Discussion:Plessix-Balisson
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Texte de l'anecdote publiée :
- Plessix-Balisson, dans les Côtes-d’Armor, est la deuxième plus petite commune française en superficie, et constitue une enclave complète à l’intérieur de la commune de Ploubalay.
Y a du travail pour revoir tout ça ! La présentation actuelle est assez bordélique. Curry 30 mai 2003 ・17:12 (CEST)
AVANT-PROPOS
[modifier le code]- Ainsi que le prouvent les documents joints au dossier du concours « Village que j'aime », ce mémoire historique rédigé en 1967 par Maxime Le Poulichet pour la partie Historique et par l'abbé Corbel pour la partie Histoire de la Paroisse a été primé par un Jury régional (voir Diplôme)
- Les livres écrits par l'abbé Lemasson en 1912 et en 1926-27, retrouvés à la bibliothèque municipales de Rennes, ont constitué le point de départ de ces recherches
- Monsieur l'abbé Corbel, quant à lui, a pris comme source un cahier de l'abbé Lucas, ancien recteur, ainsi que les registres paroissiaux conservés au presbytère de Ploubalay. Une équipe de Balissonnais a été constituée et a apporté son soutien et sa participation active aux recherches : M. Le Daguenel maire du Plessix, M. Menier, M. Le Polodec, Claire Budet, M. Pestel, M. Le Coz, Jean-Luc Le Poulichet.
- Personne dans la commune, même pas à la mairie ne connaissait l'histoire du Plessix-Balisson, ni les armoiries du seigneur de ces lieux. Depuis, on a beaucoup plagié. Mais, seul un historien de formation pourrait approfondir ces premières recherches pour écrire un fresque historique plus exhaustive sur la commune, les Baluçons, leur château, la région. L'auteur a découvert par exemple, que le collège du Plessix, évoqué dans cette étude, s'appelait à partir de 1646 le « PLESSIX-SORBONNE » (A. Franklin - les anciennes bibliothèques de Paris 1 - p. 413 à 415.) Fondé en 1323 par Geoffroy de Baluçon, notaire apostolique secrétaire de Philippe V Le Long, il fut réuni au 17e siècle au collège de la Sorbonne, devint école Normale, puis annexe de Louis Le Grand, bâtiments démolis vers le milieu du 19° siècle (Voir Griveaud - Positions des Thèses de l'École de Chartes 1922, p 59 à 69) Grandeur et décadence ! Que pourrait faire la Sorbonne, en retour, pour redorer un peu le Plessix-Balisson ?
- Maxime Le Poulichet 13 10 1967
Introduction
[modifier le code]Le 11 septembre 1965, une émission consacrée au Plessix-Balisson à « Télé Bretagne actualité » présentait ainsi la petite cité dont nous allons parler. Prenons une carte... Côtes du Nord, région « Plancoët-Dinan-Dinard » très exactement entre Plancoët et Dinan, une toute petite commune : le Plessix-Balisson, oui, la plus petite des communes du Département, mais si charmante. (Code Postal 22650 PLOUBALAY) Le Plessix-Balisson a une histoire fort ancienne. Un seigneur nommé Geoffroy BALUÇON avait construit dans son fief du Plessix un château fort qui, au Moyen Âge, étendait sa protection sur tout le pays alentour. Ne demeurent qu'un puits profond et quelques pierres rongées de lierre et d'herbes folles... Des pierres précisément, certaines fort sculptées viennent du château, détruit au XVe siècle et ont été utilisées pour la construction des maisons... Les morts ne sont pas loin des vivants dans la lente continuité des années au rythme du village et puis, par ce qu'au Plessix rien n'est loin : un quart d'heure à peine suffit au promeneur pour faire le tour de la petite cité : 8 ha, 60 maisons, 169 habitants. Et le speaker de la télévision de conclure : N'aimerez-vous pas aussi dire : « Plessix-Balisson mon cher village » Oui, les Baluçon