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James de Coquet

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James de Coquet
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James de Coquet, né le à Bordeaux et mort le 1er mars 1988 à Neuilly-sur-Seine[1], est un critique dramatique et critique gastronomique français, ainsi qu'un chroniqueur parisien.

Il entre au journal Le Figaro en 1921, où devenu grand reporter, son métier l'oblige à fréquenter les restaurants des pays où il est envoyé. Au retour de ses voyages, il commence à écrire chaque semaine pour Le Figaro des « Propos de table » constitués de propos d'humeur et d'humour aux titres souvent amusants, tels que « Un dîner chez Godefroi de Bouillon », « Saucisson et fromage chez les Choufleuri »,« "Philosophie de la purée de fèves », « La bouillabaisse et son univers mystique », etc[2].

En 1924, il donne des articles pour l'hebdomadaire Illusions fondé par Pierre Lazareff, mais qui ne comptera que trois numéros[3].

En , il part sur le front de Finlande comme correspondant de guerre. Il est à nouveau correspondant de guerre en 1945[4].

Toujours sous le titre Propos de table, il assure dans les années 80 une rubrique gastronomique dans le Figaro-Magazine.

  • Correspondant de guerre au Figaro
  • Chroniqueur politique sur RTL
  • Chroniqueur gastronomique au Figaro
  • Membre du jury du prix Albert-Londres jusqu'en 1971, il le préside à partir de 1972.

Publications

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  • Le procès de Riom, Paris, librairie Arthème Fayard, 1945, 296 p.
  • Nous sommes les Occupants, Paris, librairie Arthème Fayard, 1945, 210 p.

Notes et références

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  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Télé 7 jours no 925, semaine du 18 au 24 février 1978, pages 98 et 99, article de Marius Leborg, intitulé "James de Coquet : - Un casse-croûte à l'ail a fait de moi un gourmet"
  3. Yves Courrière, Pierre Lazareff, biographies nrf Gallimard, 1995, p.57
  4. Camille Lestienne, « 1945 : Le Figaro découvre les camps de concentration nazis », sur Le Figaro,

Liens externes

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