Aller au contenu

Cervières (Hautes-Alpes)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cervières
Cervières (Hautes-Alpes)
Vue d'ensemble entre l'église paroissiale Saint-Michel-et-Saint-Mammès et l'église Saint-Michel.
Blason de Cervières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Briançon
Intercommunalité Communauté de communes du Briançonnais
Maire
Mandat
Jean-Franck Vioujas
2020-2026
Code postal 05100
Code commune 05027
Démographie
Population
municipale
193 hab. (2021 en évolution de +5,46 % par rapport à 2015)
Densité 1,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 14″ nord, 6° 43′ 21″ est
Altitude Min. 1 375 m
Max. 3 321 m
Superficie 109,68 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Briançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Briançon-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cervières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cervières
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Alpes
Voir sur la carte topographique des Hautes-Alpes
Cervières
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Cervières
Liens
Site web https://cervieres.fr

Cervières (en provençal alpin Cervèira [saʁˈvɛjro]) est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Cervières est située à 9 km de Briançon sur la route des Grandes Alpes au pied du col d'Izoard (2 364 m) et en dessous de la plaine d'altitude du Bourget.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Le village est situé à 1 620 m d'altitude, au pied de hautes montagnes marquant la limite entre le Briançonnais et le Queyras (pic de Rochebrune, 3 323 m). Plusieurs curiosités sont situées sur le territoire de la commune :

  • la plaine du Bourget, dans la haute vallée de la Cerveyrette, constitue un exemple rare de marécage d'altitude (à environ 1 900 m d'altitude) qui était d'une très grande richesse biologique avant la construction de la route et le recalibrage de certains affluents de la Cerveyrette ;
  • le mont Chenaillet est une curiosité géologique mondialement connue, vestige de l'ancien océan alpin formé il y a environ 155 millions d'années, après la dislocation de la Pangée. Cet océan ouvert entre le jurassique supérieur et le crétacé inférieur a depuis lors disparu victime la convergence entre les plaques lithosphériques européenne et africaine (Italie). L'ophiolite du Chenaillet est un site dont la nature même fait encore débat dans la communauté scientifique. Le mont Chenaillet est à cheval entre les communes de Cervières et de Montgenèvre ;
  • la vallée des Fonts forme sur une dizaine de kilomètres de longueur un paradis du vélo de la randonnée et du ski de fond. Constituée de schistes lustrés, elle témoigne de la subduction de l'ancien océan alpin (prisme d'accrétion) ;
  • plateau du Lasseron (réserve de chamois) ; dans l'ancienne marge continentale passive piémontaise ;
  • col d'Izoard.
  • Crête des Dormillouses, sur plusieurs kilomètres, à la frontière italienne, jusqu'à l'altitude de 2900 mètres[1]

Hydrographie et les eaux souterraines

[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[2] :

  • Lac des Cordes[3],
  • Lac Gimont dans le massif des Cerces,
  • Lac Noir dans le massif des Cerces,
  • rivière de la Cerveyrette où subsiste une espèce endémique de truite fario.
  • torrents de pierre rouge, de la tirière, de saint-claude, du villard, de péas, du col d'izoard,
  • ruisseaux du blétonnet, de la grande combe, de cabot,
  • ravins des chalmettes, des coutiers, du rousset, de la côte belle, d'izoard, du col d'izoard, de l'aigue belle, mioillon, de comaire, des rouilles, de la grande maye, du randon

Assainissement intercommunal[4] du briançonnais[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 5,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 858 mm, avec 7,4 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villar St Pancrace », sur la commune de Villar-Saint-Pancrace à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 636,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communications et transports

[modifier | modifier le code]

Voies routières

[modifier | modifier le code]

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

  • Les transports régionaux du réseau Zou !.
  • Les navettes blanches de l'Aéroport Marseille Provence ou de la Gare TGV d'Aix-en-Provence vers les stations de ski des Alpes du Sud[13].

Au , Cervières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Briançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 2,6 % 290
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 0,4 % 40
Forêts de conifères 20,1 % 2214
Pelouses et pâturages naturels 24,8 % 2736
Landes et broussailles 1,2 % 132
Forêt et végétation arbustive en mutation 0,3 % 30
Roches nues 26,8 % 2952
Végétation clairsemée 23,3 % 2566
Marais intérieurs 0,7 % 73
Source : Corine Land Cover[18]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Cerveria en 1148[19],[20].

