Chapitre 2
Chapitre 2
Chapitre 2
ROYAUME
• Manque d’unité.
• Faible spiritualité.
• Manque d’engagement des membres.
• Faibles niveaux de rétention.
• Problèmes de famille.
Que signifie faire paître
?
Il y a deux mots grecs :
• Prosejo : il a été traduit par
« regarder », prêter attention,
se soucier de.
• Poimaino signifie aussi prendre
soin du troupeau.
Que signifie faire paître
?
Le Manuel de l’Église, à la
page 98, déclare : «en tant
que bergers adjoints, les
anciens doivent faire preuve
d’une vigilance constante vis-
à-vis du troupeau » (Italiques
ajoutées).
Que signifie faire paître
?
Le travail pastoral
signifie une
préoccupation, un
intérêt et un
engagement pour le
bien-être et le soin du
troupeau de Dieu.
Que dit le Manuel de
l’Église concernant le
travail pastoral des
anciens ?
« Le pasteur doit éviter de cumuler
toutes les responsabilités, mais doit
les partager avec les anciens et avec
d’autres responsables », Ibid.
Il est très clair que la responsabilité
du berger est partagée avec les
anciens en tant que co-bergers du
troupeau de Dieu.
Que dit le Manuel de
l’Église concernant le
travail pastoral des
anciens ?
« Le travail pastoral de l’Église doit être
réparti entre le pasteur et les anciens en
consultation avec le pasteur, les anciens
rendent visite aux membres d’Église, vont
réconforter les malades, soutiennent le
ministère de la prière, organisent ou
dirigent les services d’onction et les
présentations d’enfants, réconfortent les
découragés et apportent leur assistance
dans l’accomplissement d’autres
responsabilités pastorales », Ibid.
Ellen White ajoute
comment ces tâches
pastorales doivent être
accomplies :
« Les hommes appelés à officier comme pasteurs doivent
exercer une vigilance active sur ceux que le Seigneur leur a
confiés, non une vigilance despotique, mais encourageante,
fortifiante et ennoblissante. Le ministère évangélique n’est
pas synonyme de prédication, il exige un effort personnel et
fervent. L’Église est formée de membres faibles, vacillants. Ce
n’est que grâce à un travail laborieux et soutenu que l’on
arrivera à leur apprendre à se soumettre à la discipline, dans
l’espoir de participer un jour à la gloire et à l’immortalité. Il
faut des pasteurs fidèles qui ne flatteront pas le peuple de
Dieu, qui ne le traiteront pas non plus avec dureté, mais qui
lui dispenseront le pain de vie. Ils doivent être animés de la
puissance transformatrice du Saint-Esprit, et témoigner un
amour profond et désintéressé à tous ceux dont ils ont la
charge » – Ellen G. White, Conquérants pacifiques, chap. 51,
p. 470.
Lorsque les anciens et les
dirigeants ne sont pas prêts à
assumer ces responsabilités,
l’église en souffre. En
particulier, la chose la plus
importante dans le choix du
leadership est la conversion.
« Dans quelques-unes de nos églises, le
travail a été organisé avec précipitation et les
anciens ont été consacrés prématurément;
on n'a pas observé la règle biblique et il s'en
est suivi des troubles graves dans l'église.
Quelles que soient leurs capacités, on ne
devrait ni élire ni consacrer avec tant de hâte
des hommes qui, en aucune manière, ne sont
qualifiés pour porter des responsabilités dans
l'œuvre, des hommes qui ont besoin d'être
convertis, cultivés, ennoblis, épurés, avant de
pouvoir servir la cause de Dieu » – Ellen G.
White, Conseils à l’Église, chap. 44, p. 199.
«La tâche du berger exige beaucoup de tact, car
celui-ci aura, en effet, à affronter dans son église
l’hostilité, ‘'amertume, l’envie, la jalousie, et il
aura besoin de l’Esprit du Christ pour aplanir
toutes ces difficultés. Il devra avertir, reprendre,
censurer, non seulement du haut de la chaire,
mais par un travail personnel auprès des âmes.
Le pécheur trouvera peut-être à redire au
message qui le concerne, et le serviteur de Dieu
pourra être mal jugé et critiqué. Qu’il se
souvienne alors que “la sagesse d’en haut est
premièrement pure, ensuite pacifique,
modérée, conciliante, pleine de miséricorde et
de bons fruits, exempte de duplicité,
d’hypocrisie. Le fruit de la justice est semé dans
la paix par ceux qui recherchent la paix”
(Jacques 3.17,18) » – Ellen G. White,
Conquérants pacifiques, chap. 51, p. 471.
Nourrissez-vous le
troupeau selon le
cœur de Dieu ?
Le Christ « est venu
chercher et sauver les
perdus » (voir Luc 19.10 ;
Matthieu 18.11).
Cette perspective salvifique
indiquée par le Christ met
en évidence le caractère
rédempteur de sa mission.
Nourrissez-vous le
troupeau selon le cœur de
Dieu ?
• Dans la parabole de la brebis perdue, le
gardien de la bergerie « laisse » les
quatre-vingt-dix-neuf brebis et va
chercher la seule qui était perdue (voir
Luc 15.4).
• Jésus a déclaré : « Les personnes en
bonne santé n'ont pas besoin de
médecin, ce sont les malades qui en ont
besoin » (Matthieu 9.12, BFC).
• La question logique est alors : Qui a
besoin d’un pasteur ? La réponse : Celle
qui s’est perdue en chemin ! La brebis
malade qui ne peut pas suivre le berger.
Dans cet aspect
important, nous
pouvons voir deux
choses :
•La valeur d’ « un »
au ciel.
•La priorité du ciel.
UN MINISTÈRE CENTRÉ SUR LE UN MINISTÈRE CENTRÉ SUR LES
PROGRAMME MEMBRES
On passe la plupart du temps à On passe la plupart du temps à visiter
organiser des programmes. et à servir les membres.
JosneyDavid Rodriguez
RodriguezJosney
josneyrodriguez