iovilla > Iopilla > Iupilla > Jupilla > Jupille.
  • Petit (diminutif roman -illa) genévrier (celtique iuppo)[2]
  • Formé sur le nom d'une villa romaine implantée sur le site de Jupille : Iovis villa, villa dédiée à Jupiter.

Jupille pourrait donc signifier: "Petit genévrier", "Petit-Jupiter", ou, plus vraisemblablement : "Villa Jupiter" du prénom de l'empereur Domitien[réf. nécessaire] dont on a trouvé des pièces de monnaie sur place au cours de fouilles entreprises en 1872.

On trouve les traces de Jupille à travers les siècles sous différentes orthographes :

  • Iopiliensis (687)
  • Jopila (714)
  • Jobvilla (756)
  • Jopilla (868)
  • Iopilla (888)
  • Juppille (1504)

Démographie

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  • Sources : INS, Rem. : 1831 jusqu'en 1970 = recensements, 1976 = nombre d'habitants au 31 décembre.

Topographie

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Axe romain de la voie de Tongres à Aix-la-Chapelle jusqu'au gué de Herstal appelée actuellement chaussée Brunehault sur un tronçon
Carte des axes romains, carolingiens, de la Voie des Ardennes et de la voie des hèvurlins

Plusieurs éléments sont favorables à l'installation d'une population à Jupille.

La ligne droite romaine

Le gué de la Meuse

Devant Jupille, la vallée de la Meuse s'élargit fortement. Le débit se ralentit et les alluvions de la Meuse, grossie par l'Ourthe qui vient de la rejoindre, vont se déposer. Au fil des siècles, la vallée devient peu profonde, et à la fin du printemps jusqu'au début de l'automne, il devient possible de traverser facilement le fleuve[3].

Les relais carolingiens de Herstal et Jupille

Du mois d'octobre au mois de mai, il était impossible de passer le gué. Cette difficulté explique la nécessité d'avoir construit les deux palais carolingiens de part et d'autre de la Meuse. Si l'hypothèse de l'existence d'un pont romain n'est pas à rejeter (des pierres taillées ont été retrouvées dans les fondations des églises de Herstal et Jupille, les Carolingiens attendaient que le gué soit praticable pour rejoindre Aix-la-Chapelle ou partir en guerre en Neustrie.[réf. nécessaire].

Les difficultés du charroi

Les contreforts de la Meuse étant fort escarpés, le charroi, souvent lourd, ne permettait pas de grimper sans risquer de s'embourber ou de fatiguer l'attelage. Il fallait trouver d'autres itinéraires et aménager des voies carrossables. La vallée de Moulins-sous-Fléron présentait cette unique possibilité sur la rive est de la Meuse. L'autre rive présentait les mêmes caractéristiques. Quand le pont des Arches de Liège fut disponible au Moyen Âge, on continua à passer par cette vallée, la butte de Cornillon étant trop raide.[réf. nécessaire]

De Fléron, on prenait les crêtes jusqu'à Aix-la-Chapelle, ou la voie des Ardennes[4].

Les voies commerciales

Pendant près de dix siècles, la voie des Ardennes va suivre ce chemin pour bifurquer vers Stavelot après avoir traversé le seul gué existant de la Vesdre à Fraipont[5] pour rejoindre Trèves, avec quelques variantes sur le trajet, suivant les alliances[6]. Curieusement le passage à gué de la Meuse à Jupille existait encore au début du XXe siècle[réf. nécessaire].

Époque romaine

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La villa était sur un plateau dominant la Meuse au point de rencontre entre le fleuve et l'importante voie romaine Tongres - Trèves encore appelée Voie des Ardennes[7].

Le gué suivant était à Maastricht (Mosae trajectum, passage de la Meuse) sur l'axe Tongres - Aix-la-Chapelle - Cologne.

Les premières fouilles, en 1872[8] ont permis de retrouver les traces d'une villa gallo-romaine datant probablement du Ier et IIe siècle apr. J.-C. Les monnaies retrouvées sont de Domitien (81-96), d'Antonin le Pieux (138-161), Septime Sévère (193-211), et Maximin (235-238)[9]. Un fragment de mosaïque, un hypocauste, un calix, un vase planétaire à sept têtes représentant les divinités de chaque jour[10],[11],[12], originaire de Bavay et quelques poteries sont découverts lors de fouilles en 1872[8]. Ce vase est exposé et plusieurs objets sont conservés au musée Curtius de Liège.