Cervèira en occitan haut-alpin[21].

Cervières dérive de cervier (adj. : propre au cerf). Ce toponyme pourrait désigner une partie de la forêt fréquentée par les cerfs.

L'existence du village de Cervières est attestée depuis le Haut Moyen Âge. À l'origine, il était initialement installé sur les hauteurs, peut-être en raison des inondations. Du XIVe siècle au XVe siècle, les habitants se rapprochèrent de la Cerveyrette à cause du manque d'eau[22]. Les plus anciennes maisons que l'on peut encore observer datent du XVIe siècle.

L'église Saint-Michel.

Le village appartint, entre le XIVe siècle et la Révolution française (création des départements), au territoire de la République des Escartons (dans le Haut Dauphiné) qui regroupait une douzaine de localités autour de Briançon et d'Oulx (commune située actuellement dans le Piémont italien). Cette République des Escartons bénéficiait de privilèges fiscaux et d'une autonomie administrative vis-à-vis des Royaumes de France et de Piémont.

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Michel, datant du XVe siècle, domine d'environ 50 m les habitations. Son clocher carré en pierre, encadré de quatre clochetons, est représentatif du style lombard, sur le modèle de la cathédrale d'Embrun. Le village, situé avant la Seconde Guerre mondiale sur la rive gauche de la Cerveyrette, fut en grande partie détruit par les bombes incendiaires lancées depuis les crêtes par les Allemands, lors des combats de la Libération du Briançonnais (août - septembre 1944). Les maisons à pan de bois et les stocks de fourrages alimentèrent le feu qui détruisit 90 % des habitations.

Vue panoramique du village.

Inondations des années 1950

[modifier | modifier le code]

Le village actuel a été reconstruit dans les années 1950 sur la rive droite du torrent, dans une disposition le préservant de l'incendie : les maisons sont toutes séparées et bâties sur un plan parallèle aux courbes de niveau. En 1957, une trentaine d'anciennes maisons furent encore anéanties par une inondation. Aujourd'hui subsistent encore le long de la rivière quelques maisons à pans de bois.

Résistance au projet SuperCervières

[modifier | modifier le code]

Dès 1961, des projets de station de ski alpin ont été imaginés sur la Haute Vallée de la Cerveyrette[23]. Dans le cadre du Plan neige, de 1967 à 1969, dans cette optique, un groupe financier belge veut déjà acheter les terres de la haute vallée à des prix dérisoires, ce que les Cerveyrins refusent, malgré des pressions politiques[23], défendant leurs pâturages, loués parfois aux bergers des vallées méridionales[24].

En décembre 1969, l'Association pour l'étude et la sauvegarde de la vallée de Cervières (A.E.S.C.)[25], toujours active 45 ans plus tard[26], édite un journal, La Paparelle, et formule des contre-propositions, dans lesquelles la protection de la nature et sa mise en valeur ne paraissent plus incompatibles. La commune est alors une des premières, avec Orgosolo en Sardaigne, à participer à la la révolte non-violente des agriculteurs pour leurs terres, dans les années 1970, sur le mode de la désobéissance civile.

Au même moment, un projet de station de sports d'hiver nommée SuperCervières, située au niveau de la plaine du Bourget (1 850 m) et destinée à être reliée au domaine de Montgenèvre, est lancé. Il prévoit l'expropriation de 1150 hectares de terrains privés et de 5350 hectares de terrains communaux, c'est-à-dire plus de la moitié de la commune, avec le départ forcé de 22 agriculteurs, qui élèvent un millier de moutons en plus troupeaux de vaches[27] et s'y opposent[28]. Une pétition nationale réunit 19 000 signatures et 500 lettres recommandées à la préfecture par des personnalités, parmi lesquelles le vulcanologue Haroun Tazieff[23], sur fond de nombreux articles dans la presse régionale et nationale[29], et de reportage télévisé[27],[29]. Les différents scénarions sont une station de quinze mille lits ou de quarante mille lits[24] et vise une clientèle "de grand standing" comme le précise le député-maire de Briançon, Paul Dijoud[24] et une clientèle de "classe internationale", selon la notice officielle de la procédure d'enquête sur l'expropriation[24], avec "gratte-ciel de bétons et boîtes de nuit"[24], tandis qu'un dépliant de Montgenèvre représente le site de la station internationale[24].

