Chamarande
Chamarande | |||||
Le château. | |||||
Logo | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Essonne | ||||
Arrondissement | Étampes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Entre Juine et Renarde | ||||
Maire Mandat |
Patrick de Luca 2020-2026 |
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Code postal | 91730 | ||||
Code commune | 91132 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chamarandais | ||||
Population municipale |
1 119 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 195 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 30′ 48″ nord, 2° 13′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 155 m |
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Superficie | 5,74 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Étréchy (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dourdan | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | chamarande.fr | ||||
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Chamarande[1] (prononcé [ ʃamaʁɑ̃d̪] Écouter) est une commune française située à quarante kilomètres au sud de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Chamarandais[2].
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Chamarande est située à quarante kilomètres au sud de Paris-Notre-Dame[3], bordée à l'ouest par la RN 20 et point zéro des routes de France, vingt-et-un kilomètres au sud-ouest d'Évry[4], dix kilomètres au nord-est d'Étampes[5], neuf kilomètres au sud-ouest d'Arpajon[6], dix kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais[7], quinze kilomètres au sud-est de Dourdan[8], quinze kilomètres au sud-ouest de Montlhéry[9], vingt-deux kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[10], vingt-deux kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[11], vingt-deux kilomètres au sud de Palaiseau[12].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la rivière la Juine.
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-deux mètres d'altitude et le point culminant à cent-cinquante-cinq mètres[13].
La commune est bordée au nord par la forêt départementale du Belvédère, tirant son nom d'un amas rocheux offrant une vue panoramique sur Chamarande ainsi que la voie ferrée du RER C.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 655 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontenay-lès-Briis à 12 km à vol d'oiseau[16], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 696,0 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune dispose sur son territoire de la gare de Chamarande desservie par la ligne C du RER d'Île-de-France. Chamarande est également desservie par la route nationale 20 en direction de Paris.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Chamarande est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Étréchy[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[21],[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[22]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune se compose en 2017 de 81,16 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 7,5 % d'espaces ouverts artificialisés et 11,34 % d'espaces construits artificialisés[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Butnae au XIe siècle, Bona au XIIIe siècle, Bonnes[26], Bounes, Bones[27] puis Chamaranté[28] en vertu de lettres patentes du 5 avril 1686[29].
Chamarande est un toponyme celtique formé de deux éléments gaulois : cam (chemin) et randa (limite) qui n'a pas eu d'autre descendance que toponymique ; il ne s'est pas transmis dans le vocabulaire commun, c'est donc un nom très ancien[30][réf. incomplète]
Le lieu s'appela un temps Bennes[31][réf. nécessaire].
Durant la Révolution française, elle fut appelée Bonne-Commune, son nom actuel lui fut attribué lors de sa création en 1793[32].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'actuelle Chamarande se situait à la jonction des territoires de trois grandes tribus gauloises : celui des Sénons à l'est, approximativement constitué par la vallée de l'Essonne, celui des Carnutes à l'ouest et au sud, et celui des Parisii au nord.
Chamarande conserve cette situation de frontière entre les trois évêchés de Sens, de Chartres et de Paris.
Le village s'appelait Bonnes. En 1684, la famille d'Ornaison, maître du fief de Chamarande en Forez à St-Germain-Lespinasse, acquit Bonnes, puis dès 1685 obtint du roi l'autorisation d'appeler le village Chamarande, érigé en comté. Les Talaru de Chalmazel en héritèrent par mariage (cf. l'article Chamarande) et en furent les comtes jusqu'à la Révolution.
Le village a toujours vécu en grande symbiose avec le château. Le duc de Persigny, ministre de l'Intérieur de Napoléon III, aussi né à St-Germain-Lespinasse et maître à son tour du domaine de Chamarande, contribua financièrement à l'édification d'une gare du Paris-Orléans, aujourd'hui station du RER C à Chamarande.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Politique locale
[modifier | modifier le code]La commune de Chamarande est rattachée au canton de Dourdan, représenté par les conseillers départementaux Dany Boyer (DVD) et Dominique Écharoux (UMP), à l'arrondissement d’Étampes et à la troisième circonscription de l'Essonne, représentée par le député Michel Pouzol (PS).
