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Carlo Fidanza

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Carlo Fidanza
Illustration.
Carlo Fidanza en 2014 à Strasbourg.
Fonctions
Député européen
En fonction depuis le
(5 ans, 5 mois et 10 jours)
Élection 26 mai 2019
Circonscription Nord-Ouest
Législature 9e
Groupe politique CRE

(4 ans, 11 mois et 16 jours)
Élection 13 juin 2009
Circonscription Nord-Ouest
Législature 7e
Groupe politique PPE
Député de la République italienne

(1 an et 3 mois)
Élection 4 mars 2018
Circonscription Lombardie 1
Législature XVIIIe
Prédécesseur Maria Teresa Baldini
Biographie
Date de naissance (48 ans)
Lieu de naissance San Benedetto del Tronto (Italie)
Nationalité Italienne
Parti politique MSI (jusqu'à 1995)
AN (1995-2009)
PdL (2009-2013)
Fdl (depuis 2013)

Carlo Fidanza, né le à San Benedetto del Tronto est un homme politique italien, membre des Frères d'Italie après avoir quitté Le Peuple de la liberté.

Depuis 2019, il est député européen, après l'avoir déjà été de 2009 à 2014.

Carlo Fidanza en Frères d'Italie - Centre-droit national

Il est élu lors des élections européennes de 2009 dans la circonscription de l'Italie du Nord-Ouest sous l'étiquette du Peuple de la liberté.

Au parlement européen, il siège au sein du groupe du Parti populaire européen, dont il est membre du bureau en . Au cours de la 7e législature, il est membre de la commission du transport et du tourisme[1].

En , il quitte Le Peuple de la liberté pour participer à la fondation des Frères d'Italie - Centre-droit national.

Il accuse la France, dans une note destinée aux instances européennes en octobre 2020, de ne pas respecter ses frontières et d'avoir « annexé » une partie du Mont Blanc[2].

En 2024, il se présente aux élections européennes sur la liste des Fratelli d'Italia et est élu député européen le 9 juin[3],[4].

Controverse

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En octobre 2021, une vidéo réalisée en caméra cachée montre Carlo Fidanza participer à un dîner destiné à lever des fonds pour Frères d'Italie. Il y tient des remarques sexistes et racistes, et laisse entendre qu’existerait une trésorerie occulte du parti alimentée par des donateurs proches des idéologies néofasciste ou néonazie. Le parquet de Milan ouvre une enquête sur des soupçons de blanchiment d’argent[5].

Notes et références

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  1. Présentation sur le site du Parlement européen.
  2. « Politique. Un parti d’extrême droite italien accuse la France d'avoir annexé une partie du Mont-Blanc », sur www.ledauphine.com,
  3. (it) Francesco Del Vecchio, « Tutti gli eletti al Parlamento europeo in Italia. Da Ilaria Salis al generale Vannacci, da Cecilia Strada a Elena Donazzan, da Mimmo Lucano a Lucia Annunziata: ecco chi ha ottenuto un seggio a Strasburgo », Wired Next Fest,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Elezioni europee, ecco gli italiani eletti al Parlamento di Strasburgo », sur Tg24.sky.it, (consulté le )
  5. Ludovic Lamant, « En Italie, la post-fasciste Giorgia Meloni cherche à faire oublier ses racines », sur Mediapart,

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Articles connexes

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Liens externes

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