Les syndicats agricoles[24], les fédérations socialiste et communiste[24], des responsables d'associations scientifiques[30], et le conseil municipal à l'unanimité [24]soutiennent le maire Raymond Faure-Brac, qui dans une lettre aux autorités, souligne que "l'indignation est telle dans les esprits et dans les cœurs qu'il pourrait se produire des explosions incontrôlées"[24]. Dans la vallée voisine de la Guisanne, au même moment, au Monêtier-les-Bains, le conseil municipal dans lequel les agriculteurs sont en minorité[24] a décidé d'exproprier 20 à 30 hectares de très bonnes terres fourragères[24] pour les transformer en lotissements avec un millier de lits[24].

En 1977, le projet avorta sous la pression des élus locaux, parmi lesquels les deux maires successifs, Raymond Faure-Brac[31] et André Gatineau. C'est l'une des rares vallées des Alpes encore préservées des équipements lourds, qui s'est ouverte au tourisme d'hiver via la voie plus légère du ski de fond.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1974 mars 1980 Raymond Faure-Brac    
mars 1974 mars 1980 André Gatineau    
mars 1989 mars 1999 Louis Conio DVD  
mars 2001 mars 2008 Nadine Chastel    
mars 2008 mars 2014 Thierry Ducurtil[32]    
avril 2014 En cours Jean-Franck Vioujas[33],[34]   Ancien cadre

Budget et fiscalité 2017

[modifier | modifier le code]

En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[35] :

  • total des produits de fonctionnement : 565 000 , soit 2 973  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 519 000 , soit 2 732  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 494 000 , soit 2 601  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 427 000 , soit 2 248  par habitant ;
  • endettement : 127 000 , soit 666  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 2,62 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,74 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,88 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 170 [36].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

Les habitants sont les Cerveyrains.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

En 2021, la commune comptait 193 habitants[Note 3], en évolution de +5,46 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
817675925876895918825841900
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
903880830752699702711628593
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
527487459425386327324180194
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
15111196105120129128131169
2014 2019 2021 - - - - - -
183199193------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[41] :

  • Écoles maternelles et primaires à Montgenèvre, Briançon[42],
  • Collèges à Briançon,
  • Lycées à Briançon.

Professionnels et établissements de santé[43] :

Centrale hydroélectrique

[modifier | modifier le code]

En aval du village, la centrale est exploitée en SEM, la commune détenant 50.1% des parts, EDSB, Énergie Développement Services du Briançonnais 49.9%.

Sa puissance est de 3400KW/h.

Agriculture

[modifier | modifier le code]
  • L’agropastoralisme[47].
  • Fermes de la reconstruction[48].
  • Le village est une station de ski de fond, avec d'une part des pistes au hameau du Laus, avec l'itinéraire de montée au col d'Izoard, et d'autre part dans la plaine des Fonts, reliant les différents hameaux d'alpage. Au total, 42 km de pistes[49].
  • Le refuge Napoléon[50], construit en 1858, un peu avant l'arrivée au col d'Izoard.
  • Maisons d'hôtes, gîtes.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux :

Autres lieux et patrimoines :

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Cervières Blason
De gueules à la tête de cerf d’or[82].
Détails
Armes parlantes. Cervus = cerf en latin.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Belle et Sébastien

[modifier | modifier le code]