Époque carolingienne

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Des documents datés du VIIIe siècle évoquent la présence d'une résidence des souverains carolingiens. Il faut préciser qu'à ce jour, si les traces romaines sont évidentes, on n'a toujours pas découvert d'indice probant d'une présence franque, mérovingienne ou carolingienne[8]. Un palais aurait existé à Jupille au VIIIe siècle, où Pépin II, dit de Herstal, séjourna et, selon certaines sources, mourut en 714. Charles Martel, son fils et successeur, y séjourna brièvement en 724[13]. Pépin III, dit le Bref, y séjourna également en 759 ou 760. Ce palais passait au XVe siècle pour avoir été le lieu, contesté par la suite, de la naissance de Charlemagne[14]. Le grand empereur est, en tout cas, entré dans la légende jupilloise et reste très présent dans le folklore local.

Le domaine primitif

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Le pagus jobvilla était un des pagus du Luihgau, Comté de Liège, il deviendra la Seigneurie de Jupille.

Le domaine du palatium couvrait Beaufays, Bellaire, Beyne-Heusay, Bressoux, Chaufontaine (une partie contestée), Chênée, Évegnée Fléron (village), Forêt, Gomzé-Andoumont, Grivegnée, Jupille, Magnée, Micheroux, Queue-du-Bois et Vaux-sous-Chèvremont.

Certaines de ces limites sont toujours des limites communales actuellement : le Ry du Cheneau, limite d'Olne et Forêt est déjà citée au VIe siècle[Où ?][15].

Haut Moyen Âge

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En 881, les Vikings détruisent les palatium de Jupille, de Herstal, de Fourons et de Meerssen, le portus de Visé, la civitas de Liège, le castrum de Maastricht et le palais impérial d'Aix-la-Chapelle. Chassés par leurs propres dévastations, ils abandonnent les lieux l'année suivante[16].

En 995, le duc Gislebert de Lotharingie se dit « seigneur de Jupille et d'Amercœur » et soutient les sièges de Chèvremont en 922 contre le roi de France Charles le Simple et en 935 contre Otton Ier du Saint-Empire.

Bas Moyen Âge

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Au bas Moyen Âge, le domaine des Pépinides fut donné par une charte de 1008 par Henri II du Saint-Empire au chapitre Notre-Dame de la cathédrale de Verdun, ville libre qui relevait directement du Saint-Empire romain germanique dès 1195.

En 1200, l'église de Verdun possédant beaucoup de biens et de rentes au pays de Liége, avait fait établir à Jupille une cour à laquelle ces biens et rentes ressortissaient. Les membres de cette cour étaient nommés par l'évêque de Verdun ; leurs fonctions étaient d'enregistrer tous les actes qui concernaient ces biens et rentes et de faire la recette des rentes et peut-être aussi celle des fermages. C'est cette cour qui est désignée par curia de Jupilia. Le duc de Limbourg était l'avoué des biens des rentes que l'église de Verdun possédait à Jupille[17].

En 1274, le doyen d'Aix donne aux Prémontrés la desserviture perpétuelle de l'église de Jupille[18].

Le chapitre Notre-Dame de Verdun vend son tréfonds au chapitre de Saint-Lambert de Liège le [19],[20]. Une autre source signale que Robert II de Médidan, évêque de Verdun engage déjà la seigneurie de Jupille en 1266[21].

En 1288, le chapitre de Saint-Lambert échange le domaine contre la terre d'Amay appartenant au prince-évêque de Liège Gui de Dampierre, Jean de Dampierre, son fils, lui ayant confié sa charge.

Ceci donne une des grandes possessions du prince-évêque de Liège: le bailliage d'Amercœur, ainsi appelé parce que la cour scabinale de Jupille a déplacé son siège situé au pont d'Amercœur.

La seigneurie de Jupille

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La brassine banale[22] de Jupille

Le , Henri Damery le charpentier demeurant à Jupille céda à Johan fils de feu Gilles Crahea de Jupille une maison, scaillie, étable et puits qu'on dit la brassine banale de Jupille, joignant vers Liège au ruisseau qu'on dit merchant et à Johan Collard, vers le chenal du moulin à une petite voie, derrière au wérixhas du moulin et devant au réal chemin, au prix d'un cens de 10 fl suivant le rendage du ; la garantie est apportée par Lambert Crahea cousin de Johan; Henri Damery retient la chambre et chaffeur au rez-de-chaussée vers le moulin ry la chambre et chaffeur au-dessus et le grenier dessus la chambre et une petite xhaiche d'héritage vers le chenal du moulin[23].

