Psychologie Expérimentale S2L1
Psychologie Expérimentale S2L1
Psychologie Expérimentale S2L1
1. Introduction
La perception
Les illusions perceptives
Les illusions visuelles
I. Introduction
La perception = Ensemble des mécanismes et processus par lesquels l'organisme prend connaissance du
monde sur la base des informations élaborées par les sens.
Souvent, il y a une contradiction entre ce que nous percevons et ce que nous savons.
Poids = mais volume =/= (grosse boule creuse et petite boule pleine)
➢ La petite boule est jugée plus lourde
➢ Sans contrôle visuel, l'illusion disparaît
Illusion
= Interprétation de la réalité qui diffère des propriétés objectivement vérifiables des éléments représentés
(R.N. Shepard)
➢ Indice révélateur des méthodes utilisées par le cerveau pour interpréter efficacement les données
sensorielles.
Ex : mirages, arc-en-ciel…
Ex : image résiduelle
" l'oiseau en cage"
Origine Cognitive
= Application erronée d'une connaissance des objets ou de règles générales
- Effet de perspective
Illusion de Ponzo
1. Effet de contraste :
Perception exagérée des différences entre les éléments inducteurs et les éléments tests
Illusion de Titchener
(ou Ebbinghaus)
2. Effet d'assimilation :
Tendance à minimiser les différences entre éléments tests et inducteur
Illusion de Lipps
Illusion de Delboeuf
1. Principe d'orthogonalité :
Surestimation des angles aigus et sous-estimation des angles obtus
2. Surestimation des côtés d'un angle obtus et sous-estimation des côtés d'un angle aigu
"Les procédés utilisés par le cerveau, tout en étant légitimes et fiables en situation naturelle, donnent
néanmoins des résultats non souhaités avec les figures artificielles qualifiées d'illusions géométriques." R. N.
Shepard
1. Introduction
2. Constances perceptives
a. Constance de la forme
b. Constance de la taille
3. Conclusions
➢ Résumé du CM2
Perception du monde visuel : pas une "photographie"
MAIS
Une interprétation de la réalité construite par notre cerveau
1. Introduction
On a une perception stable de l'environnement malgré l'instabilité des informations sensorielles.
En effet, percevoir un objet c'est construire une représentation mentale de cet objet à partir des
informations sensorielles.
Cette représentation mentale n'est pas la copie fidèle de l'objet tel qu'il se présente à l'observateur
car elle reste la même pour différentes présentations.
On appelle constante perceptive le fait de maintenir une représentation perceptive stable en dépit
des variations de la stimulation.
2. Constances perceptives
A) Constance de la forme
En dépit des variations de la position de l'objet (orientation, inclinaison, occultation partielle…)
B) Constance de la taille
En dépit des variations de la distance de l'objet
A. Constance de la forme
B. Constance de la taille
Lorsque la distance change, l'image des objets sur la rétine dépend de la taille de l'objet et de sa
distance.
L'image rétinienne d'un objet est donc d'autant plus grande que l'objet est proche.
La perception de la profondeur
Comment ?
Grâce aux indices de profondeur binoculaires et monoculaires.
Binoculaire
- Disparité rétinienne
- Vergence
Monoculaire
- "Picturaux" : occultation (interposition) et perspective (point de fuite, écart à la ligne
d'horizon, gradient de texture, ombre…)
- Système visuel (parallaxe de mouvement, accommodation)
… éloignés de l'horizon
Indice = Placement / Ligne d'horizon
… source éclairage
Indice = Ombres
… proches !
Indice = Accommodation (courbure ++ du cristallin pour distance proches < 5m)
En résumé :
Pour garantir la constance de la taille :
- La taille de l'image rétinienne seule est insuffisante
- Il est nécessaire que des informations sur la profondeur soient disponibles (i.e, indices de
profondeur monoculaires et binoculaires)
PLAN
- Langue du message
(Approche cognitiviste)
Dans les premiers comportements il n'avait pas un comportement adapté pour sortir de la boîte.
