François Peltier (écrivain)
Naissance |
Toulouse |
---|---|
Nationalité | Française |
Diplôme |
Maîtrise de philosophie |
Profession |
Langue d’écriture | Français |
---|---|
Genres |
Œuvres principales
- Au seuil de ma villa éternelle - Lettres à Sénèque
- Simon de Cyrène - Le porteur d'eau vive
- Je meurs de ne pas mourir - Mémoires de porcelaine
- Retour aux sources
- Le club Kierkegard
François Peltier, né à Toulouse (France) le , est un écrivain et conseiller en développement personnel du sud-ouest de la France.
Biographie
[modifier | modifier le code]François Peltier étudie à l'école Saint Jean-Baptiste de la Salle à Talence, au collège de la Sauque, et au lycée Ste Marie-Grand-Lebrun de Bordeaux[réf. nécessaire].
Il obtient son baccalauréat en 1981 puis rejoint une formation de philosophie à l'institut de philosophie comparée à Paris. Il obtient sa maîtrise de philosophie quatre ans plus tard, avec un mémoire sur le thème « Réflexions sur le gouvernement idéal ».
En 2016, il est certifié coach professionnel de l'école supérieure de coaching.
Carrière
[modifier | modifier le code]François Peltier exerce la profession de consultant formateur et coach en tant qu’associé d’Actas Consultants (entre 1994 et 2016) puis de TGS Consultants (à partir de 2018), tout particulièrement auprès du monde sportif, et entreprises développées en réseau. Il est membre du collège d’experts de la Fédération Française de la Franchise (FFF) depuis 1996 et est intervenant au CDES (centre de droit et d’économie du sport).
Préparateur mental de l'équipe de France de rugby
[modifier | modifier le code]De 2008 à 2011, François Peltier est choisi par Marc Lièvremont pour être le conseiller en développement personnel auprès de l’équipe de France de rugby. Marc Lièvremont lui donne pour mission « d’apprendre aux joueurs à mieux se connaître »[1]. Il est coach mental auprès de sportifs de haut niveau[2].
Il est cité comme faisant partie du « cerveau du XV de France » et les joueurs le désignent comme leur « têtologue »[3].
Le journal télévisé de TF1 le surnomme « le seizième homme du XV de France », et les journaux parlent de lui comme du « psy du XV de France »[4]. Durant cette période, l'équipe de France remporte le Grand Chelem dans le Tournoi des Six Nations 2010 devient vice-championne du monde en Nouvelle-Zélande en 2011.
Coach formateur conférencier
[modifier | modifier le code]Il intervient comme coach formateur conférencier dans le secteur de la franchise[5] et dans les grandes entreprises[6].
Œuvres
[modifier | modifier le code]- François Peltier, Au seuil de ma villa éternelle : Lettres à Sénèque, Martin Morin, , 148 p. (ISBN 978-2856522578)
- François Peltier, Je meurs de ne pas mourir- Mémoires de porcelaine, Edition du signe, , 215 p. (ISBN 978-2746806726)
- François Peltier, Retour aux sources, La Bruyère, , 97 p. (ISBN 978-2750001001)
- François Peltier, Simon de Cyrène : Le porteur d'eau vive, L'Harmattan, , 178 p. (ISBN 2343036144)[7]
- François Peltier, L'Être recommandé, Dualpha, , 198 p. (ISBN 978-2353740468)
- François Peltier, Le Club Kierkegaard, L'Harmattan, , 134 p. (ISBN 978-2343165622)[8]
- François Peltier, Derniers jours d'Alcibiade, L'Harmattan, , 104 p. (ISBN 9782140334245)[9]
Références
[modifier | modifier le code]- Baptiste Desprez, « Enfin la passe de trois ? », sur Le Figaro, (consulté le ).
- « Le XV cherche la passe de trois », sur lejdd.fr (consulté le ).
- Olivier Joly, « Dans le cerveau du XV de France » [archive], sur lejdd.fr (consulté le ).
- arnaud david, « Les Bleus vus de l’intérieur », sur SudOuest.fr, (consulté le ).
- Myriam Greuter, « Franchise: les personnalités recherchés », sur LEntreprise.com, (consulté le ).
- Raphaëlle Poissonnet, « Inspirer confiance à ses collaborateurs (Activer) », sur mon-ViTi (consulté le ).
- « Simon de Cyrène - François Peltier » (consulté le ).
- « Club Kildegaardt : le dernier livre de François Peltier », sur www.ecole-superieure-coaching.com (consulté le ).
- « Derniers jours d'Alcibiade, François Peltier - livre, ebook, epub - idée lecture », sur www.editions-harmattan.fr (consulté le ).