Henri Damery était peut-être apparenté à Simon Damery, cité le , commissaire de la cité de Liège, rentier (= receveur qui tient les comptes) du bon métier des brasseurs[24].

Cette brassine avait perdu sa banalité lorsque le : la maison et brassine ci-devant banale de Jupille était habitée par Jean Houleux de Jupille[25] alors cité avec ses deux filles.

L'engagère[26]

Le , Ferdinand, prince-évêque de Liège engagea les seigneuries de Jupille, Bellaire, et Queue-du-Bois à Guillaume Fayn. Il engage aussi Bois-De-Breux en 1620[27].

Épidémies

  • La peste s'étend en 1579.

Le bailliage d'Amercœur formé au XIIIe siècle, ne sera découpé en communes, dont celle de Jupille qu'au XIXe siècle[28].

Les industries

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Deux papeteries sont recensées dans la commune de Jupille en 1811 :

  • La 1re appartient à Léonard Doigné ; on y fabrique du papier à envelopper la chicorée ; elle est en activité durant toute l'année, excepté dans le temps des grandes eaux, de sécheresse ou de fortes gelées ; elle produit pour une valeur de 2 470 francs.
  • La 2e appartient à Théodore Thonnart et à sa mère ; on n'y fabrique que du papier destiné à emballer les épiceries et autres objets ; elle produit pour une valeur de 2 722 francs.

Les matières premières sont des chiffons grossiers, du savon, de la houille et de l'huile ; ces objets sont indigènes c'est-à-dire du département de l'Ourte.

Chacune emploie 3 ouvriers qui gagnent chacun 90 centimes par jour[29].

Chaudronnerie

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La société Piedbœuf a commencé par fabriquer, en 1812, du matériel de brasserie.

C’est en 1853, que Jean-Théodore Piedbœuf se lance dans le brassage. En 1921, la brasserie se lance dans la fermentation basse.

Jupille est desservie par la ligne de bus TEC 140, de Liège à Visé mais également les lignes 60 qui va de Bois-de-Breux à Liège, 67 qui va de Dalhem à Liège, 68 qui va de Soumagne à Liège et 69 qui va de Verviers à Liège.

La gare de Jupille en 1905.

Jupille disposait autrefois, rue des Anciennes Houblonnières, d'une gare sur la ligne 40, de Liège à Visé, lorsqu'elle était encore omnibus. La gare, ouverte le 24 novembre 1861, gérait un gros trafic de petits colis express et recevait des wagons de pommes en provenance des Pays-Bas, la matière première étant destinée à une distillerie locale[30],[31].

Plusieurs entreprises disposaient aussi d'un raccordement ferroviaire à la gare, telles que la Brasserie Piedbœuf, située de l'autre côté des voies, le charbonnage de la Violette de la Société anonyme des Charbonnages de Bonne Espérance, Batterie, Bonne-Fin et Violette, les chaudronneries dépendant de la brasserie, des laminoirs, des forges, une tôlerie et des scieries[30].

Elle est fermée au trafic voyageurs en 1956, lorsque le service omnibus de la ligne 40 est remplacé par des bus[32],[33]. Le bâtiment a depuis été démoli.

Personnalités

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Jupille est l'un des lieux les plus probables de la naissance de Charlemagne.

Architectes

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Industriels

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Artistes peintres

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  • Bertin Hoyoux (fl. 1637), artiste peintre né à Jupille[34]
  • Servais Houvelez (né à Jupille le et y décédé le ), artiste peintre et auteur wallon.

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Micheline Josse, Le domaine de Jupille des origines à 1297, Bruxelles, Pro Civitate, 1966, in-−8°.
  • Louis Bonfond et Mathieu Thonnart, Histoire de la commune de Jupille-sur-Meuse, berceau de Charlemagne, Imp. Massoz, Liège, 1938, in-−12°.