Mais au bout d'un moment le chat découvrait au hasard la solution pour ouvrir la porte afin
d'accéder à l'ouverture.
Le chat découvrant la solution, il répétait l'action et au fur à mesure des essais le comportement
approprié s'exécutait de plus en plus rapidement.
Connexion
"loi de l'effet"
- Lorsqu'une connexion modifiable entre une situation et une réponse a lieu et est
"Loi de l'exercice" : "lorsqu'une connexion modifiable est établie entre une situation et une réponse,
la force de cette connexion augmente en proportion de la vigueur, de la durée et du nombre de
connexions"
"Loi de préparation" : "lorsqu'une conduite est prête à être adoptée, son adoption procure de la
satisfaction"
III. Le conditionnement
2 types de conditionnement :
➢ Le conditionnement classique (ou répondant ou de type I ou pavlovien)
➢ Le conditionnement opérant (ou instrumental ou de type II ou skinnérien)
Faire précéder, de façon répétée, un stmulus qui déclenche de manière innée (réflexe) une réponse
mesurable, par une stimulus neutre vis-à-vis de cette réaction.
La présentation d'un stimulus inconditionnel (la nourriture) entraîne une réponse salivaire dite
inconditionnelle chez le chien :
La présentation d'un stimulus neutre (la cloche) n'entraîne aucune réponse salivaire chez le chien :
La présentation simultanée des 2 stimuli (bruit de la cloche + nourriture) entraîne une réponse dite
inconditionnelle chez le chien :
(1) Réactivité : S'assurer que la liaison inconditionnelle sur laquelle sera établi le conditionnement
existe chez le sujet à conditionner, et que le sujet présente un état de réactivité à l'égard du SI
considéré, tel que RI se manifeste.
(2) Ordre des Stimuli : Le SN doit toujours précéder le SI
(3) Contiguïté : L'intervalle temporel séparant le SN du SI doit être court
(4) Répétition : il faut répéter la conjonction temporelle du SN et du SI (à l'exception des cas où la
charge émotionnelle est forte)
Etablir une liaison particulière entre un SN et l'une des RN au moyen d'un agent renforçateur qui
survient dès que la réponse ciblée donnée pour ce SN.
Renforcement = Conséquence d'un comportement qui plus probable que le comportement adapté
soit reproduit de nouveau.
Punition = conséquence d'un comportement qui rend moins probable que le comportement
inadapté soit reproduit de nouveau.
Comportement adapté
Comportement inadapté
(1) Extinction
➢ Inhibition du comportement
(2) Généralisation
(3) Discrimination
Même s'il y a une généralisation, deux stimuli proches ne seront pas confondus, et seul le SCC
provoquera la RC.
On peut l'établir expérimentalement en ne renforçant pas les réponses à des stimuli proches du
stimulus initial et en ne renforçant que celles au stimulus initial.
4. Applications
Les amnésies
Causes :
- Amnésies neurologiques (ou organiques)
- Amnésies psychiatrique (psychogènes)
Formes :
- L'amnésie antérograde ou amnésie de fixation (acquisition de nouvelles données)
INTRODUCTION
INTRODUCTION
Mémoire épisodique
Tulving 1972
Définition
La ME permet de se souvenir d'évènements qui peuvent être rappelés dans le contexte spatial
temporel
Mémoire sémantique
Tulving, 1972
Mémoire déclarative
I.
I. IMAGERIE MENTALE
Les méthodes visuelles de mémorisation
Théorie explicatives
- Les dessins solliciteraient des codes sensoriels plus "distinctifs" que les mots
- Les dessins font l'objet plus facilement d'un traitement sémantique.