La commune de Chamarande est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 101 326. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[33].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Tendances et résultats politiques
[modifier | modifier le code]Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 83,70 % pour Jacques Chirac (RPR), 16,30 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 86,31 % de participation[35].
- Élection présidentielle de 2007 : 51,83 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 48,17 % pour Ségolène Royal (PS), 87,40 % de participation[36].
- Élection présidentielle de 2012 : 53,99 % pour François Hollande (PS), 46,01 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 81,93 % de participation[37].
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 51,32 % pour Geneviève Colot (UMP), 48,68 % pour Yves Tavernier (PS), 65,31 % de participation[38].
- Élections législatives de 2007 : 53,35 % pour Geneviève Colot (UMP), 46,65 % pour Brigitte Zins (PS), 59,06 % de participation[39].
- Élections législatives de 2012 : 55,43 % pour Michel Pouzol (PS), 44,57 % pour Geneviève Colot (UMP), 56,90 % de participation[40].
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 28,38 % pour Harlem Désir (PS), 17,84 % pour Patrick Gaubert (UMP), 51,77 % de participation[41].
- Élections européennes de 2009 : 27,57 % pour Michel Barnier (UMP), 21,89 % pour Daniel Cohn-Bendit (Les Verts), 48,92 % de participation[42].
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 51,47 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 36,15 % pour Jean-François Copé (UMP), 72,05 % de participation[43].
- Élections régionales de 2010 : 60,16 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 39,84 % pour Valérie Pécresse (UMP), 50,45 % de participation[44].
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2004 : 57,00 % pour Claire-Lise Campion (PS), 43,00 % pour Denis Meunier (DVD), 73,42 % de participation[45].
- Élections cantonales de 2011 : 66,67 % pour Claire-Lise Campion (PS), 33,33 % pour Christine Dubois (UMP), 42,73 % de participation[46].
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : 280 voix pour Marie-Hélène Jolivet-Béal (?), 275 voix pour Liliane Blot (?), 67,86 % de participation[47].
Référendums :
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 68,93 % pour le Oui, 31,07 % pour le Non, 33,84 % de participation[48].
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 53,27 % pour le Non, 46,73 % pour le Oui, 77,13 % de participation[49].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Chamarande a développé des associations de jumelage avec :
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].
En 2021, la commune comptait 1 119 habitants[Note 4], en évolution de −1,93 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,9 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 556 hommes pour 583 femmes, soit un taux de 51,19 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Le festival Essonne en Scène a lieu dans le parc du domaine de Chamarande, depuis sa création en 2018[56].
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les élèves de Chamarande sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose sur son territoire de l'école maternelle Bastard et de l'école élémentaire Gabriel-Bolifraud[57].
Lieux de culte
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Quentin[58]. La paroisse catholique de Chamarande est rattachée au secteur pastoral de la Vallée de la Juine-Étréchy et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes.
Le cimetière, réparti sur deux terrains contigus, est situé 13, Rue des Vignes Blanches[59], et abrite notamment les tombes du comédien Lucien Nat (1895-1972), du politicien Gabriel Bolifraud (1886-1952) et de son fils, le Compagnon de la Libération François Bolifraud (1917-1945)[60].
Médias
[modifier | modifier le code]L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
[modifier | modifier le code]Emplois, revenus et niveau de vie
[modifier | modifier le code]En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 40 033 €, ce qui plaçait Chamarande au 2 466e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[61].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
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Chamarande | - | - | - | - | - | - |
Zone d'emploi de Dourdan | 0,7 % | 6,0 % | 18,9 % | 28,5 % | 26,3 % | 19,6 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Chamarande | - | - | - | - | - | - |
Zone d'emploi de Dourdan | 1,7 % | 10,4 % | 7,5 % | 11,8 % | 21,6 % | 6,9 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee[62],[63],[64] |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le clocher de l'église Saint-Quentin des XIIe et XIIIe siècles a été inscrit aux monuments historiques le [65].
