Carrouges
Carrouges | |
La mairie et la poste. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Alençon |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays fertois et du Bocage carrougien (siège) |
Maire Mandat |
Pierre Chivard 2020-2026 |
Code postal | 61320 |
Code commune | 61074 |
Démographie | |
Population municipale |
629 hab. (2021 ) |
Densité | 73 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 34′ 06″ nord, 0° 08′ 40″ ouest |
Altitude | Min. 240 m Max. 361 m |
Superficie | 8,58 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Magny-le-Désert |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.carrouges.fr |
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Carrouges est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 629 habitants[Note 1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Pays de bocage, à la frontière entre le pays d'Houlme et la campagne d'Alençon. La commune se situe dans le parc naturel régional Normandie-Maine.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Carrouges est située à 320 mètres d'altitude, sur le versant nord du signal d'Écouves, le deuxième plus haut sommet de Normandie (413 mètres).
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité faible[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Schéma d’aménagement et de gestion des eaux (S.A.G.E.) du bassin de l'Orne.
- Recensement des ouvrages de prélèvement d’eau souterraine, autres que ceux destinés à l’alimentation en eau potable[3].
- Hydrogéologie de la commune : masse d'eau souterraine[4].
- Udon (rivière).
- Ruisseaux du Moulin de Besnard, de Rohan, des Noes Morins, du Grand Pied.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 911 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Argentan à 22 km à vol d'oiseau[8], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 691,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La D 2 relie Alençon et Argentan via Carrouges, et dessert Lonrai, Cuissai, Livaie, Roupperroux, Chahains, Carrouges, Le Menil-Scelleur, Boucé, Fleuré et Sarceaux.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]- Autocars[12] :
- Ligne Alençon – Carrouges – La Ferté-Macé,
- Ligne Carrouges – Argentan.
Ancienne voie ferrée
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Commune membre de la communauté de communes du Pays Fertois et du Bocage Carrougien.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Carrouges est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,8 %), terres arables (30,5 %), forêts (12,9 %), zones urbanisées (5,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En langue d'oïl le mot carrouge est l'évolution naturelle et logique du latin quadrivium, « carrefour »[18]; le -s indique un pluriel ou est sans sens particulier.
Histoire
[modifier | modifier le code]- Au Moyen Âge, la paroisse de Carrouges fait partie du doyenné d'Asnebec.
- En 1386, Jean IV de Carrouges, rentrant d'une expédition en Écosse, apprend de sa femme Marguerite de Thibouville qu'elle a été violée au château en son absence par Jacques le Gris. Celui niant et justice ne lui étant pas rendue par Pierre II d'Alençon, obtient du parlement de Paris de l'affronter dans l'un des derniers duels judiciaires français. Il en sort victorieux en tuant Jacques le Gris, ce qui vaut décision de justice.
- En 1490, sous le roi Charles VIII, Jean de Blosset, seigneur de Carrouges et grand maréchal de Normandie, fonde sur ses terres, auprès de son château, une collégiale (dédiée à Notre-Dame du Bon Confort) composée de six chanoines prébendés « à la nomination du seigneur qui était aussi le collateur des bénéfices ». Ces prébendes sont estimées en 1698 à 200 livres, dans le Mémoire de la Généralité d'Alençon établi par l'intendant M. de Pommereuil.
Il est également précisé en 1698 qu'une juridiction appelée « grenier d'impôt » (en rapport avec la gabelle payée sur le sel) est située à Carrouges.
- Au XVIIIe siècle, dans la description de la généralité d'Alençon (subdivision : élection de Falaise) il est noté : « les forges de Carrouges, de Rânes, du Champ-de-la-Pierre et de Cossé occupent une bonne partie des habitants des paroisses voisines ».
- Au moment de la Révolution française de 1789, la commune s'appelle « Carrouges-la-Montagne ».
- Au mois d'août 1944[19], occupée par les forces allemandes, la ville est délivrée par les troupes de la 3e division blindée américaine, grâce au courage du maire de Saint-Martin-des-Landes, M. Geslain qui, après s'être libéré des soldats allemands qui l'avaient arrêté, indiqua les positions des Allemands aux Américains.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules, semé de roses d’argent ; à un château de deux tours couvert d’or, maçonné de sable, soutenu d’une patte de léopard versée d’or, armée d’azur, se mouvant de l’angle de la pointe dextre. |
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Détails | Écu :
Le château symbolise celui de la commune. La patte de léopard évoque l’emblème de la Normandie. Les roses indiquent que la sainte Vierge est la sainte patronne de Carrouges. La disposition en semé évoque les armes des Carrouges anciens qui portaient « de gueules, semé de fleurs de lys d’argent ». Ornements : Les ornements sont deux branches de chêne de sinople, fruitées d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’or pour rappeler la forêt du parc Normandie Maine. Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable. La couronne indique que l’écu est celui d’une commune.Armoiries créées par Jean-Claude Molinier et adoptées officiellement le [20]. |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2018
[modifier | modifier le code]En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :
- total des produits de fonctionnement : 466 000 €, soit 1 668 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 430 000 €, soit 616 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 107 000 €, soit 153 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 106 000 €, soit 152 € par habitant ;
- endettement : 144 000 €, soit 206 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,21 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,04 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11,50 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,41 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 11,19 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 526 €[26].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2021, la commune comptait 629 habitants[Note 2], en évolution de −7,23 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[31] :
- École maternelle,
- Écoles primaires,
- Collège,
- Lycée à La Ferté-Macé.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[32] :
- Médecins à Carrouges, Boucé, Râne.
- Pharmacies à Carrouges, Boucé, Râne.