Conceptions théoriques
➢ Pour les deux théories, les dessins sont encodés de manières plus élaborée et distincte que les
mots
➢ Plus grande richesse de codage pour dessins
Etude de Bousfield
Organisation subjective de mots non reliés en rappel libre (E. Tulving, 1962)
Expérience =
- Présentation 16 fois d'une même liste de mots non reliés, mais dans des ordres différents à
chaque fois
- Rappel libre après chaque présentation
Les données organisées sont plus facile à retenir qu'un ensemble désordonné d'éléments (ex. G.H
Bower, 1969)
Expérience 1 :
Liste 54 mots à mémoriser :
- 3 présentations de la liste, avec un rappel libre immédiat après chaque présentaton
- 2 modes de présentation
Groupe 1 : Mots présentés groupés par catégories
Groupe 2 : Mots présentés mélangés
- Apprentissage incident (participants invités à grouper les mots selon des catégories
sémantiques, sans consignes d'apprentissage)
- Apprentissage intentionnel (participants invités à apprendre les mots, sans consigne de
catégorisation)
➢ Performances équivalentes
III. L'ELABORATION
CF. Tableau CM
1. Encodage superficiel
Le mot est-il écrit en majuscules ?
COPAIN
2. Encodage intermédiaire
Le mot rime-t-il avec sapin ?
COPAIN
3. Encodage profond
Le mot peut-il être inséré dans la phrase ?
"Hier, il a rencontré un …."
COPAIN
- L'effet de production
➢ Les mots produits sont mieux reconnus que les mots lus
IV. PREGNANCE
- Effet de distinctivité
(caractéristiques de l'information-même)
La saillance
Elle se définit par rapport au contexte
I. Evaluation de la mémoire
II. Oubli et ses causes
III. Les distorsions mnésiques : témoignage oculaire et faux souvenirs
I. L'évaluation de la mémoire
Différentes méthodes d'évaluation
- Les méthodes directes diffèrent de la qualité des indices qui diffèrent de la mémoire
MOTS
Gateau
Pomme
Fraise
Violon
Piano
Tambour
Méthodes d'évaluation directes : rappel libre
➢ Rappel reconstructif : Rappel libre des mots dans un ordre prédéfini par la consigne
- Manipulation des informations mémorisées
- Exemple, ordre alphabétique
- Exemple 2, alternance lettres/chiffres du WMS
- Desserts
Gateau
Pomme
Fraise
- Instruments de musiques
Violon
Piano
Tambour
Les performances à une tâche sont susceptibles d'être influencées par une expérience récente de la
personne (de manière non consciente).
- Déficit de l'encodage
- Déficit de stockage et interférence
- Déficit de récupération
Selon cette théorie, les informations sont oubliées car elles ne sont pas traitées à un niveau
suffisamment profond.
2) Déficit du stockage
Théorie du déclin de la trace
Processus passif
Affaiblissement de la trace mnésique avec le temps
Théorie de l'interférence
Processus actif
Phénomène de concurrence mentale ou d'inhibition
3) Déficit de récupération
Définition
Image = Représentation mentale évocatrice des qualité sensorielles d'un objet absent du champ
perceptif. (Grand dictionnaire de la psychologie Larousse)
… visuelle > auditive > motrice > tactile > gustative > olfactive
97% > 93% > 74% > 70% > 67% > 66%
Représentation mentale
- Traiter la situation présente à leurs sens
- Se reporter cognitivement à des expériences passées
- Anticiper ou imaginer des situations jamais rencontrées
➢ Grâce à nos représentations mentales
LE COMPORTEMENT (observable) est considéré comme le produit d'une activité centrale impliquant
l'activation et la manipulation de ces représentations.
NON car :
- Problème de stockage et organisation en mémoire
- Comment alors imaginer des situations nouvelles ?
Nos activités sont régies par deux systèmes de codage ou modes de représentation symbolique :
- Système des représentations imagées
- Système des représentations verbales
- Comparaisons mentales
- Résolution de problèmes
Ex : Tom est plus grand que Sam
John est plus petit que Sam
Qui des trois est le plus grand ?
Les opérations réalisées sur les images mentales suivent-elles les mêmes règles que celles réalisées
sur les objets physiques correspondants ?