- Le château de Chamarande du XVIIe siècle a été inscrit aux monuments historiques le puis classé le [66]. Son parc a partiellement bénéficié des mêmes reconnaissances aux mêmes dates[67].
Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]Le domaine départemental de Chamarande est labellisé « Jardin remarquable »[68].
Les berges de la Juine, les bois du parc du château et ceux entourant la vallée ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[69].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Antoine Duchesne de Gillevoisin (1758-1840), homme politique, y vécut ;
- Jacques-Polycarpe Morgan (1759-1843), général des armées de la République et de l'Empire, né à Amiens et décédé dans la commune ;
- le duc Victor de Persigny (1808-1872), fut maire et propriétaire du château ;
- Laurent Amodru (1849-1930), médecin et homme politique, y vécut et en fut maire ;
- Jacques Sevin (1882-1951), prêtre jésuite fondateur du camp-école scout dans le parc du château ;
- Vera Barclay (1893-1989), chef scout, y séjourna ;
- Paul Coze (1903-1974), chef scout, y séjourna ;
- Arrigo Remondini (1923-1981), recordman du monde sur la marque de motos 125 cm3 Jonghi à l'autodrome de Linas-Montlhéry en 1948[70], y séjourna ;
- Pierre Joubert (1910-2002), dessinateur, y séjourna.
Logotype
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Chamarande », p. 343–347
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Château de Chamarande
- Église Saint-Quentin de Chamarande
- Cham (scoutisme)
- Gare de Chamarande
- Liste des communes de l'Essonne
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Étréchy comprend deux villes-centres (Étréchy et Lardy) et quatre communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Fiche de Chamarande dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 31/07/2012.
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 01/04/2009.
- Orthodromie entre Chamarande et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- Orthodromie entre Chamarande et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
- « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 21/02/2013.)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chamarande et Fontenay-lès-Briis », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontenay-les-B. » (commune de Fontenay-lès-Briis) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Étréchy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
- Il y avait là auparavant, une seigneurie du nom de Bonnes. Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- « Au 17e siècle donc, le domaine est acquis par un certain Clair-Gilbert d'Ornaison, originaire du Forez où il possédait un fief appelé Chamarande, le nom du fief forézien est désormais transféré à Bonnes, qui disparaît de la nomenclature. Il faut connaître de tels épisodes de l'histoire locale pour éviter des erreurs d'interprétation. » Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997.
- En vertu de lettres patentes du 5 avril 1686, Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997
- « Fiche de Chamarande sur le site du Quid. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Consulté le 09/02/2010.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiche entreprise de la commune de Chamarande sur le site verif.com Consulté le 12/04/2011.
- Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org Consulté le 26/05/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 07/05/2012.
- Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 21/06/2012.
- Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30/03/2010.
- Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/04/2011.
- Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/01/2013.
- Résultats du référendum 2000 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/07/2009.
- Présentation du jumelage avec Lentia sur le site du ministère français des affaires étrangères. Consulté le 07/01/2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chamarande (91132) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
- Site officiel d'Essonne en Scène
- Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 14/09/2010.
- Fiche de la paroisse catholique sur le site officiel du diocèse. Consulté le 20/10/2009.
- Cimetière de Chamarande
- Cimetières de France et d'ailleurs
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- %5CCOM%5CDL_COM91132.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. Consulté le 09/06/2010.
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- Notice no PA00087854, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 09/02/2010.
- Notice no PA00087855, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 09/02/2010.
- Notice no IA91000427, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 09/02/2010.
- Fiche du domaines de Chamarande sur le site du comité des parcs et jardins de France. Consulté le 19/11/2012.
- Carte des ENS de Chamarande sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 01/2018.
- « Moto Jonghi » (consulté le ).
- Commune dans l'Essonne
- Commune du parc naturel régional du Gâtinais français
- Commune dans le canton de Dourdan
- Commune de la communauté de communes Entre Juine et Renarde
- Commune ayant porté un nom révolutionnaire dans l'Essonne
- Unité urbaine d'Étréchy
- Aire d'attraction de Paris
- Commune dans l'ancien département de Seine-et-Oise