- Hôpitaux à La Ferté-Macé, Argentan, Alençon.
- Maison de retraite[33].
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, paroisse Saint François en Ecouve[34], diocèse de Séez.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Cidricole[35].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château fondé au XIVe par Jean IV de Carrouges, reconstruit après la guerre de Cent Ans par Jean Blosset puis agrandi et embelli par la famille Le Veneur jusqu'au XVIIe siècle.
- L'ancienne chanoinerie du château, le « Chapitre », abrite désormais la Maison du Parc, siège du parc naturel régional Normandie-Maine. Une exposition portant sur les particularités du parc peut y être visitée et des expositions temporaires sont régulièrement organisées.
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption[39],[40].
- Monument aux morts[41] : conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954) - AFN-Algérie (1954-1962)[42].
Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune de Carrouges est jumelée avec :
Médias
[modifier | modifier le code]- Radio coup de foudre 104 FM[44].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean IV de Carrouges, chevalier né à Carrouges au début de la guerre de Cent Ans, à l'origine du château de Carrouges. Chambellan du duc Pierre II d'Alençon (un petit-neveu de Philippe Le Bel).
- Jean Le Veneur de Tillières (petit-fils de Philippe Le Veneur, baron de Tillières et de Marie Blosset, Dame de Carrouges, décédé en 1543) : évêque-comte de Lisieux en 1505 - Lieutenant général au gouvernement de Normandie - Grand aumônier du roi François Ier de France en 1526 - Cardinal en 1533.
- Jacob Gérard Desrivières (1751-1828), cultivateur à Carrouges-la-Montagne, député de l'Orne à la Convention nationale en 1793 — en remplacement de Charles de la Hosdinière, démissionnaire. Il siège à la « Plaine » entre les Montagnards et les Girondins, puis est député au Conseil des Anciens jusqu'en 1795.
- Le père Isidore Métayer (Carrouges, 1827 —- Lien-Chan, Chine, 1881). Missionnaire apostolique en Mandchourie, il consacra sa vie à la protection et à l'éducation des enfants orphelins[45].
- Pierre-Jean Launay (1900 à Carrouges - 1982), écrivain, lauréat du prix Renaudot en 1938.
- Michel Le Royer : comédien et metteur en scène né à Carrouges le 31 août 1932 décédé le 25 février 2022. Ancien pensionnaire de la Comédie-Française, devenu célèbre grâce au feuilleton télévisé Le Chevalier de Maison-Rouge diffusé en 1963, il dirige ensuite le cours de théâtre La Récréation à Lyon (6e). Il met aussi son talent au service de doublages de films de télévision ou de cinéma. Il est entre autres la voix de David McCallum dans la série américaine NCIS : Enquêtes spéciales et celle de Terry O'Quinn dans la série Lost : Les Disparus.
- Philippe Tranchant un footballeur puis entraîneur français, ne a Carrouges[46].
Dans la culture
[modifier | modifier le code]Le film Le Dernier Duel (The Last Duel), de Ridley Scott (2021), relate le conflit et le duel entre Jacques le Gris et Jean de Carrouges. L'action est en partie située au château de Carrouges.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[47].
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Didacticiel de la règlementation parasismique ».
- Étude réalisée à la demande de l'Institution Interdépartementale du Bassin de l’Orne, par Laëtitia Persello
- Fiche commune
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Carrouges et Argentan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Argentan » (commune d'Argentan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Argentan » (commune d'Argentan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Transports », .
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Carrouges ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Christian Baylon, Paul Favre - 1982 - Les Noms de lieux et de personnes - (ISBN 2098125941).
- « La bataille de Rânes-Fromentel », sur ranes1944.org.
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
- « Ouest-france.fr - Eugène-Loïc Ermessent n’est plus maire de Carrouges »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
- « Christian Thibouville est le nouveau maire de Carrouges »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Carrouges (61320) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Carrouges. Pierre Chivard élu maire contre toute attente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Page d'accueil », sur impots.gouv.fr.
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Ecoles, collèges et lycées à Carrouges (61320) », sur journaldesfemmes.fr.
- « Médecins à Carrouges (61320) - Medecin-360.fr », sur medecin-360.fr.
- « Maison de retraite », .
- « Paroisse saint François en Ecouves », sur orne.catholique.fr.
- « Illico - Desfrieches Hugues - Sainte-Marguerite-de-Carrouges - Orne (61) », sur Illico.
- « Restaurants », .
- « Hébergements », .
- « Les Ecuries de la Fouquière », sur calleja.etienne.free.fr.
- « Aide Windows et Internet - Windows XP/Vista/7/8/10 », sur aidewindows.net.
- « Église Notre-Dame-de-l'Assomption ».
- « Monument à Beausset - Les monuments aux morts », sur monumentsmorts.univ-lille.fr.
- « Relevé », sur memorialgenweb.org.
- « MODES DE PAIEMENT A DISPOSITION », sur jorat-mezieres.ch.
- « Radio Cop de Foudre »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur rcdf.fr.
- « Le Père Isidore Métayer : Un Carrougien missionnaire en Chine ».
- « Philippe Tranchant - Stats and titles won », sur footballdatabase.eu.
- Site de l'IGN.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Inventaire du patrimoine de la commune
- Série de cartes postales anciennes de la commune de Carrouges
- Le château de Carrouges
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Carrouges, p. 239
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Comte Gérard de Contades et Abbé Constant Macé, Bibliothèque ornaise - Canton de Carrouges - Essai de bibliographie cantonale, Paris, H.Champion, , 127 p. (présentation en ligne)
Annexes
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel de la commune
- Carrouges sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Sites et paysages