1. La rotation mentale
Tâche : Dire si les paires de dessins en 3D sont identiques ou pas (i.e, correspondent au même
dessin)
Stimuli : les 2 dessins d'une paire sont soit identiques (ex. A et B) ou différents (en miroir, ex. C)
1) Apprentissage de la carte
2) Tâche : parcourir mentalement la distance entre 2 éléments (appui-bouton quand terminé)
3) FPS : Distance entre les éléments
4) VD : Temps de réponse (sec)
➢ Relation linéaire entre temps de réponse et distance réelle entre les 2 éléments
➢ Temps de parcours mental proportionnel à distance réelle séparant les 2 objets
I. Généralités
1. Caractéristiques du traitement du langage
Complexité mais rapidité, facilité, irrépressibilité, automaticité
➢ Complexité
➢ Rapidité
En moyenne
- Parole : 200 mots / minute
- Lecture (si texte "simple") : 5 mots / sec (200 ms/mot)
= +/- 17% de mots non fixés
➢ Facilité
2. Discipline dédiée :
Psycholinguistique
Exemples
- L'âge d'apparition des premiers pronoms personnels, des subordonnées relatives, des phrases
passives,…
- Repérage de certaines erreurs grammaticales systématiques chez l'enfant et/ou de l'âge
auquel elles disparaissent.
2/ L'expérimentation
(a) Etudes sur la production provoquée
Principalement centrées sur l'enfant : l'amener à produire des énoncés dans des conditions
contrôlées par le chercheur.
Exemples de protocoles :
- Manipuler d'objets qu'il doit écrire
- Description d'images ou narrations à partir d'images
- Utilisation de logatomes (= Suite de syllabes qui n'ont aucun sens mais qui respectent les
règles de prononciation de la langue) pour tester la maîtrise de formes grammaticales
Exemple -
Interprétation : préférence pour les relations anaphoriques (Lucie.. elle) plutôt que cataphoriques
(Elle… Lucie)
➢ Tâche de complètement
Interprétation dominante de phrases ambiguës
➢ Tâche de paraphrase
➢ Tâche de dénomination
(19) Pierre vit la vielle dame tomber. Se précipitant vers.
Elle / Lui
A. Le traitement sémantique
Parmi tout ce que voulait Tom, le vélo se trouve dans les "plein de choses", nous inférons cela.
Considère que la compréhension des phrases exige une approche naturaliste (écologique)
Et pourtant, ça marche : résultat imparfait généralement assez bon (good enough) pour converser
sans problème.
Conclusions :
- L'interprétation découle plus du sens des mots (sémantique lexicale) que l'énoncé contient
plutôt que sur leur articulation (sémantique phrastique)
- La compréhension de QUI-FAIT-QUOI-A-QUI s'appuie sur des schémas (représentations des
connaissances du monde)
(50) Combien d'animaux de chaque espèce Moïse a-t-il emporté dans l'arche ?
B. Le traitement pragmatique
1. Ses postulats
(a) La fonction essentielle du langage est d'instaurer une relation asymétrique alternée entre 2
protagonistes qui changent de rôle.
(b) Le langage véhicule plus que les informations exprimées explicitement
=> Il véhicule aussi des informations implicitées exprimées indirectement (suggérées, insinuées)
© Les intentions sous-jacentes sont plus importantes que le sens d'une phrase en soi.
=> Comprendre un énoncé c'est comprendre ce qu'on veut nous faire comprendre.
=> Une communication réussie dépend d'inférences à partir des informations contenues dans les
phrases.
Inférences simples
(54) Sa dent a été extraite le mois dernier.
(55) Le colonel peint tous les dimanches.
(56) Le serveur a posé le plat devant le client.