Notes et références

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  1. Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 53.
  2. Jean-Jacques Jespers, Dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles, éd. Racine, 2005, p. 353
  3. Un autre gué à Maastricht, en latin Trajectum ad Mosam, (gué de la Meuse), était encore moins praticable.[réf. nécessaire]
  4. On suivait les crêtes pour surveiller la progression de l'ennemi qui se signalait par les incendies perpétrés au cours des pillages. Sur les crêtes, l'eau ruisselant plus vite, les chemins boueux s'asséchaient plus rapidement[réf. nécessaire]
  5. Les moines de Stavelot signalent au XIe siècle un fractam pontem (pont en ruines)[réf. nécessaire]
  6. La voie des hêvurlins, les marchands de Herve vient s'y greffer en suivant une crête du ban d'Olne.
  7. Elle n'était pas au même endroit que le palais carolingien, situé près du donjon du XVe siècle
  8. a b et c Fouilles de Jupille, Place Gît-le-Coq, BIAL, tome IX, 469-496. 1872
  9. Cohen, III, p. 248[réf. incomplète]
  10. Demarteau, J. E., « Le vase planétaire de Jupille », dans : Ciel et Terre, Vol. 30, p. 373-381 sur le web: dans Astrophysics Data System (ADS)
  11. F. de Villenoisy, Le Vase gallo-belge de Jupille, Impr. de La Meuse (1894)
  12. Jean-Luc Schütz, 7000 ans d'Art et d'Histoire au Grand Curtius, 2009, Éditions Luc Pire
  13. H. Ebling, « M. WERNER: Der Lütticher Raum in frühkarolingischer Zeit. », Annalen des Historischen Vereins für den Niederrhein, vol. 184, no jg,‎ , p. 159–161 (ISSN 0341-289X et 2194-3818, DOI 10.7788/annalen-1981-jg15, lire en ligne, consulté le )
  14. Philippe Biermé et François-Xavier Nève, Chez Edgar P. Jacobs Dans l'intimité du père de Blake et Mortimer, 2004, [lire en ligne], p. 84
  15. Jean-Jacques Bolly, Charles Christians, Bruno Dumont, Étienne Hélin, Paul Joiris, René Leboutte et Jean et Madeleine Moutschen-Dahmen, Visages d'Olne : Son village, ses hameaux, Olne, Édition de la Commune d'Olne, , 288 p., D/2006/11.092/1
  16. Lejeune J., Liège, éd. Mercator, 1967, p. 28-30
  17. Cartulaire des Prémontrés, Fol. 64 v°, dans : Bulletin de l'Institut archéologique liégeois, vol. 9, p. 347-349
  18. Cartulaire des Prémontrés, BIAL, ibidem, p. 359
  19. Le fermage perpétuel se trouva transformé en vente et, moyennant 3.300 livres petit tournois, in Bulletin de la Société d'art et d'histoire du diocèse de Liège, volumes 1-15 p. 284
  20. Josse Micheline Le domaine de Jupille des origines à 1297, 1966
  21. C. Becdelièvre, Biographie liégeoise, t. 1, 1836
  22. Brasserie communale
  23. P. Guérin, Archives de l'État à Liège, Cour de Jupille: (1) 22-85, 97; (3) 97-83.
  24. René Van Santbergen, Les Bons Métiers des meuniers, des boulangers et des brasseurs de la cité de Liège, université de Liège, 1949, p. 214.
  25. CHF. Juin 2003 p.36 IID-1?)
  26. Céder ou donner en gagère ou engagère
  27. Guérin, la Seigneurie de Jupille, CHF, 1984
  28. Jespers J.J., Dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles, éd. Racine, 2005
  29. Guérin P., Archives de l'État à Liège : Fonds français : n° 661.
  30. a et b Alfred Jamin, « La gare de Jupille », sur Histoire locale de Jupille-sur-Meuse, (consulté le ).
  31. Wim Deridder, « 40 Y Val Benoit - Vise - Maastricht (NL) 40 », sur Chemins de fer belges (consulté le ).
  32. (nl) Paul Kevers, « Lijn 40 : (Liège) Y Val Benoît - Visé grens (Maastricht), Lijn 40A : Y Froidmont - Liège-Longdoz », sur Belgische spoorlijnen (consulté le ).
  33. Guy Demeulder, « La gare de Jupille », sur Les gares belges d'autrefois (consulté le ).
  34. (en) « Bertin Hoyoux », sur Economic and Artistic Competition in the Amsterdam Art Market, c. 1630-1690 ; History Painting in Rembrandt's Time, ECARTICO (consulté le )

Liens externes

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