Cervières fut l'un des lieux du tournage du film Belle et Sébastien 3 : Le Dernier Chapitre, réalisé par Clovis Cornillac et sorti en 2017.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. La crête de Dormillouse (2908m)
  2. Cours d'eau sur la commune ou à son aval
  3. Lac des Cordes - Vallée des Fonts de Cervières
  4. Plans du zonage d'assainissement par commune
  5. zonage d'assainissement intercommunal du briançonnais
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Cervières et Villar-Saint-Pancrace », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Villar St Pancrace », sur la commune de Villar-Saint-Pancrace - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Villar St Pancrace », sur la commune de Villar-Saint-Pancrace - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. Les navettes blanches
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Briançon », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  19. Sur le cartulaire Ulciensis ecclesiam chartarium.
  20. Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 236.
  21. Cervières (en occitan alpin Cervèira)
  22. Histoire de Cervières
  23. a b et c Autopsie de Super-Cervières (extrait de la Paparelle no 11 - juin 2015)
  24. a b c d e f g h i j k l et m "Cent paysans de l'Izoard veillent sur leurs pâturages" par Alain Bouc le 1er avril 1972 dans Le Monde[1]
  25. Site de l'Association AESC
  26. L'AESC et Mountain Wilderness pour la préservation du site du col d'Izoard l'hiver [2]
  27. a et b « Les habitants de Cervières ne veulent pas vendre leur vie pour une bouchée de foin », Télérama,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Paris-Match de septembre 1972
  29. a b et c "Cervieres Le village qui ne voulut pas mourir pour le ski". Documentaire de France 3. Mis en ligne par Paul JM Chenevier [3]
  30. "Les montagnards de Cervières ne veulent pas d une station qui leur rapporterait trente centimes au mètre carré", par Jean-Pierre Copin, envoyé spécial du Dauphiné Libéré [4]
  31. "LE MAIRE DE CERVIÈRES ET LE PROJET DE STATION" dans Le Monde du 22 novembre 1972 [5]
  32. Site de la préfecture des Hautes-Alpes, consulté le 9 mai 2008 (fichier au format Excel)
  33. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  34. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  35. Les comptes de la commune
  36. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Établissements d'enseignements
  42. École maternelle et élémentaire
  43. Professionnels et établissements de santé
  44. Santé à Briançon
  45. Contrat local de santé
  46. Diocèse de Gap et d'Embrun
  47. Les patrimoines de l'agropastoralisme dans les Hautes-Alpes
  48. Cervières - Fermes de la reconstruction
  49. Cervières-Izoard
  50. « Inventaire général : Refuge Napoléon », notice no IA05000981, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  51. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
  52. Fédération nationale des bistrots de pays
  53. « Église Saint-Michel », notice no PA00080545, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  54. « Inventaire général de l'église paroissiale Saint-Michel », notice no IA05000762, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  55. Notice no PM04000154, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Michel
  56. Notice no IM05003091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche cloche no 1 de l'église Saint-Michel
  57. Notice no IM05003098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche cloche no 2 de l'église Saint-Michel
  58. « Église paroissiale Saint-Michel-et-Saint-Mammés », notice no IA05000727, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  59. « Lieux de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
  60. Église Saint François d'Assise de Cervières
  61. « Chapelle Saint-Claude », notice no IA05000756, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  62. .« Inventaire général : chapelle Saint-Jean-Baptiste », notice no IA05000750, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  63. « Inventaire général : maison ferme », notice no IA05000943, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  64. « chapelle Sainte-Elisabeth », notice no IA05000749, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  65. « chapelle Saint-Roch », notice no IA05000744, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  66. « chapelle Notre-Dame-des-Neiges », notice no IA05000742, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  67. « chapelle Saint-Pierre », notice no IA05000733, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  68. Notice no IM05003355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche (no 1) Chapelle Saint-Pierre
  69. Notice no IM05003445, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche (no 2) Chapelle Saint-Pierre
  70. « chapelle Sainte-Madeleine », notice no IA05000732, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  71. « chapelle Sainte-Luce », notice no IA05000944, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  72. « chapelle Saint-Gervais et Saint-Protais », notice no IA05000910, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  73. [hhttps://monumentsmorts.univ-lille.fr/monument/23875/cervieres-presdeleglise/ Monument aux morts]
  74. « hôtel de ville », notice no IA05000728, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  75. Au pied de l'Izoard...
  76. « Inventaire général : blockhaus dit ouvrage du Gondran D », notice no IA05000143, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  77. « Inventaire général : la position dit blockhaus et batterie de la Lauzette », notice no IA05000142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  78. « Inventaire général : la position des Aittes », notice no IA05000141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  79. « Téléphérique militaire de Terre Rouge ou des Gondrans », notice no PA05000011, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  80. « Maison », notice no PA05000001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  81. Maison Faure Vincent Dubois
  82. Dominique Cureau, « Briançonnais : Cervières », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).