1. Les présuppositions
- Fonction économique
Evitent au locuteur de répéter des informations anciennes (que l'interlocuteur connaît déjà)
(61) Marc a un frère, qui est dentiste
(62) Le frère de Marc est dentiste
=> Le locuteur sait (ou pense) que c'est une information connue
3 conditions expérimentales :
- Assertion et présupposé vrais : (66) C'est la fille qui caresse le chat
- Assertion fausse : (67) C'est le garçon qui caresse le chat
- Présupposé faux : (68) C'est la fille qui caresse le chien
- VD et résultats : taux d'erreurs (68) > (67)
Interprétation : Notre attention se portent spontanéement sur les assertions des locuteurs
(nouveautés). Sont plus faciles à détecter que les présupposés (censés être vrais).
2. Les implications
= Conclusion tirées à partir d'un énoncé sur la base d'un raisonnement inférentiel
(69) Marie a réussi son permis de conduire.
Le locuteur
- Asserte : actuellement elle a son permis
- Présuppose : elle ne l'avait pas et a passé l'examen pour l'avoir
La négation d'un énoncé rend les implications (et assertions) fausses mais les présupposés restent
vraies.
Implications logiques
= Conclusions indiscutables inférés logiquement à partir des informations explicites
(70) Luc est plus jeune que Marc et plus âgé que Jean.
➢ Implique logiquement une hiérarchie d'âge (J < L < M)
Implications pragmatiques
= conclusions fondées sur nos connaissances générales, opinions ou expériences personnelels
Ne sont que probables (pas indéniables), peuvent donc varier selon :
➢ Les individus
Le locuteur peut amener son nterlocuteur à tirer des conclusions dont il ne veut pas être tenu pour
responsable
➢ Utilisation subjective
(74) Encore des patates !
(75) Ne me demande pas ce que je pense de tes poèmes…
Le consommateur en infère à tort que les autres marques d'huile d'olive en contiennent. Ici, la vérité
sur un produit est utilisée pour tromper implicitement d'autres produits.
Expérience commanditée par une association de consommateurs pour déterminer l'impact des
publicités sur le "comportement de la ménagère"
Matériel linguistique : 16 slogans publicitaires fictifs contenant une phrase critique exprimée en 2
Assertion
(76) Si vous dormez sur un matelas Tripleplume, vous n'aurez plus mal au dos.
Inférence
(77) Ceux qui choisissent un matelas Tripleplume en ont assez d'avoir mal au dos.
Procédure et Tâche : Présentation de 2 phrases-test que le sujet doit juger comme "VRAI", "FAUX"
ou "INDETERMINE" / slogan entendu :
➢ Facteurs manipulés
- Version du slogan : Assertion / Inférence
- Consigne : 50% des sujets sont avertis de la présence d'informations implicites et informés
qu'ils doivent les juger indéterminées Averti / Non averti
- Délai de jugement : 50% des sujets jugent les phrases test après chaque slogan, les autres le
font à la fin des 16 slogans (+ ou moins 10 min) Immédiat / différé
➢ VD : % De réponses "VRAI"
➢ Résultats
On devrait avoir 0% de réponses vraies pour Inférence, mais ils ont en moyenne 71.5% de réponses
fausses
Globalement, les inférences sont massivement jugées vraies.
=> Insinuations prises pour des assertions
INTRODUCTION
"Le mouvement est la manifestation la plus directe de e qui vi et reste un indicateur privilégié du
fonctionnement des systèmes vivants " (Paillard, 1985)
2eme argument
L'expression de la pensée passe à travers une activité motrice
3eme argument
Nous allons exprimer nos émotions à travers des mouvements (visage, corps); et ces expressions
vont pouvoir être perçus et compris par autrui.
- Mouvement balistiques
- Mouvement rapides
- Mouvements lents
- Habiletés ouvertes
- Habiletés fermées
1. Intention et sélection
2. Sélection et contraintes
Contraintes environnementales
- Identification et localisation des objets individus (buts / obstacles)
- Forces appliqués
Terminologie
➢ Concepts apparentés avec des limites assez floues
Raisonnement
Résolution de problème
Diagnostic
Prise de décision
I. Le raisonnement
1/ Définition générale